« Every smiles come my reality irony. You won't find out what is being killing me. Can't you see me, can't you see. »
DANCING WITH MYSELF.
On m’appelle REMEMBERhope sur Bazzart, mais on peut m’appeler Machou, diminutif de mon prénom Mathilde, ça ira plus vite. Ma passion ? C’est mon ordinateur. Je l’aime tellement, vous savez. Grâce à lui, je peux baver devant les gens sur Tumblr et être une grosse asociale. Je trouve que THUB est canon, sinon je vous laisse imaginer que je n’aurais pas pris la peine de m’inscrire et surtout de finir ma fiche, logique non ? Mon plus sombre secret, c’est que je suis la fille de Pierre – de Pokémon, vous savez, le beau-gosse là, spécialiste des Pokémons roches, tout ça. Sinon, qu’est-ce que je peux vous dire de plus ? Je viens d’Aquitaine, c’est génial. Aujourd’hui, le temps est foutrement merdique, il pleut, les nuages sont gris, c’est moche. Bref, j’aime pas. Et hm, ouais, c’est à peu près tout.
Dernière édition par Cora Laterza le Ven 24 Fév - 18:21, édité 6 fois
Sujet: Re: CORA ± no more home, no more love. Ven 24 Fév - 15:08
A TWIST IN MY STORY.
« Cora, ton père me fait dire qu’il ne sera pas là avant la semaine prochaine. Ta mère non plus, puisqu’elle est allée avec lui. » Je relève la tête vers Vince qui vient de m’annoncer la nouvelle. Ça ne change pas vraiment de d’habitude que je sache. En réalité, ce qui serait vraiment dingue, ce serait que mon père soit présent durant plus d’une semaine. Là, je m’inquiéterais. Quand il reviendra, je le verrai une journée – le reste de son temps sera passé je ne sais où à faire je ne sais quoi avec je ne sais qui – et ensuite, il repartira. C’est toujours Vince qui vient me l’annoncer, mon père a surement trop les jetons de se prendre des objets sur la face en entrant. On n’a jamais su se parler lui et moi, non seulement parce qu’il n’est jamais là, mais aussi parce que je crois qu’il n’en a jamais eu rien à battre de ma gueule. Je ne l’ai jamais vu s’inquiéter pour moi, sauf la fois où j’ai fini à l’hôpital. Vince m’avait obligé à y aller, alors que je n’avais rien de grave. Juste une main et un bras en sang, parce que j’avais frappé une fille qui avait emmerdé mon petit frère un peu trop fort. « Ça me fait une belle jambe. » que je lui réponds sur un ton ironique. Je ne suis pas méchante avec lui, même si parfois, je l’envoie chier bien loin, parce qu’il m’emmerde. Mon père l’a chargé de veiller sur mon frère et moi. Clairement, veiller sur Esteban, c’est moi qui m’en occupe, puisque nous sommes dans le même lycée. Il m’a traité de folle à plusieurs reprises, puisque je ne le laisse pas vraiment vivre, enfin je crois. Ce n’est pas de ma faute si toutes les filles qui l’approchent ont l’air foutrement connes. Et quand c’est Vince qui veuille sur moi… je m’énerve autant que mon frère peut s’énerver sur moi. À la différence que je sais garder mes relations secrètes. Et de toute façon, quand Vince me colle de trop près, je finis par le frapper. Il m’a appris à me défendre et du coup, il en paye les pots cassés au moins une fois par moi. « Tu lui en veux ? » qu’il me demande, comme si cette question avait réellement lieu d’être. Je crois que je considère plus Vincenzo comme un membre de ma famille, alors qu’il n’en est pas un plutôt que mes parents, alors c’est pour dire. Je rigole pendant un moment en me foutant clairement de sa gueule. Bah quoi ? Il a l’air sérieux en me demandant ça. J’ai arrêté d’en vouloir à mon père à partir du moment où j’ai compris que cela ne changerait absolument rien dans sa façon d’être que je lui en veuille ou pas, alors bon. « Ça changerait quelque chose que je lui en veuille ? Non. Alors disons que je m’en fous. Parce que tu vois, je vis très bien sans mes parents comme tu peux le constater. Sinon, t’en as d’autres, des questions connes ? » que je lui réponds, quelque peu sur la défensive. Je suis tout le temps comme ça, Vince le sait, alors il ne se sent pas offenser. Il hoche la tête, on a déjà eu cette conversation des milliards de fois, obtenant toujours la même fin. Je me fous tellement de ce que peuvent foutre mes parents que parfois, je me demande même si j’en ai déjà vraiment eu. Un autre moment où mon père vient me rappeler son existence, c’est aussi quand le directeur du lycée l’appelle pour lui raconter une de mes frasques. Les gens me provoquent trop facilement, ce n’est pas de ma faute si j’ai du répondant. Répondant qui s’exprime plus souvent avec mes mains, mais ça, ce n’est qu’un détail. Détail que les autres ne semblent pas oublier. Pourtant, de ce que je sais, mon père est pareil sur ce point-là, alors il est mal placé pour venir me donner des leçons à chaque fois. « Je dois y aller, pas de conneries durant mon absence, tu seras mignonne. » qu’il me dit, un grand sourire hypocrite sur le visage. Je lui fais un doigt d’honneur, son sourire s’élargit alors d’autant plus. Il sort de la pièce, me laissant face à la télé, devant une émission complètement pourrie.
Je monte rapidement les escaliers qui mènent jusqu’à ma chambre, lâchant mon sac sur la dernière marche pour ouvrir la porte. J’enlève mon t-shirt pour attraper un de mes débardeurs de façon à me foutre à l’aise. « Non, mais t’es pas obligée de te rhabiller, t’es aussi bien comme ça. » que j’entends derrière moi, je me retourne en sursautant, regardant la personne qui vient de m’interrompre. Que stronzo. Je lui fais un doigt d’honneur avec un grand sourire qui est clairement faux. Pourquoi il est là ? Et comment est-il rentré ? Si c’est Esteban qui l’a laissé, je vais le tuer ce petit. Mais c’est presque oublié qu’ici, tout le monde est du côté d’Alessio comme s’il était le plus grand saint de la Terre. Tout le monde me dit que je devrais arrêter de le jeter, parce que dans le fond, il n’est soi-disant pas si con qu’il n’y parait. Je les emmerde tous, parce qu’ils ne le connaissent pas. J’ai vu tous les côtés d’Alessio et la majorité sont mauvais. Je ne vois donc pas pourquoi je ferais des efforts pour arriver à le supporter plus de cinq minutes – ou plus d’une nuit, suivant la situation –. « Dégage, je t’ai déjà dit que je ne voulais pas voir ta gueule de con, nan ? » que je lui dis, ma phrase n’étant pas une question, mais plutôt une affirmation. A quoi bon tenter de faire des efforts avec tel connard ? Il n’y a aucune raison. Et en plus, que je l’accepte autour de moi ferait trop plaisir à mon père. Il se lève, prenant la peine de quitter mon lit pour s’approcher de moi. Il s’arrête à quelques centimètres de mon visage, me laissant voir sa supériorité. J’éclate de rire à son visage, est-ce qu’il essaie de m’impressionner ? Non, parce que c’est complètement inefficace. Je ne le supporte pas, sauf quand on couche ensemble après une grosse dispute, c’est-à-dire à chaque putain de fois qu’on se voit. Mais c’est parce qu’il partage mon lit à chaque fois que je le vois que ça veut dire quelque chose. En fait, ça ne veut strictement rien dire pour moi. « Et je t’ai dit que je ne lâcherais pas l’affaire, malheureusement pour toi. » Sa main se pose sur ma nuque, il me force à reculer, plaquant mon dos contre mon armoire, puis pose ses lèvres sur les miennes avec ferveur. Son autre main se pose sur ma hanche, remontant doucement le long de mes côtes. Je la bloque, attendant qu’il recule son visage du mien pour finalement lui coller une bonne gifle. Je le regarde dans les yeux, le poussant pour pouvoir me dégager de lui. Il attrape mes poignets et les maintient au-dessus de ma tête. M’embrassant de nouveau comme pour me provoquer et me rappeler que de toute façon, contre lui, je ne peux pas faire grand-chose, sauf que c’est sans compter sur mon genou, qui atterrit entre ses jambes, alors qu’il lâche mes mains brusquement. Il grimace de douleur et jure à plusieurs reprises. C’est toujours un plaisir de lui rappeler que je ne suis pas si stupide que ça. « Et tu devrais te foutre en tête que la tâche ne sera jamais facile pour toi, maintenant, si tu veux bien, tu peux partir. Puisque de toute façon, tes couilles te seront inefficaces pour quelques heures. » que je lui dis, mon sourire s’élargissant sur mes lèvres. Il lève la tête vers moi, me regarde dans les yeux, je sens de la haine. Je m’en fous, je sais qu’il se retient de me frapper, mais je n’ai pas peur de lui. Je n’ai jamais eu peur de lui. Il tente de faire le grand garçon, mais je sais que dans le fond, il tente juste d’imiter son père. Pauvre de lui. « Ça va être ta fête la prochaine fois que je te croise, Laterza, je te le jure. » qu’il me répond avec rage. Je crois que j’ai heurté son égo, tant pis pour sa gueule. Il le sait pourtant, que je ne suis pas le genre de fille qu’on peut provoquer juste pour l’amusement que cela provoque. Il le sait, que je réagis vite. Et maintenant, il fait le mec choqué et étonné par ma façon d’agir, non mais on aura tout vu. « Je n’en doute pas. » Je lui souris, comme pour lui montrer que je le sais, parce que c’est chacun son tour dans la relation qu’on a. Il sort enfin de ma chambre et j’ai gagné cette fois-ci. Clairement, je ne gagnerai pas la prochaine fois, c’est sur et certain.
Je suis assise, j’attends. J’attends que ça passe. Je suis pas triste, non, je ne le connaissais pas assez. Mon père est mort, Esteban est à côté de moi, Vince aussi et je vois Alessio, derrière quelques personnes, un peu plus loin. Je ferme les yeux, je déteste les enterrements. Pleins de gens qui croient que dire qu’ils sont désolés va arranger quelque chose. Je sais pas ce que je censée penser, parce que je m’attendais pas à la nouvelle. Vince m’a dit que je devrais me casser pendant un temps, putain j’ai vingt-trois ans, pourquoi je me casserais ailleurs maintenant ? Il m’a dit que je n’avais pas vraiment le choix et que de toute façon, il m’avait déjà acheté le billet pour une ville perdue dans le trou du cul du monde, en Amérique je crois. Qu’est-ce que je vais aller foutre là-bas. Je soupire, fatiguée. Je me lève, sors de la pièce et me dirige vers la salle de bain. Je ferme la porte derrière moi, me laisse glisser contre le mur et replie mes genoux contre ma poitrine, posant ma tête dessus, refermant mes bras autour. Je commence à avoir mal de crâne. Surtout que je ne connaissais pas la moitié des personnes qui se trouvaient là. En réalité, je ne sais rien sur mes parents et ça ne risque pas de s’arranger maintenant que mon père est décédé. « Cora ? » Je relève la tête, voyant Alessio qui se laisse glisser face à moi, me regardant dans les yeux. On a arrêté de se faire la guerre il n’y a pas si longtemps que ça, parce que l’utilité de la chose était vraiment discutable. Depuis, nous sommes amis, enfin je crois. J’ai pas eu l’impression qu’on se détestait, ni quoi que ce soit, alors je crois qu’on est en bons termes. Et puis merde, je m’en tape. « Quoi ? » que je lui demande, lassée, la réelle question étant pourquoi il est venu là. Il sort une clope de sa poche, l’allume entre ses lèvres, prend une bouffée, puis me la tend. Je l’attrape, prenant plusieurs bouffées pour me calmer les nerfs. Je vais exploser, ici, je le sais. Et ce serait pas mal s’il sortait avant que ça arrive. « Rester enfermer ici, c’est pas la solution et ça t’aidera pas. » me dit-il en me regardant dans les yeux, alors que je sens la colère montrer à un degré de plus après ce qu’il vient de me dire tout naturellement. Je le fixe, agressive. Il hausse un sourcil, reconnaissant ce regard. Ouais, il le sait, là, que je vais l’envoyer chier et surement avoir envie de le frapper, mais il reste quand même là, en face de moi. Je ne sais même pas pourquoi il est là. Je ne lui ai rien demandé, alors qu’il aille voir ailleurs si j’y suis nom de dieu. « Non, mais en quoi ça te concerne, toi, ce que je fais ? Tire-toi, je t’ai rien demandé. J’ai rien demandé à personne ici. Putain, je connais même pas les trois quarts des gens qui sont derrière cette porte, mais ils viennent tous me voir comme si nous étions une grande famille unie. Je suis même pas triste. Je le connaissais pas. Je ne sais rien sur mes parents, aucun des deux. Et mon père, je le voyais jamais. Je suis censée être triste, me dire que merde, mon père est mort. Mais qu’est-ce que ça va changer ? Je le verrai juste plus du tout. En vingt-trois ans d’existence, j’ai dû voir mon père trois fois par an. C’est tellement peu, Alessio. Alors ne me dis pas ce que j’ai à faire. Et Vince veut que je parte, mais j’ai pas envie de partir. Putain, j’en ai marre. Je te jure, j’en peux plus. Je retiens, je retiens tout. J’explose devant les gens qui n’ont pas d’importance tout de suite, mais je n’ai jamais réellement bronché face à Este ou à Vince, mais j’en peux plus. Mes parents n’ont jamais rien eu à foutre de moi. En fin de compte, Vince a raison, il vaut mieux que je me casse. De toute façon, j’ai rien à faire ici. Je n’ai rien qui me retient. » que je finis par dire, me libérant enfin de tout ce putain de poids que je retiens depuis toujours. Alessio semble surpris, surement parce que normalement, je ne me confie pas. A personne. Et que ce soit à lui, c’est encore plus exclusif. Il me prend dans ses bras pendant quelques minutes, je le repousse, me lève et me casse. De toute façon, je dois préparer mes affaires.
Et c’est comme ça que je me suis retrouvée ici, à Arrowsic. Génial, non ? Je n'ai plus revu Alessio, j'ai des nouvelle de mon frère par téléphone, tout comme Vince. Et j'ai pas encore décidé après trois ans si j'aime vraiment Arrowsic...
Dernière édition par Cora Laterza le Dim 26 Fév - 12:04, édité 8 fois
Sujet: Re: CORA ± no more home, no more love. Ven 24 Fév - 15:36
MEGAAAAAAAAAAAAAAN PUTAIN DE SA MÈRE DE DIEU. Très bon choix, cette fille est juste une bombe sexuelle sur pattes. J'aime le titre, j'aime le prénom aussi. Je l'avais utilisé à un moment quand je jouais Megan aussi. En fait j'aime tout le pseudo carrément. La signature et l'avatar sont magnifiques, j'adore tellement quoi. Et puis Megan en barmaid, tu pouvais pas faire mieux. Après tous ces compliments, je te dis bienvenue parmi nous & bon courage pour faire ta fiche.
Sujet: Re: CORA ± no more home, no more love. Ven 24 Fév - 15:40
MEGAN FUCKING FOX j'adore la jouer, d'ailleurs j'suis sur un autre forum avec elle, putain que j'adore en plus une italienne, ziva les italiens sont les plus soins bienvenue ma belle, t'es trop canon
Sujet: Re: CORA ± no more home, no more love. Ven 24 Fév - 15:44
HAN HAN HAN !!!!! *meurs* EPOUSE-MOUUUAAAA ! MEGAN FOX, une des plus belles femmes sur terre selon mon avis *va chercher un sceau* Je ne peux qu'approuver puissance 1000 (...) 000 ton choix d'avatar ! J'ai hâte de voir le personnage qui va aller avec Et bienvenue au fait AHAH XD
Sujet: Re: CORA ± no more home, no more love. Ven 24 Fév - 15:48
OH GOD CAM ! JE T'ÉPOUSE TOUT DE SUITE *signe les papiers* merci beaucoup et cam est dans mon top des mâles les plus beaux de la terre alors je pense qu'on va bien s'entendre toi et moi fais attention à tes vêtements, ils pourraient malencontreusement se faire déchirer... par mes dents.
Sujet: Re: CORA ± no more home, no more love. Ven 24 Fév - 15:50
Abbey, c'est pour ramasser la bave, à cause du smiley .. *solitude extrême*
OWI OWI OWI *enferme les papiers dans un coffre fort pour plus qu'elle puisse divorcer * T'aurais pas dû faire ça folle enfant, tu ne sais pas à quoi tu t'exposes MOUAHAHAHA rawwwr n'hésite pas, mes vêtements sont si faaaaaibles, ils se déchirent rapidement
Sujet: Re: CORA ± no more home, no more love. Ven 24 Fév - 16:00
oh mon dieu je suis émue maintenant, je vais me dépêcher de faire ma fiche alors comme ça je pourrai venir vous demander des liens et faire des bébés dans tous les sous-forums du forum avec lydéric