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| Sujet: On ne connait jamais vraiment quelqu'un - LUCY Jeu 3 Fév - 22:00 | |
| © TUMBLR Lucy Jane Holden ....................................................................................................... JUST GONNA STAY HERE. Arrowsic Tout fini toujours bien, si ça ne va pas, c'est que ce n'est pas la fin.« Elisabeth, je t'en pris calme toi ! » Du haut des escaliers, une petite fille regardait cette scène qui lui était devenue si banale tant elle la vivait souvent. Cette gamine n'avait que six ans et pourtant elle n'avait déjà plus aucun goût à la vie. Chaque soir, elle pleurait dans son lit de voir - et savoir- sa mère si mal. Elle voulait fuir ce milieu hostile, retourner dans le ventre de sa mère bien à l'abri, elle ne voulait même pas exister finalement. Elle voulait que sa mère soit heureuse, que son père soit heureux. Déjà petite, Lucy avait cette infâme impression d'être un déchet. Elle pensait que sa naissance avait détruit le couple de ses parents, à six ans, comment pouvait-elle savoir qu'elle n'y était pour rien, que ce mal être chez sa mère remontait à loin. Sa mère termina sa bière, Lucy ne fermait plus les yeux, face à cette scène, elle savait déjà ce qui allait se passer. Elisabeth lança la bière vide en direction de son mari, énervée. « T'as intérêt à me racheter de Whisky sinon j'te jure j'me fou en l'air ! » Lucy était totalement indifférente à ce genre de paroles, elle avait l'habitude. Son père devait certainement être au bord des larmes, lui, si amoureux de cette cause perdue qu'était sa mère. Elle serra très fort son doudou contre elle, ce qui lui faisait mal, c'était la douleur de son père. Certain soir elle espérait sincèrement que sa mère meurt pour que cette femme soit libérée de son enfer et que son père puisse avoir une nouvelle vie, plus heureuse avec elle, qu'elle puisse grandir comme tous les enfants. Du haut de ses six ans, elle savait déjà qu'elle ne pleurerait pas à l'enterrement de sa maman. « Elisabeth, s'il te plaît, arrête ça, il faut que tu te soignes, Eli, je t'aime, je déteste te voir te détruire ainsi ! Pense à Lucy, tu as toujours voulu une petite fille adorable. » Elle s'approcha méchamment de l'homme qui était encore son mari à l'époque, visiblement, la jeune mère ne voulait pas entendre raison, elle voulait boire encore et encore, snifer sa coke en paix, c'est-ce qu'elle voulait. « Mark, demain tu m'achèteras du whisky ! Lucy c'est ta fille, pas la mienne ! Je n'ai jamais donné la vie tu m'entends ? Jamais ! Je ne suis pas maman ! » Cette fois, c'était Lucy qui pleurait, sa mère avait toujours refusé d'admettre qu'elle avait donné la vie, elle ne savait pas pourquoi mais, chaque fois, cette phrase tranchante la tuer intérieurement. Peinée devant ce spectacle qui s'offrait une nouvelle fois à elle, la petite puce remonta dans sa chambre avec son doudou laissa son père abandonner face à sa femme révoltée. Ce soir encore, sa mère allait sortir et prendre de la coke, baiser le premier venu et la seule chose que la petite Lucy souhaitait c'était la mort de sa mère. Demain encore les voisins allaient parler sur ses parents, plaindre « cette pauvre petite » comme ils disaient tous. Ils ne connaissent rien à l'histoire et ils se permettent tous de juger. La petite Lucy détestait ce quartier, elle détestait Arrowsic et son manque d'intimité. Arrowsic Il y aura toujours ce petit bout de moi qui t'aimera.Cet après-midi là, la jeune Lucy était censée être au collège mais, l'absence de son professeur lui avait permis de rentrer plus tôt. Tant mieux, en ce beau jour de printemps, elle poserait son sac chez elle avant de rejoindre quelques amis au parc. Elle allait pouvoir profiter un peu, pour une fois. Il était rare que la jeune Holden s'accorde un moment à elle et ce, depuis toujours. Elle était toujours tiraillée entre les problèmes quotidiens et sa vie de jeune fille. C'était toujours les mêmes problèmes que lorsqu'elle avait six ans, en pire, parfois elle rêvait de tuer sa mère de ses propres mains mais, elle n'en faisait rien, elle calmait ses pulsions meurtrières. Sur le chemin la jolie blonde affichait un sourire poli -et plus qu'hypocrite- saluant chaque voisin. Elle détestait ce quartier, elle avait l'impression qu'on cherchait à l'étouffer, à lui voler son jardin secret, elle avait peur sans cesse que ses secrets ne soient découverts par un habitant trop curieux. Elle franchit la porte de sa maison et jeta son sac, elle avait l'intention de repartir dans la foulée mais, elle entendit sa mère gémir aussitôt la jeune fille se précipita vers celle qui était étendue sur le canapé, agonisant. Des boites de pilules vides, partout autour du canapé, Lucy la détestait, elle n'avait pas le droit de faire ça à son père, parce que oui, la seule qui chagrinait Lucy dans tout cela c'était son père qui se battait toujours pour cette femme qu'elle méprisait à présent, pour sa mère. « Lucy... » murmura-t-elle mais, tout ce qu'elle obtenue de la blondinette ce fut un regard haineux sans la moindre larme. Elle n'avait pas l'intention d'appeler les secours, elle voulait que sa mère meurt et elle allait la laisser là, crever sur son canapé. La jeune fille allait la regarder pousser son dernier souffle sans le moindre remords en effet mais, elle était épuisée par sa mère et par son comportement . « Pas.. secours... mourir »Balbutia sa mère, comme si sa fille n'avait pas compris, comme si Lucy Jane Holden avait l'intention d'appeler les secours. Elle resta de longues minutes à regarder sa mère mourir puis elle poussa enfin son dernier souffle mais, Lucy resta là, devant le cadavre de sa mère jusqu'à ce que son père ne revienne. Personne n'a jamais su ce qu'il s'était passé, tout le monde a su qu'Elisabeth Holden était morte d'une overdose ce qui ne surpris pas une seule grand-mère du quartier mais, aucun habitant ne savait que c'était volontaire, que Lucy l'avait regardé mourir, personne ne pouvait croire qu'une gamine de douze ans souhaite la mort de sa propre maman, s'était insensé, pourtant, c'était bel et bien le cas. Le père de Lucy, Mark, n'en a jamais tenu rigueur à sa fille, il ne connaissait pas la vérité non plus, il pensait que sa fille avait tout simplement retrouvé sa mère morte. Après cet évènement malgré sa dépression le père de la blondinette est devenu on ne peut plus protecteur avec sa fille. Sans avoir que cette mort était le souhait le plus cher de la douce Lucy. Arrowsic Aucun de nous n'est épargné, on est tous rattrappé un jour ou l'autre par le malheur... Seize ans déjà, le temps passe si vite. Monsieur Holden n'avait pas vu sa fille grandir et aujourd'hui elle partait pour New York. Ça lui semblait fou, New York, c'était immense comparé à Arrowsic mais, il savait que c'était ce qu'elle voulait, ce qu'il lui fallait pour être enfin heureuse. Lucy avait toujours détesté ce quartier contrairement à lui. Aujourd'hui elle partait sous le prétexte de ses études mais, il savait pertinemment que c'était un besoin de liberté qui soufflait dans sa vie et certainement aussi une envie d'arracher plusieurs pages de son passé. Elle avait tellement grandit, s'en était affolant. Avant, elle n'était qu'une enfant avec un magnifique bouille blonde, elle avait tout d'une petite princesse. Aujourd'hui, sa princesse était devenue une femme et quelle femme d'ailleurs ! Lucy avait cette allure de mannequin avec ses jambes sans fins, elle avait des formes féminines et il n'y avait aucun doute sur le fait qu'elle faisait naître le désir chez les hommes. Cependant, sa petite fille avait tout de même gardé son visage enfantin qui lui donnait un air innocent avec ses petites tâches de rousseurs si discrètes. Finalement, il trouvait que sa fille était parfaite, c'était certainement son avis de papa qui voulait ça. Il s'approcha de sa fille et déposa un tendre baiser sur l'arcade de cette dernière, ravalant ses larmes, tentant de cacher sa peine. « Je veux que tu sois heureuse et que tu ne reviennes pas. » La jeune femme acquiesça, elle savait que cette phrase n'était pas là pour la blesser. Ce n'était que l'ordre d'un père inquiet pour sa fille, un père qui voulait son bonheur et il savait pertinemment qu'elle ne le trouverait pas ici, sur les ruines de son passé. Dans cet ordre, il lui implorait de vivre sa vie finalement. Cela signifiait aussi qu'elle ne devait pas se retourner, sous aucun prétexte, s'il revenait ici par la suite, tout ce qu'elle aurait battit s'effondrerait. Elle savait déjà tout ça et elle n'avait pas l'intention de revenir, sinon elle ne serait jamais partie à New York. Du moins, devant la maison de son enfance, c'est-ce qu'elle pensait, elle ne savait pas encore qu'elle ferait demi-tour d'ici quatre ans. « Je t'aime papa. » Elle embrassa son père une dernière fois, comme un adieux. Elle avait la sensation que c'était la dernière fois qu'elle le voyait, vivant du moins mais, elle ignorait encore que c'était réellement le cas. Elle monta dans le taxi, bientôt elle serait à New York, bientôt elle serait libre. C'était ce qu'elle avait toujours souhaité alors pourquoi pleurait-elle ainsi ? Peut-être parce qu'elle sentait qu'elle avait encore besoin de son père. New York Je fais comme tu veux, je gomme tout ce que tu n'aimes pas, je fais tour à tour l'amie & l'amour. Je donne, je pardonne, je faiblis & tu fais de moi tout & n'importe quoi... - Citation :
- FLASHBACK
Il l'avait suivi depuis le studio jusqu'à central park, il avait suivi sa moto qui roulait à vive allure dans les rues de New York. Cette moto qui ne respectait aucune limite de vitesse et cette conductrice sans casque qu'il ne connaissait que trop bien. Il voulait la supplier de rouler moins vite, elle accordait si peu d'importance à sa propre vie mais, lui, il ne pouvait pas vivre sans elle, même si elle l'ignorait elle était la femme de sa vie. Il était déjà en colère après elle avant même d'arriver à destination, il voulait la résonner mais, il devait rester dans l'ombre. Il savait pertinemment que sa belle Lucy allait voir son dealer et il n'en pouvait plus de la voir se détruire ainsi, il voulait casser la gueule à ce type afin qu'il ne puisse plus rien lui vendre, surtout que celui-ci lui donnait tout et n'importe quoi, surtout n'importe quoi. Il avait peur pour elle mais, pour ne pas la perdre il devait se taire. Ils ne valaient pas mieux l'un que l'autre, lui il avait ses addictions, l'alcool, la cigarette et les femmes ainsi que la violence si l'on pouvait considérer cela comme tel. Lucy, elle, c'était la drogue, l'alcool et les hommes ainsi que l'anorexie qui est plus un trouble qu'une addiction. Ils étaient plus ou moins à égalité dans leur connerie et tous les deux se détruisaient l'un pour l'autre sans même le savoir vraiment. Chaz et Lucy c'était une histoire compliquée. Il gara sa voiture, attendant patiemment que Lucy quitte son dealer mais, l'image qui s'afficha à lui le mit dans une colère noire. Cet enfoiré avait osé mettre sa main sur les fesses de la femme de sa vie. Ni une ni deux, Chaz était déjà en train de foutre son poing dans la gueule de ce petit merdeux malgré les pleures et les suppliques de la douce Lucy. Elle ne savait pas comment faire pour les séparer, que faisait-il là ? Chaz n'aurait jamais dû voir ça. Ô Chaz, elle l'aimait tellement, d'une façon démesurée. Chaz était un photographe avec qui elle avait travaillé plusieurs fois après avoir arrêté ses études au bout de trois mois pour le mannequinât. Très vite, les deux jeunes sont devenus les meilleurs amis de New York, rien ne les séparés. Évidemment, ça ne pouvait pas rester ainsi, il fallait que les sentiments s'emmêlent et détruisent leurs vies. Lucy était folle de lui mais, elle se taisait, choisissant ses addictions et problèmes comme échappatoires, la jeune femme était persuadée qu'il ne l'aimait pas, pourtant, pour elle, il était l'homme de sa vie. Il était trop bien pour lui d'après elle. D'après Chaz, elle était trop bien pour lui. Au final, aucun des deux ne faisait le premier pas. Quoiqu'il en soit face à cette bagarre, elle ne savait pas comment réagir autrement que par les larmes. Quand le combat cessa, elle croisa le regard de son amant et elle savait qu'il lui en voulait énormément et que cette fois elle ne se ferait pas pardonner comme ça. Elle rangea sa drogue dans ses poches, pleurant. Elle s'était jetée sur sa moto pour se rendre chez lui, elle n'avait pas sonné à la porte, elle était rentrée en furie, le découvrant sur son canapé vers d'alcool à la main. Elle se posta devant lui pour qu'il daigne enfin à la regarder mais, il ne fit rien, il n'avait d'yeux que pour son verre. Il l'ignorait pour échapper à sa souffrance. « Chaz, je suis désolée. Je sais que tu voulais que j'arrête la drogue mais, je ne peux pas. Comme toi tu ne peux pas arrêter l'alcool. » Il ne la regardait toujours pas mais, elle savait qu'il avait tressaillit à l'écoute de ses paroles, lui aussi avait des problèmes, elle ne voulait pas le voir boire, il le faisait quand même, il en était autant pour la drogue. Pour autant, Chaz ne voulait pas entendre raison, lui s'il partait ce n'était pas grave alors que sa vie, à elle, c'était bien plus important. « Et si tu m'ignores crois-moi je ne risque pas de m'en sortir. » Il ne leva pas les yeux vers elle, continuant à se battre contre lui-même pour l'ignorer, il souffrait dans tous les cas mais, il voulait lui faire comprendre qu'il ne pouvait pas tout pardonner, qu'il voulait qu'elle aille mieux, il voulait surtout qu'elle lui fasse la promesse d'arrêter. Lucy savait pertinemment ce qu'il attendait mais, elle ne le ferait pas, parce qu'elle savait qu'elle ne tiendrait pas et entre eux, les promesses avaient encore un sens réel, un véritable sens. « Oh et puis merde, tu me fais chier Chaz! » elle cracha ses mots, énervée, elle sorti un sachet composé de nombreuses petites pilules. Chaz releva les yeux sentant soudainement son coeur battre à tout rompre tant il avait peur, tant il était énervé. Elle approcha une poignée de pilule de sa bouche mais, voyant son meilleur amant se lever, furax, elle prit la fuite. Dans la maison, elle essayait de fuir Chaz qui ne daignait pas à parler mais, qui lui courait après, elle avait beau connaître cette grande maison par coeur, elle se retrouva bloquée dans la chambre du jeune homme. Chaz tenta tant bien que mal de récupérer ces petites choses qui étaient prisonnières de ses mains mais, la jeune femme ne lâchait pas. Il la gifla et là, Lucy ne put qu'être choquée. Il avait toujours été violent mais, jamais ô grand jamais il n'avait été un tant soit peu violent avec elle, jamais il n'avait levé la main sur elle. Tout deux étaient immobiles, figés, sans voix. Chaz attrapa néanmoins la main de Lucy avec délicatesse et sans montrer la moindre résistance, elle mit ses pilules dans la main de Chaz. Ni une ni deux, le jeune homme les jeta violemment à travers sa chambre, il ne voulait plus de ça pour elle. Ils se regardaient droit dans les yeux, toujours choqués de ce geste qu'il n'avait pas contrôlé. Il ne pouvait plus lui résister et il l'embrassa avec une fougue démesurée - Citation :
- FLASHBACK
Il posa tendrement ses lèvres sur les siennes, elle répondit à son baiser sans hésitation, le rendant plus fougueux et passionné. Entre eux, il y avait ce jeu de séduction et ils semblaient se céder l'un à l'autre, après près de trois ans, ce n'était pas trop tôt. La jeune femme était envoûtée par son tendre amant qu'elle avait longuement désiré. Pourtant, ce dernier mit un terme ce baiser, revenant à la dure réalité, il ne pouvait pas faire ça. Il ne pouvait pas coucher avec elle comme ça, elle n'était comme toutes les autres et il n'était pas assez bien pour elle. Il prit sa veste la laissant dans une totale incompréhension puis dans les larmes. Un an après, il reposait enfin ses tendres lèvres sur les siennes, elle en avait si souvent rêver et maintenant que ça arrivait, elle peinait à y croire. Elle se laissa guider, tombant sur le lit, accompagnant son homme dans sa chute. Elle espérait vraiment que pour lui, tout ceci signifiait qu'ils étaient en couple. Il ne savait pas vraiment ce qu'il faisait mais, il était incapable de se maîtriser, il l'aimait tant, elle était si envoûtante. Pourtant, il ne pouvait pas se mettre en couple, il avait trop peur de lui faire du mal, elle méritait un homme qui puisse la rendre heureuse et non pas un qui soit capable de la tromper. Elle se moquait bien du reste tant qu'elle était en couple avec lui, elle l'aimait tant, elle savait pertinemment qu'elle lui pardonnerait tout, infidélités comprises. Pour le moment, ni l'un ni l'autre n'était capable de penser sérieusement, ils s'offraient l'un à l'autre, savourant l'instant présent sans même savoir que demain tout cela serait fini. Sans savoir que demain, Lucy ne serait plus là. Arrowsic J'veux pas paraître comme la fille qui ne sourit jamais parce qu'elle a le coeur brisé. Mais j'veux seulement paraître comme la fille qui illumine la vie des autres. Même si elle n'arrive pas a illuminer la sienne pour le moment. Le lendemain de cette folle nuit d'amour, le téléphone de la douce Lucy avait sonné remettant les pendules à l'heure, le bonheur n'est pas pour toi belle blondinette. Il était tant de retourner sur les traces de son passé. Pendant qu'elle passait un agréable moment dans les bras de l'homme de sa vie, son père était en train agonisait suite à un accident de voiture. Elle roulait toujours sans casque sur sa moto et il ne lui était jamais rien arrivé, son père prenait une fois sa voiture et il avait un accident. C'était trop un juste. Derrière son casque, les larmes troublaient sa vision, elle n'avait rien dit à Chaz, elle ne voulait pas affronter son regard. Elle allait retourner à Arrowsic pour l'enterrement de son père et elle allait surtout retourner vivre dans la demeure familiale. Elle savait déjà que ça ne serait pas de la tarte de revenir. Elle était partie comme une voleuse dans le passé, un peu comme là, elle n'avait prévenu que ses meilleurs amis à l'époque alors, elle ne s'attendait pas vraiment à un accueil chaleureux. Pourtant, tout le monde devait s'attendre à son retour, Lucy ne pouvait pas louper l'enterrement de son père dont elle était si proche à l'époque puisqu'elle ne l'avait pas vu depuis près de quatre ans. Dès son arrivée, Lucy savait que rien n'avait changé, les grand-mères étaient toujours aussi commères, les enfants jouaient toujours dans le parc en toute insouciance, les adolescents essayaient toujours d'acheter de l'alcool avant l'âge l'égal et les couples semblaient toujours aussi amoureux. Oui, ce quartier avait toujours cet air de perfection qu'elle détestait tant dans le passé. Aujourd'hui, elle ne savait pas trop quoi penser, elle devait déjà enterrer son père et subir les remarques de chacun sur son retour. Vraiment, la vie ne lui faisait pas de cadeau. WALKING IN THE DARK. La fille derrière l’écran (Whaa déjà on sait que c’est une fille Gnéé ) elle aime pas beaucoup se présenter mais, elle va faire un effort (a) ( et je vais surtout parler à « je » parce que bon, parler de soit à la troisième personne ça va cinq minutes, après c’est lourd *OUT*) Bref, je m’appelle Margot (classique, i know ) & j’habite dans un village bien paumé près de Saint-Étienne x) . Je suis en seconde générale & je vise la première L, passionnant hein ? Bref, je trouve ce forum vraiment très beau, il m'a tout de suite "taper dans l'oeil" Il est vraiment magnifique. Bref je ne sais pas quoi vous dire d'autre ? Humm je suis Kikoololphobe ça vous intéresse ? *sors* |
Dernière édition par Lucy J. Holden le Ven 4 Fév - 16:06, édité 13 fois |
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