Sujet: don't touch me anymore - Aleksei Sam 12 Nov - 5:47
Il était déjà nuit, environ 4 heures du matin. J'avais terminée de travaillé un peu plus tard que prévu et j'étais vraiment crevée. Je décida alors de partir à pied. À quoi bon prendre un taxi? La température était très agréable, alors pourquoi pas? Ce n'était pas très loin de toute façon. Je traversa la rue, puis arriva chez moi après à peine dix minutes plus tard. Je monta les escaliers, puis ouvris la porte de mon appartement. Je referma celle-ci, sans vraiment a verouiller. De toute façon, personne ne rodait ici à ces heures. Je n'ouvris aucune lumière tellement la lumière me donnait mal aux yeux. Je ne fis que me prendre un verre d'eau. Mon téléphone sonna, puis en appuyant mon oreille sur celui-ci, la ligne fut coupée. Certainement un faux numéro. Je retira mon pantalon avant de me diriger vers le minuscule couloir ou menait le salon. Je me posa devant la télé, puis regarda les films à ma disposition. J'ouvris cette dernière, puis inséra un film au hasard. Je me retourna vers le canapé, puis appercu une silouhette. Je n'eu le temps de réagir que celle-ci me sauta presque dessus, par contre, les raisons n'étaient point bonnes. Je pu dédiuire que c'était un homme, par sa force physique. Il me bloqua le passage, puis m'empoigna le bras, j'aurais bien pu me débattre pendant des heures, rien ne fonctionnait. Il me poussa voilement au sol, empoigna mon visage, puis commença à frapper ce dernier ainsi que les autres parti de mon corps. Je n'arrivais pas à distinguer son visage, la seule chose que je pouvais faire, c'était crier pour que quelqu'un me vienne en aide. Les coups étaient de plus en plus fort et je commençais à sentir mon corps s'engourdir tellement la douleur était insoutenable. J'avais même supplier celui-ci à grosses larmes, mais ce dernier n'avait fait qu'empirer la situation. Il appuya mon visage contre le carlage du sol, puis frappa violemment la partie à découverte. C'est à ce moment que je me suis évanouie.
La lumière perça mes yeux, j'ouvris ces derniers avec difficulté, puis me retourna sur moi-même tout en plissant les yeux. Mes menbres me faisait énormément souffrir. Je fini par voir plus clair, malgré les parties de mon corps qui étaient douloureuses. J'arrivais à peine à bouger. J'appercu alors mes cuises, couvertes d'émormes taches mauves. Mes pieds en étaient couverts... je réussi à me rendre à la salle de bain ou je réussis à me mettre debout pour appercevoir la pire horreur de toute ma vie. Mon visage, qu'est-ce qu'il était arrivé à mon visage? Seigneur. des blessures, des plaques mauves... le contour d'un de mes yeux était même presque noir. Ça me revenait. Je ne pu m'emêcher de pleurer en baissant la tête. Mon corps était maintenant un champs rempli de bleu et de blessures dégoutates. La douleur commençais à revenir. Seigneur dieu. Cet homme m'avait donc frappé pour aucunes raisons et d'ailleurs, il avait sacagé mon salon et une partie de ma cuisine. J'appercu mes bras en me rendant près de la porte d'entrée. Je ne pu m'empêcher de vérouiller la porte.
Sujet: Re: don't touch me anymore - Aleksei Sam 12 Nov - 6:22
this will destroy you.
Les pieds contre le mur, la tête à l'envers, elle essayait tant bien que mal de trouver le sommeil, de se laisser emporter par les bras de Morphée, mais en vain, il n'y avait rien à faire. La belle ne cessait de cessait de revoir son visage, sa gueule d'ange lui hantait l'esprit à tous moments, c'était comme s'il avait du pouvoir sur elle, comme s'il arrivait à contrôler ses moindres pensés. Dans un lourd grognement, elle se leva doucement puis se dirigea paresseusement à la salle de bain. Une douche allait sans doute lui faire du bien, la chaleur écrasante de l'eau allait peut-être lui permettre d'enfin trouver sommeil. Le visage posé sur le reflet que lui offrait la glace, elle ne put s'empêcher de grimacer. Ses yeux étaient cernés, y coulait le peu de mascara qui lui restait et sur la lèvre inférieur, elle s'était prise un coup et y régnait désormais une magnifique petite cicatrice recouverte de sang. Encore une fois, elle avait trop fêté, elle avait dépassé les limites, croyant que le mot excès n'existait plus. Dans un soupire, la jolie se dévêtit doucement et fit couler l'eau, optant finalement pour un bain. Le temps que ce dernier se remplisse, elle attrapa son portable sur le rebord du lavabo et rapidement y composa l'un des numéros qu'elle connaissait le plus, soit celui de son amie. Certes il se faisait tard, ou tôt le matin, mais elle savait pertinemment que cette dernière venait tout juste de terminer son chiffre et ainsi donc, ne dormait toujours pas. Un peu de compagnie, même vocale ne pouvait pas lui faire de tord. Malheureusement, aucune réponse ne se fit à l'autre bout du fil et bien vite, la messagerie embarqua. Chose qui surpris la jolie blonde. Lola avait toujours été du genre à lui répondre, quelque soit l'heure, le moment ou l'endroit. Néanmoins, elle se voyait mal aller cogner chez elle à quatre heure du matin et c'est la tête bourré d'inquiétude qu'elle se laissa glisser doucement dans cette eau quasi bouillante. Elle irait la voir à son réveil.
Les cheveux en bataille, le regard cadavérique, Alekseï enfila avec amertume sa robe grise, suivit de leggings et attrapant son sac à main, elle enfila par la même occasion ses bottillons, elle n'avait pas de temps à perdre, direction l'appartement de sa meilleure amie. Certes c'était d'un ridicule aux yeux d'un autre. Elle avait daigné répondre à son portable et c'était une raison valable pour faire paniquer son amie, alors qu'elle pouvait avoir mille et unes raisons de ne pas avoir répondu, mais la jolie blonde n'était pas dupe et elle ne voulait pas regretter de ne pas s'être rendu chez sa copine. Yeux mi-clos, elle quitta rapidement l'appartement qu'elle partageait avec sa soeur et la gamine de cette dernière et se rendit quelques rues plus loin, soit chez Lola. Bien qu'à l'habitude rapide, le chemin sembla cette fois horriblement long, un supplice pour ses pauvres jambes, encore fatigués de la veille. Elle avait beau s'être tapé quelques heures de sommeil, ça n'enlevait rien au fait qu'elle avait encore quelques séquelles du trop pleins de bouteilles qu'elle s'était fait à cette fête et c'est les jambes molles qu'elle monta les escaliers menant chez son amie. Quelques coups plus tard, la porte s'ouvrit enfin, ce qui rassura déjà un peu la belle. « Heureuse de voir que t'es en vie toi, dis t'aurais pas un peu de café parce que je suis compl .. » Ses mots se perdirent. Son regard venait de croiser celui de Lola, ce visage autrefois si doux, si serein, abordait désormais d'horribles marques. Des écorchures, de violentes échimauses, elle faisait peine à voir. « Lola ? » Baissant légèrement les yeux, elle remarqua aussi des blessures le long de son corps, partout sur ses cuisses, ses bras, c'était atroce. « Lola qu'est-ce qui s'est passé ? » La rouquine ne répondit rien, n'invitant même pas sa grande amie à entrer. « Bon écoute, j'ai pas la patience ce matin tu vas me dire ce qui s'est passé et sors moi pas cette excuse débile de l'escalier. » Elle haussa légèrement les sourcils puis sans la moindre invitation, entra dans l'appartement. Tout semblait normal, du moins en comparaison avec Lola. « Alors ? »
Sujet: Re: don't touch me anymore - Aleksei Sam 12 Nov - 6:47
Je ne savais pas quoi dire, par ou commencer. Je ne savais même pas pourquoi, mais les mots de parvenait pas à sortir de ma bouche. Je n'avais même pas eu la force de terminé de ranger mon appartement qui était ma fois en mauvais état. Je me tourna contre le comptoir, puis pris un verre de vitre qui se trouvait sur l'une des tablettes dan s la cuisine. J'adressa soudain la parole à mon amie, qui avait d'ailleurs de bonnes intentions. « Tu sais, le seul truc que je réussi à me rapeller, c'est qu'un homme est entré ici, et..... Il s'est mit à me frapper, et à un certain moment, je me suis évanouie. Le seul événement marquant, c'était la violence de ses coups. Je crois que même le maquillage ne réussira pas à camouffler ça...» Aucune émotion. Je n'arivais pas à m'exprimer comme je le fesais à l'habitude. Je n'avais pas envie qu'elle parte. Qu'elle me laisse toute seule. « Je n'ai aucune idée pourquoi tout ça est tombé sur moi. » Je n'orais pas la regarder dans les yeux. Qu'elle voit mon visage, à quel point ce dernier était dégoutant et rempli de blessures. Je n'avais point la force de me regarder dans la glace, alors comment pouvait elle me regarder dans les yeux. « Je dois t'avouer que, je ne sais pas ce que je vais faire maintenant. » En fait, je lui fis un signe d'attendre une seconde, puis me rendis vers ma chambre - point sacagée - puis enfila des vêtement facile à porter et d'ailleurs, qui allaient couvrir une partie de mes blessures. Ce n'était pas dans mon habitude de porter autant de tissus, mais je n'avais as le choix. Qu'est-ce que j'allais faire? Je pris mon coffre à maquillage, puis le déposa sur la table devant mon amie. « J'ai l'impression d'être un monstre, tu comprend. »
Sujet: Re: don't touch me anymore - Aleksei Dim 13 Nov - 8:22
this will destroy you.
Sans le moindre mot, la moindre parole, Lola lui tourna simplement le dos, se dirigeant vers la cuisine. « Lola .. » Comme si elle craignait brusquer son amie, c'est dans un doux murmure qu'Alekseï s'approcha du comptoir où la rouquine avait posé coude. « Tu sais, le seul truc que je réussi à me rapeller, c'est qu'un homme est entré ici, et..... Il s'est mit à me frapper, et à un certain moment, je me suis évanouie. Le seul événement marquant, c'était la violence de ses coups. Je crois que même le maquillage ne réussira pas à camoufler ça... » Sa voix était froide, comme dépourvue de toutes émotions mais trahissait tout de même la peur, la douleur qu'elle éprouvait. Ne sachant trop que dire, Alekseï prit place sur l'un des bancs et poussa un lourd soupire avant de doucement passer sa main sur l'épaule de sa pote, en signe de réconfort. Même dans de tels moments, la jolie n'avait jamais été très douée pour réconforter les gens, tout ce qui était belles paroles, câlins ou autres, ça n'avait jamais été son fort. Néanmoins, elle tentai tout de même quelques efforts, ne voulant pas laisser Lola dans une telle merde. Ce qu'elle venait de lui dire, cet homme qui était entré sans raisons et la peur sur son visage, ça lui donnait mal au coeur. Comment pouvait-on être assez débile pour s'en prendre à Lola, qui pouvait être assez cruel pour lui causer du mal. Aux yeux d'Alekseï, elle était la douceur incarnée, un soleil sur deux pattes, comment quelqu'un pouvait-il lui en vouloir à ce point ? « Tu .. tu comptes téléphoner aux flics ? Je sais que t'es pas friande de ça et je te comprends, disons que je ne suis pas très fan d'eux aussi, mais ce qui vient de se produire Lola, c'est pas rien tu comprends ? Puis si ce type court encore qui dit qu'il ne recommencera pas sur quelqu'un d'autre, c'est un danger publique. » Elle qui avait toujours voué une haine profonde envers la police, elle qui avait même déjà un casier judiciaire quelque peu chargé à dix-sept ans, elle lui proposait de les appeler, c'était une première. « Je n'ai aucune idée pourquoi tout ça est tombé sur moi. » Elle était visiblement mal en point et pas seulement due à ses nombreuses blessures physiques. « Peut-être qu'il te connaissait, qu'il t'en voulait pour je ne sais quelle raison. Ce que je ne croirais pas possible remarque mais ne sait-on jamais. Sinon, c'est peut-être comme dans ces films d'actions, le fou qui s'attaque à tout ce qui bouge. Ça aurait pu arriver à n'importe qui d'autre Lola, te tiens pas responsable de tout ça. » « Je dois t'avouer que, je ne sais pas ce que je vais faire maintenant. » Comme à son habitude, son amie s'apprêtait à riposter, à lui sortir une réponse qui avait beau pour but de lui changer le moral, tant bien que mal, mais avant même qu'un son ne sorte, la rouquine lui fit un signe de doigt et rapidement, s'éclipsa dans sa chambre pour en ressortir quelques minutes plus tard, cette fois mieux vêtue. De longs pantalons ainsi qu'un long chandail cachaient désormais une grande partie de ses blessures. Coffre à maquillage entre les mains, elle le déposa rapidement sur la table. « J'ai l'impression d'être un monstre, tu comprend. » Ces paroles arrachèrent une moue à Alekseï et d'un bond, cette dernière se leva avant de s'approcher de Lola. « Un monstre ? Tu te fais attaquer et c'est toi le monstre ? Vas falloir que tu m'explique un truc parce que je crois en avoir perdu un bout. D'accord, t'es dans un mauvais état, mais c'est une raison pour te traiter de monstre ? Ce que tu viennes de vivre, c'est horrible, voir pire même, mais tu n'es pas un monstre pour autant Lola, tu ne le seras jamais .. » Elle sourit tristement. « Tu restes jolie même avec ces nombreuses équimauses tu sais ? » D'une certaine manière, elle souhaitait avoir remonté quelque peu l'estime de son amie avec cette phrase, mais elle le pensait réellement. Elle faisait peine à voir, ça oui, mais ça n'enlevait rien à son joli visage.
Sujet: Re: don't touch me anymore - Aleksei Mer 16 Nov - 21:03
« Tu .. tu comptes téléphoner aux flics ? Je sais que t'es pas friande de ça et je te comprends, disons que je ne suis pas très fan d'eux aussi, mais ce qui vient de se produire Lola, c'est pas rien tu comprends ? Puis si ce type court encore qui dit qu'il ne recommencera pas sur quelqu'un d'autre, c'est un danger publique. » Je répondis aussitôt : « Je sais très bien que se qu'il a fait n'est pas acceptable, mais je... je n'ai pas l'intention de prévenir la police. » Avant que ma chère amie rétroque, je poursuivit : « Tu vois, ça ne servirait à rien de toute façon, je l'ai pas vu son visage, je ne sais même pas à quoi il ressemble. La police ne s'attardera pas sur un cas qui n'arrive à rien. »
« Un monstre ? Tu te fais attaquer et c'est toi le monstre ? Vas falloir que tu m'explique un truc parce que je crois en avoir perdu un bout. D'accord, t'es dans un mauvais état, mais c'est une raison pour te traiter de monstre ? Ce que tu viennes de vivre, c'est horrible, voir pire même, mais tu n'es pas un monstre pour autant Lola, tu ne le seras jamais .. » Je soupira. « J'en ai tout de même l'impression. En plus, je ne peux pas me permettre d'aller au boulot ainsi, je crois qu'il sera inutile d'appliquer du maquillage, dis-je en me regardant dans un miroir compact. C'est trop profond, je crois que si je me couvre le visage de maquillage, tout ça serait mille fois pire. Je ne peux plus rien porter, enfin presque tout mes vêtement sont trop voyant. Tu imagines quelqu'un se balander en ville avec plein de grosses blessures violette partout? Pas moi en tout cas... Je n'imagine même sortir.. » J'allais donc me contenter de mes bonnes et veilles lunettes fumées, qui était ma fois, énorme. Certes elles n'allais pas couvrir tout, mais en dissimuler une partie. Je me retourna vers mon amie, peut-être un peu trop rapidement. En me tournant vers elle, mes côtes frôlèrent la table. Certes, à l'habitude je n'aurais fais mine de rien, mais à ce moment ci, je senti une douleur insoutenable du coté droit de ma cage thoracique. « Putain... Merde. » Je grinca des dents pour empêcher le cri de sortir de ma bouche, mais celui-ci ce fit entendre par mon amie. Le simple fait du contact avec un objet avait fait resurgir ma blessure. Honnêtement, je ne savais pas si c'était cassé ou fêlé.
J'avais enlevée mes vêtements, sauf les sous-vêtement bien entendu. Mon amie constata enfin l'empleur des dégas, C'était douloureux, mais surtout affreux à regsarder. Même si mon visage était la partie la moins touchée, j'avais l'impression d'être rempli d'équimauses. J'arrivais à peine à me regarder dans le miroir plus qu'une fraction de seconde. « Alors? » demandais-je à mon amie qui inspectait si ma côte droite était bel et bien brisée. En tout cas, ça faisait un mal de chien.
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