Sujet: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 11:24
ANDREA MADDEN
« be yourself. everybody else is already taken. »
NOM: Madden. ⊰PRÉNOM: Andrea. ⊰ÂGE: vingt trois ans. ⊰ORIGINES: mère américaine, père irlandais. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: a travaillé pendant quatre ans au Garden City News, journal New Yorkais. Essaye de trouver du boulot maintenant qu'il est rentré à Arrowsic ⊰STATUT CIVIL: Célibataire, homosexuel. ⊰CRÉDITS: tumblr. ⊰AVATAR: Louis Tomlinson.
welcome to our world. nice to meet you.
Bon, j'aime vraiment pas parler de moi dans un petit rectangle comme ça. j'me sens coincée presque Donc on va la faire courte : Raphaëlle, absolument inconnue. Vingt ans depuis peu, sous le charme de THUB, de son contexte, de son design, de l'accueil fait par les membres
Et je suis le scénario de Némo N. Clarks-Grimm
Dernière édition par Andrea Madden le Mar 22 Mai - 21:39, édité 3 fois
Sujet: Re: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 11:24
please, tell me your story. i’m listening.
« I. You've got the love »
« C'est … c'est fini. » Les mots que je redoutais le plus, une sorte de cancer qui annihile les sens, brise toute autre pensée, ronge jusqu'au plus profond du cœur. C'est impossible, c'est une mauvaise blague. Ça ne peut pas être réel. J'vais me réveiller dans quelques instants et il sera là à côté de moi, après avoir passé la nuit à la maison. Je glisse le long du mur, remonte les genoux jusqu'à mon menton, les encerclant de mes bras. Les larmes roulent le long de mes joues et cette maudite phrase tourne en boucle. Insidieuse, mauvaise comme un poison. Réveil toi Andrea, allez, réveil toi maintenant. Le souffle reste comme bloqué dans mes poumons. Si seulement il y avait une raison, si seulement il m'avait expliqué pourquoi, ce que j'ai pu louper, ce que j'avais pu dire, faire de mal. Expliquer cette absence de quelques jours malgré les messages que je lui avais envoyé à répétition. (…) Il y a comme un vide, un creux immense quand survient ce moment. Quand on réalise, encore une fois, qu'il n'est plus là pour moi. Une fois de plus, qui débarque rapidement, avec toute l'intensité du premier jour. Une douleur lancinante, une plaie qui ne semble pas vouloir se refermer. Une plaie qu'on panse, qu'on recoud, et qui, inexorablement, finit par se rouvrir, béante, sans fond. La douleur est fulgurante, comme le jour où la lame avait percé ma peau, s'était enfoncée dans ma chaire avec une froideur, une rapidité extrême. Le coup n'est pas ressenti immédiatement, il se montre par vagues, des étapes successives mais rapides, jusqu'au point culminant. Jusqu'à la paralysie totale. Le cortex ne répond plus, les yeux restent secs, à force d'avoir pleuré, les muscles se contractent les uns après les autres, méthodiquement. L'atmosphère, le monde palpable n'est plus qu'un vague souvenir. Les restes d'une vie, d'un quotidien, sont semblables à un château de cartes, dont les fondations viennent d'être brûlées, dont le terrain trop calciné ne peut plus être exploité. Je ne m'étais jamais habitué à cela, même un mois après, tout me semblait irréel. Je reste comme un automate, comme une poupée sans vie, les yeux ouverts face à mon propre reflet, incapable d'en comprendre le sens. Et si encore il y avait eu un sens, peut être que j'aurais pu faire face. Mais il manque la réponse à ce pourquoi. Accroché à un souvenir muet, un souvenir sans visage sur lequel se dessine un sourire las. C'est ce rappel flétrit qui me plonge dans une hébétude sans saveur. C'est ce rappel flétrit qui me noie totalement. Il faut que je m'en aille, que je quitte Arrowsic et tout ce que j'avais pu construire ici. Que je parte à Boston, à San Francisco, LA, Chicago, New York, n'importe où en laissant les évènements derrière moi. Partir, tout refaire ailleurs. Comme une sonnerie d'alarme, pour que la douleur s'éteigne.
«II. Roll away your stone. Quatre ans plus tard. »
« Alors Arrowsic, aujourd'hui c'est le grand jour ? » Je laisse retomber mon stylo sur le bureau, entre l'amas de feuilles qui s'empile dans le désordre total depuis le début de la semaine. Bordel insondable. Je redresse légèrement la tête, clope coincée au coin de mes lèvres, regard amusé à Jerry, les deux avant-bras posés sur la rembarre séparant ma box, mon bureau, de celui des autres. Je me laisse doucement glisser dans mon fauteuil, calant ma nuque contre le dossier. Longue latte tirée, la fumée s'échappe de mes lèvres, la cendre, menaçant de glisser et s'écraser sur la moquette d'un bleu infâme qui tapissait le sol des locaux. Léger haussement d'épaules. « Hum, mon rêve de journaliste qui prend jour. Interviewer la nouvelle star de la pop alors que les soldats se font tuer à l'autre bout du globe. Le pied franchement, le panard. » Jerry laisse entendre un rire sarcastique, vient déloger ma marlboro pour en tirer une latte avant de l'écraser dans mon cendrier, déjà plein à craquer. De la cendre s'étale sur mon bureau, salit les feuilles, et je la chasse du revers de la main. Maintenant quatre ans que je tenais le poste de journaliste, plus chroniqueur qu'autre chose, dans le quotidien Garden City News, lu par quelques centaines de new yorkais le matin. Le récupérant en achetant leurs donuts, gobelet de café dans une main, à courir au bureau, déjà en retard et parés pour une journée à la con, stressante, répétitive. Quatre ans, et pour l'instant, je n'avais couvert que de petits évènements. L'inauguration d'un parc naturel à NYC Ouest, le pompier héroïque qui avait sauvé une famille des flammes, la victoire d'une équipe de hockey locale. Pas de quoi me vanter. Remarque, je mesurais la chance immense que j'avais eu, de me retrouver directement ici ; j'aurais très bien pu galérer une dizaine d'années, à migrer de petit journal indépendant, à petit journal indépendant, qui auraient tous fait faillite à un moment ou à un autre. Plutôt bien loti sur le coup. L'échappé d'Arrowsic, avec simplement un diplôme de fin de lycée en poche, et une assez grande gueule, une assez jolie plume pour être rentré directement comme membre de ce quotidien. Aujourd'hui, le big boss, un gros mec qui fume cigare sur cigare, m'avait fait un cadeau, une fleur pour la nouvelle brillante recrue comme il l'avait dit en me filant un de ses Montecristo, directement importé de Cuba, qui s'était vite retrouvé dans la corbeille une fois les portes du bureau royal quitté. Après midi avec la star montante de la pop – ou plutôt une heure, car pour arriver enfin face à face avec une star, l'attente est longue, pour une rencontre courte -. Sur le coup, j'aurais préféré aller tenir le crachoir à la vieille de la vieille qui m'aurait raconté l'histoire de New York dans ses débuts. Chronique rurale, chronique historique, sûrement moins chiante, moins superficielle que la starlette. Jerry reste planté là, avec un sourire moqueur sur les lèvres. « Ça serait l'occas' de te taper une vip Arrowsic. Sortir de ton trou d'appartement. » Sourcils qui sautent, sourire pervers en coin de la part de mon collègue et je laisse entendre un rire ; attrapant mon feuilles, mon stylo. « Le chien chien de la starlette, à sourire sur les tapis rouges. J'en jouis d'avance. » Je lève la main en forme de creux, lui décroche un sourire surfait, toutes dents dehors, et agite les doigts, mouvement rotatif du poignet, qui fait marrer mon collègue. Me taper Mona, la chanteuse à la con, qui braye sur toutes les ondes son amour pour on ne sait trop qui, qui lui aurait brisé le cœur il y a fort longtemps et qui disparaitra d'ici deux mois, sauf si elle est recrutée dans une télé réalité. Grande blague. Deux mondes plutôt décalés, rien à voir même. Je m'étais un peu renseigné sur elle, professionnalisme oblige. Mona, de son vrai prénom Monica Stinfields, petite bourgeoise de la Nouvelle Orléans. Son père tenait une maison de disque. Mona n'a rien fait pour arriver en haut du top ten, pour concurrencer Madonna comme le disent certains journaux à people. La Madone s'était tracée son chemin by herself ; Mona non. La comparaison n'était possible que dans la blondeur de leurs tignasses. Bien entendu, ce genre de remarque, on ne l'écrit pas. Le journalisme au fond, c'est mentir, ou embellir la vérité – tournure employée dans le milieu pour se donner bonne conscience -. Le superficiel est plein d'artifices ; pour moi, ce n'est pas vraiment du journalisme. Voilà pourquoi je tire la même gueule depuis mon arrivée au bureau ; gueule qui me suivra jusqu'à l'apparition de la gamine en robe courte. Tant pis, le besoin de gaver le public m'appelle. Le besoin de me nourrir et de garder mon poste également.
« III. Running up that hill »
L'interview terminée depuis quelques heures maintenant, le papier attendant fièrement sa mise en page sur mon bureau à l'office, je me retrouve comme chaque soir face à mes habitudes. Bar, le John Henry. Je tapote sur le comptoir, attendant que le barman me prépare mes bières. Regard en coin, jeté à la petite estrade sur laquelle un groupe chante du Springsteen. Retour aux sources dans ce bar, ambiance conviviale, toujours au beau fixe. Le barman pose les deux pintes, m'appelant par mon prénom en notant ce que je lui devais sur un coin de carnet. J'attrape les deux bières, me fend un passage dans la foule qui chante, ou rigole à gorge ouverte, pour atteindre une table. Assise sur un des tabourets, les jambes battant la mesure dans le vide, une jeune femme aux cheveux blonds, attachés en chignon danseuse me sourit doucement, assez gênée de toute évidence. Pas l'habitude sûrement. C'est même certain en fait. Elle attrape la bière entre ses doigts maigres, et peinturlurés de rouge sang. Ici, on est à des années lumières de son monde de strass et de paillettes. Jerry avait vu juste : quelques phrases balancées, des sourires en coins, et Mona-la-divine fondait. Véridique : elle était vraiment très jolie. Légèrement anachronique dans cet endroit mais who cares. Elle s'était changée en quittant son studio hors de prix. Avait enfilé une robe légère, attaché ses cheveux histoire qu'on la reconnaisse moins. Ici aucun risque, personne n'écoutait sa musique. « C'est … Sympa. » Je hoche la tête en avalant une gorgée de ma bière. Forcément, Mona n'y touche pas, de peur de prendre un gramme demain. Foutue starlette embarquée dans le showbizness, à se faire gerber à chaque fois qu'elle mange une feuille de salade en trop. Je déteste ce milieu, et vu l'article flatteur que je vais pondre, le boss va encore m'envoyer courir après les People ; la bande d'ados qui trafiquent leur voix sur les ondes, infoutus de chanter juste sur scène. Ou les bimbos du grand écran, qui m'obligeront à reformuler leurs phrases pour éviter de les faire passer pour des écervelées – ce qu'elles sont -. Mona fait parti de la deuxième catégorie. Mais Mona a des jambes blanches, impeccables, et interminables. On ne peut pas tout avoir comme dirait l'autre. Pourquoi j'avais proposé de lui offrir un verre ? Aucune idée. Elle prend sa pose de tigresse, la bouche cul de poule, la main soutenant son menton. Lui dire quoi ? Hey Mona, je préfère les hommes. « Alors, t'as une copine ? » Je plisse les lèvres, secoue doucement la tête en signe négatif. « Amoureux alors. » Elle me fixe, les yeux façon chat prêt à attaquer. Amoureux. Instinctivement, le visage de Némo se forme. Mes lèvres se fendent en un léger sourire et Mona recule doucement, en frappant dans ses mains, éclat de rire. « J'en étais sûre. Elle est chanceuse. » « Il. » Et il n'était plus là. Il m'avait quitté comme le dernier des connards. J'avais fui, j'avais quitté le Maine, tout recommencer à New York. C'était trop dur, trop douloureux de me lever chaque jour en sentant mon cœur s'emballer, pris de panique à l'idée de le recroiser éternellement dans cette ville. Pour lui dire quoi ? Pour me mettre à pleurer quand il me snoberait, quand il tenterait de me dire bonjour ? Non, un brin d'honneur, ou lâcheté pure, m'avait fait quitter cette vie. Il y a quatre ans. Quatre foutues années et j'étais incapable de me sortir Némo du crâne. J'avais tenté de tourner la page, je m'étais même mis en couple avec un type habitant la cinquième avenue il y a deux ans. Mais tout bloquait, il n'y avait pas ce truc, cette alchimie. Il n'était pas lui. « T'es plus avec lui, c'est ça ? » Les filles les plus bêtes sont parfois les plus perspicaces. « Et je n'ai jamais su pourquoi. » Ironique, la belle histoire qui se termine sans explications. Je porte mon verre à mes lèvres pour en boire une gorgée. « Va le retrouver. » Et tout abandonner ? Tout recommencer, encore une fois. Laisser derrière moi NYC, ce poste de chroniqueur. Je laisse échapper un soupire ; retourner à Arrowsic, cette idée qui tournait en boucle, tous les jours. Revoir mon père malade. Revoir Némo.
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Dernière édition par Andrea Madden le Mar 22 Mai - 21:16, édité 7 fois
Sujet: Re: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 11:34
Toi je te veux dans mes amis et dans mon lit! :abbey: !!!! (mode directioner tomlinsON) LOUIS TOMLINSON! BOO BEAR! SWAGGA MASTA FROM DONCASTA! YOUHOUUUUUUU! JIMMY PROTESTE PAS DU TOUT LA! Bon les gens je fas une annonce : HE'S MINE! On touche plus, mon mode directioner a pris le dessus! (mode directioner tomlinsOFF) Voilà bienvenue à toi et très bonne chance pour ta fiche... Si tu la termine pas, mon perso viendra te botter le cul, on laisse jamais tomber Louis Tomlinson :p :)
Sujet: Re: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 11:47
Leven Pour ce qui est de te rejoindre, in your bed, j'suis pas certain que Némo appréciera Sauf si l'échangisme est monnaie courante à Arrowsic ça y est Kendall tu me met la pression, j'vais termine ma fiche au plus vite
Sujet: Re: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 11:50
On s'en fou, on sera 2 couples homosexuel échangistes. Rien à foutre, puis si némo veut pas, je te viole, fais attention à ton énorme cul de meuf tommo! fais attention
Sujet: Re: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 11:56
Kendall A. Hanwell-Morley a écrit:
Toi je te veux dans mes amis et dans mon lit! :abbey: !!!! (mode directioner tomlinsON) LOUIS TOMLINSON! BOO BEAR! SWAGGA MASTA FROM DONCASTA! YOUHOUUUUUUU! JIMMY PROTESTE PAS DU TOUT LA! Bon les gens je fas une annonce : HE'S MINE! On touche plus, mon mode directioner a pris le dessus! (mode directioner tomlinsOFF) Voilà bienvenue à toi et très bonne chance pour ta fiche... Si tu la termine pas, mon perso viendra te botter le cul, on laisse jamais tomber Louis Tomlinson :p :)
MAIS + 111111111111111111111111111111111111 [....]
LOUIS SEXY HOT [tout ce que tu veux] TOMLINSON 8) Le mec de mes rêves pour qui j'avais créer un blog source du tonerre qu'on ma joliment piraté/supprimé (ça m'a déprimé --' )
MAIS POURQUOI J'SUIS PAS UNE MEUF SUR LE FORUM MOI haha ! BIENVENUE A TOI EN TOUT CAS
Dernière édition par Imran Johar le Mar 22 Mai - 12:03, édité 1 fois
Sujet: Re: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 15:57
MAIS MAIS MAIS ... Y A TOUT LE MOOOONDE QUI VEUX ME PIQUER MON CHERIIIIIIIIIII ( va falloir que je sois sur mes gardes maintenant ) ALORS CHER HABITANTS D'ARROWSIC,
ANDREA FREAKIN MADDEN IS MIIIIIINE
( & non je ne pratique pas les clubs échangistes ) bref, j'arrête de faire mon jaloux, et SEXY TOMLINSON IL GEEEEEERE ALORS BIENVENUE OFFICIELLEMENT PARMI-NOUS, MA BOITE MP EST OUVERTE H27 POUR TOI & MERCI PIRE QUE TOUT D'AVOIR PRIS MON SCENARIO, RIEN QUE POUR CA JE T'AIME TU PEUX PAS SAVOIR COMMENT
Sujet: Re: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 17:50
Roh shit, moi qui voulais me reproduire avec Némo, c'est mal parti avec toi maintenant. M'enfin, si t'es occupé avec Kendall c'est pas grave en fait. Je suis trop fan du pseudo. Et du titre aussi, tiens. BIENVENUE PARMI NOUUUUUS. Et bon courage pour faire ta fiche, aussi.
Sujet: Re: andrea ▷ arrêtez de vous reproduire. Mar 22 Mai - 20:52
je me disais bien que ça tête me disait quelque chose. One direction Bon, m'en voulez pas, ô grands fans des OD, mais je suis pas fan. Quoi que Louis est pas mal c'est vrai.
bref, bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche. Si tu as des questions, n'hésites pas