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| Sujet: Lexie • PEOPLE ALWAYS LEAVE. Mer 5 Sep - 1:53 | |
| Lexie Sawyer Whitehorse « be yourself. everybody else is already taken. » NOM: Whitehorse. ⊰ PRÉNOM: Lexie Sawyer. ⊰ ÂGE: 32 ans. ⊰ ORIGINES: américaine et irlandaise. ⊰ MÉTIER/ÉTUDES: Chef de projet dans l'entreprise familiale, entrepreneur en immobilier. ⊰ STATUT CIVIL: Divorcée. ⊰ CRÉDITS: Shiya & Tumblr. ⊰ AVATAR: Jessica Alba.
please, tell me your story.i’m listening. « Il n'y a pas d'enfance s'il n'y a pas de larmes. » Je suis l’unique héritière de l’empire Whitehorse. Née de l’union de Lily-Grace Hamilton et de Thomas Maxwell Whitehorse, j’ai toujours été très gâtée, bien que peu choyée. En effet, j’adorais ma mère. Elle sentait toujours bon, était très élégante, toujours bien coiffé, maquillé et habillé. A mes yeux, elle représentait la poupée de mes rêves, la femme parfaite et idéale. Cependant, ma mère ne m’a jamais aimé comme j’ai pu l’aimé moi. En effet, elle me trouvait trop petite, mes cheveux n’était pas aussi raide que les siens et elle n’arrivait pas à me coiffer, elle trouvait que je manquais de classe et elle ne m’a jamais pardonné d’avoir perdu au concours d’orthographes organisé par mon école quand j’avais sept ans. Pourtant, et malgré ses remarques désobligeantes à mon égard, je continuais à l’admirer. C’était une femme de pouvoir, incroyablement sûre d’elle, très distinguée. Elle ne venait de nulle part, sa famille était loin d’être riche et elle avait trouvé un bon parti. Mon père. Elle me disait d’ailleurs toujours. Ma fille, trouves toi un bon parti. Elle est morte quand j’eu neuf ans. Assassinée, dans des circonstances, qui restent sombres. La rumeur dit que c’est un ancien amant qui l’aurait tué, ce serait donc un crime passionnel. Après la disparition de ma mère, Anna prit une grande place dans ma vie. Anna, c’était ma gouvernante, depuis mon plus jeune âge, c’était elle qui s’occupait de moi. Elle m’habillait, me coiffait, me faisait répéter mes leçons, me conduisait à la danse. Elle était comme une mère de substitution. Anna, elle m’adorait, elle voyait en moi l’enfant qu’elle n’avait jamais pu avoir. Mon père ne s’est jamais vraiment intéressé à moi. Après le décès de ma mère, il prit conscience de l’existence de sa petite fille. Nous sommes devenus beaucoup plus proches à ce moment-là. Cependant, c’est un homme maladroit, et la plupart du temps il préférait me donner sa carte gold, plutôt qu’un baiser sur le front. Je ne peux pas dire que j’ai réellement souffert de notre relation. Les hommes de pouvoirs sont souvent des êtres très insensibles. Et pourtant, mon père peut se montrer sensible. Il est remarié aujourd’hui. Je m’entends très bien avec sa nouvelle femme. Elisabeth-Jane Carlton. L’héritière de la chaine hôtelière Carlton. Cependant, mon père aime mille fois plus ses femmes que sa propre fille. • J’ai grandi, avec l’idée que l’amour éternel n’existait que dans les contes de fée. Ma mère n’a jamais aimé sa famille à sa juste valeur. Ni mon père, ni moi-même. Elle enchainait les conquêtes, et parfois je pouvais lire la douleur dans les yeux de mon père. Le jour de ses funérailles, j’ai vu mon père pleurer pour la première et la dernière fois. A la suite de son assassinat, de nombreuses rumeurs circulèrent, notamment sur le fait qu’elle aimait les hommes. Un peu trop, et qu’elle ne pouvait être fidèle. La danse est devenue une passion pour moi. Un moyen de me vider l’esprit, d’être moi-même et plus la-fille-dont-la-mère-est-morte-assassinée. J’ai grandis sans grande embuche. Une vie calme et paisible, je m’efforçais d’être une bonne élève, j’essayais de faire la fierté de mon père. Malgré tous mes efforts, il restait inconsolable. Au lycée, j’étais présidente des élèves, signe de ma popularité à l’école. J’entrais ensuite à l’université de Berkeley, c’était la plus proche de la maison. De plus, c’est une très bonne université. J’eu mon diplôme de commerce avec un an d’avance, à ma remise de diplôme, je vis enfin la fierté dans les yeux de mon père. Cette fierté que j’attendis toute ma vie. Il m’embrassa, me félicita, me présenta ensuite à tout ses amis. Il était enfin fier de moi. Il m’offrit un poste dans son entreprise. Au début, c’était comme simple consultante. Dans ce métier j’ai pu prendre mon envol. Montrer mes talents, de quoi j’étais capable. Mon père fut étonné par ma force de caractère et surtout par ma persévérance au travail. L’empire Whitehorse est dans le domaine de l’immobilier, en effet, mon père est promoteur immobilier. Nous construisons par exemple des complexes hôteliers de luxes ou encore des résidences pour personnes fortunés. Aujourd’hui je suis chef de projet et négociatrice. J’ai une équipe sous mes ordres et je m’épanouie pleinement dans mon travail. Même si, au fil des années, j’ai pris certains traits de caractère de ma mère. La personne la méprisante du monde. • « Devenir adulte, c'est reconnaître, sans trop souffrir, que le "Père Noël" n'existe pas. » A mesure de mon avancement au sein de « Whitehorse Industry », je me suis beaucoup rapproché de mon père. Je suis un peu son bras droit et ma plus grande fierté est, que je n’ai eu aucun traitement de faveur. D’ailleurs, je suis crainte par mon équipe, non pas parce que je m’appelle Whitehorse, mais parce que j’ai un foutu caractère. En effet, plus je vieillis et plus mon tempérament empire, et étrangement, plus je me rapproche de mon père. J’ai toujours été du genre, sûre de moi, à sourire tout le temps pour masquer mes émotions. Je ne supporte pas me montrer faible. J’aime les challenges et j’aime travailler sous pression, ce que souvent j’impose à mon équipe. Tyrannique ? Peut-être un peu. Je ne fais pas de sentiment au travail. Je suis plutôt froide au premier abords et je peux me montrer intimidante. Je suis aussi colérique, impulsive, impatiente, je manque totalement de tact et je suis rancunière. Voilà les traits de caractère dont j’ai hérité de ma mère. Pas les meilleurs, je vous l’accorde. Je suis une acharnée et une boulimique de travail. Je peux travailler pendant 30 trente heures d’affilés, sans manger, ni boire. Non pas que je sois folle, mais j’aime le travail. Et puis, ne dit-on pas, le travail c’est la santé ? Si je réussis parfaitement ma vie professionnelle, je ne peux pas en dire autant de ma vie privée. Pourtant, tout avait très bien commencé. J’ai toujours été du genre impatient. Si enfant, je mettais de côté ce côté de ma personnalité, aujourd’hui, je me lasse vite des choses, voir des gens. Je ne suis pas sans cœur pour autant, la preuve, il m’arrive de souffrir. Et actuellement, c’est un peu ce qui m’arrive. • Je ressemble, bien plus à ma mère que je ne veux l’admettre. D’ailleurs, comme elle, j’aime beaucoup les hommes. Je n’ai jamais voulu ou réussi à me poser. Au lycée, j’étais très populaire, les garçons rêvaient de me mettre dans leurs lits, moi je m’intéressais aux garçons plus âgés. Ceux de la fac. J’allais aux soirées des universités, je sortais avec eux, jouais avec eux, les manipulais, riais et finalement je l’ai jetais après leur avoir donné une note. Avec ma bande d’amie, nous comparions ensuite les performances de ces fameux apollons de l’université. Quand, ce fut mon tour d’aller à l’université, je fricotais avec des hommes d’âges plus mûr, profs, intervenants, hommes d’affaires. J’ai eu plusieurs conquêtes, mais jamais une histoire sérieuse. Et puis mon chemin a croisé celui d’Anton. Je ne saurais décrire ce qu’il a eu comme impact sur moi. Il m’a transformé, il m’a fait gouté à des plaisirs inconnus et surtout il m’a fait connaître l’amour pour la première fois de ma vie. Il n’avait rien de ce que j’avais prévu. Il n’était ni homme d’affaires réputés, ni riche, ni d’une famille qui est un quelconque lien avec mon monde. Rien. Je savais qu’il ne plairait pas à mon père. Mais rien à faire, je le voulais, lui, tout entier, dans mon lit, dans mes bras, pour la vie. Nous nous sommes rencontrés à l’hôpital où il travaillait. A Oxford, j’y étais pour donner une conférence, j’avais mes petites habitudes là-bas. Je venais une fois par mois. Même hôtel, même restaurant, mêmes boutiques de luxes. Je crois que j'étais destinée à rencontrer Anton, celui qui est aujourd'hui, mon ex mari. Je l'avais remarqué dans le hall du bâtiment au je donnais mes conférences. Malheureusement, nous n'avions pas réellement pu parler, deux, trois civilités, mais le destin avait décidé de se mêler de ma vie. Alors que je me rendais au même endroit pour une autre conférence, je pris un taxi. Mais au bout de quelques minutes nous eurent un accident, forte heureusement sans grande gravité. J’avais l’arcade sourcilière entaillée, ainsi qu’une partie de la lèvre inférieure. C’était il y a cinq ans et demi. Mon blackberry à la main, je tapotais frénétiquement, j’avais une importante réunion et je ne pouvais être en retard. Sans même un regard pour le médecin de garde de cette nuit là, je lui dis : Si on pouvais se dépêcher, je suis un peu pressée. Je peux éventuellement mettre du scotch. Il m’avait répondu d’un ton tranchant, sec. Exactement, le même ton que j’emplois avec mes employés quand je ne suis pas contente. Je relevais la tête, pour découvrir son visage. Je reçue un coup au cœur. Il paraît que cela s’appelle le coup de foudre.Je souris légèrement. Je suis persuadée qu’un médecin, avec de telle main, peut très bien faire du bon travail, correctement et rapidement. Au faite, je suis Lexie Whitehorse, vous devez vous souvenir de moi ? Je souris à nouveau et arquai un sourcil, après une réponse positive et deux, trois banalité, l'histoire devait se terminer là. Je repartis, certaine de ne jamais le revoir. Cependant, le hasard, fait parfois bien les choses. Je le recroisais le mois suivant dans un restaurant ou j’avais mes habitudes. Après cette soirée, nous ne nous sommes plus quittés. Enfin, jusqu’à il y a un an •« Le mariage est la cause principale de divorce. » Après avoir connu Anton, m’a vie à radicalement changer. Je suis partis de LA, pour Arrowsic. Une petite ville du Maine. Anton, voulait une vie un peu plus simple que celle que je lui proposais. Il me demanda rapidement en mariage. Je voulais être avec lui, vivre avec lui, alors j’ai accepté de vivre dans cette minuscule vie. J’ai convaincue mon père de me laisser travailler de chez moi et deux fois par mois je me rendais à LA et Oxford. Mon père n’a jamais beaucoup aimé Anton, pourtant il ne pouvait lutter contre mon amour pour lui. D’autant plus, que nous étions devenus si proches, mon père et moi, qu’il ne voulait pas briser cette relation pour mon mari qu’il n’acceptait pas. Cependant, rapidement j’étouffais dans cette bourgade. Je ne pouvais plus voir en peinture, les façades des mêmes cinq commerces. Les mêmes personnes, la même routine. Je suis impulsive, impatiente et je me lasse vite, trop vite des choses. Anton était un homme qui était assez distant, quelques choses de fort, presque animal se dégageait de son regard. J’aimais ce côté là, ça le rendait sexy, imprévisible et inaccessible. Cependant, une fois installés dans cette ville minable. Ce jeu ne m’amusait plus du tout. Je cherchais le conflit, je cherchais à ce qu’il commette une erreur, pour que je puisse avoir une excuse pour me barrer de cette vie. Pourtant, il restait le même, heureux dans sa petite vie médiocre et moi je m’ennuyais comme un rat. Je bossais tout le temps, pour ne pas avoir à faire la conversation aux gens de cette foutue ville. Mes voyages constituaient mes seules distractions. J’allais deux fois par mois à LA, pendant trois ou quatre jours et rapidement je me surpris à attendre impatiemment ces quelques jours, loin de ma maison et donc de mon mari. • « Le divorce est le sacrement de l'adultère. » A l’occasion d’un de mes nombreux voyages d’affaire, j’ai commis l’irréparable. J’ai couché avec un steward, pour dire la vérité, il ne m'aura pas fallut longtemps pour rompre le sacrement de notre mariage. Nous n'étions mariés que depuis un mois, que je le trompait, avec ce fameux steward. Allez savoir pourquoi, il n’était même pas si mignon que ça, et au début je l’avais pris pour un homo. La vérité c’est que mon couple s’essoufflait. Anton est le genre de type, beau, classe, drôle, tout le monde l’adore et pense de lui des choses très gentilles. Moi, je n’ai sans doute pas su apprécier ma chance. Pourtant, ce type je l’ai vraiment aimé, je l’avais dans la peau, dans mes tripes. Mais le voir se contenter de sa petite vie de chef de médecine, dans un trou paumé m’exaspérait, j’aurai voulu le façonner à mon image, le rendre plus comme moi. Le faire entrer dans le moule. Pourtant, ce qui m’avait plu en lui, c’était son répondant. Le fait qu’il soit un électron libre. Incontrôlable. Il ne serait jamais le gendre idéal. Il resterait à jamais mon amant, et cela même si nous étions mariés. Je ne pouvais même pas prendre son nom de famille. Mon père aurait fait une attaque. Finalement, je suis rentré et je n’ai rien dis, me jurant que c’était l’unique fois que je déraperais. Et puis, le temps a passé. Les soucis se sont accumulés, le train-train quotidien devenait de plus en plus pesant. J’étais moins présente. Je ne faisais même plus d’effort pour sauver mon couple. Je reprochais un million de choses à Anton. Des choses qui sortaient tout droit de mon imagination. Je voulais me dire que c’était lui le salaud qui avait détruit notre couple. Alors que moi depuis six mois je m’envoyais en l’air avec mon prof de sport brésilien. Même au pieu, Anton restait indétrônable. Et pourtant, je ne le supportais plus, avec son sourire et ses dents blanches. Son humour et sa façon de mettre les gens à l’aise. Le fait que tout le monde l’adore, alors qu’il n’était pas foutu d’être à la hauteur de mon père. Je décidais, il y a un an de divorcer. Remettant la faute sur lui, il ne s’est même pas défendu. J’ai perdu une partie de ma fortune, et puis la maison, en même temps j'ai merdé, donc j'assume. Je suis parti vivre à NY, ouvrir un nouveau bureau. Mon père fut enchanté par ce divorce. Trois mois plus tard je vivais dans un somptueux appartement de Manhattan, avec mon toyboy, sans un regret. • « Souviens toi de cette nuit, c’est la promesse de l’infini. » Voilà bientôt un an que je suis partie de cette petite ville qui me donnait envie de vomir. Je suis partie avec Antonio, mon coach sportif brésilien. La vie avec lui était simple, il ne parlait pas beaucoup. Ca m’évitait de réfléchir. Il avait dix ans de moins que moi et la vie avec lui était une rigolade. Cependant, j’ai des responsabilités et ces petits jeux d’enfants, m’ont très vite lassés. Je continuais à le voir pour me sortir de ma solitude. Mais la vérité est qu’il n’est pas Anton, qu’il ne le sera jamais. Anton est unique, jamais plus je ne rencontrerais d’Anton. Je l'ai revu à Oxford à l'occasion d'une de mes conférences. C'était froid, distant, je crois que je suis maso, car j'ai adoré cette rencontre, j'aurai voulu qu'il se repasse quelque chose entre nous. Mais lui est trop rancunier, il n'oublie rien. Auprès de lui, la vie était certes simple, mais je me sentais en sécurité, alors que jamais auparavant je n’avais eu la chance d’avoir ce sentiment de sécurité, même lorsque je n’étais qu’une enfant. Alors que je me trouvais dans une banque, je faisais la queue au guichet. Je vis alors des hommes armés entrer dans la banque. Les cris, les pleurs, les gens qui se jettent au sol. Je ne sais pas pourquoi, mais moi j’ai été incapable de bouger. Couches toi au sol. Mes pieds refusaient de bouger et puis, une douleur déchirante dans l’épaule. La balle traversait mon corps, j’eu l’impression de brûler de l’intérieur. Mon genou céda sous le choc, quand je m’étalais au sol. Je suis resté deux semaines dans le coma, puis deux autres à l’hôpital. Aujourd’hui, je dois faire de la rééducation. Je suis en arrêt maladie. On dit souvent, que quand on a frôlé la mort, on voit sa vie défiler devant ses yeux. Moi la seule chose à laquelle j’ai pensé, c’est la manière dont j’avais tout fait foirer avec Anton. C’est ainsi qu’il y a une semaine j’ai pris la décision de retourner auprès de mon ex mari. Je pense qu’il est au courant de ce qu’il m’est arrivé, ma photo a fait le tour des journaux et des télés locales. Ou peut-être pas, étant donné qu’il ne m’a pas donné signe de vie. Je suis de retour en ville depuis deux jours. Je ne sais pas comment va réagir Anton. J’aimerais qu’il me pardonne, qu’on passe à autre chose. J’ai plus que jamais besoin de lui. Après deux avions, un trajet en car et un taxi, me voilà devant notre maison. Avec devant la porte un couple. Qu’est ce que c’est que ce bordel ? Je m’avançais vers eux, perché sur mes Louboutin de 20 cm, malgré mon bras en écharpe. Qu’est ce que vous faites ici ? Mais on est chez nous, madame. Je regardais ce couple, complètement abasourdie, Anton, avait vendu la maison ? Le salaud ! Je repartais en furie, à la recherche de l’hôtel le moins miteux de la ville, jurant de le retrouver et d’avoir des explications !
welcome to our world.nice to meet you. Bonjour à vous ! Alors, moi je me prénomme Chloé, j'ai dix-huit ans. J'ai connu le forum sur PRD, je le trouve super joli et j'ai complètement craqué pour le scénario de Anton L. Jonhson ! Sinon je suis passionnée par le théâtre, la danse, et les séries de filles ! Sinon, j'ai une sainte horreur des insectes et j'ai pas vraiment de secret, et puis si je vous révèle mes plus intimes secrets je devrais vous tuer, donc bon. Je vais m'abstenir.
Dernière édition par Lexie S. Whitehorse le Jeu 6 Sep - 22:28, édité 33 fois |
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