Sujet: Alexander J. Carter • A seven nation army couldn't hold me back ! ♫ ♪ ♥ Dim 30 Sep - 14:40
Alexander Jonathan Carter
« be yourself. everybody else is already taken. »
NOM: Carter. ⊰PRÉNOM: Alexander Jonathan. Je dirais même plus, Alexander Jonathan Stéphane, mais Alexander c’est bien. Parfait même. ⊰ÂGE: 35 ans. ⊰ORIGINES: Anglaise, d’Angleterre. Parce qu’un anglais de Russie ça aurait été étrange . ⊰MÉTIER/ÉTUDES: Professeur de chimie dans le cycle supérieur. ⊰STATUT CIVIL: Célibataire, marié à sa main droite… ⊰CRÉDITS: tumblr. ⊰AVATAR: Jim Parsons .
please, tell me your story.
i’m listening.
« Personne ne me comprend de toute façon ! Personne ne m’a jamais compris et personne ne me comprendra jamais ! »
Hurlant ces deux phrases, je claquais la porte de ma chambre dans un grand fracas. C’est en ce quatorze janvier que je fêtais mon huitième anniversaire. Je venais d’encore me disputer avec mes parents. C’est chose coutume ici. Pourquoi ? Parce qu’ils n’acceptent pas mon amitié avec Lionel. Ça fait trois ans qu’on passe nos journées ensemble. On est tout le temps collés l’un à l’autre, que ce soit à la maison, à l’école, dans la rue… Sauf que lorsqu’il est là, mes parents s’énervent, sans aucune raison. Ils sont sans doute fous, mais je n’ose pas les contredire, qu’ils restent dans leurs délires, et grand bien leur fasse… En pleurs, je me dirigeais vers mon lit sur lequel était déjà installée Lionel.
« Qu’est ce que t’as ? »
Il posa une main rassurante sur mon épaule. Me tournant vers lui, je lui expliquais en détail tout ce qui venait de se passer. Mes cousins, cousines et autres oncles et tantes qui rappliquent, mon gâteau par terre, ma crise de nerfs lorsque mon oncle Benja m’avait traité de cinglé,… Il me regarda avec compassion puis me prit dans ses bras et me souffla doucement à l’oreille.
« Ne t’inquiète pas, tout va s’arranger. - Tant qu’on est nous deux… - Mais Alex… à qui tu parles ? »
Surpris, je me retournai en sursaut. Eden, ma cousine. Durant toute l’engueulade avec l’oncle Benja, elle n’avait strictement rien dit, préférant peut-être attendre qu’on soit tous les deux. Je lui répondis, étonné, en lui montrant Lional du pouce.
« Ben… à Lionel !.»
Elle me regarda d’un air dubitatif.
« Mais y a personne.»
Je regardais à côté de moi. Lionel était bien là ! Il haussa les épaules, lu non plus ne comprenait pas ce que ma cousine essayait de me dire. Cette dernière s’approcha de moi. Elle voulut s’asseoir sur mon lit, mais je luis cria bien vite qu’elle allait se mettre sur les genoux de Lional. Elle s’assit alors de l’autre côté.
« Tu sais, c’est pas grave ce qui t’arrive. On a tous eu un ami imaginaire tu sais. Mais quand on était tout petits… Tu viens d’avoir huit ans, il serait peut-être temps que tu tournes la page… »
De quel droit elle me disait ça ? De quel droit elle s’autorisait à me dire que Lionel n’existait pas ?! Ils étaient à quelques centimètres l’un de l’autre ! Lui hurlant de sortir immédiatement de ma chambre, je lui balançais mon oreiller à la figure avant qu’elle ne claque la porte. Cette fois, je pleurais pour de bon. Je pris mon visage dans mes mains, sanglotant à chaudes larmes.
« Ne t’inquiète pas, tout ira bien si on reste tout les deux… »
Les années passèrent. Trois exactement. Un jour, alors que je descendais dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner avec Lionel, il n’était pas là. C’était étonnant, il prend toujours le petit déjeuner avec moi. Lorsque j’eu fini mon bol de Korn Flakes, je sortis sur le trottoir devant ma maison : c’est là qu’on se retrouvait toujours. Je suis resté des jours entiers à l’attendre sur cette dalle en béton, rentrant que pour manger ou tard le soir pour aller me coucher, et recommencer le jour d’après. J’ai fais ça pendant deux semaines, jours pour jours. Et puis j’ai abandonné, au grand plaisir de mes parents qui m’observaient par la fenêtre du salon.
♪ ♫ Let's go, crazy crazy crazy till we see the suuuuuun ♫ ♪
« Mais maman! Je te jure que c'est vrai, elle me parle! Pourquoi tu ne me crois pas? »
Ma mère me fixait d'un air inquiet pendant que je m’excitais devant elle. Depuis peu, une voix me parle dans ma tête... Sauf que personne ne l'entend. Personne à part moi évidemment… Ils me croient tous fou, mais je ne le suis pas. Je suis juste supérieurement intelligent. J’ai une autre théorie : les plus cons le sont parfois trop pour se rendre compte de leur bêtise… Je me frappai l'arrière du crâne en lui hurlant de la fermer. Ce fut efficace, mais ma mère qui me faisait la morale s'arrêta net, pas habituée a ce genre de geste. Il est vrai qu’un jeune de seize ans qui se violente, ce n’est pas courant.
« Non… Ce n’est pas à toi que je parlais… - Tu me fais peur Alex… »
Après un moment de flottement, je courus m’enfermer dans ma chambre. Je ne sais pas d’où elle vient, ni pourquoi elle me hante. Tout ce que je sais, c’est qu’elle est là. Et le pire, c’est que cette voix, c’est de celle de Lionel… Légèrement différente, certes, mais je la reconnaîtrais entre mille. Cinq longues années que je ne l’avais pas entendue, et j’en avais plus peur qu’autre chose. Comme à chaque fois que je me disputais avec mes parents, ou que j’étais effrayé, je me réfugiais dans mes études. J’ouvris mon cours de math, et me mis à remplir mes équations. Il faudra que tu en reparles avec ta mère mon grand, sinon tu finiras dans un asile. Je l’ignorai tant bien que mal, serrant les poings.
♪ ♫ Let's go, crazy crazy crazy till we see the suuuuuun ♫ ♪
Je les hais. Je les déteste tous, ces adolescents qui se croient déjà adultes, qui se pensent supérieurs aux autres. Ce que je fous là ? Je ne sais pas. Je me destinais pourtant à bien plus en faisant ces études… ingénieur ? Laborantin ? Non, professeur de chimie dans le cycle supérieur. Condamné à voir chaque jour des quatrièmes, des cinquièmes et des rhétos. A présent, j'avais cours avec les plus jeunes : les quatrièmes, sans aucun doute les pires. Du haut de leurs quinze ans, seize tout au plus, ils pensent déjà que le monde leur appartient. Je déposai mon sac sur la table, créant un vide complet dans la salle. J'aime ce respect que qu'ils me portent. De la peur? Je ne sais pas, ce sentiment est tellement proche de l'amour. Je prononcai lentement d'un ton froid :
« Bonjour. Prenez une feuille et de quoi écrire, test sur les problèmes stoechiométriques. »
Quelques protestations se firent entendre. J'y mis vite fin en leur hurlant à pleins poumons de se taire. Le calme revint. Bien. Très bien.
« Bon. Toute fraude ou tentative de fraude sera punie d'un zéro et d'une entrevue avec la directrice. Allez, on se dépêche! Ce que vous pouvez être lent alors! »
Je m’assis sur ma chaise, croisai les bras et dictai d'un ton las les énoncés. Des quatrièmes au mois de septembre sont aussi rapides que des tortues à qui ils manquent une patte...
♪ ♫ Let's go, crazy crazy crazy till we see the suuuuuun ♫ ♪
« Bonjour monsieur Carter ! Comment allez-vous aujourd’hui ? »
Je m’assis en face de ma psychologue, souriant face à cette question stupide. Si je vais bien ? Oui, tout à fait. Sauf que personne ne veut le croire. Je suis tout à fait sain d’esprit. C’est ça… En attendant, tu dois toujours aller raconter ta vue chez un psy. Oui, mais à la différence, c’est que contrairement à dans ma jeunesse, j’y vais de mon plein gré. J'aime parler avec cette femme, c'est l'une des seules personnes qui m'écoute. Peu de gens daignent le faire, me prenant pour un malade. Avec les années, j'ai su calmer mes "spasmes". A présent, même lorsque la voix s'adresse a moi, je ne me frappe plus l'arrière du crâne, ou du moins pas en public. Une façon pourtant efficace pour la faire taire. Tous les élèves du lycée où j'enseigne sont au courant de cela, et ils se font une joie de faire courir toutes sortes de rumeurs. Ils ont une imagination débordante à cet age... Mais je n'y fais attention. Je me mis a raconter ma vie, parlant de choses et d'autres a cette femme qui m écoutait attentivement. Quelle délectable sensation que d'être respecté. .
welcome to our world.
nice to meet you.
Tout d’abord, bonjour ! Moi, je m’appelle donc Pauline, et j’ai 15 ans, tout simplement. J’arrive de Belgique, ce merveilleux pays des gaufres, des moules-frites, du chocolat et de la bière. Mais aussi du froid. Je parle du climat, car le soleil brille dans le cœur de tout les Belges C’est tellement poétique. Question connexion, tout les jours ( ) à partir de 17 heures. Je ne vois pas trop ce que je pourrais dire d’autre… A part que je vous n’aime déjà
Dernière édition par Alexander J. Carter le Sam 6 Oct - 16:20, édité 7 fois
Sujet: Re: Alexander J. Carter • A seven nation army couldn't hold me back ! ♫ ♪ ♥ Dim 30 Sep - 14:43
OH MON DIEU JIM NON MAIS EPOUSE MOI ET FAIS MOI DES GOSSES Je l'aime tellement, et puis c'est la toute première fois que je le vois sur un forum, donc j'suis juste toute émoustillée là bordel, non mais toi t'es ma déesse à vie quoi j'ai hâte de voir le personnage que tu vas nous faire bienvenue parmi nous
Sujet: Re: Alexander J. Carter • A seven nation army couldn't hold me back ! ♫ ♪ ♥ Dim 30 Sep - 15:03
SHELDON COOPER ... okay je sors ma fangirl intérieur là, je suis obligéeeee. OMG je l'adore trop Enfin bienvenue sur le forum, excellent et innovant choix d'avatar et j'ai hâte de voir quel genre de perso tu vas nous faire, en tous les cas, bon courage pour ta fiche :leandro:
Sujet: Re: Alexander J. Carter • A seven nation army couldn't hold me back ! ♫ ♪ ♥ Dim 30 Sep - 15:06
omg, JIIIM ! c'est aussi la toute première fois que j'le vois sur un forum, franchement ça promet moi j'dis ! j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire en tout cas, excellent choix d'avatar bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
DOUBLE-COMPTE : jona & louis. MESSAGES : 8067 ARRIVÉE : 07/03/2012 LOCALISATION : à l'hôpital.
Sujet: Re: Alexander J. Carter • A seven nation army couldn't hold me back ! ♫ ♪ ♥ Dim 30 Sep - 15:07
Je plussoie le choix est trop original il est trop marrant cet acteur j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire bienvenuuuuue à toi amuses toi bien parmis nous et si tu as des questions, n'hesites pas
Sujet: Re: Alexander J. Carter • A seven nation army couldn't hold me back ! ♫ ♪ ♥ Dim 30 Sep - 15:32
OMG. Je crois que j'ai pas besoin de faire ma fangirl, comme les autres J'ai hate de voir ce que ça vas donner comme personnage :3 Bienvenue à toi (et si tu as besoin d'un psy )
Sujet: Re: Alexander J. Carter • A seven nation army couldn't hold me back ! ♫ ♪ ♥ Dim 30 Sep - 18:58
"I CRY BECAUSE OTHER PEOPLE ARE STUPID AND THAT MAKE ME SAD", cette citation est juste épique. je t'aime. laisse moi t'épouser :chazi:. bienvenue et tout ça tout ça, prépare toi à ce que je te harcèle .