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| Sujet: il parait que tu bouffes les enfants ! non je me contente de les faire rôtir. Mar 24 Avr - 22:42 | |
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Klaus-Nikaél Clay Mathewsen
NOM: Mathewsen. ☇ PRÉNOM: Klaus-Nikaél Clay. ☇ ÂGE: 25 ans. ☇ ORIGINES: Un Anglais de pure souche qui a vécu en Angleterre jusqu'à ses 12 ans, avant d'habiter en France jusqu'à la fin de mes études. Et je me suis retrouvée ici, par la force des choses. ☇ MÉTIER/ÉTUDES: J'crois que ma profession est escort-boy. C'est pas original, ça ? Il m'arrive de le faire quand je n'ai pas une tune car le métier de professeur d'histoire ne rapporte pas grand chose. Juste assez pour me payer des cacahuètes. ☇ STATUT CIVIL: Célibataire. ☇ CRÉDITS: Tumblr. ☇ AVATAR: Ian Somerhalder. « Au fond, j'crois qu'la terre est ronde pour une seule bonne raison : après avoir fait le tour du monde, tout c'qu'on veut c'est être à la maison. » |
Chapitre un : un jour une graine laissa place à un danger ambulant15 février 1987, l'hiver rude, les feuilles se glaces et s'effritent, les arbres perdent leur couleur, les rues deviennent des patinoires, les doudounes et les bonnets sont à la mode. Et le ciel a une particularité, il et toujours gris. Représentant l'amertume de l'hiver. Elle représentait ce jour-là, la naissance d'un enfant, d'un tout petit garçon dans une clinique privée proche d'Oxford. Les heureux parents de ce petit être fragile étaient Ceyclan et Atrina. Deux jeunes gens issus d'une position sociale moyenne. Il est informaticien, elle est journaliste. Le temps qu'ils avaient entre eux, était mineur. Ils se voyaient peu. Lui s'imaginait avoir une famille et faire des concessions pour ses enfants, mais quant à elle, elle ne voulait pas entendre parler d'enfant. Elle avait en horreur les enfants. Elle garda son fils pour faire plaisir à son mari, mais ce ''cadeau'' n'était qu'une tâche pour elle supplémentaire. Le jour de l'accouchement, il était le premier prêt, le premier a être présent à ses côtés. C'était le mari modèle, il ne l'avait jamais trompée, elle était parfaite à ses yeux. Il acceptait ses petits caprices et ne bronchait pas un seul mot. Quand il eut son fil dans les bras, des larmes de joie roulèrent sur ses joues. Il décida lui-même de l'appeler Klaus-Nikaél Clay Mathewsen. Il était l'unique garçon qui portait le nom de famille Anglais qui s'était décliné pendant de nombreuses générations. Il avait entre ses mains, le petit être qu'il allait chérir toute sa vie, son unique fils, son unique joie de vivre. Atrina vivait cette expérience d'un autre oeil, elle ne laissa paraître aucune expression, comme si la naissance de son fils ne voulait rien dire pour elle. Elle était imperturbable et se souciait déjà d'écrire un article sur une entreprise anglaise. Les premières disputes se déclenchèrent le jour de la naissance de leur fils unique. Le début d'une longue et dure séparation. Nous sommes en 1993, le même jour, celui des six ans du petit bout qui était autrefois un petit bébé. Il ressemblait trait pour trait à son père. Il n'avait rien de sa mère hormis la pâleur bleue de ses yeux. Pour l'occasion, Ceyclan avait organisé un anniversaire surprise à son fils. Une petite fête privée au domaine de la famille Mathewsen qui est une famille aisée, mais le dernier fils Ceyclan avait moins réussi que ses frères et soeurs et n'était qu'un informaticien alors que les autres étaient diplomates ou occupés de hautes fonctions. Klaus avait pour l'occasion dormi chez ses grands-parents paternels qui étaient fous de lui. Cet amateur d'équitation passait le plus clair de son temps auprès des chevaux, loin des disputes quotidiennes de ses parents qui ne cessaient de le rendre fou. « Klaus ! Où es-tu ? C'est papa ! ». Le petit garçon était prêt d'une jument noire qu'il chérissait fortement. Il l'avait appelée Naya. Il déambula vers son père, en courant, il manqua de trébucher sur le sol froid couvert de paille. Son père le prit dans ses bras et le serra si fort que le petit garçon eut le souffle coupé. « Papa ! Où est maman ? Elle est dans la cuisine avec mamie ? Elle fait mon gâteau d'anniversaire ?! ». Son père le regarda avec un petit regard larmoyant comme si il était lui-même le fautif dans l'histoire. « Klaus, ta mère n'a pas pu venir, elle est au travail, elle ne pourra pas se libérer, mais elle te souhaite un joyeux anniversaire, elle doit appeler ce soir ! Je te la passerai, je te le promets. ». C'était faux, sa mère n'était pas au travail, elle était à un brunch réunissant les magnats de la restauration française. Elle était à Paris, en train de s'amuser loin de son fils, auquel elle ne pensait pas. Elle ne lui montrait aucune preuve d'attention. Elle lui offrait des cadeaux par principe, elle n'aimait pas trop l'avoir dans ses bras ou le voir dans ses pattes, il l'encombrait, alors dès qu'elle en avait l'occasion, elle partait loin de sa famille. « Mais papa, je ne vois jamais maman, elle ne vient jamais me voir, elle est toujours occupée. On ne pourra pas rentrer à la maison ce soir pour lui faire une surprise ? Dis-moi oui s'il te plait papa ! » Son père ne pouvait accepter sa requête, elle n'était pas faisable, comment expliquer à un petit garçon que l'unique personne qu'il doit chérir n'est jamais présente car elle ne l'aime pas ? Comment lui dire ces mots qui font mal ? Comment expliquer à sa femme que l'on aime par dessus tout que son fils doit pouvoir compter à ses yeux alors qu'elle ne veut rien écouter ? Il était piégé. Le moindre pas lui était décisif et il risquait de perdre l'un des êtres qu'il aimait le plus. « Non, ce n'est pas une bonne idée. Tu connais maman, elle est fatiguée après le travail et elle ne parle pratiquement pas. Mais j'ai une bonne nouvelle. Maintenant, tu vivras avec ton grand-père et ta grand-mère, je viendrai tous les jours après le travail pour te voir et au printemps, on fera du cheval ensemble. Tu es assez grand pour avoir ton propre cheval, non ? » Klaus n'était pas ravi de vivre chez ses grand-parents, loin de sa mère, mais il était d'autant plus ravi de pouvoir faire de l'équitation avec son propre père et d'avoir un cheval pour lui. Il fit un grand sourire et fit la fameuse course traditionnelle qu'il faisait avec son père pour rejoindre la cuisine. Il gagna et courut dans les bras de sa grand-mère qui avait préparé son anniversaire surprise. Toute l'après-midi fut joyeux, il souffla ses bougies, eut beaucoup de cadeaux et de l'attention, mais sa mère lui manquait cruellement. Le soir, alors qu'il aurait du dormir, il se réveilla et se pointa devant la chambre de son père qui était entre-ouverte. Son père ne lui avait pas passé sa mère pour son anniversaire et le petit garçon n'oubliait jamais les promesses de son papa. « Atrina comment tu peux être à Paris le jour de l'anniversaire de ton fils ? Je me fiche de ton brunch et de tes relations à la con ! Tu as un fils que tu aimes et qui t'attend, j'en ai marre de me retrouver en face de vous ! Il te réclame tous les jours, sans cesse, il ennuie tout le monde pour avoir de tes nouvelles et tu ne daignes pas lui parler une seule seconde, quel genre de mère es-tu pour faire ça à un petit être ?! » Klaus poussa la porte de ses petits doigts fragiles, il découvrit son père, les larmes aux yeux, assis sur un fauteuil en cuir vert. Il jouait avec le fil du téléphone en écoutant les horribles paroles de son destinataire. « Comment ça tu n'en as rien à faire ?! C'est ton fils et tu dois être là pour lui ! Si tu n'es pas rentré d'ici demain, j'engage une procédure de divorce, tu ne l'aimes pas, mais moi si. Malgré le fait que je t'aime, il compte encore plus à mes yeux que toi. » Sa femme raccrocha en approuvant sa décision de divorce. Il laissa tomber le combiné en prenant sa tête dans ses mains pour retenir les larmes qui manquaient de couler. « Papa ! Maman est au téléphone encore ? » Son père leva brusquement la tête, effaré par la présence de son fils qui avait tout entendu. Il avala durement sa salive en se levant, il se réfugia dans les bras de son fils pour le serrer contre lui, de nouveau aussi fort. Il avait peur de le perdre. « Nous n'avons pas besoin d'elle. Je t'aime plus que tout Klaus et je serai toujours là pour toi, sache-le tu es ma seule raison de vivre, la seule ! »Paroles de Klaus : A l'époque, je ne me rendais pas compte du sacrifice de mon père pour moi. Je n'étais qu'un petit garçon, je trouvais ça normal que ma mère me montre peu d'intérêt, on m'avait toujours dit qu'elle était froide et qu'elle ne montrait jamais ses émotions, alors je laissais couler. Mais ce soir là, mon père avait tout entreprit pour me garder. Ce qu'il ne savait pas c'est que j'allais lui faire regretter, car je pensais que c'était à cause de lui que ma mère n'était pas avec nous. Cette procédure dura six longues années. Mais je me rends compte que la seule personne qui m'a à jamais aimé était mon père. |
Chapitre 2 : je suis de la mauvaise graine emportée par le vent. « Tu ne m'enlèveras pas mon fils, jamais tu ne l'auras ! » Le jeune homme ne ressemblait plus qu'à une vieille épave. Il était debout, il peinait à se tenir sur ses deux jambes. La garde de son fils était en jeu et il n'arrivait plus à dormir la nuit. « Regarde-toi, tu ne sais même pas tenir sur tes deux jambes ! Il manquerait plus que tu sois un ivrogne ! ». La jeune femme dont les traits victorieux s'affichaient sur son sourire était d'une élégance naturelle. Ses cheveux étaient bouclés et blonds comme les blés. Ils encadraient son visage de porcelaine. Elle n'exprimait plus de sentiments pour son ex-mari. Elle le méprisait de tout son être. Elle s'en voulait d'avoir épouser un minable. « Ton fils m'aidera à avoir une pension de ta part et je pourrai enfin quitter ce putain de pays ! » L'homme jeta tous ce qu'il se trouvait sur le bar de sa cuisine, tout tomba et se brisa en milles morceaux, tout comme son coeur. « Moi vivant, tu n'auras jamais Klaus ! » Les larmes aux yeux, elle connaissait son point faible, elle le connaissait si bien comme si elle l'avait fait. Ainsi elle avait pu le manipuler toutes ces années sans avoir aucun scrupule. Elle était le démon incarné, elle avait osé le tromper et faire de lui, le pire père du monde, surtout auprès de son fils, duquel elle s'était étrangement rapprochée ces dernières années. Klaus rentrait tout juste de l'école, il avait 11 ans et comme tous les jours qu'il rentrait chez lui avant de retourner chez ses grands-parents, il se retrouvait face à ses parents et des tonnes de cartons. Ils se disputaient sans cesse. Il jurait presque avoir vu sa mère frapper son père, mais elle lui avait dit qu'elle ne pouvait pas lui faire de mal, que c'était lui qui voulait l'enlever, non elle. Klaus y croyait et faisait de son père, l'injuste coupable. « Je ne resterai jamais avec toi ! Tu n'es qu'un minable, regarde-toi t'as même pas réussi là où tes frères et soeurs ont réussi. Tu es la honte de la famille et en plus tu veux me séparer de ma mère ! Tu crois vraiment que je vais te suivre ?! Tu te trompes lourdement ! » Son père tourna les yeux vers lui. Sa progéniture. Il ne pouvait pas lui en vouloir. Il savait très bien que sa mère le manipulait, elle était très forte pour cela. Le pauvre garçon était pris dans un étau. Bien au contraire, Klaus savait très bien ce qu'il faisait, il n'avait pas envie de ressembler à son père. Il avait envie d'être comme sa mère, il voulait être connu et aller à des conférences et à des oeuvres de charité. Il voulait surtout habiter dans la capitale française, ville mondiale de la mode. Sa mère lui en rapportait des photos et il était fasciné par l'architecture et la ville française qui ne s'arrêtait jamais. « J'irai avec maman que ça te plaise ou non ! » Sa mère eut un petit sourire en coin et regarda de haut son mari. Elle n'arrivait pas à croire que son fils soit encore plus stupide que son père. Il n'y a pas à dire, les hommes sont faibles ! « Mon petit fils chéri, demain c'est ton anniversaire, et le procès, tu donneras ton avis au juge et si il me donne ta garde, tu viendras à Paris avec moi et on commencera une nouvelle vie sans ton père. Maintenant va préparer tes affaires un chauffeur t'attend. » Le jeune garçon s'exécuta et fit ses affaires d'un trait. Il embrassa chaleureusement sa mère et prit la poudre d'escampette pour rentrer dans la grande et fine voiture noire de ses grands-parents. Le chauffeur lui ouvrit la portière et le conduit jusqu'à chez ses grands-parents.
« Klaus, mon chéri, il faut que tu te prépares, nous partons au tribunal dans quelques minutes. » Sa grand-mère était une vieille femme qu'il aimait plus que tout. Elle était le portrait de son père, mais elle était aussi douce que sa mère, elle l'avait élevé avec son père. Ce qu'il trouvait étrange, pourquoi sa mère ne l'avait pas élevé ? Oh elle avait du avoir un empêchement, rien de très grave. Il serra sa cravate devant la glace et descendit les escaliers en bois massif qui s'imposaient dans le hall central. « Quelle fière allure mon petit-fils. Tu vas en épater plus d'une plus tard, tout comme moi à ton âge, j'étais... » « William si je t'entends encore relater ton passé, je te jure que ce ne sera pas la seule visite que tu vas faire au tribunal aujourd'hui. N'embête pas Klaus avec tes récits stupides, occupe-toi plutôt de préparer les affaires pour partir demain matin, et monte dans la voiture, nous partons derechef. » Klaus se mettait toujours à rire en entendant sa grand-mère grondait son grand-père, elle avait une façon de le ''maltraiter'' amusante, mais il se plait au jeu. Ils s'aimaient tous les deux, et se suivaient depuis la naissance. Ils n'avaient jamais été séparés. Ils étaient le couple massif de la famille. Ils étaient la famille de Klaus ceux qui avaient été toujours là pour lui. Mais quelquefois sa grand-mère le rappelait à l'ordre et lui rappelait que son père l'aimait et qu'il se trompait de choix. Il ne devait pas suivre sa mère. Et pourtant Klaus en avait décidé autrement. Le tribunal était installé au centre d'Oxford, ils étaient tous habillés de façon neutre et classe, sauf sa mère qui avait ôté pour une note de fantaisie. Elle portait un chapeau rose avec un ruban noire qui encerclait le sommet. Elle avait toujours été décalée mais elle était la beauté incarnée. Son père était plus sombre et plus fatigué qu'elle. Elle n'avait pas à se faire de soucis, elle connaissait très bien le résultat. La séance passa très vite, les gens entrèrent et parlèrent les uns aux autres au juge pour exposer leur histoire. Quand ce fut autour de Klaus, ce dernier eut la question fatidique. Le juge lui demanda si il préférait vivre avec sa mère ou son père. Ce dernier affirma qu'il voulait vivre avec sa mère. Le juge approuva et partit délibérer. Ce fut qu'un quart d'heure plus, qu'il annonça le résultat. « Cet enfant ira vivre avec sa mère et vous monsieur, vous verserez une pension alimentaire conséquente. Vous verrez avec votre ex-femme les jours où vous pourrez voir votre fils ! Affaire classée ! La jeune femme se tourna vers son ex-mari, et se rapprocha de lui pour lui susurrer : « 1-0, j'ai gagné tu as perdu ! ». Elle prit son fils pour lui ébouriffer les cheveux en souriant, avant de le serrer dans ses bras. Il regardait son père anéanti qui ne lui en voulait pas, il avait toujours un grand sourire aux lèvres. Le soir-même, Klaus prit toutes ses affaires chez ses grands-parents, il devait partir dans deux jours, le départ était proche. Il n'y avait pas une seule minute à perdre. Son père rentra dans sa chambre et regarda son fils une dernière fois. Il ne savait plus comment sa vie allait être, il venait de perdre son unique raison de vivre et pourtant, il avait le sourire devant son fils. « Tu sais, mon fils, je t'aime et je t'aimerai toujours, jusqu'à la fin de tes jours. Je ne t'en veux pas d'avoir choisi ta mère. Mais promet-moi une chose : tu reviendras me voir une fois au moins et surtout une chose encore plus importante, ne la laisse pas te manipuler comme elle a su le faire avec moi ! » Il embrassa le front de son fils. Et il quitta la chambre.
Paroles de Klaus : Ce fut l'une des dernières fois que je vis mon père. Je n'avais pas les larmes aux yeux, j'étais partagé entre l'avis de ma mère et mon père qui me déchirait le coeur. Il était la seule personne que j'aurais du croire, mais je ne l'ai pas fait. Je n'avouerai jamais que je l'ai déçu et que je m'en veux. Ce n'est qu'en faisant les mémoires de ma vie que j'en prends conscience. Il m'a apportait les seules choses dont j'avais besoin. Il me rendait meilleur et ma mère a brisé mon coeur, avant de me briser. Il est mon unique modèle sur terre, la seule personne que je respecte vraiment.
Chapitre 3 : la mauvaise graine devient le mal en personne.
Ne nous voilons pas la face, la traversée de la mer du Nord ne s'est pas faite dans de bonnes conditions. Klaus était parti à ses douze ans à Paris pour y vivre avec sa mère. Lui qui aimait l'architecture de ce pays, il n'allait pas être déçu. Il allait vivre dans un des quartiers les plus populaires de Paris. Mais la seule chose c'était qu'il ne savait pas vraiment parler français. Les premiers temps allaient être durs et compliqués. Pourtant le jour de son arrivée, tout était parfait. Il découvrit sa chambre, elle avait un haut plafond, un parquet vif.. Elle était spacieuse tout était parfait. Mais sa mère commençait déjà à décamper. Elle partit le lendemain matin et ne l'accompagna même pas à sa nouvelle école. Elle était située en plein centre, il était au collège. Il se retrouvait avec des petits français de bonnes familles. Il ne savait pas comment sa mère avait eu les moyens de lui payer ce genre d'école et de lui payer des vêtements hors de prix. Tout cela était trop. A l'école, tout le monde était charmé par ce petit nouveau, il était différent des autres, cet air mystérieux et ce regard bleu clair ne laissait pas indifférent. Son accent raisonnant dans les couloirs lui permis de se faire apprécier par les professeurs d'anglais. Une, du nom de Madame Langel le prit sous son aile, elle lui appris la langue française et les coutumes françaises. Ce n'était pas un luxe !
Le jeune adolescent était devenu un jeune homme. Il avait maintenant dix-neuf ans, il avait eu de nombreux succès auprès de la gente féminine. Il avait tout pour plaire, il était beau, il était musclé, grand, riche et avait tout à la pointe de la mode. Sa mère avait trouvé ''l'amour'' matériel près d'un PDG d'une firme transnationale. Il s'appelait Henri de Larde. C'était un homme plus âgé qu'elle, mais il lui apportait tout son confort matériel. Contrairement à elle, il s'était attaché à Klaus, il se retrouvait en ce jeune homme. Klaus était le fils qu'il n'avait jamais pu avoir. Il était toujours le premier à lui proposer de prendre un billet pour aller voir son père en Angleterre, mais ce dernier refusait sous prétexte qu'il n'avait pas envie de se confronter à lui. Il venait d'intégrer la Sorbonne. Il y étudiait l'histoire, sa matière favorite. Il était le genre de garçon tranquille qu'on pouvait trouver intellectuel, il aimait beaucoup lire et se renfermer par rapport aux autres. Jusqu'à ce qu'il fasse parti d'une confrérie à la Sorbonne. Un club fermé. Il réunissait tous les jeunes gens riches. Il en faisait parti. Et ce soir, c'était le bizutage des nouveaux arrivants, c'était très peu pour lui, mais Henry l'avait forcé à aller à cette soirée. Malheureusement, elle ne se passa pas très bien, dans le contexte où elle changea le caractère du jeune homme. Au programme : alcool à gogo, et défis en tout genre. Alors lui qui était encore sain de corps, ce n'était pas de la mince affaire. Il avait toujours voulu rencontrer la femme avec qui il aurait voulu le faire, mais sans espoir. Arrivé à cette soirée, il se retrouva dans une genre de Skin Party. Les gens jouaient au strip poker, ils buvaient des litres d'alcools et consommait illégalement des produits. Le jeune homme s'approcha d'un jeune garçon qui était l'un des présidents de la confrérie. Il s'appelait Peter, et il était lui-même Anglais, c'est ainsi pourquoi il le prit sous son aile. Ces deux jeunes firent les quatre cent coups. Il fit boire Klaus jusqu'à le rendre complètement soul. Et le jeune homme se promettait à un grand avenir de fêtard. Il était sur les tables en train de danser et d'ôter sa chemise à 400 balles ! Il se lâchait et se laissait aller, il rencontra une jeune femme du nom d'Eléonora, une jeune femme de son université. Blonde comme les blés. Les yeux verts, le corps svelte, des lèvres rouges.. Ils se suivirent toute la soirée à se lancer des piques, sans se lâcher du regard jusqu'au moment où ils se retrouvèrent collés l'un à l'autre dans un couloir, ils commencèrent à s'embrasser avec ardeur, le désir prenait de l'ampleur. Ils se désiraient et fondre leur chaleur. Il se retrouvèrent dans un hôtel, la chambre fut très vite éteinte, ils se fondirent dans les draps. Ses mains caressèrent le corps de la jeune femme de sa gorge jusqu'à ses hanches. Ils se mêlèrent l'un à l'autre, les draps avaient peine à les suivre dans leur ébat. Ils étaient absorbés par la passion et se dévoraient comme des animaux. Ils ne se lâchèrent pas avant une grande partie de la nuit. Jusqu'à l'aurore, le drap de Klaus couvrait son visage, et son affreux mal de crâne. Première cuite. Il ouvrit difficilement les yeux avant de se rendre compte qu'il était seul dans cette chambre. A ses côtés une photo de lui endormi avec des traces de rouge à lèvres, celui d'une femme qui lui écrivait « Si j'avais su dès le début que tu étais comme ça, je n'aurais pas attendu toute la nuit. Bisous mon chou. E. ». Il ne pouvait pas croire qu'il avait défendu ses principes. Il se dirigea vers la salle de bain pour prendre une douche et reprendre ses esprits. Il était pathétique et pourtant il s'était amusé. Il n'avait jamais eu autant de joie que cette nuit-là. C'est comme cela qu'il prit goût au jeu du corps, à l'alcool et à la drogue. Ces soirées l'éloignèrent peu à peu de son père. Son beau-père l'encourageait sans savoir ce qui se tramait derrière ses soirées. Et quant à sa mère, il ne la voyait guère. Une haine était en train d'envahir son coeur. Il ne pouvait plus supporter cette femme, ni celles qui l'entouraient. Elles étaient sans importances, toutes banales. Le jeune Anglais respectueux et gentleman s'était transformé en cruelle bête de la nuit.
Paroles de Klaus : Cette partie de ma vie est la meilleure que j'ai eu. La plus festive. Je n'avais pas à me prendre la tête, j'ai baissé mes gardes à cause de mon enfance, je pense. J'ai vu un psy aujourd'hui et il m'a confirmée cette hypothèse. Je n'arrive pas à croire que je suis en train de me confier à un stupide bout de papier. Où est passé l'ordure que je suis ? Ouais ce type irrespectueux, coureur de jupons, ironique, sadique, méchant, calculateur et rusé qui se fiche royalement du monde ? Il est encore là au fond de moi, je le sens. C'est mon démon.
Chapitre 4 : la mauvaise graine essaie de s'assagir.. Ou pas ! « Et maintenant, nous pouvons féliciter nos diplômés, dont Monsieur Klaus-Nikaél Clay Mathewsen. » Habillé d'un costard noir de haute couture, les cheveux en bataille et le regard portant vers le devant, Klaus avait grandi. Il arrivait à la fin de ses études. Il était officiellement diplômé en histoire et pouvait maintenant enseigner cette matière son plu grand rêve. Il se leva et affronta l'estrade qui était face à lui. Le directeur de la Sorbonne lui donna son diplôme neuf et sentant l'imprimerie. Il descendit les marches, un sourire victorieux sur les lèvres. Henry était là, oui il était toujours là. Il serra son beau-fils en lui donnant une tape dans le dos pour exprimer sa joie devant cet exploit. Sa mère ? Il ne l'avait pas vu depuis 4 mois. Il paraitrait qu'elle était allée en Angleterre pour voir ses parents. Henry lui avait prévu une surprise. Un an en Amérique, il allait vivre dans une des demeures de ce vieillard. Klaus fut ravi ! Il allait pouvoir retrouver une part de ses origines et parler la langue qui faisait son charme mystérieux. En sortant de la remise des diplômes, il s'exécuta et prépara ses affaires avant de partir le lendemain en direction de New York. La vie là-bas n'était pas comme il l'avait rêvé. Il avait eu un poste dans une université malfamée, le genre d'endroits où on ne traine pas souvent. Le peu d'argent qu'il gagnait, il le dépensait dans plusieurs choses : alcool, drogue et hôtel. Il n'avait pas changé, il était fêtard et ne se privait pas de louper quelques jours de cours pour cause de migraines trop intenses. Jusqu'au jour où il fut viré. Il se retrouva chez lui, une grande et belle demeure, avec des cartons dans les mains. Cette vie n'était pas faite pour lui. Il commença à se détruire intérieurement, la drogue était devenu pour lui un moyen d'alléger son esprit, chaque soir il retrouvait des amis à lui et se piquait avec une seringue. C'était un rituel, ils parlaient de leurs problèmes et une demi-heure après, ils voyaient voler des éléphants roses. Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais Henry fut très vite au courant, il tomba sur sa maison en ruine ! Des oeuvres avaient disparu, des statuts aussi... Ainsi que des bijoux de son ex-femme décédée. Il fut pris d'une colère noire. Il décida de virer Klaus de chez lui. Il ne voulait plus entendre parler de lui, ce n'était qu'une épave qui chercher à se détruire le plus possible. C'était décidé, il allait pouvoir se détruire à sa guise ! Tant qu'il voulait dehors ! Il se retrouvait à la rue avec une rolex au poignée et des habits de haute couture. Il n'avait pas vraiment une tête à être à la rue. Pourtant, il vendit tout ce qu'il avait pour se payer sa dose de drogues quotidiennes, il ne pouvait plus manger, même pas une mie de pain. L'argent se faisait rare et le peu qu'il avait passé dans l'héroïne. C'était devenu son problème. Un soir, il s'était dirigé dans une boite du centre, une fille lui fit des avances auxquelles il répondit. Il n'avait pas cédé à ses pulsions animales depuis des siècles. Seulement ce n'était pas n'importe qui, c'était une prostituée qui pensait que c'était son client, mais elle s'était trompée et comme c'était un client et que l'acte était fait, il devait payer. Pas un sou en poche, il ne risquait pas d'aller loin. La jeune femme le conduit à celle qui se chargeait de ses rendez-vous une vieille femme du nom d'Ekaterina. Une vieille bique ! Cette dernière étudia le phénomène. Il était parfait sous tous les angles, elle prit le temps de le faire chanter, il devait la rembourser et il était un bon produit à exposer et à vendre. C'est comme ça qu'il commença à devenir escort-boy la nuit. Ce métier lui a permis de tenir quelques mois et il put rassembler assez d'argent pour quitter New York mais pour aller où ? Une femme l'appela pour lui proposer un poste dans une bourgade perdue. Il accepta, mais Ekaterina n'était pas satisfaite de le voir partir. Elle l'envoya donc à une de ses collèges, cette dernière du nom de Lucienda était celle qui s'occupait de ses affaires, avec un dividende beaucoup plus avantageux, il pouvait profiter un peu de son temps libre, mais à quel prix ? Qui sera qui il est réellement? Parole de Klaus : je n'ai rien à dire mon histoire vient de commencer.
Bien voilà, je m'appelle Maude, un prénom très original Je suis connue sous le nom de Nissa ou de Darling-Sweet sur les forums. D'ailleurs je les ai commencés il y a perpet'. J'ai des passions, oui exactement, à part passer mon temps à regarder des séries de la mort qui tue, ou d'écrire des pâtés et des pâtés. Je devrais dire la danse, oui j'aime beaucoup cet art Après nous pourrons dire que j'aime le cinéma, la littérature et toutes les sorties du monde, surtout me retrouver avec mes amis J'ai 17 ans, et je vais être bientôt majeure dans quelques mois (a). Je suis en terminale, d'où la présence de mon lourd fardeau en fin d'année : le BAC ! Fucking year ! After, je trouve que le forum a un contexte original qui me fait légèrement penser à DH oui encore une allusion aux séries, mais qui n'aime pas cette série avec ces 4 actrices de choc dont Eva Longoria ? Le design est très agréable et frais ! Et une grande qualité de ce forum c'est qu'il est assez libre, pas comme avec certains où je suis inscrite qui sont assez rudes et très complex' à comprendre x). Il n'y a que des qualités. Et je suis un petit boulet quelque fois, oui oui, je suis d'un naturel très joyeuse ce qui me fait sortir des paroles étranges.. Je crois que je vais arrêter ici avant de faire fuir la populace |
Dernière édition par Klaus-Nikaél C. Mathewsen le Jeu 26 Avr - 20:56, édité 10 fois |
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