Sujet: Joy. It's the kind of name she should'nt have had. Never. Mar 3 Jan - 13:27
Joy Calloway
« L'autodestruction est ma voie la plus sûr pour atteindre les Cieux. Fuck them all ! »
nom : CALLOWAY ❉ prénom : Joy ❉ âge : 21 ans ❉ origines : Américaine ❉ statut civil : Célibataire ❉ occupation : Ancienne mannequin, serveuse dans une boite quelques fois, sinon rien à part boire, fumer & se droguer. ❉ avatar : Taylor Momsen ❉ crédits : Nono ♦ Sianna ; Bardadoll ; Tumblr ❉ scénario : Scénario de Abbey. ❉
this is where we're meant to be
JoyJoyJoy. Mais qui est-elle ? Qui est cette fille qui se cache derrière ses grands yeux entourés d'un noir ébène et provocant. Qui est cette fille qui flirt continuellement avec le vulgaire et la dépravation ? Qui est cette fille qui semble perdue, amoureuse du déclin d'elle-même, entraînant tout le monde qu'elle semble aimer dans sa chute...
♣ En commençant par sa famille ...
Elle est née il y a 21 ans à New York dans une famille qu'on pourrait qualifier de banal. Un père qui ramène l'argent. Une mère totalement soumise à lui. Un frère solitaire et inintéressant. Et elle, au milieu de tout ça, à essayer de se faire une place dans ce monde. Petite, elle était tout ce qu'on pouvait avoir de plus normal. Une petite fille modèle, parfaite, polie et délicate, soigneuse, rêveuse... Tout ce qu'elle n'est plus. A part le fait qu'elle soit une éternelle rêveuse, toujours dans son monde. Le monde de Joy, ou la belle dépravée. Tout le monde serait triste de voir une fille tomber aussi mal. Tout le monde, on s'accorde tous à le dire. Et pourtant, Personne n'a rien fait pour l'aider. Personne n'a rien fait pour éviter et prévenir ce drame personnel. Tout le monde a agit en tant que spectateur, foutu spectateur qui semblait apprécier de la voir sombrer. Alors, quand on est si mal entouré, ce n'est pas étonnant de finir ainsi.
♦ Son père. Surement le genre de modèle qui aurait plu à beaucoup de jeunes enfants. Surtout les filles, qui voient en leur père un Roi, un Super héros qu'il n'est pourtant pas. L'illusion commence très jeune, et Joy a entamé son deuil du parent imaginaire très jeune, vers l'âge de 6 ans. C'est l'âge auquel elle a comprit que son père était finalement un homme comme tout le monde, un homme comme il y en a à tous les coins de rue. C'est en général un processus qui se commence plus tard, bien plus tard. Mais Joy était une fille très mature dès son plus jeune âge. Elle est devenu naïve en grandissant, mais étant jeune elle faisait preuve d'un très honorable sens de la vie. Elle analysait beaucoup, et son père n'a pas échappé à ça. Il était l'homme comptable banal, qui ne gagnait pourtant pas très bien sa vie, exploité par la firme qui l'employait. Il était un homme faible, qui se laissait marcher sur les pieds par presque tout le monde, même sa femme était celle qui décidait de tout à la maison. Soumis à un Dieu qui n'existait peut-être pas. C'était d'une grande tristesse ... Le grand père de Joy ne manquait jamais une occasion de ridiculiser son fils, lui montrant à quel point il était une telle déception pour lui et pour la famille tout entière. Le manque de motivation et de projet est sans nul doute un crime pour l'humanité pour cette partie là de la famille Calloway. Ils seraient choqués de voir ce que la petite Joy est devenue...
♦ Sa mère. Madame Calloway était sans nul doute le pilier de la famille. On aurait pu croire qu'elle et Joy entretiendraient les meilleurs liens du monde. Et pourtant... Certes, ça avait été le cas durant un long moment. Sa mère était la femme catholique parfaite, femme au foyer absolument non accomplie mais qui pour autant était satisfait de son mode de vie. Sans doute était-ce ça le principal, assumer entièrement sa vie et les choix que l'on a prit. Elle était très stricte, très autoritaire, à l'image de la mère des 5 soeurs mises en scène à l'écran et sorties de l'imagination de la fille Coppola. Elle ne laissait jamais ses enfants quitter le domaine familiale - une minuscule maison de type anglo-saxon au centre de Brooklyn. Levé - Ecole privée catholique - maison - devoir - couchée. Sa a toujours été ainsi, alors pour Joy, c'était ça la vie normale. Elle le vivait très bien, et c'est ainsi qu'elle s'entendait bien avec sa mère, et avec tous les autres membres de sa famille. Mais le jour où elle comprit que cette vie là était sans nul doute marginale à l'extrême, grâce à des amis du collège qui l'avait alertée sur le besoin de se rebeller face à ça, elle ne put se satisfaire plus longtemps de cette éducation. Certes, elle a toujours eu à manger dans l'assiette. Elle a toujours tout connu de la bienséance. Elle a toujours récité ses prières du bout des lèvres e n'a jamais loupé une messe ou un Dimanche à l'abbaye. Mais ça ne l'a pas empêché de faire comprendre à sa mère que c'était invivable, pour tout le monde. Son frère était un simple mouton, alors elle se retrouva seule face à ce combat engagé. Qu'elle perdit bien évidemment.... Sa mère n'était pas femme à se laisser marcher sur les pieds et encore moins par une de ses filles, la plus jeune. Alors est arrivé ce qui n'était que la suite logique des choses.
♦ Son frère. C'est l'homme solitaire de la maison, le toutou à son papa, le punching-ball des deux filles. Et pourtant, maintenant qu'il a grandit, c'est le seul à se soucier encore de Joy. Comme quoi .. Sans doute un lien particulier s'est crée lors de ce matin là. Joy n'avait que 14 ans quand elle comprit qu'elle ne pourrait vivre ainsi. Alors était-ce un appel au secours ou une réelle envie d'en finir qui la mena à faire ce qu'elle a fait, sans doute personne ne le saura jamais. Elle était une grande amoureuse des films, son seul refuge. Et elle avait choisit parfaitement le film qui sera la mise en scène de son macabre scénario. La scène première de Virgin Suicides. Et tout comme la petite Cécilia, elle se trancha les poignets, dans la baignoire. Les rasoirs de sa mère n'avait jamais autant bien servi. Et ce fut son frère qui la retrouva. Lui qui l'accompagna. Lui qui l'aida à affronter la psychiatrie. Et lui qui lui redonna le gout à la Vie. C'est lors qu'elle comprit que son frère avait changé, et qu'il n'était plus celui qu'elle croyait. Peut-être n'avait-il même jamais été ainsi.. Mais là, il était tellement plus. Tellement mieux que ce qu'elle n'aurait pu espérer. Et depuis ce jour, Joy n'a jamais été la même. Elle passait le plus clair de sa vie dans ce centre. Elle ne voulait plus voir ses parents, seul son frère lui rendait visite. Elle resta dans son centre durant un long moment. Quatre années. C'était un foyer pour ado difficiles ou dépressifs. Son caractère a complètement évolué là bas, elle a commencé à devenir insolente, à se forger un caractère de feu par grande nécessite. Mais jusque là, elle était encore intègre et une jeune femme respectable. Viendra la suite. Elle n'a pas obtenu son diplôme de fin d'année, mais c'était prévisible ... Ce fut pour elle une nouvelle vie qui commença...
♣ ... En finissant par sa descente.
A la sortie du centre, Joy n'avait pas tellement changé dans un certain sens. Elle y était entréE pour une raison. La dépression. Et en sortant, Joy paraissait clairement normal. Pourtant, à l’intérieur, rien n'allait. Elle se sentait paradoxalement maîtresse d'elle même, mais quand on fait de mauvais choix, on a beau être maître de soi, on ne fait pas que du bien. Et avant tout, c'était à elle même qu'elle faisait du mal. Elle commença à squatter dans des endroits qui ne fallait pas. Côtoyer des gens qu'elle ne devrait pas. Un jour pourtant, alors qu'elle se baladait dans New York, elle aperçut une affiche proposant un concours de mannequinat avec à la clef un contrat. Elle se décida de ne pas boire cette soirée, pour se préparer à y aller le lendemain. Au culot, elle ne participa pas au défilé, mais le fit avant. C'était le genre de femme à venir et tout bousculer sur son chemin. Alors elle se mit à défiler dans le bureau du directeur même de l'agence, son style propre à elle, noir, telle une gothique, les jupes courtes et les talons hauts. La secrétaire avait bien tenté de l'en empêcher, mais Joy était bien là, à montrer qu'elle était peut-être capable de quelque chose, qu'elle pouvait donner un sens à sa désormais triste vie. Et cela avait bien marché, car une semaine après, elle était là, dans une salle avec plein d'autres mannequin, afin de créer son propre book. Elle n'avait pas bu et vivait désormais en coloc avec une mannequin du nom d'Abbey. Au début, elle ne l'avais pas du tout apprécié, c'était le genre de femme à savoir qu'elle était belle. Et Joy n'est pas ainsi. Ou alors elle ne l'était pas encore à ce moment. Finalement, elle se trompait sur Abbey, et elle le comprit par la suite. Ces deux-là ne se lâchèrent plus, et cela dura un certain nombre de temps. Presqu'une année à vrai dire. Une année où Joy considérait la vie comme un jeu, et on les règles du jeu était simple : profiter de la vie. Elle entraînait la jeune Abbey partout, dans tous les clubs branchés, finissant toujours dans un état catastrophique, sous drogue ou alcool. Joy connaissait énormément de monde. Forcément, lorsque l'on couche avec tous les photographes, les mannequins ou même de simples inconnus, on a sa liste de réseau qui s'agrandit plus facilement. Alors elle était devenue la catin de service, avec comme meilleure amie Abbey qui n'était pas moins qu'elle une vulgaire femme, mais à la différence de Joy, elle, ce n'était pas sa faute. Elle avait juste rencontré la mauvaise personne au mauvais moment.
Les soirées passaient et se ressemblaient à chaque fois. Toujours les mêmes configurations, alcool, drogue, sexe, musique, orgie, skins party... C'était un cercle vicieux malsain et diabolique auquel Joy participait activement. Une soirée, et un réveil à l'hôpital. Voilà tout ce qu'avait gagné Abbey, à toujours accepter les plans foireux et malsains de son amie. Elle s'était mené elle aussi à cet etat de presque fin de vie, se laissant dépérir, frôlant avec la mort, avec la vie qu'elles ne semblaient pas estimer à sa pourtant juste valeur. Alors ce coma fut comme un électrochoc. Mais ce n'en fut un que pour elle, Joy aimait trop ce style de vie, elle avait là sa revanche face à ses parents. A sa mère. Elle envoyait souvent des photos d'elle nu ou dans une positions inconfortables à ses parents, comme pour leur dire " Vous voyez , c'est votre faute. Mais je le vis bien. Merci Maman. ". Joy était une douce provocatrice, ne connaissant rien du mot limite. Elle n'en avait pas, les ayant toutes franchies il y a maintenant un bon moment. Alors Abbey a choisit de partir. De laisser Joy s'auto-détruire. Elle avait pris la bonne solution. Elle avait choisis la Vie, le respect de Soi, l'Honneur, et elle s'était donné le plus de possibilité. Elle est arrivé chez elles, Joy roulait un joint bien costaud, et elle lui avait balancé qu'elle partait. « Joy, je m'en vais. » Voilà ce qu'elle lui avait dit. Mais Joy était bien trop occupée à fumer son joint. Abbey était pitoyable là, debout, avec son air de folle furieuse. Elle croyait quoi ? Sérieusement ? Comme si Joy allait la supplier, comme si elle allait se rabaisser à cette démonstration de sentiment pathétique. Elle répondit le plus simplement du monde « Ok, salut Abbey. C'était assez comique ce moment. Ou alors très tragique. C'était le début d'une fin. Et Joy n'avait aucun affect pour e genre d'au revoir, de situation. Tu veux partir ? Et bien pars. Marche ou Crève ... Abbey avait surement du mourir de peine sur place, car elle répondit ceci : « Quoi ? Ça te ne fait rien ? Ça ne te fait rien putain de me voir complètement anéantie ? Ça ne te fait rien d'avoir bousillé ma vie ?! » Et elle n'eut comme réponse rien, à part un petit sourire et une fumée qui lui arrivait en plein tronche. « Tu sais quoi Joy ? Va te faire foutre putain !! T'as été une grosse salope ! Je te déteste, je ne veux plus jamais te voir, t'as compris ? T'AS COMPRIS ? Putain, t'as tout bousillé ! » Et Abbey était parti. Alors Joy a salué la porte, et s'est installée dans son sofa, s'endormant avec son joint à la main, les cachets qu'elle venait d'avaler faisait parfaitement effet. Un mirage, voilà, elle se croyait dans un mirage. Elle ne savait plus faire la différence entre le rêve et la réalité. C'était une éternelle rêveuse, et elle ne changerait probablement pas.
♦
Quelques jours après le départ d'Abbey, Joy était toujours dans le même état de transe intergalaxique, ne calculant rien. Alors elle a agressé son directeur, lui faisant du chantage pour qu'elle ait la meilleur place du défilé de la Fashion Week, mais bien sur, elle n'avait récolté qu'une lettre de licenciement et un" Va t'faire foutre " bien sympathique. Put*in, encore ce mot Elle était abonné à ça fallait croire. Elle était abonnée à faire fuir les gens qu'elle aimait. Ses parents - bien qu'elle n'éprouvait que de la haine pour eux désormais - Abbey, son frère. Elle ne comprendra sans doute jamais qu'Abbey était sa seule vraie amie, la seule qui pouvait l'aider à s'en sortir. La seule pour qui elle aurait du avoir un minimum de respect. Au lieu de ça, elle avait détruit sa vie, mais ça, elle ne s'en rendait pas compte. Son frère, elle ne lui avait pas parlé depuis sa sortie du centre. Elle avait esquivé toute tentative de dialogue qu'il avait tenté... C'était sans doute le seul de sa famille qui se souciait d'elle, mais elle ne comprenait pas cela. Pour elle, personne n'était en mesure d'avoir sa confiance, car tout ceux qui l'avait eu n'avait pas été à la hauteur de ses besoins. Elle en souffrait, elle pleurait beaucoup le soir, seule chez elle. Alors un jour elle a décidé de se calmer sur la bouteille et tout ça, pour se consacrer à sa passion : détruire la vie de tous ceux qui ont un jour osé la décevoir. Et Abbey était sa cible principale. Celle qui l'avait abandonné. Elle avait essuyé plein d’échec, avait même fait parti d'une secte, s'était alcoolisé à presque en mourir, mais là maintenant, elle avait eu ce déclic. Elle allait déménager là où vivait désormais Abbey, et consacrerait sa vie à la détruire. Elle savait parfaitement comment faire. Alors pour ça, elle avait entamer une désintoxication. Puis, quelques semaines après, elle était désormais là, aux portes de cette ville surement minable qui n'avait rien d'autre à lui offrir que ces habitants. Elle avait trouvé un appart, avait trouvé un taf de serveuse, couchait avec son patron - on ne peut jamais changer complètement - et elle se donnait la chose la plus sûre pour elle : la méchanceté pure et dure. Autour de son lit se trouvaient des dizaines de photos d'elle et Abbey, ça en était devenu une drogue. Un besoin vital. Alors petite Abbey, un conseil. Entoure toi des bonnes personnes. Bien que tu sais que Joy est excellente en manipulation. A vrai dire, tu ne peux pas faire grand chose à ce qui va t'arriver. PEACE !
living young and wild and free
t'arrives d'où : Pau. ( Parisienne exilée dans le Sud Ouest... ) ❉ pourquoi thub : Parce qu'il y a des choses qui ne s'expliquent pas. Les membres, le CSS, le scénario d'Abbey, la qualité des Rp ici ♥ ❉ des avis : Nope ❉ des questions : None. ❉ > règlement lu : Oui. ❉ > dernier mot : Cause we're Young, & Wild, & Free ! ❉
Hey, j'm'appelles Nora, j'ai 21 ans, étudiante assistante social dans le Sud, j'aime p, lire, mater des films, des séries, mes amis, la boisson, les clopes, ma clio, je deteste la pluie, j'taf pas mal pendant les cours, mais j'essaye d'être là souvent, j'aime aussi flooder, le café chaud, PARIS ♥ LONDRES ♥ mais par dessus tout NEW YORK & les States ♥ Et voilà quoi ! ♥