Sujet: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Ven 1 Jan - 20:07
Avery (Charlotte) Bishop
❝I woke up this morning and I just hated everything. ❞
✗ nom : Bishop, un nom qui n'est là que pour camoufler le mal qui a été fait par sa famille, un nom qui se veut banal, effacé, mais qui ne fait que cacher les stigmates d'une histoire beaucoup plus sanglante. ✗ prénom : À l'image de sa sœur aînée, la jeune fille hérita d'un prénom masculin, collant à la perfection avec le manque de féminité dont elle fait preuve si souvent. Son deuxième prénom est celui de sa grand-mère, aussi féminin et vieillot que pouvait l'être la bonne femme. date de naissance : Avery est née un dix-huit mars pluvieux de l'an 1986. On a eu beau lui dire encore et encore l'heure à laquelle elle a poussé son premier cri, mais c'est si peu important à ses yeux qu'elle l'a oublié depuis longtemps. ✗ âge : La jeune fille est maintenant âgée de vingt-neuf ans, faisant d'elle la cadette de la famille Bishop. ✗ lieu de naissance : Austin, Texas. L'État des Minute Man, des armes à feu et de Massacre à la tronçonneuse. L'État où il est permis de menacé la caissière du supermarché avec sa carabine si elle vous a chargé deux dollars de trop sur votre facture. ✗ nationalité : Américaine, non qu'elle en est très fière. À ses yeux, les États-Unis font plus de mal que de bien dans le monde, elle n'adhère pas au rêve américain, elle voit cela comme un beau gros mensonge. ✗ orientation sexuelle : Hétérosexuelle, bien qu'elle s'est déjà montré curieuse, elle a déjà ramené une fille à la maison, surprenant sa famille, elle avait d'ailleurs cru que sa mère allait avoir une attaque. ✗ statut marital : Célibataire. Elle n'a jamais été réellement amoureuse de qui que ce soit, trop craintive, trop incertaine. Elle se contente des histoires sans profondeurs, sans sentiments véritables. ✗ métier/études : Assistante sociale, elle a toujours eu un faible pour la veuve et l'orphelin. ✗ groupe : IT DOESN'T MATTER ✗ avatar : Jessica Stroup ✗ crédit : Tumblr
Avery est incapable de faire mal à quoi que ce soit. Elle garde les araignées de son appartement vivantes, parce qu'elle se sentirait mal de les déloger ou des les tuer. Elle leur donne également des prénoms ✗ Adorant les films, les séries télévisées et les livres, elle a toujours la références qui faut quand il faut, bien qu'elle est souvent seule à les comprendre ✗ Garçon manqué, elle déteste les talons hauts et les petits robes bien mises. Elle préfère les jeans et le t-shirt, comme elle préfère le baseball au ballet. ✗ Son idole est Lara Croft, pour une raison ou pour une autre, elle a toujours voulu être une archéologue britannique qui met sa vie en péril pour un morceau de métal d'une valeur douteuse ✗ Son auteur favori est Charles Dickens, elle relit A Christmas Carol tout les ans, même en été. ✗ Grande gamine, elle adore dessiner et regarder des dessins animés en pyjama les dimanches matin. Si elle peut y ajouter les céréales les moins santé de la planète, c'est encore mieux ✗ Elle adore les jeux vidéos, elle a d'ailleurs un petit faible pour le personnage principal des Uncharted. Il faut avouer que Nathan Drake est adorablement agaçant. ✗ Elle fait très peu confiance aux gens, particulièrement aux hommes, elle a un peu tendance à voir le mal partout ✗ Elle a un chat, une bestiole particulièrement velue avec un bout d'oreille en moins. Il se nomme Oliver. ✗ Elle court tout les matins, c'est sa façon de canaliser son stress avec sa journée de boulot ✗ Parlant de stress, Avery est particulièrement nulle pour le gérer et elle se lance souvent dans la fabrication massive de cookies et autres pâtisseries lorsqu'elle est stressée ✗ Elle est allergique aux fruits de mer, d'ailleurs, elle trouve ça ridicule de pouvoir mourir à cause d'une stupide crevette ✗ Elle est incapable de rester en place plus de dix minutes, on pourrait facilement la croire hyperactive, c'est sans doute un peu le cas, mais elle vous dira que c'est un surplus de caféine ✗ Elle ne mange pas de viande, parce que tuer des animaux, c'est mal, elle fait quand même une exception pour le poisson en général. ✗ Elle tient particulièrement l'alcool, après deux verres, on peut lui faire faire n'importe quoi sans qu'elle bronche ✗ Hypersensible, elle passe rapidement d'une émotion à l'autre. Elle a les yeux souvent remplis de larme quand elle voit un enfant s'écorcher le genou ou elle devient rouge de colère devant une injustice aussi mineure qu'un individu ne voulant pas laisser sa place à une personne âgée dans le bus.
Childish Light
✗ âge : 24 ans ✗ pays : Canada ✗ fréquence de connexion : 4/7, mais ça va surtout dépendre de l'école. ✗ où as-tu connu thub ? Par Bazzart ✗ inventé/scénario : Inventé, il sort de ma tête, ce qui est bien aussi...✗ avis sur le forum : Il est joli comme un coeur! ✗ c'est ton dernier mot, jean pierre ? Effectivement, Sherlock
Dernière édition par Avery Bishop le Dim 3 Jan - 3:54, édité 9 fois
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Ven 1 Jan - 20:08
❝ To the edge of the universe and back, endure and survive... ❞
Les larmes roulaient sur ses joues, perles d’eau saline sur une peau de porcelaine. La petite fille tenait entre ses mains ensanglantées une petite bestiole informe dont quelques soubresauts agitaient encore les pattes, mais la vie l’avait quitté. De la même façon que l’hiver s’installe, d’abord petit à petit, puis on se réveille un matin et une épaisse couche de neige recouvre les prés. Ce qui n’était jamais le cas au Texas, mais elle avait vu ça, une fois ou deux, à la télévision, lorsqu’elle restait à la maison avec sa maman alors que papa emmenait Wayne chasser. « Pourquoi pleurs-tu, Ava? Tu t’es fais mal?» L’enfant leva les yeux vers la silhouette titanesque de son père qui la surplombait, cachant le soleil derrière lui. Avery était la cadette d’une famille de deux enfants, la petite fille maladroite et un peu casse-cou qui ne fallait pas brusquer parce qu’aux yeux de ses parents, elle était encore un bébé. Sa maman disait que c’était parce qu’elle était trop petite qu’elle ne pouvait pas aller à la chasse avec sa sœur et son père, mais elle savait bien que ce n’était pas la raison. La raison, c’était ça, la souris morte entre ses mains et les larmes dans ses yeux. « Louis a ramené une souris à la maison. Il l’a tué. C’est un vilain chat!» L’homme poussa un soupir agacé et lui arracha le rongeur des mains. Elle n’arrivait pas à savoir s’il était fâché contre elle ou contre le chat. Probablement contre elle. Par moment, elle avait l’impression qu’ils ne faisaient pas partie de la même famille, qu’elle n’était pas sa chaire et son sang. Son père finit par se mettre à sa hauteur, enfermant l’animal décédé dans sa main calleuse. « C’est dans la nature des chats de chassé. Louis n’est pas vilain, il suit son instinct. Et puis, ce n’est qu’une souris. Rentre maintenant et va te laver, t’es couverte de sang» Essuya ses larmes d’un revers du poignet, l’enfant tourna les talons et se dirigea vers la maison, sans rechigner, ne voulait pas savoir ce que fera son géniteur avec la souris. Docile, Avery se dirigea vers la salle de bain qu’elle partageait avec sa sœur, nettoya le sang qu’elle avait sur les mains, changea de vêtements, comme si cette histoire ne s’était jamais passée. Ce n’est que lorsqu’elle s’apprêta à descendre les escaliers menant au rez-de-chaussée qu’elle s’arrêta, entendant son nom être prononcé avec dégoût. « Il manque quelque chose à cette gamine. Elle se laisse marcher sur les pieds à l’école, elle revient plein d’écorchures. Quand les filles jouent avec les gamins du quartier, c’est toujours Wayne qui la défend. Je te le dis, Laura, il manque une truc à cette petite.» Elle fit un pas en arrière, les doigts crispés sur la rampe, butant contre un obstacle moue et chaud dans son dos. Elle tourna la tête pour croiser le regard de son aînée, qui avait sans doute tout attendu. Wayne attrapa son bras et l’attira dans sa chambre alors que les mots de sa mère résonnait dans la cuisine au pied de l’escalier « Elle n’aime pas la violence, c’est tout…»
Le Texas, cet endroit qu’on associait avec mille et unes choses, toutes plus mauvaises les unes que les autres. Ce soir-là, cependant, le Texas se résumait à cet homme qui vivait sous son toit depuis toujours. Cet homme qui lui avait un jour apprit à marcher, qu’elle avait appelé papa, qui n’avait jamais daigné passer du temps avec elle. Il manque quelque chose à cette petite. Elle ne l’avait pas comprit à l’époque, aujourd’hui, c’était claire comme de l’eau de roche. Ce qu’il lui manquait, c’était cette soif de sang, ce penchant pour la cruauté, pour la douleur des autres. Les lumières rouges et bleues dansaient sur les murs de leur maison, des hommes en uniforme allaient et venaient sans se soucier d’elle. Ils l’avaient questionnée, des questions bizarres auxquelles elle n’avait pas les réponses. Elle était installée sur le sofa du salon, une tasse de chocolat chaud refroidit dans les mains, elle n’avait pas bougé depuis tellement longtemps que ses muscles étaient douloureux. À la télévision, on montrait des photographies de son papa, leur maison, on disait leurs noms comme si elles étaient, elles aussi, des victimes. Ou des criminelles. « Avery?» L’enfant leva le visage vers la voix familière, captant les traits inquiets de Virgile à travers les lumières des voitures de police. « Où est ta sœur?» Wayne… où était Wayne? Elle l’ignorait. Elle ignorait tout ce qui se passait autour d’elle, elle n’était pas certaine de comprendre, de vouloir comprendre. Elle n’était pas bête, non, elle n’arrivait simplement pas a accepter que son père avait tué une dizaine de jeunes filles. Elle ne connaissait pas encore les détails, elle ne les connaîtrait que le lendemain matin, en lisant les journaux. Ses prunelles claires et vides croisèrent celle du jeune garçon. « Dans sa chambre, je crois» Celui qu’elle considérait comme un grand frère lui serra le bras avant de tourner les talons, voulant sans doute voir comment allait l’aînée de cette famille maintenant déchirée. Bien avant que son cerveau ne le réalisa, elle prononça son prénom à travers le bruit des sirènes, l’obligeant à faire volte-face, attendant la suite de ses paroles, des paroles qu’elle n’était pas certaine de connaître. « Ne la laisse pas se faire du mal pour ce qu’il a fait.» Il grimaça un sourire, hocha la tête, le lui promit, puis disparu au sommet de l’escalier. Avery n’était qu’une enfant prise dans une situation difficile, mais elle avait conscience de ce que ça impliquait pour sa sœur, pour sa mère. Elle savait que le monde ne serait plus jamais le même, que leur univers venait d’éclater en mille et un morceau. L’une perdait un père, l’autre un mari. Et elle? Que perdait-elle?
Ses prunelles fixaient le curseur comme si cette petite ligne verticale et clignotante avait les réponses à toutes ses questions, comme si ce truc détenait le remède contre le cancer. Ses doigts se perdirent dans ses boucles brunes, un soupir passa la barrière de ses lèvres et elle ferma les yeux un moment. Depuis combien de temps était-elle là a attendre que les mots s’effacent d’eux-mêmes, que les choses redeviennent ce qu’elles avaient été avant. Au milieu de cette famille détruite par les rumeurs, les journalistes et les faits, Avery semblait être celle qui avait été le moins endommagée. Elle connaissait pourtant chaque cas par cœur, elle pouvait réciter les rapports de police de chacune des victimes comme un récite l’alphabet. Elle n’était pas tombé dans la drogue, elle n’était pas devenu dépressive, elle n’essayait de pas de se punir pour ce que son père avait fait. Elle était restée elle-même aux yeux des autres. Elle était restée la petite fille qui pleurait pour une souris morte. Ce n’était pas vraiment le cas. Cette enfant là avait eu tendance à voir le bien en tout être vivant, aujourd’hui, elle avait du mal à faire confiance à sa propre mère. Elle avait des peurs ridicules, elle détestait marcher seule la nuit, elle avait six verrous sur sa porte d’entré et elle avait demandé à sa sœur de lui enseigner comment manipuler une arme à feu. Bien qu’elle ne serait pas capable de l’utiliser même si sa vie en dépendait. «Encore debout?» Avery sursauta violement devant le soudain éclat de voix. Ses prunelles se posèrent sur la silhouette familière qui l’observait, les bras croisés sur sa poitrine. « J’arrive pas à dormir.» Comment aurait-elle pu? Le sommeil aussi se faisait de plus en plus rare, comme si son cerveau n’arrivait pas à chasser les mots qu’elle lisait comme on lit un roman avant de s’endormir. «Tu travail sur quoi?» Wayne se laissa tomber sur le lit près d’elle, observant ses traits avec une attention particulière, essayant sans doute de la déchiffrer. « Un cas de violence conjugale. » Un truc banal en soi. C’était un cas courant, la majorité de ses dossiers avaient un rapport avec les cas de violence conjugal, bien que certains étaient plus complexes; adoptions, réhabilitation de prisonniers, adolescents à problèmes… Mais aux yeux de Wayne, cela ne devait pas avoir d’importances, ce n’était que des idioties sans importances et un peu ennuyantes sans doute. «Relire ces vieux rapports servira à rien, Ava. Il n’a aucune excuse cette fois-ci.» Ses doigts abaissèrent l’écran de l’ordinateur portable, le refermant avec un petit claquement sec. Comment expliquer qu’elle ne cherchait pas à l’excuser, mais plutôt à essayer de comprendre ce que ces filles ont pu vivre avant de mourir? Comment était leur vie, qu’aimaient-elles manger au petit déjeuné? Qu’avaient-elles fait avait leur mort immonde? Comment cela avait-il commencé exactement? « Je sais.» L’une d’entre elle attira particulièrement son attention. Keera Clarke, dix-huit ans, une blondinette aux yeux bleus, étudiante en éducation spécialisé. La dernière victime. Celle qui avait fait aboutir l’enquête. Celle qui aurait pu être évité. « J’essaie juste de comprendre…» Wayne sourit doucement, pas un vrai sourire, ceux-là n’existait plus depuis le viol, mais un sourire quand même. « Parfois, il n’y a rien à comprendre.»
Le commissariat de Arrowsic grouillait d’une activité beaucoup plus sereine que celui d’Austin, c’était un fait qu’elle avait du mal à assimiler. Peut-être était-ce parce que le nombre de crime était beaucoup moins important ici. Il n’en restait pas moins que la différence la frappait chaque fois qu’elle mettait les pieds dans cet endroit. S’arrêtant entre deux bureaux, elle chercha sa sœur des yeux, tenant une boite de ses beignets favoris entre ses mains, un truc à l’odeur tellement sucré qu’elle se demandait comment on pouvait manger ses trucs sans avoir mal au cœur. «Puis-je vous aider, mademoiselle?» Avery tourna son visage enfantin vers son interlocuteur, avisant un détective qu’elle n’avait jamais encore croisé jusque là. Des yeux bleus lumineux, un sourire à faire fondre un igloo au milieu du pôle nord. Sans aucune raison, elle sentit ses joues se teinté de rouge, brûlant sous le coup de… de quoi exactement? « Je… cherche ma sœur. Hum Wayne Bishop?» Le sourire charmeur se fit un peu plus présent au milieu de ce visage avenant alors qu’il hocha doucement la tête en lui montrant le chemin du doigt. « Dernier bureau à droite. » Elle allait le remercier et prendre congé sans un mot de plus lorsqu’il tendit sa main devant lui, un signe international de présentation, de politesse la plus rudimentaire, mais qui la surprit tellement qu’il lui fut de longues secondes avant d’y répondre, serra sa main chaude dans la sienne. « Hylan Clarke, enchanté, Mademoiselle Bishop.» Sans un mot de plus, ou sans attendre une réponse de sa part, il s’éloigna, la laissant seule avec ses beignets. Avery finit par se diriger vers sa sœur qui la regardait avec ce grand sourire effrayant, un sourire qu’elle ne lui avait jamais vraiment vu avant. «Il est mignon, hein?» attaqua-t-elle en ouvrant la boite de pâtisseries. « Bonjour, belle journée non? » «Moins joli que lui.» La brunette leva les yeux au ciel, exaspérée, sachant qu’elle ne s’en sortirait pas aussi facilement. « Il est surtout le frère de la dernière victime de papa. Son nom est dans le dossier.» Chuchota-t-elle de sorte que seule Wayne puisse l’entendre. Cette dernière grimaça légèrement en mordant dans sa pâtisserie. « Bonne chance, alors.»
Dernière édition par Avery Bishop le Mar 5 Jan - 7:15, édité 8 fois
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Ven 1 Jan - 23:11
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Ven 1 Jan - 23:21
Tiens tiens tiens, toi ici... et avec Jess en plus... Bienvenuuuuuuue
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Sam 2 Jan - 3:21
Merci
Lenny Gavennham a écrit:
Tiens tiens tiens, toi ici... et avec Jess en plus... Bienvenuuuuuuue
Je suis démasquée Puis tu connais mon amour pour cette fille Et devine qui risque de venir en paire en PV?
Dernière édition par Avery Bishop le Dim 3 Jan - 1:13, édité 1 fois
DOUBLE-COMPTE : Non mon capitaine MESSAGES : 51 ARRIVÉE : 15/12/2015 LOCALISATION : Le corps ici, l'esprit ailleurs.
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Sam 2 Jan - 11:21
DOUBLE-COMPTE : jona & louis. MESSAGES : 8067 ARRIVÉE : 07/03/2012 LOCALISATION : à l'hôpital.
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Sam 2 Jan - 17:49
On s'connait dis donc Et même que tu connais pas mal de monde ici du coup Bienvenue à toi sur THUB alors J'espère que notre petit forum d'amour te plaira
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Dim 3 Jan - 3:57
Lauren Je bave devant tant de perfection !
LINAAAAA T'es ici!!! JE T'AIME TOI! Je suis contente d'être là, j'ai surtout hâte de rp avec vous t'échappera pas au lien, cette fois! Et je connais qui, dis donc?
DOUBLE-COMPTE : fernando & louis. MESSAGES : 1576 ARRIVÉE : 10/06/2012 LOCALISATION : arrowsic, le p'tit trou.
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Dim 3 Jan - 8:21
T'as déjà croisé tous les admins sauf Aaron et aussi Lizzie et bien sûr mon Lenny d'amour T'inquiète pas, je garde un lien bien précieusement
DOUBLE-COMPTE : Non MESSAGES : 66 ARRIVÉE : 15/12/2015
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Dim 3 Jan - 11:31
Bienvenue sur le forum, j'sais pas pourquoi mais le pseudo de ton perso me dit quelque chose
MESSAGES : 211 ARRIVÉE : 15/11/2015 LOCALISATION : Sur le Black Horse, un bonnet sur le crâne.
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Dim 3 Jan - 19:41
DOUBLE-COMPTE : La schizophrénie ne nécessite pas plusieurs corps, mais une seule tête. MESSAGES : 424 ARRIVÉE : 10/11/2013 LOCALISATION : Au sommet du Squirrel Point Light, affrontant l'horizon.
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Lun 4 Jan - 19:36
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Lun 4 Jan - 21:00
Jona Coppola a écrit:
T'as déjà croisé tous les admins sauf Aaron et aussi Lizzie et bien sûr mon Lenny d'amour T'inquiète pas, je garde un lien bien précieusement
Je vais devoir enquêter alors! Lenny? Nah, connais pas. Jamais rp avec cette joueuse, non non
DOUBLE-COMPTE : Carlie. MESSAGES : 8680 ARRIVÉE : 07/09/2011 LOCALISATION : Dans le pays où on ne grandit jamais.
Sujet: Re: Avery ♦ In our darkest moments, when life flashes before us, we find something; Something that keeps us going. Something that pushes us. Mer 6 Jan - 6:48
étant une vraie nouille pour retenir quoique ce soit, je ne sais pas qui est qui, quand est-ce que j'ai croisé qui et tout ça (oui c'est clair, très clair )
On aime les histoires tordues, alors je te souhaite la bienvenue
Bienvenue à Arrowsic !
Toutes nos félicitations ! Ta fiche vient d'être validée et te voilà officiellement un habitant d'Arrowsic. Installe-toi sans plus attendre et prépare toi à vivre une toute nouvelle aventure.
Avant de sauter directement à la partie rp, voici un petit guide de notre petite ville afin que tu t'y retrouves :
✗ Même si c'est probablement déjà fait, n'oublie pas de lire les annexes du forum !
✗ Ajoute ton métier à la liste et n'oublie pas ton logement, ici (même si tu es un SDF. On ne fait pas de discrimination, ici).
✗ Pour pouvoir recenser tes liens, la catégorie Social Data est faite pour toi. Un lien conduit souvent à un rp, alors fonce ! Tu peux aussi créer le téléphone de ton personnage ou encore son compte Instagram !
✗ Tu as également la possibilité d'aller voir les scénarios actifs et réfléchir à des liens avec les personnages proposés. Ou alors, tu peux aussi créer tes propres scénarios, ici !
✗ Si tu le souhaites, tu peux aussi demander un rang, sur ce sujet. Bien entendu, toutes la partie flood est a ta disposition, alors fais-toi plaisir, mais avec modération !
Et voilà tu as tout ce qu'il faut ! Un bon jeu à toi et n'hésite pas à contacter l'une des admins si tu as des questions. Bon rp !