Ici, tu nous racontes ta petite vie. Si tu veux la rendre plus passionnante, il t'est permis d'ajouter des gifs ou des bannières, ainsi que de la musique. N'oublie pas de créditer les œuvres des autres en revanche. Pour ce qui est du contenu, on est très libéral sur ce forum. Tu fais comme l'inspiration te vient : en anecdote, en texte suivi, tu peux même nous confier une petite séance chez le psychologue de ton personnage s'il suit une thérapie. Les journaux intimes sont à la mode, alors tu peux aussi nous en montrer des extraits. C'est comme tu veux. Tant que tu atteins les trente lignes, on sera très heureux de t'accueillir parmi nous.
living young and wild and free
t'arrives d'où : Hmm je me rappel plus tiens XD Je crois que c'est Sabychou qui m'a ramené ici par la peau des fesses ❉ pourquoi thub : Pourquoi pas ? *out* Parce que j'aimais le design, l'activité et l'ambiance qui semblait y régner d'après Saby. ❉ des avis : J'aime toujours autant le forum et une ambiance comme ça malgré un nombre aussi important de membres... ben respect quoi ! ❉ des questions : Nope. ❉ > règlement lu : Vouip, of course ! ❉ > dernier mot : Les pandas gouverneront le monde, mais pas demain, ils font la sieste. ❉
Ici, dis-nous qui tu es, quel âge tu as, si tu as des passions. N'oublie pas de nous révéler tes plus sombres secrets. Libre à toi de te présenter comme tu le veux. Allez, lâche-toi, raconte nous tout en désordre, tu verras, ça fait du bien.
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Jeu 29 Déc - 11:25
Un jour, une histoire.
« Valère ! Tu devrais être en train de t'entrainer au lieu de paresser au bord de la piscine. Tu as un combat ce soir. » Je ne prend même pas la peine de tourner la tête vers mon père. Les yeux camouflés derrière mes RayBan, je soupire et m'étire en déclarant : « Je suis déjà suffisamment entrainé p'pa, reste tranquille. » Je l'entend souffler comme un buffle à côté de moi, ça me fait rire. Je sais très bien que je l'énerve, que ma flemme l'énerve, que ma suffisance l'énerve. Mais ça m'amuse. Terriblement même. « Depuis le début tu n'as gagné que 4 match sur 10 ! C'est une honte pour notre nom Valère ! » Quel personnage désagréable, vraiment. Je retire mes lunettes et quitte mon transat à contre cœur. Déjà plus grand que lui, je le toise puis, d'un sourire narquois je déclare : « Tu as raison p'pa ! Je vais me mettre en condition pour ce soir. » Mon père hoche la tête, visiblement satisfait de ma réponse. Mais au lieu de me diriger vers la salle d'entrainement, je monte dans ma chambre. Et bien oui, rien de mieux qu'une bonne sieste pour être en forme, n'est-ce pas ? En tout cas, c'est ma vision des choses.
Oui, à l'époque je me prénommais Valère Vassily et j'étais le fils d'un mafieux connu dans la "profession". Grand organisateur de combats de rue et de courses illégales, il était un adepte du danger et du frisson. Mais attention, il ne participait jamais. Il n'était que spectateur. Et il m'a transmit ce goût du risque. Seulement moi, je ne pouvais me contenter de ça. Il fallait que je sois acteur. Il m'a donc formé et entrainé aux combats et aux courses. Mais à l'époque, je n'avais que 17 ans. Je n'étais qu'un gamin prétentieux et sûr de lui qui ne craignait personne. Je me pensais intouchable de part ma famille. Mais j'avais tord. En attendant, en prenant de l'âge je pris tout ceci bien plus à cœur. Je me mis à gagner la majorité de mes combats et ma réputation en courses n'était plus à refaire. J'étais Valère Vassily, fils de mafieux, et futur mafieux. Dans ce monde là, c'est comme dans les monarchies. Ça se transmet de père en fils.
« Valère ? Je... je peux te parler deux minutes. » Je me retourne brièvement et découvre une petite brune tout ce qu'il y a de plus charmants. Je lui offre mon plus beau sourire et retire mes mains du moteur de ma voiture tout en les essuyant sur un torchon -blanc à la base. Je m'approche d'elle, torse nue et j'en joue. Mais ça ne semble pas lui faire beaucoup d'effet. Une lesbienne peut-être ? Je tente quand même le coup. Voix charmeuse, regard de BadBoy, je me crois dans un film, comme bien souvent. « Je peux t'aider ma jolie ? » Hey ! Pourquoi elle me regarde avec cet air-là ? Je fronce les sourcils, curieux. « Valère, c'est moi... Stella ! » Stella ? Ah oui ! ... Euh, non. Je cherche au plus profond de ma mémoire mais non vraiment, ça ne me dit rien. Je hausse les épaules, signe que Stella est inconnue au bataillon. Elle soupire. Quoi ? On ne peux pas se souvenir de tout et tout le monde, merde. « On a couché ensemble, il y a deux mois ! Après ta course face à un type de New-York. » Deux mois ? Mon dieu, mais comment veut-elle que je me souvienne d'une chose aussi éloignée ? Et puis entre temps, il y en a eu des femmes. Si je devais me souvenir de toutes celles qui passent entre mes jambes, je ne m'en sortirais pas. Me désintéressant alors d'elle je déclare : « Oh, c'est cool. Mais désolé, les filles quand c'est utilisé une fois ensuite, c'est périmé. » Elle me regarde, l'air ahurie. Mince elle ne comprend rien quand je parle ou quoi ? Agacé, je soupire et lâche d'une façon plus sèche : « Je suis flatté que tu es traversé le pays pour me retrouver dans l'unique but de me demander en mariage, mais je ne couche jamais deux fois avec la même fille ! Il faut laisser sa place aux autres hommes ensuite, question d'humanité. » Ah mince, elle pleure maintenant. Bon sang que ça m'agace les gens qui pleurent ! Allé, serre les fesses Valère, ça va te passer ! Je me retourne, m'apprêtant à retourner à mes occupations, mais Shela, ou peut-être Estelle, je ne sais plus trop, me balance : « Je vais faire court. Je suis enceinte, tu es le père. » Quoi ? Elle me dérange pour me dire ça ? Grand dieu, les gens sont culottés de nos jours ! Sans me retourner j'annonce la couleur : « Tu lui passeras l'bonjour de la part de papa alors. » Je ris. Oui, je trouve ça drôle moi. Je me fiche bien qu'elle soit enceinte ou pas, qu'est-ce que vous voulez que ça me fasse ? Je ne lui dois rien à cette donzelle. J'entends vaguement quelques insultes, mais je continue de siffloter gaiement. Quelle belle journée. Coupant court à la conversation j'ajoute : « Non, tu n'auras pas d'argent. Oui, tu peux lui dire que son papa est mort à la guerre en héros. » Aïe ! Elle vient de me balancer quelque chose dans le dos ou je rêve ? D'accord ma cocotte, alors là, ça va mal se passer. Je me retourne, énervé et je m'approche d'elle à grands pas. Je lui empoigne brutalement le bras et la secoue. « Je m'en bas les couilles du mioche qui va venir te déformer le ventre okai ? Tu te démerdes, t'es toute seule c'est clair ? Maintenant, tu dégages de là et surtout, tu ne reviens jamais sinon crois-moi... ça finira mal pour toi. » Elle se calme et prend visiblement mes menaces au sérieux. Il vaut mieux pour elle, je ne plaisante pas. Mais elle ose malgré tout me dire : « T'es qu'un sale pourris. » Ok. Je serre les doigts et mon poing s'abat violemment sur sa joue, la clouant au sol dans un cri déchirant -bon sang ce que ça peut gueuler aigüe une donzelle ! Le nez et la lèvre en sang, elle se met à pleurnicher. Je la prend par les cheveux et l'oblige à se lever. Après quoi je la pousse en avant et déclare froidement : « C'était qu'un avant goût de ce qu'il t'arrivera si tu remets les pieds ici un jour. Maintenant, dégages ! » Ou j'en étais déjà ? Ah oui, mon moteur ! Quelle belle journée.
Je ne l'ai jamais revu et c'est tant mieux. Je n'avais que 20 ans, qu'est-ce que vous vouliez que je fasse d'un gosse ? Je n'aime pas les enfants de toute façon, ça encombre. J'ai donc continué ma petite vie tranquillement, sans me douter que je reverrais mon enfant un jour. Et pire encore.
Tranquillement installé dans mon canapé, je nettoie mon Colt M1911A1. Mes volets et mes rideaux sont fermés, il est environs 1h du matin, je suis paisible. Les affaires marchent bien en ce moment, mon père peut être fier de moi. J'ai repris son "affaire" à New-York et je mène ça au doigt et la baguette. En grandissant, j'ai néanmoins découvert l'envers du décor. J'ai découvert que pour rester sur le trône, il fallait savoir se "salir les mains". Je sais faire maintenant, et ça ne me pose pas problèmes. Je dors très bien même si vous voulez tout savoir. L'exercice, ça détend. Hey ? C'est quoi ça ? Un bruit de cliquetis attire mon attention, cela vient du sous-sol. Ni une ni deux, je laisse tomber mon nettoyage et charge mon arme. J'éteins les lumières et sans bruit, je me dirige vers la porte qui mène au sous-sol, près à cueillir l'opportun. C'est l'inconvénient du métier. D'où je suis, ils ne peuvent pas me voir ces idiots. Qui qu'ils soient, s'ils pensaient m'avoir sur mon propre terrain... ils sont alors bien naïfs. Des voix me parviennent alors jusqu'aux oreilles. Je connais ces voix ! Ce sont quelques uns de mes hommes. La porte s'ouvre lentement et c'est bien Diego que je vois se dessiner dans l'ombre. Qu'est-ce qu'ils foutent là ? Méfiant, je reste en place. Les trahisons ça existes ! « Dunk, va voir s'il dort. Réveille-le vite, prenez le minimum d'affaires et on se casse ! Je reste en bas pour surveiller. » WTF ? Je sors de l'ombre, interloqué et prend la parole -les faisant tous sursauter au passage : « On part en croisière les filles ? » Désolé, je ne peux pas m'empêcher de faire de l'humour, c'est plus fort que moi. Mais il paraît que ce côté sarcastique me donne du charme ! Si, je suis sûr que quelqu'un me l'a dit un jour, attendez voir... Ça me reviendra ! Diego s'avance vers moi, stressé : « Valère ! C'est ceux du quartier Sud, ils ont retrouvés ta trace, ils arrivent. Ils ont butés Stella déjà ! » Stella ? Mais c'est qui elle ? Je fronce les sourcils, et les pointe du doigt pour bien souligner que je ne comprend pas. Diego soupire. BAH QUOI ? « Mais si Stella ! La mère de ta gosse ! Bref, ils l'ont descendu, ils te cherchaient et je crois qu'elle a balancé où tu vivais. » Maudite femelle ! Si elle n'était pas déjà morte, j'irais moi-même m'en occuper. « Putain qu'elle conne celle-là. » Dunk redescend de l'étage avec un sac pleins à craquer de mes affaires et repart par là où il est arrivé. Diego me secoue un peu : « Bouge mec ! Prend tes armes et on se casse, on va te trouver une planque en attendant que ça se calme. » What ? Non, je ne crois pas non ! Je me dégage de son étreinte et déclare : « Dans tes rêves ! Je ne bouge pas d'ici. S'ils me veulent pas de soucis, je les attend ! Je n'prend pas la fuite, j'ai quelque chose entre les jambes, MOI ! » Bon visiblement, mauvaise réponse, Diego s'emporte. Quel fichu caractère d'espagnol celui-là ! « Tonto !! Te digo que se va ! » Ah voilà qu'il me parle en espagnol maintenant. Bon, il est très en colère. Et je sais que Tonto est une insulte, maudit "cabron" ! Pas le choix. Je m'active dans mon salon et récupère mes différentes armes avant de filer avec lui. Je rentre dans la bagnole et on file. Mais là... « C'est quoi ça ?? Diego, t'es devenu nourrice à mi-temps ou quoi ? » A côté de moi, sur la banquette arrière une gamine dort. C'est quoi ce délire ? « C'est ta gosse jefe. » ... LOL ! Il plaisante là ? « Et qu'est-ce qu'elle fou dans la même voiture que moi ??! » Visiblement je suis le seul ici que ça choc. Mes hommes sont des incapables ou quoi ? « On l'a récupéré à l'appartement de Stella pour lui éviter d'y passer elle aussi. On l'a foutra dans la planque avec toi jusqu'à ce qu'on lui trouve un nouveau foyer. » AH NON HEIN ! Pas de gosse. « Négatif ! Je ne veux pas de cette gosse avec moi. On la bazarde au coin d'une ruelle et elle se démerde ! Une famille de chiens errants l'adoptera peut-être ! » Non ? Bon, ben tant pis alors...
Et voilà comment je me suis retrouvé en planque avec ma fille, Isadora, de 8 ans. Une gamine fascinante avec un QI de 180. Son intelligence supérieure m'énervait souvent à vrai dire. Mais je m'y suis fait. On est resté en planque pendant deux semaines. Jusqu'à ce que Diego m'informe que ma tête avait été mise à prix dans toute la ville et que je n'avais quasiment aucune chance de sortir de cette planque vivant. C'est là que je suis devenu Lydéric Cassim Wade, honnête citoyen américain, professeur de boxe et... papa. On m'a expédié très loin de NYC, dans un coin reclus et tranquille, ou personne n'irait me chercher. Bref, un endroit où je risque de crever d'ennui. Pour le moment, je suis en sécurité, mais ce n'est que provisoire. Une fois que les choses se seront calmées à NYC, d'ici un ou deux ans, j'y retournerais et je reprendrais ma place. Je ne suis pas un honnête citoyen, je ne suis pas un père et je ne le serais jamais. Ma vie est là-bas et j'y retournerais, tôt ou tard.
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Jeu 29 Déc - 11:29
Je te revalide mon amour d'ange adoré que j'aime. T'es la meilleure, t'es la plus belle, t'es au top du top ! \o/ (ah et si tu pars, y a Ella qui a prévu de faire une crise donc bon : accroche toi à ton siège )
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Jeu 29 Déc - 11:32
MOHHHHH Ça c'est de la validation AU TOP DU TOP bordelou :chazi: Merci mon ange, t'es trop gentilleeuuh, ILOVEUSOMOUCH :chazi&abbey: *j'te prend dans toute la maison moi, rien à foutre* RAWRRR ! *sbaf* (mais qu'elle maso celle-là j'ai pas l'intention de partir, qu'elle se rassure pouahahaha !! XDDD)
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Jeu 29 Déc - 12:27
Un peau-beaucoup-passionnément-àlafolie tu veux dire XDDD Bah j'ai jamais eu l'intention de partir tu sais J'pourrais pas me passer de vous bande de vilains D'ailleurs faut que je réponde à ton mp pour notre topicounet ! ;)
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Jeu 29 Déc - 12:45
Oh oui le lapsus dit donc j'aime quand tu penses à moi sous ta douche *mode grosse perverse ON* XDD Oui oui oui ! OYEAH un fight club mouahahha On en discute par mp ? Et t'as vu mon message sur ton FB mon ange ?
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Jeu 29 Déc - 13:03
Oui, on s'mpotte. Je suis sûre que ça va être mortel ! (enfin, pas trop quand même) Oui, j'ai vu. Merci mille fois, c'est adoraaaaaable. Et jitaime ! Et je savais que t'avais pas oublié, je te fais trop confiance !
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Sam 31 Déc - 16:06
Haaaaaaa c'est mon bourreau préféré ! :abbey: Fais gaffe, Tonia va se transformer en Rocky et elle va te foutre la pâté de ta vie (mais elle frappera pas ton visage, ça serait con de l'abimer )
Dernière édition par Tonia V. Hasbrough le Sam 31 Déc - 16:19, édité 1 fois
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Sam 31 Déc - 16:09
Ahahahha yeaaah c'est moi c'est moi :cam: Ouais c'est ça, GENRE Lydéric la maitrise en un rien de temps (oui surtout pas au visage en plus hein ! il en a besoin pour piéger ses victimes ! xDDD)
Sujet: Re: Lydéric, ou le tueur de prince charmant. Sam 31 Déc - 17:02
Je suis obligée de poster ici un rebienvenue :D. Parce que ça a la classe les rebienvenues et même si ça m'écorche la bouche de le dire au bourreau d'Ella J'sais pas ce que vous manigancez mais je n'aime pas ça :o