Sujet: Jaymes ◊ Si tu as le Nord devant toi ...Tu as forcement le Sudoku Ven 2 Déc - 15:11
Jaymes Hoover
Je m'oppose à la violence parce que lorsqu'elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n'est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent.
no one can be two different people.
nom : Hoover. Ҩ prénom : Jaymes, surnommé Jaymie, Jay... comme vous voulez. Ҩ âge : 29 ans. Ҩ origines Sydney, Australie. Ҩ statut civil : divorcé, célibataire et profite de la vie. Ҩ occupation : avocat. Ҩ avatar : Henry Cavill . Ҩ crédits : tumblr
reveal yourself.
BONJOUUUR j'avais dit à Cam que je (re)viendrais un jour je suis jamais restée bien longtemps mais ça va changer, je vais rester jusqu'à vous énerver Donc moi, c'est Marine aka tearsflight dernièrement sur bazzart j'ai donc 18 ans et je suis à la fac, première année de LEA et les exams arrivent mais bon, on survivra bien je suis venu avec l'autre bolosse qui joue Harlen parce qu'on est toujours hots ensemble, vous allez voir spéciale dédicace à toi Cilou
Dernière édition par Jaymes Hoover le Ven 9 Déc - 18:21, édité 7 fois
Sujet: Re: Jaymes ◊ Si tu as le Nord devant toi ...Tu as forcement le Sudoku Ven 2 Déc - 15:12
leave your story behind and be the present.
« Comme c’est votre premier rendez-vous avec moi, je vais vous poser la question que je pose à tous mes clients : racontez-moi votre rencontre. » « Vous savez que ce n’est pas vraiment une question ? » Je lève les yeux au ciel. Elle est incapable de se retenir de faire une critique. « Mais peu importe. Au prix où coûte la séance, je ne vais pas perdre de temps. » Riche et pourtant si radine. Je le savais depuis longtemps qu’elle était une fille gâtée, je la connaissais très bien. « J’ai rencontré Jaymes à une réception donnée par mon père. On avait à peine parlé ce soir-là mais il y avait quelque chose déjà dans nos regards. » Je ne dis rien mais je ne peux m’empêcher de penser que ce n’était pas du tout le cas. Ce soir-là, elle ne m'avait pas regardé un seul instant et je ne l'avais regardé que pour faire plaisir à mon père. A l'époque, j'aimais quelqu'un, je me fichais royalement de regarder la beauté de la fille du concurrent de mon père. Mais elle l'ignorait. « On s’est revus par la suite et c’était le conte de fée. Nous nous entendions à merveille et nous nous plaisions également. Ça a été un peu le coup de foudre. » Encore une fois, ce n’était que la version officielle. C’était vrai, elle avait fini par tomber amoureuse de moi mais je n’avais jamais été fou amoureux d’elle. J’avais fini par l’apprécier et la supporter mais jamais beaucoup plus que ça, même si je le croyais au début. « Nous avons commencé à sortir ensemble en juin 2001 et, un an plus tard, en juillet, nous nous marions. Un beau mariage, vous ne pouvez pas imaginer. Je portais une robe… » « Passe les détails chérie, ce n’est pas pour ça qu’on est là. » Elle me fusille du regard. Quoi ? C’est elle qui a dit de ne pas perdre de temps. « Bien. Nos pères ont fini par allier leurs deux entreprises pour créer une des plus grandes de Grande-Bretagne. Tout se passait à merveille les premières années bien que la passion entre nous ait vite disparu au profit des habitudes. On ne faisait l’amour qu’une fois par semaine grand maximum. » Je n’arrivais pas à croire qu’elle sortait ça dès le départ. Elle avait mis ça sur le compte de l’habitude, j’avais mis ça sur le compte de l’ennui. Jamais elle ne ne m'avait passionné, c'était comme ça. Alors, c'était souvent elle qui venait me forcer à faire l'amour - le contraire des autres couples. « Ça fait plusieurs années que je le soupçonne d’être infidèle. » dit-elle en me lançant un regard assassin. J’en avais vraiment marre de toute cette comédie. Cela faisait des années qu’elle se taisait et faisait semblant d’ignorer mon infidélité alors qu’il lui arrivait aussi d’aller voir ailleurs, chose qui ne me dérangeait absolument pas. « Qu’est-ce qui vous fait penser ça Madame Hoover ? » « Le nombre de soirs où il rentre sans excuse autre que le travail, les notes d’hôtel ou autres. Je ne suis pas dupe docteur. » « Vous confirmez monsieur Hoover ? » Avant que je puisse répondre, Norah m’interrompit. « Bien sûr qu’il confirme. Il me l’a avoué la semaine dernière ce salop. » Comme si elle ne le savait pas depuis longtemps. Cette femme savait parfaitement jouer la victime. En fait, ça ne me dérangeait pas du tout pour passer pour le méchant, je m’en fichais maintenant. Et autant que ce soit elle qui parle, je serais capable de la blesser encore plus, chose que je ne voulais pas. « Je me doute que ça doit être difficile pour votre couple. Mais si vous vous aimez vraiment, vous pourrez survivre. Il faut juste être sincère pour une fois et tout se passera bien. » Mais oui, bien sûr ! Allons dire à la femme avec qui je suis depuis six ans que je ne l’ai jamais aimée, que c’était un coup arrangé de mon père. Pourquoi ne pas être sincère Jaymes ? Tu veux gâcher ta vie ? « Je n’attends que ça docteur. Et j’espère que vous pourrez nous aider. » Je ne voulais pas non plus que tout ça finisse par un divorce qui ruinerait nos deux pères à force de s’entretuer. Quel bon fils je fais quand même !
« Jaymes, vous vouliez me voir ? » « Oui, docteur. Je voulais avoir un rendez-vous seul pour une fois, que je puisse vraiment parler. » « Bien sûr Jaymes. De quoi voulez-vous me parler ? » Il était temps que ça finisse. Cela faisait huit ans que j’étais marié pour mon père, que je travaillais pour mon père. Pour ne rien y gagner au final. Je devais arrêter ce cirque, je ne vivais pas ma vie comme je le voulais. « Tout ce que vous a dit Norah depuis le début sont des mensonges. » « Comment ça Jaymes ? » « Enfin, pour elle, ce n’était pas totalement des mensonges puisqu’elle ne sait pas toute la vérité. » Le docteur me regarda, étonné. A croire que j’étais bon acteur pour simuler le mari heureux. « Notre rencontre n’était pas un coup de foudre du tout. A vrai dire, mon père voulait depuis longtemps une union avec son père et il a eu la bonne idée que moi et sa fille formions un couple. J’étais au courant dès le départ. Norah ne l’a jamais su. » Le docteur essayait de ne pas paraître trop surpris mais je le voyais quand même. « Mais… Vous l’aimiez tout de même ? » « Jamais comme on est censé aimer sa femme. Je faisais ça pour mon père. Mais je n’avais rien contre elle non plus, je l’appréciais mais je ne suis jamais tombé amoureux d’elle. » Il semblait tomber des nues. Les thérapeutes pour couples n’étaient pas censés être capable de deviner les sentiments des patients ? De toute façon, je n’avais jamais pensé qu’il était un bon docteur. « Mais je ne comprends pas. Norah est très jolie et a l’air de vraiment vous aimer. Comment pouvez-vous ne pas l’aimer en retour ? Et surtout lui mentir ? » Le mensonge, c’était en partie pour ne pas la blesser mais aussi pour ne pas gêner les affaires de mon père. « Si je ne l’ai jamais aimée, c’est parce que j'aimais un homme quand j'ai dû épouser Norah. Je... je suppose que j'aurais pu aimer Norah facilement mais ce n'est jamais venu. Surtout quand on compare les deux personnes. » Alors ça, il ne devait pas s’y attendre. Normal puisque personne ne savait pour le moment où j'avais été gay sauf Harlen et mon père. A l'époque, je ne voulais pas que ça se sache et j'avais donc obéi aveuglement à mon père, pensant qu'il ne voulait que mon bien. En fait, il ne souhaitait que son bien à lui. Mais rompre avec Harlen serait arrivé de toute façon. Si j'avais laissé faire les choses, ça aurait fini par éclater. Mais je ne serais pas marié avec Norah en tout cas. « Vous… Vous allez rester avec Norah tout de même ? Je ne peux rien lui dire puisque je suis sous secret médical. » « Non, je vais tout lui dire. J’en ai marre de vivre une vie qu’on m’a choisie. Je lui avoue tout ce soir et je pars demain pour un petit village inconnu. Je dois changer d’air. Vous pouvez même vous taper ma future ex-femme si elle vous plaît autant. » Puis je me levais et je sortais de ce cabinet que je voyais pour la dernière fois. Le soir-même, je demandais le divorce à Norah en lui souhaitant de se trouver un homme qui l’aimera – même si elle me détestait plus qu’autre chose. Et j’appelais mon père le lendemain depuis l’avion pour lui donner ma démission et lui dire d’aller se faire foutre. J’en ai fini de gâcher ma vie à être sa marionnette, je pars vivre la mienne en changeant totalement de cadre. Un petit village nommé Arrowsic, un nouveau travail dans un cabinet, une petite maison et une nouvelle vie.
Dernière édition par Jaymes Hoover le Dim 18 Déc - 23:44, édité 9 fois
Sujet: Re: Jaymes ◊ Si tu as le Nord devant toi ...Tu as forcement le Sudoku Dim 4 Déc - 22:49
Han la blague dans ton titre, on me l'a faite récemment. Oh, qui étais-tu dis-moi ? Et bien oui t'as intérêt à rester, de toute façon on va prévoir les menottes. C'est une bonne idée non ? Henry il est pfiou. Anyway, bienvenue et bon courage pour ta fiche.
Sujet: Re: Jaymes ◊ Si tu as le Nord devant toi ...Tu as forcement le Sudoku Lun 5 Déc - 6:38
aloooors, j'ai été Candice Accola mais je me souviens plus du prénom et, à la toute première ouverture, j'avais une Emilie de Ravin et une Maggie Grace mais je doute que tu te souviennes d'un de ces persos vu que j'ai jamais beaucoup joué avec eux enfin, vu que là, je viens avec une amie, vous pouvez être sûrs que je resterais ton avatar est super sexy même si je ne connais pas vraiment Sasha (j'ai dû la voir juste quelques fois sur les forums ) et merci au passage j'aime bien les bienvenues comme ça moi
Sujet: Re: Jaymes ◊ Si tu as le Nord devant toi ...Tu as forcement le Sudoku Lun 19 Déc - 1:20
HEY. Cela fait plus d'une semaine que tu as posté ta fiche, aurais-tu besoin d'un délai ? Tu as trois jours pour donner de tes nouvelles. En attendant, je déplace. (: