Né il y a vingt-sept ans à Londres dans un couvent Peeta, il n'a jamais connu l'affection de ses parents et cela lui manque encore plus maintenant. Il reçoit tout ce dont il a besoin dans cette maison de Dieu qui sera pendant longtemps son seul refuge. Il a grandi comme tous les enfants qui étaient dans le couvent, certes ils recevaient de l'amour mais, pas de leurs véritables parents qui les avaient abandonnés sans raisons dans leur tête d'enfants. Quand il fut enfant il eut un coup de cœur pour une sœur en particulier Sœur Louise qui commençait à s'occuper plus de lui à son adolescence, la sœur alla à la recherche de la mère biologique du jeune homme. Quand le jeune homme appris par sa mère de substitution que sa vraie mère était une prostituée, il fut sous le choc. Il décida de travailler en dehors de ses cours afin de sortir sa mère de cet enfer, afin d'avoir aussi un appartement digne de son nom. Mais elle refusa catégoriquement, le jeune homme déboussolé décida de vivre seul dans l'habitation qui se situe à Londres. Le jeune homme a des projets pleins la tête mais, il espère en priorité faire de bonnes rencontres et pourquoi ne pas trouver la femme de sa vie, car malgré son âge il a vécu des histoires d'amour plus ou moins important dans son cœur de petit garçon abandonné. Mais il cherche aussi des amis sur qui comptait, car la vie ne lui a jamais fait de cadeaux, mais comme on dit des fois il vaut être seul que mal accompagné par des gens qui ont des préjugés sur les origines sociales. Le jeune homme eu envie de partir de Londres. Il ne voyait plus trop l'importance de rester dans cette ville alors que rien vous retient et que vos propres amies s'en fiche royalement si vous ne leur donnez pas de nouvelle. Du coup, pourquoi resté dans une ville qu'est plus très important à vos yeux, hein ? Vaut mieux partir et oublier tous ce passé douloureux qui fera à jamais partir de votre misérable vie.
Mais, dès mon arrivée ici à Arrowsic, Maine, j'ai rencontré la plus merveilleuse des femmes sur terre. Où je le pensais plutôt. Je l'ai accosté et on n'a beaucoup parlé de tout et de rien, de tout et de rien. Puis on a eu des rendez-vous sur rendez-vous, tous ce passé à merveille entre nous. Mais c'est après un mois qu'on décide d'officialisé notre relation au grand jour. C'était réellement comblé et elle m'apportait vraiment du bonheur, la preuve elle était ma dose d'héroïne, mon rayon de soleil. Cela faisait cinq ans qu'on n'était ensemble et on avait décidé d'aller à une soirée organisé par l'un de nos amis. On a passé le long de la soirée chacun de son côté, puis vers la fin je voulais passer un peu de temps avec elle, alors je l'ai cherché dans toute la villa où la soirée avait était organisé. Et là j'ouvre une porte, je ne me doutais pas que c'était une chambre. Mais ce fut le choc de ma vie, la femme que j'aime en train de faire l'amour à un inconnu. Et les seuls mots que j'ai pu sortir ce soir-là était
« Tout est terminé entre nous. Et tu peux aller te faire foutre maintenant ! » Puis je quitte la pièce en furie et claque la porte en partant. Elle peut m'oublier maintenant et voilà comment je me suis rendu compte qu'elle n'était pas la femme de ma vie mais, seulement une femme parmi tant d'autre. Quand les hommes vous trompent vous dites de suite que c'est des gros enfoiré et tout ce qui s'en suit. Et quand c'est les femmes qui vous trompent on n'a rien le droit de rien dire. Voilà ce qu'elle avait osé me faire subir après, trois ans de relation commune.
Voilà maintenant deux mois que je donne plus de nouvelle a personne et je n'en vois même pas l'intérêt. J'étais détruit et mon cœur aussi, d'ailleurs après cette trahison j'ai sombré dans la drogue. Je venais de me faire un rail de cocaïne quand j'entendis une voix que je connaissais derrière ma porte de mon appartement. C'était la voix de mon ex petite amie qui m'a trahi par la même occasion ! Puis j'entendis ses paroles
« Ouvre moi je sais que tu es là. Ton courrier déborde et ton chien doit mourir de faim à force ... » je soupire juste à ces paroles et finit par gueulé ;
« Fait te faire foutre Jersey ... » Et je bus un énième verre de whisky pur à huit heures du matin. En ce moment, il y avait que l'alcool qui me soulageait ... bon d'accord ce n'est pas la meilleure solution mais c'est la seul que j'avais pu trouver. Mais bizarrement, je m'approche de la porte de mon appartement et ouvre la porte pour laisser passer seulement ma tête et je finis par lui demander
« Qu'est-ce que tu me veux ? » Le seul problème c'est qu'elle ne répondait pas mais qu'elle m'observait de la tête au pied, donc je finis par répliquer aussitôt
« Ok, je vois qu'on n'a plus rien à se dire ... » C'est à ce moment-là que j'allais refermer la porte, mais elle fut plus rapide que moi et mit son pied pour bloquer la porte et elle finit par dire enfin
« Tu sais très bien ce que je voulais te dire, tu ne réponds même plus à mes messages. J'ai dû te laisser une cinquantaine de messages sur ton répondeur. Je ne savais pas si tu les avais reçus, si tu les as écoutés. J'ai fait une erreur, je sais ? Tu m'en veux je le sais aussi. » Je soupire mais, je restais indifférent face à elle. Et je savais parfaitement qu'elle n'aimait pas trop ça, le silence avait regagné notre bref conversation. J'aurais pu la détester ou encore même l'engueulé, mais resté indifférente à-elle me paraissait la meilleure solution à mes yeux. Après dix bonnes minutes de silence, je la regardais dans les yeux et répliqua méchamment
« Et alors ? Les messages ou même encore tes messages sur mon répondeur je m'en contre fiche. Tu n'as pas encore compris que j'ai plus envie d'avoir affaire à-toi ... et pour tout t'avouer je n'ai jamais lu tes messages. J'ai trouvé une meilleure solution pour éviter d'entendre tes excuses à la con, je les ai directement supprimé. Que tu t'en veuilles ou non je m'en balle l’œuf. Tu aurais dû penser aux conséquences bien avant de me tromper avec cet enfoiré ! » Je continue de rester indifférent à-elle pendant une bonne dizaine de minutes, puis ensuite je lui enlève le pied de ma porte et répliquer avant de fermer la porte de chez moi.
« Bon ben, je n'ai plus rien à te dire je crois. » Je me ramasse avec panache contre le rebord de mon immense canapé, quelque peu contaminé par mes propres détritus. Ouais bon ok, j'avais abusé de l'alcool ce soir, mais je ne pensais pas avoir bu autant, ou étais-ce le mélange? Dans un premier temps, je pus me redresser suffisamment pour calmer mes ardeurs nauséeuses. Second temps, je me vidais de nouveau, surmontant mes erreurs. Avec chance, ma femme de ménage était sérieuse et surtout adorable. Je le plaignais de nettoyer derrière moi, mais pas du montant de sa paye chaque mois. Une gonzesse, presque à poil, me balança alors au visage mon pantalon, que je n'avais pas sentie avoir perdu, ou bien l'avais-je enlevé? Prétextant que j'étais qu'un gros porc plein aux as, qui ne méritait pas la fortune que j'avais pu gagné grâce à un simple ticket d'euromillions. Je lui riais au nez, avant d'en dégobiller une plus belle. Évidemment, cette blondasse m'avait rappelé le lendemain, en s'excusant de son comportement, me promettant de se faire pardonner, soi-disant qu'elle avait bu? Mouais bof. Je lui avais raccroché au nez, aidant un temps soi peu ma ménagère à nettoyer mes propres dégâts: des bières éparpillé sur le sol, un type, enfin mon pote, qui continuait sa nuit dans mon jacuzzi vide, d'ailleurs, ou étais passé l'eau dedans? Une de mes ex me refilait son numéro au passage, alors que je simulais un état de rangement sous les ordres de ma propre employée. Lui promettant que l'on se reverrai bientôt. Intérieurement, je me maudissais de céder à chaque fois aux mêmes caprices: les fêtes. Hier soir elle était chez moi, mais le week-end dernier c'était chez d'autres, cependant j'étais toujours fidèle au rendez-vous et je finissais à chaque fois sur la cuvette avachit. Au moins les filles ne me jetaient pas, même lorsque j'osais mentir sur mon compte en banque. C'est que finalement le sport avait payé nan?
Voilà, ça c'était une partie de ma vie dans les grandes lignes, excitant hein ? Faut dire qu'une vie aussi sex que la mienne tout le monde la veux ! J'ai oublié de parler d'un truc, enfin d'une personne en particulier en faite... Blodwyn, même si elle n'est que ma simple meilleure amie, elle fait partie intégrante de ma vie maintenant. D'ailleurs j'ai appris y a très peu de temps que son cher et tendre mari Nolan, l'avait en quelques sortes tromper. Je ne savais exactement pas comment prendre la nouvelle. Mais, au plus profond de moi j'avais cette haine de la voir souffrir surtout qu'elle me paraissait heureuse aux côtés de Nolan. Je pense qu'avec le temps, elle arrivera à se reconstruire en tout cas, je serais là pour elle et ceci à n'importe quel moment important de sa vie. Elle est devenue ma dose d'oxygène sur terre, même si je souffre et que je passe de femmes en femmes, je sais très bien que Blodwyn restera à jamais la femme de ma vie mais, amicalement bien évidemment. C'est la seule qui me comprend mieux que personne, c'est la seule avec qui j'arrive à me confier aussi facilement. C'est la seule qui connaît entièrement ma vie de A à Z. Vous l'aurez compris, Blodwyn est ma meilleure amie, ma confidente, ma mienne si je peux me permettre ainsi.