NOM: Bushby-Carlton. Tout un patronyme pour dire: fuyez, famille de merde. ⊰PRÉNOM: Isaac. Parait qu'Isaac est un nom tout droit sorti du Coran et de la Genèse. Ça c'est ce que ma très cultivée de sœur m'a appris un jour, mais je doute que mes parents aient été foutus de lire le Coran. De toute façon, on m'appelle Cook, depuis tout petit. J'saurais pas vous dire pourquoi. ⊰ÂGE: 26 piges. ⊰ORIGINES: La Carolines du Sud. Attention aux sudistes, l'etat d'esprit n'a pas vraiment changé de nos jours, vous savez. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: Ingénieur en communication. En gros, je suis chargé d'assurer la réalisation d'un projet avec un budget donné. L'excédent non utilisé du projet finit dans ma poche. Un boulot de rat. ⊰STATUT CIVIL: Actuellement marié à une femme qui agonise sur son lit de mort. ⊰CRÉDITS: tumblr, et bazzart. ⊰AVATAR: Tobias Sorensen.
capitaine cook aux commandes.
Quelque part dans la vaste Amerique, elle attendait de quitter son enfance, innocente de son destin. Elle ignorait qu'elle était lancée sur une trajectoire qui l'amènerait à heurter de plein fouet un garçon tellement abimé et éberlué qu'il passerait sa vie entière à tenter de comprendre à quoi était censé ressembler l'amour, comme il se manifestait entre deux êtres, comment il pouvait être vécu sans rage, ni larmes, ni sang.
Je n'ai jamais été aussi malheureux, aux antipodes de ton état anormalement extasié. Tu rayonnes, tu irradies le bonheur. Tu en es transfigurée, presque méconnaissable. Mon cœur se serre à l'idée que je vais crever ta bulle, avec un plaisir évident, la poitrine étreinte par l'étau de culpabilité qui ne me quitte jamais en ta présence. Comment puis-je te faire ça à toi, si belle créature, ange désenchanté, agressé par mon amour. Tu crois que l'enfant a le pouvoir de réparer les dégâts que j'ai opéré ces dernières années, mais tu te trompes, j'ai tellement efflanqué ton existence que toutes les sutures, tous les petits êtres issus de ta chair, n'y feront rien. J'ai trop fait, vois-tu. Et ce n'est qu'un début, tu m'offres sans le vouloir la nouvelle cible de mon mal-être. Tu crois te protéger de mon amour, tu ne m'offres en fait qu'un nouveau pan de ta personne à blesser, griffer avec toute l'animalité dont je suis capable. Et Dieu sait de quoi je suis capable. Tu te soulèves difficilement, ton visage se tordant de douleur, les lèvres toujours scindées d'un sourire rayonnant. Involontairement tu me regardes, que peux-tu faire d'autre dis-moi, tu n'as toujours juré que par moi, vu à travers mes yeux, ressenti à travers mon corps. Parlé par mes mots. Femme soumise à l'amour de sa vie, le seul, l'unique que tu as connu et ne connaîtra jamais. Des yeux, tes yeux si doux, tu cherches un sourire de ma part, une marque d'affection, de joie. Ton regard m'implore de t'accorder ne serait-ce qu'une grimace, un essai raté pour te rassurer. Impossible, ma douce. La peine fait partie intégrante de ton visage depuis que j'ai apposé mon sceau sur ta vie, et s'il avait disparu depuis que l'on t'a posé l'enfant sur les bras, il reparaît, très vite, trop vite à mon goût. J'aimerais ne pas en être la cause mon amour, mais regarde, je n'en suis pas capable. « Cook, tu veux le tenir ? » Je m'agite sur ma chaise, secoue la tête en signe de négation. Le bébé est une infamie. Une tare, qui porte la marque honnie de ma famille. Les gènes chez les Bushby-Carlton ont toujours été plus ou moins nocifs. Chez moi, ils se sont exprimés avec une violence et une hargne irrépressible, à tel point qu'il est impossible que le petit y ait échappé. « Cook... »« Elena, ne m'oblige pas à faire ça, d'accord... »« Mais c'est ton fils. » Ta voix se charge de larmes, dégouline de désespoir. Enfin, ma belle, tu te rends compte que rien ne changera, et que le bébé ne fera qu'empirer les choses, qu’accroître l'amour et la haine que je nourris pour toi. Pour lui. « Tu lui as donné un nom ? » Il faut que je sache quel nom hurler avec colère quand tu ne seras pas là pour essuyer ma haine. « Oui... Je l'ai appelé Neal. Neal Howard Bushby-Carlton, ça te plait chéri ? » Je n'ai pas eu voix au chapitre mais ce n'est pas comme si j'en avais quelque chose à faire, et tu l'as compris depuis longtemps. J’acquiesce, vaguement heureux. C'est un beau nom pour le futur connard qu'il deviendra, comme tous les Bushby-Carlton de cette foutue famille avant lui. Paix à son âme.
On frappe. Un soupir passe la barrière de mes lèvres au moment ou l'enfant pousse la porte. Un p'tit gamin bien élevé, sage, adorable. Le genre de gosse dont on rêverait tous, si l'on a jamais souhaité en avoir. Le problème doit venir de là : j'en ai jamais voulu, moi, de gosses. Je sais ce que c'est, de se sentir bafoué, de voir sa propre enfance se désagréger sous ses yeux, sous les mains furibardes d'un père mal-aimant. Mon père nous aimait, mais s'exprimait lorsqu'il était en colère. Il ne nous touchait jamais, sauf pour nous punir. Nous avions appris à esquiver, à prévoir les tempêtes dévastatrices qui se préparaient au fond de se prunelles sombres. Alors tu comprends gamin, pourquoi je n'ai jamais voulu de toi, pourquoi malgré moi, je suis comme ça. Ce n'est pas toi que je hais, simplement ce que tu représentes. Ta mère ne m'a pas écouté, elle a préféré se jeter dans les bras d'un hypothétique futur heureux dans les bras de son homme et de son fils, plutôt que de prévenir, de penser à ce que tu aurais. Je ne suis pas seul à blâmer, fils. « Papa, ... » « Sors de là gamin, j'suis occupé. Va voir ta mère. » « Mais maman elle a du sang partout... » Je me retourne, t'observe, toi petit homme fort et solide du haut de tes quatre misérables années. J'n'ai rien fait pour que tu en arrives là bonhomme, et au fond de moi, je suis presque fier de toi. Le cœur en asystolie, je m'accroche à toi. Tu ne saurais mentir, n'est-ce pas ? Le mensonge ne fait pas encore partie de tes habitudes mais, pas d'inquiétude, tu apprendras bien vite. Alors, qu'a-t-elle fait, ta mère ? J'ai l'impression que ma langue est devenue énorme, que mes poumons se sont atrophiés. J'voudrais te demander ce qu'elle a, ce qu'elle a fait, mais dans le fond, c'est même pas la peine : je le sais. Je t'attrape au vol tandis que je me lève, te prends sous le bras comme un sac et me précipite en criant son nom : Elena, l'amour de ma vie, mon ange, mon cœur. Ma chose. Ou es-tu Elena... « Reste là » L'enfant est vite enfermé dans sa chambre, et j'accoure. Je vole à ton secours. Ma gorge est sèche, douloureuse, alors que je m'égosille toujours plus, dans l'attente d'un signe de ta part. Le voilà, le signe, la petite tâche de sang si anodine, rouge et luisante sur le carrelage. A la manière du petit poucet, tu en as disposé une myriade d'autre, toutes menant à ton corps inerte. Un chef-d’œuvre digne de Spielberg, que tu nous as fait là. Ange blafard, baignant dans son propre sang. Je t'en veux, à mort. Ma vision se trouble, et en cet instant, je pourrais presque te rejoindre, m'emparer du couteaux qui gise près de ta cuisse et me lacérer les bras comme tu l'as fait. Lâcheté évidente de ta part, tu as laissé tomber, tu as abdiqué. J'ai gagné, alors, c'est cela que tu veux me dire ? Certainement pas. Je ne te tuerai pas en premier, non. Ta pauvre tentative n'est rien en comparaison de la blessure que tu m’inflige, à l'intérieur, et, peut-être était-ce le but escompté ? Chienne mon amour. Ton sang glisse sous mes mains alors que je tente d'endiguer le flot brûlant qui dégouline, se mêle à mes larmes. Ce que tu ne ferais pas pour me voir ainsi, preuve en est ton corps tiédasse, presque froid. Ne t'inquiète pas, ce n'est pas la dernière fois, car tu ne mourras pas. Tu ne deviendras pas un souvenir, tu ne me laisseras pas seul, non. Je vais te garder en vie, j'en ai trop besoin, égoïste que je suis.
J'aurais pu t'aimer, fils, faire de toi mon nouveau point d'équilibre, réorienter ma vie autour de ta petite personne dès ta naissance, comme si mon propre centre de gravité avait évolué pour se fixer près de toi. J'aurais pu être de ces pères aimants et protecteurs. J'aurais pu être ton modèle, ce que tu admires le plus au monde. J'aurais pu, mais tu vois, je n'ai pas eu de modèle moi-même, sur lequel me fixer, sur qui copier. Je ne sais pas faire, c'est tout. Et tes petites mains qui s'agrippent aux miennes me mettent terriblement mal à l'aise, me donnent envie de fuir ce contact qui aurait du se révéler doux et rassurant. Tu t'es installé sur moi, comme si j'avais pris l'initiative de te prendre sur mes genoux, de t'entourer de mes bras, liant naturellement tes petits doigts aux miens. Tu as la joue posée contre mon torse, de grosses larmes salées dégoulinant sur ma chemise. Saleté, adorable saleté. « Pourquoi on est là, pourquoi on est pas resté à Savannah, papa ? » « C'est ta grand-mère qui a voulu qu'on rapplique à Arowsik... » Amertume. La mère de ta mère, Neal. Une vraie emmerdeuse, depuis le jour ou je l'ai rencontrée. Elle n'a jamais rien approuvé venant de moi, en particulier mon amour pour sa fille. Dans le fond, cette femme est peut-être bien plus clair-voyante que tous les autres. Ce fut la seule à se méfier de moi lorsque j'entrai dans la vie d'Elena. Sage initiative que de me détester. « Si tu pouvais sauver maman, tu le ferais ? » Puissante contraction du palpitant dans la poitrine, réaction naturelle à une peur injustifiée. Pourquoi craindre un si petit être, hein ? Pourquoi devrais-je craindre ton jugement, ton opinion sur moi ? J'ai toujours feint de ne pas m'intéresser à ton avis, ni à ce que je représentais à tes yeux. Le cœur a pris le dessus, réagissant à ma place, contre ma propre volonté : celle de te faire croire que la mort de ta mère ne serait pas un drame, qu'elle ne constituerait qu'une embûche de plus pour arriver à la fin de cette vie. La gorge serrée, les bras liés maladroitement autour de ton petit corps dans un geste inouï de tendresse, je m'entends te répondre, d'une voix blanche « Si j'avais pu, je l'aurais sauvée depuis longtemps, fils, bien avant qu'on se rencontre ». Je te prie de croire à la véracité de mes paroles, car elles n'ont jamais été aussi justes.
welcome to our world.
nice to meet you.
Hello hello, alors je m'appelle Raphaelle, on peut aussi me croiser sous le nom d'Oracle, enfin ça c'était quand mon Toshop marchait encore J'ai 18 ans depuis quelques semaines, et je me suis embarqué dans des études sans fin..... Et qui me pompent tout mon temps ! Seulement voilà, j'peux pas être raisonnable et me consacrer à mes études sans rp de temps en temps, parce que le rp, c'est cool, et que je baigne dedans depuis trop longtemps pour arrêter ! J'préviens juste que je serai pas là H24 même si je le voudrais bien... J'espère que vous m'en voudrez pas A part ça, Cook est un perso inventé de mon petit esprit tordu. Et THUB envoie du pâté croûte sisi, wesh héhé. Et vous êtes tous adorables, et de ces avatars de fous... Mama, j'vais tous vous harceler pour des liens Bwef, j'vous dis à bientôt dans des rp tordus. Kiss Cookl Et je remarque le nombre anormal de smileys pervers...
Dernière édition par Isaac Bushby-Carlton le Ven 21 Sep - 15:26, édité 8 fois
TOBIAS Moi je vais pas me gêner pour faire ma groupie En plus ton avatar Et moi je veux bien tuer ta femme si tu veux Han plus Isaac j'adore ce nom quoi
Enfin bref bienvenue et bonne chance pour la suite
:ferny: t'sais que t'es beau toi ? Moi j'vais faire ma groupie et osef si j'te fais fuir mais là je peux pas me retenir TOBIAAAS BORDEL DE CHIOTTE ! vas-y, t'as le droit à une entrée gratuite dans ma cave luxieuse puis on va se marier à Las Vegas avec un prètre qui ressemble à Elvis, on mangera du chocolat sur une île paumée et on jouera sur des poneys qui volent t'as fait un choix de malade pour l'avatr, jôtem déjà quoi ! en plus le pseudo, vas-y Isaac ça tue le string à sa maman ! bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche puis tu me réserve un lien dis ?
Yeaaah mais quel accueil J'vous viole tous autant que vous êtes, groupies ou pas, sa mère, vous êtes canons Et Evy (tu permets ? ) pour le lien, comme te dire, avec Mavor, j'te saute dessus avant que t'aie à demander ! (Puis le programe --> J'adhère)
azy, thub va devenir une énorme orgie mais j'aime ça bien sûr, tu m'appelles comme tu veux oké c'est bon, j'suis pas contre moi mouhaha, tant mieux, bon on se cale ça la semaine prochaine, hein ? J'lâche Bernard l'ananas pour toi, t'as vu, c'est la classe internationale !
Tu vas pas me dire que c'est nouveau, comme si les Thubiens (avec un nom pareil aussi ) étaient pas des pervers depuis toujours :chazi: !! Ecoutes c'est avec grand plaisir EVY Et ton Bernard, il fait pas le poids à côté de mes biscottos à moi tu gagnes au change !
non, ça ne sera que la 7482904384 ème orgies rien que ça ouesh hé oué, on a toujours une âme de pervers en nous mais on fait ça avec classe t'vois la chose ? c'est bon, c'est enregistré sur mon agenda électronic pardi ! c'est vrai, c'est vrai, les ananas c'est bon, mais les Tobias, il peut pas test le Bernard ! hé oué, tékaté pas pour ça
⊰ métier/études: ingénieur en communication. en gros, je suis chargé d'assurer la réalisation d'un projet avec un budget donné. l'excédent non utilisé du projet finit dans ma poche. un boulot de rat.
Ça c'est très intéressant dis moi TOBIAAAAAS Excellent choix de malade Plus sesky tu meurs quoi Bref, bienvenue parmi nous et si tu as la moindre question, n'hésite pas cookie
Waw quel accueil, je suis bluffée Matys, ah oui intéressant jusqu'à quel point ? Et Eesha c'est toujours une piste possible pour un bon lien je pense Merci vraiment
Je ne peux pas t'en vouloir d'être fatiguée, et avec ou sans effusion de smileys, moi vos bienvenus me conviennent tous parfaitement :leandro:( wesh des fois ça m'arrive d'être en mode bisournours )