« Parfois même les meilleurs d’entre nous prennent des décisions irréfléchies. De mauvaises décisions. Des décisions, nous savons déjà, que nous allons regretter sur le moment, à la minute, ou plus précisément le matin qui va suivre. Quelque chose au fond de nous décide de faire une folie. Une chose dont on sait qu’elle va forcément se retourner contre nous. On le sait, mais on le fait quand même. Ce que je veux dire c’est... on récolte ce qu’on sème. On a ce qu’on mérite. »
DANCING WITH MYSELF.
On prend la même et on recommence ! je m'appelle toujours charette j'ai toujours 24 ans et... J'change complètement d"histoire, oui j'suis une chieuse mais je voulais absolument rester sur THUB *-* J'écrirai des trucs ici plus tarrrd je file faire ma fichette !
Dernière édition par V. Sasha Rosenfield le Mer 7 Mar - 14:43, édité 3 fois
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mar 6 Mar - 23:02
A TWIST IN MY STORY.
mon enfance • Née à New-York, petite dernière de d’une famille de garcons. J’ai trois frères, de trois et cinq ans mes ainés. Surprotégée, suraimée, j’étais leur petite poupée. Mes parents, de riches anglais expatriés en Amérique, nous couvraient de cadeaux. Nous ne manquions de rien. Jouets, vêtements. Tout ce que nous voulions nous l’avions. Mes parents travaillaient dur pour nous offrir tout ça et je leur en serai à jamais reconnaissante. Ils faisaient tout pour être les meilleurs parents du monde et je pense qu’ils ont parfaitement réussi. Malgré leurs métiers, leurs horaires surchargés, ils étaient toujours présents pour nous. On dit que l’argent ne fait pas le bonheur, cependant, il y contribue fortement. Nous avions l’amour d’une famille et l’argent pour bien vivre. Personne n’aurait refusé une telle vie. Pourquoi mes parents gagnaient-ils autant ? Mon père était juge et ma mère grande avocate, à la tête d’un bureau d’avocats très réputé à New York. Ils avaient eu à juger de célèbres criminels, les cachets augmentant de plus en plus. Et nous, adorables bambins, étions en admiration devant nos parents. Comment éviter les études dans le milieu de la justice ? Impossible. J’étais pourtant une gamine timide, j’avais toujours du mal à prendre la parole devant les autres, même lorsque j’étais en terrain conquis. Alors comment plaider devant énormément de gens ? Mes parents m’avaient assuré que ça viendrait en pratiquant, en étudiant. Puis « on a ça dans les veines ». Je ne pouvais aucunement nier. Mes frères voulaient être eux aussi juges, avocats, magistrats. Qu’importe, tant que la filière restait la même que nos parents. Puis notre nom était déjà tellement célèbre. Dans ce milieu. J’aurais pu faire autre chose, me démarquer. Mais finalement, j’ai moi aussi choisi ce futur. Cependant, comme ma mère, je voulais faire avocate. Mes frères, eux, ont voulu suivre les traces de mon papa. Chacun son camp.
la vie chez les adultes • Etudier, étudier et encore étudier. Pas de réelle place pour l’amusement. Si je rentrais tard chez moi ce n’était pas parce que je passais ma vie à traîner avec mes amis, non. Je bossais dur à la bibliothèque universitaire. J’ai pu entrer dans une des plus prestigieuses facultés de droit d’Amérique. La Harvard Law School à Cambridge. Tout comme mes frères quelques années auparavant. Lorsque je suis arrivée là-bas, ils y étaient encore et nous avons pu vivre tous les quatre, ensemble. J’étais rassurée de les avoir près de moi et je sais qu’ils ont contribué à ma réussite. Ils m’aidaient, m’épaulaient. Mais lorsqu’ils ont réussi leurs examens et ont quitté la faculté, je me suis retrouvée seule. Période difficile. J’étais encore plus seule qu’à l’habitude. La quantité de travail ne me laissait pas réellement le temps de m’occuper de moi ou de me faire de réels amis. J’avais bien sûr mes camarades de galère. Dans la même classe, nous nous connaissions tous mais au fond, nous ne nous amusions pas. Parfois nous nous retrouvions dans un café mais les cours reprenaient le dessus et nous ne faisions que parler de ça. Je venais de comprendre que ma vie ne tournerait qu’autour de mon métier. Je parlerai loi, je mangerai loi, je respirerai loi… Je vivrai loi tout simplement. Mais je l’avais choisi et j’étais fière de ça. J’avais de bons résultats et je ne voulais qu’une chose, que mes parents aussi soient fiers. Les longues années d’études se sont finalement terminées et j’ai obtenu mon diplôme avec succès. Mérité après ce dur labeur. Cependant, si c’était à refaire, je ne changerais rien. J’aime mon métier, j’aime ma vie. Qu’importe si je passe mon temps au bureau ou au palais de justice. C’est ce que j’aime. Piston oblige, je porte le nom de Rosenfield, ma mère m’a directement engagée avec elle. Mes premières affaires, mes premiers clients, j’en suis fière. Jamais je n’oublierai mes premiers pas. J’ai eu des difficultés même si je n’ai certainement pas autant galéré que mes anciens copains de fac. Mon nom m’a ouvert des portes que je n’aurais jamais pu atteindre en sortant de l’école. Merci maman. Merci papa. Je n’ai pas honte de ça. Mes parents ont bossé dur, j’ai bossé dur. Ils m’ont offert cette opportunité, je l’ai saisie sans douter. Je garde la tête haute même si certains estiment que je n’ai aucun mérite. J’ai travaillé comme une forcenée, j’ai mérité mon diplôme et ma place. Et, plus les années passent, plus les affaires s’enchainent, plus je leur montre que j’ai ma place. Je suis une Rosenfield mais je ne suis aucunement un imposteur. Mon métier, je le connais. Et je prends un malin plaisir à battre mes collègues pendant les audiences. C’est la jungle dans ce monde et qu’importe, je me battrais pour garder ma place. Mon métier n'est pas simple et ça se ressent sur ma vie privée. J'ai des relations avec des hommes mais ça ne dure jamais. Je ne suis pas assez présente à leurs yeux. Je n'arrive pas à construire une vie de famille. Qu'importe, je suis encore jeune. Je sais que j'aurais moi aussi une chance d'être épanouie dans ma vie intime. Il va falloir que je sois patiente. Ou que je tombe sur la perle rare. Impossible ?
Une affaire comme une autre ? • (2004) Je sélectionne mes clients évidemment mais je ne me contente pas de defendre les victimes. J’aime aussi m’attaquer à plus gros, plus dur, plus lourd. Les présumés coupables. Je n’ai pas honte de défendre certaines personnes. Les avocats ont été créés pour ça, pour tenter de défendre l’être humain malgré ses fautes. J’estime que certaines personnes ont le droit à une seconde chance. D’autres, il est vrai, ne le méritent pas. Mais lorsque je suis amenée à les défendre, je fais mon boulot comme il se doit. Meurtrier, violeur, j’ai pourtant envie de les haïr, mais je me force à ne rien montrer. Je suis devenue forte avec le temps. Pourtant, ces connards ne m’aident pas. Gestes déplacés, insultes. Ils me rabaissent parce que je suis une femme. Pourquoi donc ne pourraient-ils pas être défendus par le sexe opposé ? Sexe faible à leurs yeux. Seulement, quand j’arrive à alléger leur peine, ils ne sont plus si horribles. Enfoirés. J’ai vu beaucoup d’histoires différentes mais celle-ci, était ma première. Un homme violent. Un homme qui frappait sa copine. Je ne savais pas à quoi m’attendre. Je n’avais eu qu’un simple résumé. Etait-il ce genre de type infâme qu’on imagine souvent dans ces cas-là ? J’ai appris à ne pas me fier aux apparences. J’ai vu des violeurs avec des physiques d’anges, et inversement. Cet homme-là, n’avait pas la tête de l’emploi. Il avait un visage doux, des yeux magnifiques, seulement, sa nervosité balayait toute la délicatesse de son physique. Avait-il une haine des femmes pour les maltraiter ainsi ? Ou était-ce une stupide faiblesse de sa part ? A force de dialogues coupés par ses multiples crises de nerfs, j’ai réussi à monter une défense pour lui. Malgré sa beauté, ce type était violent. Lever la main sur quelqu’un, sur sa copine qui plus est, reste quelque chose que j’ai du mal à pardonner. Même pour se défendre, se venger, je trouve ça horrible… La violence ne résout rien. Seulement, là, il était mon client. Un client violent qui avait battu plusieurs fois sa copine d’à peine dix-huit ans… Mais je le défendais lui, et pas elle. Le procès est arrivé vite et finalement, sa peine a été quelque peu réduite. L’amende elle restait conséquente. Tant pis. J’estime qu’il s’en est bien tiré. Il a fait quelque chose de mal et au fond, il savait qu’il devait payer. Ça se sentait, il était furieux contre lui-même. Je pense qu’il a réussi à convaincre les jurés sur le fait qu’il ne recommencerait sûrement jamais. J’ai vu dans ses yeux qu’il a compris sa bêtise et j’aurais mis ma main à couper que, même si l’envie de frapper à nouveau le rongeait un jour, il ne le ferait pas. Sept mois de prison. Et après tout ce temps, je suis allée le chercher à sa sortie. Personne n’était là. C’était alors mon rôle de le raccompagner jusqu’à chez lui. Presque aucun mot échangé, quelques regards puis, une fois devant chez lui, des baisers. Des caresses avides. Un besoin de réconfort charnel. Pas de sentiments, juste un désir profond d’être contre la peau chaude de l’autre. Voiture abandonnée, nous sommes ensuite montés et avons passé un moment intense dans ses draps qui n’avaient plus connu aucune chaleur depuis de longs mois. En repartant de chez lui, je ne regrettais rien. Absolument rien. Je suis avocate mais au fond, je reste une femme et malgré ses actes, il m’a plu. Aucune envie de résister sur le moment. Aurais-je dû ? Sûrement.
Et toute une vie qui bascule • (2005-2006) Plus le temps passait et moins j’avais de temps pour moi. Mes journées n’étaient faites que de travail, travail et encore travail, presque vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Pas de weekend, pas de vacances. Un rythme effréné qui ne me posait aucun problème. Aucun jusqu’à ce que je me sente mal. Je n’ai même pas pris le temps d’aller consulter un médecin, pensant cela passager. Finalement, le médecin est venu me chercher. Un après-midi en pleine plaidoirie, je me suis écroulée. Urgences, analyses. Je m’attendais à une grimpe carabinée, période propice à la transmission de cette maladie… Non. Rien de tout ça. A vingt-six ans, j’étais enceinte. J’ai ri. Pendant de longues minutes. Moi qui n’avais pas eu de rapports sexuels depuis quelques temps maintenant, j’étais enceinte ? « Oui mademoiselle Rosenfield, enceinte, de presque six mois. » Le choc de la nouvelle m’a fait rire deux fois plus. Cependant devant l’air sérieux des médecins, je suis tombée des nues. « mais… j’avais aucun symptôme et… » Les larmes ont remplacé les rires. J’étais perdue. Un bébé ? Moi ? Alors que j’étais totalement surchargée de travail ? Impossible à gérer. Je n’arrivais plus à arrêter de pleurer. Mon cerveau semblait n’avoir aucune énergie et j’étais tout bonnement incapable de réfléchir à l’identité du père. Que faire ? Le garder ou le faire adopter ? Comment, après l’avoir vu à l’échographie, après avoir entendu son petit cœur battre, j’aurais pu l’abandonner ? Hors de question. « C’est un petit garçon. » De nouveau les larmes. De joie cette fois-ci. D’après les médecins, j’ai fait ce qu’on appelle un déni de grossesse. Je n’ai pas du tout imaginé que j’étais enceinte et, à part ce coup de fatigue, rien n’aurait pu me faire savoir que j’attendais un enfant. J’aurais pu aller à terme et apprendre que j’étais enceinte le jour de la naissance. Une fois consciente de ma grossesse, mon ventre a grossi, de manière surprenante. J'avais donc tout d'une femme enceinte. Je suis passée directement au sixième mois... Même si la venue de ce bébé non programmé a tout chamboulé, j’ai voulu assumer mes actes. Ce petit garçon est ma chair, mon sang. Il ne devait aller dans aucun autres bras que les miens… Après le choc de la nouvelle, j’ai pu réfléchir au calme dans une chambre. Un psychologue est venu à ma rencontre pour faire le point et tous les évènements passés de ma vie me sont revenus petit à petit en tête. Mon petit garçon est issu d’un moment d’égarement entre une avocate et son client. Ce beau mec aux yeux magnifiques qui n’aurait peut-être jamais dû me faire succomber. Seulement, il était trop tard pour regretter, trop tard pour s’en vouloir. Trois mois plus tard, ce petit est né. Sans papa. Je n’ai pas voulu le recontacter. Pourquoi ? Par faiblesse, par peur. Mais ne serais-je pas un jour obligée de le faire ?
Joyce London Rosenfield, ma raison de vivre • Mon petit garcon. Celui qui me redonne le sourire quand je vais mal, celui qui rend ma vie beaucoup plus belle. Je suis une femme épanouie malgré l’absence du papa. Seulement, je sais que mon fils ne sera pas heureux tant qu’une figure paternelle ne sera pas présente. Mes frères sont bien sûr là pour lui mais ce sont ses oncles. Il faut qu’il ait un papa. J’ai eu plusieurs relations après sa naissance mais, par le passé, les hommes me reprochaient d’être trop souvent au travail, maintenant ils estiment que mon fils passe avant tout. N’est-ce pas normal ? Il est ma vie, il est tout pour moi et si un homme n’arrive pas à le comprendre, jamais il n’aura ce rôle de papa pour mon bébé. L’avantage d’avoir ma maman avec moi dans le travail est que je peux facilement aménager mon emploi du temps pour être avec Joyce. Je travaille beaucoup chez moi. Lorsqu’il n’allait pas encore à l’école, je passais mes journées à la maison pour travailler et lors de mes déplacements, une nourrisse prenait le relais. Tout comme mes parents avaient fait pour nous. Malgré des emplois du temps surchargés, ils étaient présents. Et je veux faire la même chose pour mon garçon. Il ne doit manquer de rien et surtout pas de l’amour d’une mère. Maintenant, il va à l’école et je m’arrange pour venir le chercher tous les jours. Je fais tout pour être la meilleure des mamans.
Le dur retour à la réalité • (2011) C’est l’été, il fait beau et Joyce et moi sommes partis tous les deux dans les Hamptons pour profiter et se détendre. Il a, à présent, cinq ans. Ce petit bonhomme est mon bonheur à lui tout seul. Malheureusement, je le sens de plus en plus soucieux. J’espère que ces vacances vont le détendre mais je me trompe. « Pouquoi Jake est pu là… » Mes lèvres se pincent. Il est tard. Pourquoi attend-il le moment du coucher pour me poser des questions ? Il fait toujours ça… Tendrement, je passe ma main dans ses cheveux et embrasse sa joue. Jake était mon petit ami et donc, sa présence paternelle. Nous sommes restés ensemble pendant plus d’un an et Joyce l’adorait. Seulement, Jake a été muté en Chine. Nous l’avons expliqué à Joyce, longuement mais il n’a pas compris. Il aurait voulu que Jake ne parte pas, qu’il abandonne tout pour rester avec nous. Mais avec ses yeux de petit garçon, il n’a pas pu comprendre l’importance que ça avait pour Jake. Et au fond, nous n’étions sûrement pas assez amoureux pour nous priver pour l’autre. Mais comment expliquer ça à un petit garçon ? Il s’était tellement attaché à lui. « Bébé… Le travail de Jake est très important… et… » Je soupire alors que des larmes envahissent ses petits yeux. Doucement, je m’allonge contre lui et le serre. Comment un métier peut-il être plus important qu’une famille ? Je n’en sais rien. J’adore mon métier. Mais à choisir, je n’ai aucune hésitation, je serais capable de tout abandonner pour mon fils. Il n’y a que son bonheur qui compte. Jake aurait été son papa, il serait resté. Mais je ne peux en aucun cas dire à mon fils qu’il ne nous aimait pas assez pour ne pas partir. « il… où mon papa…? » Son vrai papa… Je n’en sais rien. Absolument rien. Je n’ai jamais cherché à le revoir. Peut-être est-il encore sur New-York. J’ai toujours son adresse. Dois-je vraiment aller le trouver ? En aurais-je seulement le courage ? « papa… il… chéri… je ne sais pas où est papa… » J’ai honte et mal. Tellement mal pour lui. Il mérite d’être heureux. Il mérite d’avoir un papa aimant… Peut-être pas son géniteur mais quelqu’un qui l’aimerait tout comme… Si seulement je savais où est son père…
Arrowsic, un nouveau départ ? • (2012) Après de multiples recherches, je l’ai trouvé. Je sais où le papa de mon garçon habite. Il m’a fallu de longs mois pour me décider mais finalement, nous avons tous les deux déménagé pour Arrowsic. Je n’ai pas dit à Joyce pourquoi nous partions. J’ai prétexté le travail. Un besoin d’aller au calme. Personne à part ma mère ne sait que je pars pour retrouver le papa de mon fils. Mettre ma carrière entre parenthèse serait un sacrilège pour les hommes Rosenfield. Seulement, je veux le bonheur de mon fils et donc essayer, à tout prix, de retrouver son papa. J’ai eu un poste là-bas sans trop de souci et nous voilà arrivés dans cette petite ville plutôt jolie. Je sens que je vais m’y plaire. Encore faut-il que la rencontre et les explications avec le papa se passent bien. Je ne rêve pas, je sais qu’il ne sautera pas de joie. J’imagine même plutôt l’inverse, mais je veux lui en parler. Pour Joyce. Et si rien ne marche, s’il rejette son fils, nous repartirons sur New-York… Et je m’efforcerai, au mieux, de consoler mon bébé. J’ai tellement peur qu’il souffre encore plus qu’à l’instant. C’est si dur de voir son enfant réclamer son papa presque tous les soirs et ne pouvoir l’aider. J’espère et prie souvent ce Dieu, en qui je ne crois pas, pour qu’il donne du bonheur à mon fils. Le bonheur de rencontrer son papa et surtout, d’être aimé par celui-ci… Je ne sais pas encore comment je vais m’y prendre pour lui parler… J’espère juste qu’il ne se braquera pas de suite… Au fond, j’ai peur de sa réaction. Il a vécu toutes ces années sans connaitre l’existence de son fils. Puis, imaginer un rejet me déchire. Qu’il me haïsse, qu’il me crache dessus, je m’en fiche. Je veux juste qu'il aime son fils... L’avenir nous le diras…
Dernière édition par V. Sasha Rosenfield le Mer 4 Avr - 16:21, édité 15 fois
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mar 6 Mar - 23:22
REBIENVENUE PARMI NOUS, NOTRE PARANO PRÉFÉRÉE ! J'aime la citation dans ta fiche, elle est superbe. Je vois pas qui c'est sur l'avatar mais c'est pas grave. Bon courage pour cette nouvelle fiche, du coup.
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mar 6 Mar - 23:29
Oh ben tu change de personnage Sasha. Mais tant mieux que tu restes, et j'ai hâte de voir ça. Re-bienvenue && bonne rédaction de fiche. J'me posais aussi la question pour l'avatar tiens.
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mar 6 Mar - 23:33
ABBEY • OHHH PARANO TOI MÊME ! J'ai l'droit d'abord ! MDR j'aime bien... ou pas en fait. ah ah ah. c'faitexprete de pas voir l'avatarrrr c'est une surprise. MDR super je sais. J'me suis pas encore décidée sur bazzart alors j'ai mis un de dos. j'verrais après. J'suis à fond dans le scritage là !
ETHAN • voui je change de personnage... C'est mieux :loni2: J'suis compliquée je sais, mais c'est pas d'ma faute, ma maman a dû rater un truc à ma naissance !
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mer 7 Mar - 2:32
PAXTON • Merci ! Promis demain j'mets de face ! J'voulais finir ma fiche ce soir mais... j'm'endors alors je finirai tout demain - enfin tout à l'heure - et je mettrai mon avatar !
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mer 7 Mar - 4:14
rebienvenue, miss ton pseudo, là, charette, ça me perturbe c'est comme ça qu'on appelle le rhum chez moi j'adore la cita et la mise en page de ton histoire, ça donne tout de suite envie de lire ce que je ferais quand j'aurais moins la tête dans le cul
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mer 7 Mar - 12:07
MDR le rhum ? bon bah je suis du rhum x) j'savais pas qu'on appelait le rhum charette, j'ai appris un truc x) J'comprends que tu aies la tete dans les fesses vu l'heure ! J'vais d'ailleurs relire ma fiche parce que j'ai ecrit des trucs à 2 heures du mat... vive les conneries ! merci pour les compliments en tout cas j'espère que ma fiche est aussi bien qu'elle est jolie MDR
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mer 7 Mar - 14:05
ben chez moi, le rhum charette c'est une marque super connue de rhum après j'supose que ça existe pas en france ta fiche est même mieux qu'elle est jolie !! sérieux j'ai adoré, c'est ni trop long ni trop court, sans éléments superficiels, simple et original, franchement je suis fan ! personnellement dès que t'as dit que l'accusé était beau, j'étais sure que sasha allait tomber amoureuse, le couvrir, s'enfuir avec lui pour pas qu'il aille en prison, enfin un truc super mélo dramatique quoi, et en fait non ! et c'est tant mieux parce que j'trouve que c'est ce qui donne un petit plus à ton histoire : un enfant non désiré mais aimé, ça change. et puis le fait qu'elle ne soit pas tombée amoureuse de l'accusé et ait juste couché avec lui, plutôt qu'ils se soient mis ensemble et que ce soit sasha qui finisse battue et tout, ça change beaucoup de ce que j'ai pu lire ! bref, que du plus pour ta fiche ! tu me réserves un lien ?
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mer 7 Mar - 14:38
Barbara J. Callahan a écrit:
ben chez moi, le rhum charette c'est une marque super connue de rhum après j'supose que ça existe pas en france
MDR j'suis pas très portée sur l'alcool donc j'peux pas réellement te dire mais j'avoue ne jamais en avoir vu en France
Barbara J. Callahan a écrit:
tu me réserves un lien ?
Evidemment ! j'vais aller lire ta fiche pour voir c'qu'on peut trouver comme idée de lien, parce que j'te l'dis de suite, j'suis une bique pour les idées de lien !
Puis un grand merci pour tous tes compliments sur ma fiche ! ça m'fait plaisir J'suis jamais très douée pour les fiches, c'est la première fois que j'en ai une si longue c'est pour dire. Ravie aussi de t'avoir surprise en ne fuyant pas avec le beau délinquant ! La cavale et tout, ça aurait pu être drôle aussi !
Sujet: Re: Vitaly Sasha Rosenfield ৩ I still see your reflection inside of his eyes Mer 7 Mar - 14:52
V. Sasha Rosenfield a écrit:
Ravie aussi de t'avoir surprise en ne fuyant pas avec le beau délinquant ! La cavale et tout, ça aurait pu être drôle aussi !
ouais mais un peu trop prévisible, justement
écoute, dès que t'es validée, on voit pour le lien moi j'suis pas superbe pour les idées, mais il arrive que j'en ai quelques unes quand je cogite un ti peu