Meena Pippa² Galloway

« C'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans un monde de fous.. »

NOM(S): GALLOWAY. ❖ PRÉNOM(S): MEENA PIPPA. ❖ AGE: 22 YO. ❖
ORIGINE: Écossaise. ❖ STATUT CIVIL: Célibataire. ❖ MÉTIER OU ÉTUDES: Animatrice Radio. ❖ GROUPE: Filthy youth ❖ AVATAR: Karen Gillan.

Coucou tout le monde, je suis légèrement forcé de vous dire quelques petits trucs sur moi, j'ui gentille alors je vais vous dire les quelques points importants, je vous donne mon surnom mon prénom est trop pourri, on me surnomme citron/citronvert, je suis une fille, voui voui ce n'était pas dur à deviner ça!! J'ai bientôt dix huit ans et cela fait depuis très longtemps que je suis dans le monde rpg. Je suis du Languedoc-Roussillon, en France -on sait jamais- et j'aime le soleil car j'habite près de la mer!!! J'aime un tas de choses mais surtout m'amuser et les sucreries j'en mange tout le temps -j'ui pas grosse hein!!- que vous dire de plus, hormis que parfois on a l'impression que je n'ai pas toutes les lumières allumées aux étages, vous le verrez bien. Après je crois que je sors souvent des blagues débiles, du genre que dit Où se sont rencontrés Monsieur et Madame Dynamite ? dans une boom. -sort- c'est pourri je sais, c'est carambar!!! bref après je peux avoir une conversation pour cinq, je parle beaucoup beaucoup!!!
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© bannière de poon &
icon de marley smith.

« Meena ma puce, écoute-moi, papa et maman ne s'aime plus. » madame Galloway caressa la longue chevelure rousse de sa fille, elle avait fait tant de choses pour qu'elle ressemble à une princesse et elle avait bien réussi. Madame Galloway fut encore plus splendide que maintenant et elle voulait que sa fille soit aussi belle qu'elle, qu'elle soit resplendissante de bonheur. Elle ne penserait pas que son mari la tromperait avec la bonne et qu'elle se rendrait compte alors qu'elle ne ressente plus cette amour fusionnelle qu'elle eu ressentit autrefois. « Tu comprends ma puce? Papa et Maman séparés. » ses gros yeux vert plantés dans le regard de sa mère Meena commença à avoir ses yeux bordés de larme et se jeta dans les bras de sa mère, elle ne voulait pas être séparés de son père et ni de sa mère, sa mère eu sa garde et au final elle aurait préféré resté avec son père.

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« Meena ma puce, arrête de te goinfrer tu es déjà assez grosse comme ça. » madame Galloway lança un regard sévère à sa fille qui mangeait tranquillement une belle part de gâteaux, elle avait quelques formes mais, elle était loin d’être grosse pourtant sa mère lui empêchait toujours ce qu’elle voulait manger. « Mais maman j’ai faim !! » dit la rouquine les yeux bordés de larme quand sa mère lui retire son festin. « Je n’ai pas envie d’avoir un boudin comme fille, tu me fais honte. » la fillette croisa ses bras autour de sa poitrine et tire la langue à sa mère « je veux plus vivre avec toi !! Je veux vivre avec papa. » un « clac » retentit dans la pièce, sa mère lui infligea cette gifle pour ses propos. « Retire ses mots de ta bouche. » Meena pleurait et s’en alla en courant. « « Je te déteste » dit elle alors qu’elle enjambait les escaliers et s’enferma dans sa chambre. Quelques années après son père vint la chercher car elle avait fugué à plusieurs reprises et il en avait eu la garde, madame Galloway se remaria.

« Aaaaah !!! Enlève moi cette horreur de ma vue » se mit à crier la rouquine, se cachant les yeux de ses deux mains, elle a toujours détesté ces animaux à quatre pattes qui remuent la queue, qui on la langue qui pend, qui bave, qui pue, qui aboie. « Mais, mon coeur ce n'est qu'un petit caniche. » tente de rassurer son concubin, elle écarte ses doigts et vois le petit animal agité sa queue, prise de panique ou de dégout, sa jambe pris un élan automatique à l'aboiement du chien et son pied percuta la peau de l'animal qui se mit à japper au contact de cette douleur, tombant sur le flanc quelques centimètres plus loin, Meena ne s'est pas retenu pour faire voler l'animal, l'homme qui l'accompagne semble surpris et entremêle ses doigts à ceux de son aimée, il finit par sourire et puis rire. « Mon ange... Tu t'es attaquée à un pauvre chien... » Meena se décontracte et affiche un sourire timide. « Tu sais très bien que j'ai horreur de ces bêtes. » dit elle avec une petite grimace, il le sait oui mais essaye toujours de la convaincre de les aimer car, il aimerait avoir un chien. « Tu n'as pas à les frapper. » Elle lui lance un petit regard mauvais. « Je t'ai demandé de le retirer tu ne l'as pas fait, je me suis défendue. » dit elle avec nonchalance et observant autour d'elle si l'animal ne revenait pas. « Meena... » Elle se tourne vers lui « On en parle plus, économisons notre salive car si à chaque fois on doit faire un débat sur les chiens il nous en faudra beaucoup. » Elle lui offre un sourire gracieux et lui donne un petit coup d'épaule amicale pour le pousser légèrement. « Il se fera consoler par sa Valentine, un chien en a plein » dit-elle sourire aux lèvres avant de bloquer la route de son concubin. « Et toi tu es ma seule est unique » elle croise ses mains autour du coup de son amant et sourit. « Je l’espère. Et tu es à moi seule!!! » dit-elle, elle ne veut pas gâcher cette journée en amoureux à parler d’un chien. Il dépose un baiser sur le bout de son nez, elle sourit et il l’embrasse. « J’aimerais que jamais cela ne s’arrête. » il la sert contre lui. « Ca ne s’arrêtera jamais…» elle sent quelques chose d’humide lui frotter le mollet. « Haaa, encore cette satanée bête. » Prête à lui donner de nouveau un coup de pied. « Attend attend ne le frappe pas. » dit-il en riant et poussant l’animal, elle le regard faire « On peut continuer notre route. » il lui tend la main, elle lui prend en sautillant. « Je t'aime. » Il pose un baiser sur son front et ils continuent à marcher, main dans la main.« Tu veux manger où?» elle sourit et réfléchit «Qu'importe, nous pouvons très bien resté au lit, tous les deux. » elle a un léger sourire coquin et rigole. « j'aime beaucoup cette idée.»

« Meena je suis.. » il ne la reconnait plus, les cheveux en pagailles, le teint pâle, les yeux rouges, plus aucune lueur de joie de vivre dans ses si jolies yeux. Elle lui coupe même la parole. « Désolé ? » dit-elle énervée. « Tout le monde est désolé mais, personne n'est foutu de me consoler, je m'en fou de votre pitié! laissez moi toute seule à la fin, j'en ai marre de vous tous!!» elle claque la porte au nez de son ami, il ne dit pas un mot car, il sait qu'elle va ouvrir la porte, elle le fait. « Désolée j'ai du mal à gérer mes émotions. » elle est une épave, il la sert dans ses bras pour lui redonner des couleurs. « Ca sert à rien » elle le laisse rentrer et se jette sur quelques choses à manger. « Meena, ça va faire un mois. » elle continue a mangé. « C’est mon père qui t'envoie ?» il fait attention où il pose les pieds pour rien écraser « Non Meena, tout le monde s'inquiète pour toi. » elle hausse les épaule regarde autour d'elle « Pourtant il n'y a que toi. » il soupire, elle attend une réponse. « Tu rejettes toutes personnes qui vient te consoler. » il n'a pas tort, elle arrête de manger. « Mee' va prendre l'air. » il s'approche d'elle. « C'est un salaud, tu le sais, un salaud ne mérite pas que tu souffres autant pour lui. » il la colle contre lui, elle se laisse faire « Mais je l'aimais... » Une voix faible mais, elle ne pleure pas, elle ne pleure jamais devant les autres hormis devant un film ou de joie. « Je sais Meena , je le sais très bien. » elle lève la tête. « Comment tu fais pour aimer les garçons ?» il rigole « Allé fais un tour avec moi mais; avant prend un bon bain. » elle se regarde et hausse les épaules. « Tu as sans doute raison. » Elle ne sait plus trop quoi faire, et elle se rend compte qu'elle agis comme une fillette, il y a juste les fillettes qui pleure sur leurs sorts. Elle se mordille la lèvre et s'en va prendre un bain, elle espère juste que cela ne l'affecte pas plus si elle sort, elle a un peu peur de sa faiblesse et ne souhaite pas la montré en public... « Nous allons à ton endroit préféré... »

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