Sujet: › breath in, breath out. Sam 2 Juin - 19:01
JUDAS RED HARPER
« be yourself. everybody else is already taken. »
NOM: Harper ⊰PRÉNOM: Judas Red ⊰ÂGE: vingt-trois ans ⊰ORIGINES: Américaine ⊰MÉTIER/ÉTUDES: Sans emploi ⊰STATUT CIVIL: Célibataire ⊰CRÉDITS: Tumblr ⊰AVATAR: Harvey Newton Haydon
welcome to our world. nice to meet you.
Salut moi c'est Bob, je suis une femme, j'ai environ un siècle, je suis riche et malade. Bref, je doute pas que vous m'aimerez pour moi et pas pour mon futur héritage, hein ? *Evidemment, c'est totalement faux, faut pas être fou non plus ! *
Dernière édition par Judas R. Harper le Sam 2 Juin - 19:04, édité 2 fois
Sujet: Re: › breath in, breath out. Sam 2 Juin - 19:02
please, tell me your story. i’m listening.
Ton regard se perd sur l'horizon, tandis qu'entre tes doigts, ta cigarette se consume sans même que tu y prêtes la moindre attention. Le monde est terne, il t'ennuie et t'indiffère. Tu tournes en rond dans cette atmosphère banalisé, ce trop plein de pitoyable humanité. Parfois, ton passé, aussi douloureux fut-il te manque, tu voudrais retourner dans les bras de ta bien aimée, rejoindre le cocon familial que tu détestes pourtant tant. Ta solitude te tue autant qu'autrefois, la vie te tuait. Que c'est pitoyable. Tu meurs à petit feu, de peine, d'amour et de haine. La rancoeur que tu te portes finira par te tuer. En attendant, comme un imbécile, tu ressasses tes souvenirs avec l'impétuosité des jours antérieurs, ce passé flamboyant que tu avais renié et que maintenant tu regrettes. Tout te revient en pleine gueule, aujourd'hui. Juste parce qu'il y a quelques années, ce même jour, tu perdais tout ce que tu avais.
Et pourtant, ça avait bien commencé, en tous les cas, t'étais pas tout seul comme une loque sur le macadam. T'étais le garnement de la famille Harper, l'aîné d'une fratrie presque intégralement composé de fille, t'avais déjà la décadence dans la peau, comme tous les ados, tu haïssais tes parents, tu rêvais de quitter ta baraque à moitié délabrée, de fuir cette ambiance un tantinet trop féminine. D'ailleurs, tu passais déjà le plus clair de ton temps dehors, entre les cigarettes et les midinettes aux regards enjôleur. Pourtant, t'en avais jamais aimé qu'une. Certes t'étais sortie avec beaucoup, tu avais cru en aimer des tas. Mais dans le fond, ton esprit restait accaparé par elle. Nela. Non, vous étiez loin d'être amis. Vous n'étiez pas ennemis non plus. Elle était juste indifférente à toi, autant que tu paraissais indifférent à elle. Sauf que toi, tu savais que t'étais raide dingue de chaque parcelle d'elle, de son grain de beauté derrière l'oreille jusqu'à ses orteils toujours vernis avec soin en passant par ses cheveux volumineux et brillant et par ses jambes fuselées. Nela, elle n'avait pas la taille mannequin, elle n'était pas comme ses filles des catalogues, en fait, elle avait des formes qui faisaient saliver les hommes. Et comme beaucoup, tu rêvassais de son corps en l'imaginant au bout des doigts de cette main que tu tendais dans le vide. Image éphémère d'une chimère. Puis un jour pourtant, tu l'avais vu à cette soirée, recluse sur un vieux canapé, son air fragile lui donnait des airs de poupée de porcelaine fissuré dont la beauté pourtant, ne tarissait pas. D'un pas que tu souhaitais assuré, tu étais venu à elle, c'était stupide de voir à quel point tu rêvais d'être prêt d'elle alors que vous aviez échangé si peu de mots. Des oeillades parfois, que tu imaginais significatives d'un amour immense, crétin que tu étais. Mais rien d'autre. « Nela, ça va pas ? » Que tu demandes d'un ton posé, pourtant fébrile, tu t'assois à côté d'elle et elle a un vague sourire, un sourire brisé, comme son regard, qu'un voile de tristesse vient de masquer peu à peu. Tu décèles dans son regard bleu acier comme une douleur qui t'es transmise, un million de poignards dans ton coeur. Une douleur immense. Une souffrance que tu prends au vol, comme pour l'alléger, elle. « On fait aller, Judas, on fait aller. » Ton coeur loupe un battement, petit être fébrile, elle se rappelle ton prénom. Ca semble être un appel divin à tes yeux, alors que ce n'est rien d'autre que la normalité, après tout, il n'y a pas si longtemps, elle roulait des pelles à l'un de tes potes et trainait avec votre ''bande'', elle connaissait tous vos prénoms. « On t'as déjà dit que tu mentais mal ? » Lui dis-tu dans un murmure. Et pour la première fois, tu sens quelque chose. Non, pas ce sentiment d'oeillade amoureuse. Pas cette image éphémère, ni un fantasme d'ado. Un vrai truc, une sensation, pas des papillons dans ton ventre, c'est bien plus que ça. Un fourmillement intense, si grand qu'il en est dérangeant, tu sens son visage s'approcher du tient et ses lèvres toucher les tiennes. En réalité, tu ne comprends rien de ce qui se passe, il t'as fallut prononcé deux phrases pour qu'elle vienne à toi, alors pourquoi avais-tu attendu si longtemps ? Le pire, c'est que ce baiser n'avait rien des ''roulages de pelles'' de sauvage que tu aurais pu avoir avec une de tes insignifiantes conquête. C'était quelque chose de doux, de court mais qui t'avais fait ressentir plus de truc que tous tes baisers précédents. Pauvre con amoureux d'un amour faussement idyllique. Pourtant là devant toi, Nela te donnait l'impression de te donner une chance, de te permettre de venir à elle. Et bizarrement, cette fois-ci, tu allais saisir ça au vol.
La clope commence à te brûler les doigts, ayant terminé de se consumer, instinctivement, tu en rallumes une nouvelle, tu sais pourtant que tu ne la fumera pas, trop absorbée par tes pensées, par la signification de cette journée morbide. Tu tires pourtant une latte, la fumée s'échappe de tes lèvres et tu imagines Nela qui s'échappe, qui s'éloigne de toi par ta simple faute. Si seulement tu avais fait en sorte de la garder, elle ne serait pas partie si tôt. Tu te rends soudain compte de ta connerie, même la fumée de ta stupide clope te fais penser à Nela. Tu ne vois que Nela. Tu respires pour Nela. Tu vis à travers Nela. Tu ne rêves que de Nela. Sombre con. Et malgré tes sermons intérieurs, tu retombes dans tes souvenirs.
Parce que dans le fond, c'était bien parti pour être un conte de fée. Nela représentait ton tout. Elle était ton soleil, ta bouffée d'oxygène. Elle était là, près de toi, une ombre amicale, un acolyte parfait. Une âme soeur évidente. Nela elle-même ne se voyait plus ailleurs que dans tes bras, même si, contrairement à toi, elle avait une façon différente de la montrer, elle avait toujours cet air séducteur attaché à son visage, ce sourire enjôleur qui faisait tomber tous les gars, souvent, tu l'as trouvais pendu au cou d'un autre, pour un câlin amical qui incendiait ton coeur de jalousie. Et quelques secondes après, elle revenait à toi, pour toi, avec toi. Nela t'aimait autant qu'elle aimait la vie. Le seul souci, s'était qu'elle ne savait pas être aussi exclusive que toi. A contrario pourtant, elle refusait que toi, tu oses porter le regard sur une seule autre femme. Toutefois, tu n'en avais rien à faire. Parce que Nela te suffisait, aucune ne valait le quart de ce qu'elle représentait pour toi, c'était un amour absolu, un amour indestructible. Mais il était si fort qu'il en devenait douloureux. Alors que Nela se suspendait au cou de nombreux hommes pour te montrer qu'elle ne t'appartenait pas, quand bien même savait-elle qu'elle avait tort, toi, tu renouais des liens avec tes soeurs qui t'avaient tant manqué. Et quand bien même ces femmes chétives ne furent que tes frangines, la jalousie de Nela en devenait affreusement maladive. Elle s'insurgeait pour un rien, t'en voulait pour tout et te pardonnait de plus en plus difficilement. Quant à toi, ta jalousie jamais ne franchissait la barrière de tes lèvres, car les quelques fois ou tu avais osé émettre ton point de vue sur son extravagance aux côtés d'autres hommes, tu avais cru la perdre et ce sentiment ... Dieu qu'il te déchirait. Pourtant, jamais Nela n'avait franchi de limite. Jamais ses lèvres n'avaient frôlées celle d'un autre jusqu'à ce soir-là. Ce fameux soir ou pour la première fois de ton existence, tu avais décliné un rendez-vous avec elle, pour dîner avec tes soeurs qui repartaient chez les parents le lendemain. L'ironie avait voulu que tu rejoignes le bar ou Nela se trouvait pile au moment ou sa langue passa la barrière des lèvres d'un autre homme. Un autre que toi. Ton monde, en un instant s'écroula, le pire, c'est qu'elle t'avait vu, elle te fixait là, assise à califourchon sur un homme dont tu n'avais pas le souvenir. Comme un con pourtant, tu te contentas de tourner les talons, pauvre lopette amoureuse, coeur vacillant au bord d'un précipice. Tu entendais les talons de Nela, derrière toi, qui claquait sur le bitume, ton nom était crié dans les ruelles de Sacramento. Jusqu'à ce que finalement tu t'arrêtes. Parce que même si tu désirais ardemment cessé de souffrir pour les beaux yeux de Nela, elle était incrustée en toi comme un tatouage. Marque indélébile d'un amour destructeur. D'un amour qui te tuait, et te consumait. « Fou moi la paix, Nel'. » Tu voudrais avoir l'air menaçant, histoire qu'elle s'en aille. Mais pauvre con, tu en es incapable, tu ne sais être dur avec elle, tu ne saurais lui en vouloir longtemps. Il suffirait que ton regard croise le sien, qu'elle te fasse un sourire contrit pour qu'à nouveau, crétin, tu sombres dans cet océan d'amour que tu lui portes. Et tu sais qu'elle te le porte aussi. Tu sens sur autour de toi, ses bras qui t'enlacent, sa tête qui se pose sur ton dos. La chaleur de son corps te donne des frissons et son parfum féminin t'enivre plus que tu ne le voudrais. « Pardonne moi Judas. Pardonne moi. Pardonne moi... » Elle répétait ses mots, comme une automate, désireuse de te voir à nouveau sombrer dans ses filets, elle murmurait des excuses à en faire fondre les plus inhumains, son ton implorant et suintant l'amour aurait fait vaciller toutes les âmes de ce bas monde. Même la tienne. Si tu n'avais pas en tête cette image infâme de sa bouche contre celle d'un autre. De ces danses lascives avec tes amis que tu lui avais pardonné car aucun baiser n'avait été échangé. De ce comportement que tu avais occulté parce que tu l'aimais bien trop. Tu voulais qu'elle comprenne que tu souffrais de son apparente indifférence. « J'ai besoin .. d'être seul, un petit peu. Tu devrais partir Nela, s'il te plaît. » Tu sais que ce ton calme aura raison d'elle, tu sembles las. Alors que tu n'as jamais été ainsi avec elle. Un instant encore, elle se cramponne à toi comme à une bouée, elle voudrait que tu changes d'avis. Puis elle abandonne. Tu écoutes ses talons hauts perchés qui claque sur le bitume, comme des coups de poignards dans ton coeur, elle te torture par son amour dévastateur. Et ça te tue autant que ça te fait vivre.
Ton regard s'assombrit plus qu'à l'accoutumer, tu t'étais toujours demandé « pourquoi ? » Pourquoi Nela l'avait embrassé alors qu'elle t'aimait à la folie, pourquoi tu avais accepté si longtemps de la regarder draguer d'autres hommes sans ciller. Pourquoi cet amour t'importait tant alors que bien d'autres auraient été désireuses de t'offrir cet amour que tu idéalisais tant. La vérité c'était qu'aucun amour ne valait celui de Nela, quand bien même fut-il douloureux. Quand bien même t'aurait-il donné envie de sauter du haut d'une falaise, de courir le marathon de New-York ou de t'immoler par le feu. Rien n'avait d'équivalent à cela.
Finalement, tout s'était terminé dans une douceur peu commune. T'aurais pu éviter tout ça. T'aurais pu éviter cette peine et cette souffrance. Mais t'as joué au con. Et Judas, tu vois, t'as perdu. Elle avait sonné chez toi, ce soir-là. Tu avais d'abords eut dans l'idée de ne pas lui ouvrir, faisant croire que tu étais de sorti, ça n'aurait étonné personne après tout. Pourtant, tu l'avais vu s'assoir sur la vieille balancelle de fer posée sur le perron. Evidemment, pauvre lâche, l'appel de détresse silencieux qu'elle t'envoyait te fit céder en moins de temps qu'il fallut pour dire ouf. Tu étais sortie de la maisonnée en silencieuse, t'excusant du retard en prétextant une douche qui n'avait jamais eu lieu. « On t'as déjà dit que tu mentais mal ? » Murmura-t-elle sur un ton cynique. Sa question rhétorique te renvoyait à la soirée de votre premier baiser à coup de coups de pieds dans le derrière. Quand toi tu avais prononcé ces mots, il avait signifié, plus tard, le début de cette relation si passionnelle. Ce soir, tu avais cette amère impression qu'il en soulignait l'épilogue. Et cela te tordait de douleur. Nela tourna légèrement son corps vers toi, tu ne tardas pas à lui tendre la couverture au vu des frissons qu'elle avait sur ses bras. Sans un mot, elle s'emmitoufla dedans avant de fixer son regard dans le tient. Il était empreint d'une douleur bien plus violente que celle que tu avais décelée il y a quelques mois à cette soirée. Cette souffrance là, l'anéantissait, comme si elle foulait le charbon ardent en tentant de ne pas ciller. « Pardonne moi, Judas. Pardonne moi, sinon je m'en sortirais pas. » Douce complainte qu'elle psalmodiait là, des regrets palpables dans chaque fibre de son corps, une douceur que tu ne lui avais jamais vu, une fragilité qui t'assassinait l'âme et te broyait le coeur. Ton regard se perdit dans l'horizon nocturne, tu te sentais tellement horrible à cet instant précis, avec l'impression farouche d'être le responsable de chacun de ses maux. Tu restais stoïque, qu'allais-tu répondre de toute façon ? Dans tous les cas, vous finiriez blesser. Blessé par votre amour et vos façons d'aimer qui vous tuaient. Vous étiez trop con, trop insouciant et trop amoureux pour que ce soit sain. Tu sens soudain la balancelle qui bouge et le corps de Nela qui passe devant toi, fantôme de ton existence qui s'enfuit. Tu la vois te quitter lentement. Jusqu'à ce que tu ne l'interpelles, à ton tour, l'implorant de te laisser quelques secondes encore. Tu t'approches d'elle d'un pas rapide, elle semble si loin, mais pourtant à cinq mètres. Tu l'as sens qui t'échappe et te files entre les doigts. Et ça te tue lentement. Tu lui lances un regard implorant, sans trop savoir toi-même ce qu'il signifie, une seconde chance ? Un renouveau ? Un dernier baiser ? Encore des années ensemble ? Ou même une demande en mariage ? Tu n'en sais rien. Tu sens seulement sa main sur ta joue, avec une douceur inouïe. Son sourire mélancolique mais si magnifique. Et le monde qui s'évapore, c'est juste elle et toi. Nela & Judas. Rien d'autre. « Un jour, tu fumeras les cendres de mon coeur, Judas. Et tu comprendras, quand tu commenceras à planer, à quel point je t'aimais plus que tout. » Elle embrasse ta joue, baiser qui résonne comme un adieu funeste, une douleur t'empoigne les tripes, tu la vois s'éloigner pour disparaître dans le noir. Et ton corps, sans comprendre, s'effondre, tes yeux se ferment et tu rejoins l'abîme de solitude qui te terrasse.
Les larmes silencieuses noient tes joues. A nouveau tu te sermonnes, tu es si pathétique, de pleurer pour un amour perdu, de pleurer pour un passé funeste, de réduire ta vie à de la connerie juste parce que tu crèves de désespoir. Mais c'est plus fort que toi. Tu te souviens ne pas avoir quitté ta baraque une seule fois, trop consumé par la peine. Et qu'une semaine après cette rupture, après que ton coeur eu été mis en poussière, tu apprennes la mort de Nela. Sa disparition te terrassa encore plus que cette rupture. Tu te souviens avoir vu à la morgue, son corps si pâle, sans vie. Et pourtant, elle restait sublime dans cette robe de velours qu'on lui avait enfilé pour l'enterrement à venir. Tu ne savais pas trop ce qui t'avais pris, mais ce jour-là, une dernière fois, tu avais déposé un baiser sur ses lèvres. Ouais, Judas Harper, tu avais embrassé un cadavre. Mais pour toi, ce n'était pas que ça. C'était Nela. La femme la plus sublime, la plus merveilleuse et la plus ravageuse au monde. Et tu n'allais plus jamais la revoir.Imbécile que tu étais. Crétin que tu paraissais. Tu refusais de croire qu'un alcoolique avait pu foncer dans la voiture de Nela. Non, tu te voyais responsable de sa mort. Parce que dans le fond, tu savais qu'un samedi soir, si tu ne l'avais pas laissé te quitter, elle aurait été avec toi. Et là dans cette bagnole à crever dans un bain de sang sans que personne ne comprenne quoique ce soit. Tu te haïssais pour un meurtre qui n'étais pas le tient. Inconsciemment, tu t'imaginais dans tes songes, tuer Nela, inlassablement, comme un cercle vicieux qui te tuait encore et encore.
Tu n'as jamais assisté à l'enterrement de Nela. Le jour même, tu faisais ton sac et quittait Sacramento pour débarquer ici. Petite ville insignifiante pour une vie insignifiante et une indifférence insultante. Petit con enfermé dans sa douleur, cigarette en bouche et désespoir en poche, tu vivais uniquement pour ne pas mourir. Judas disparaissait, l'homme meurtri anéantit par l'amour ne laissait désormais place qu'à l'implacable et indifférent Red. Rougeoyant de haine et de douleur.
Dernière édition par Judas Red Harper le Sam 2 Juin - 20:29, édité 6 fois
Sujet: Re: › breath in, breath out. Sam 2 Juin - 19:54
OH PUNAISE OH PUNAISE OH PUNAISE OH PUNAISE *dead* t'es un dieuuuuuu Je crois que t'aurais pas pu faire un meilleur choix d'avatar que celui là On le voit de plus en plus et ça me fait bien plaisir TON PSEUDOOOOOO :teddy: judas judaaaaaas (ouais lady gaga wesh ), red par contre ça j'adore M'en veux pas si je viens te violer un soir, ça sera de ta faute En tout cas bienvenue parmi nous et si tu as la moindre question (ou pas hein ) tu peux venir harceler le staff, (personnellement ma boite mp est toujours ouverte ) nous sommes là pour toi
Sujet: Re: › breath in, breath out. Sam 2 Juin - 20:04
MAIS VAS-Y, VIOLE MOI ! * Comment ça normalement je dois pas être consentant ? * Bref, merci pour ce super accueil ! Et je n'hésiterais pas à venir te demander si jamais j'ai une question
Sujet: Re: › breath in, breath out. Sam 2 Juin - 20:39
Tant mieux parce que j'risque de venir t'harceler sur ta fiche de lien Bref, je suis fan, j'adore ta manière d’écrire et ton histoire C'est juste wooow. En tout cas, je te valide, un admin viendra te mettre dans ton groupe Bienvenue chez toi et amuse toi bien N'oublie pas d'aller recenser ton avatar et que tu as 10 jours afin de poster un rp