Sujet: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 14:28
Cristina Esperanza Pennington
« be yourself. everybody else is already taken. »
NOM: Pennington. En réalité c'est “Pennington-Consuelos” mais c’est bien trop long à écrire.⊰PRÉNOM: Cristina Esperanza, mais tout le monde m’appelle Tina (hormis les "Cristina Esperanza Pennington-Consuelos" de mes parents quand ils ont quelque chose à me reprocher, évidemment !) ⊰ÂGE: 19 ans. ⊰ORIGINES: Je crois qu’avec un nom pareil, je suis incapable de renier mes origines Mexicaines, pas vrai ? Je suis Américaine par mon père, Mexicaine par ma mère. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: Je ne fais rien. Je n’ai pas vraiment envie de travailler pour le moment et je n’ai pas besoin d’argent alors pourquoi me fatiguer ? ⊰STATUT CIVIL: Célibataire. ⊰CRÉDITS: gifsforgomez @tumblr ⊰AVATAR: Selena Gomez.
please, tell me your story.
i’m listening.
ARROWSIC, 1993. « N’empêche qu’ils seraient peut-être temps que vous passiez à la vitesse supérieure, tous les deux. » Elvira Consuelos était confortablement installée dans le minuscule salon qui lui servait aussi de chambre à coucher. Avec son salaire de misère, elle ne pouvait espérer trouver mieux que ce petit appartement tout juste assez grand pour sa fille et elle. Candace, sa meilleure amie, était venue lui rendre visite et après avoir bu quelques verres de vin, elle commençait à tenir des discours complètement décousus. « Et ça veut dire quoi passer à la vitesse supérieure, au juste ? », s’enquit Elvira, incapable de retenir un rictus amusé. Candace se redressa vivement, plantant son regard sérieux dans celui de son amie. « Vous marier, pardi ! Vous avez un gosse, c’est la suite logique des choses. Vous auriez même dû vous marier avant que tu tombes enceinte. Si ta sainte mère avait vu ça, elle aurait fait une crise cardiaque… Elle qui était tellement attachée aux traditions ! » Elle n’était pas totalement ivre mais la quantité d’alcool qu’elle avait ingurgité était assez importante pour lui faire dire n’importe quoi. Elvira n’y prêtait pas vraiment attention et se contentait de sourire en attendant que cela lui passe. « Richard et moi, on ne compte pas se marier. Ni dans deux jours, ni dans dix ans. Jamais. On n’est pas ensemble, on a juste un enfant tous les deux », rappela-t-elle. Candace soupira, passant une main dans sa chevelure d’un blond éclatant. « Vous n’êtes pas normaux. Tu le sais, ça ? Personne ne fait un gosse à quelqu’un qu’il n’aime pas ! Ou alors un soir de beuverie, sans que ce soit planifié… Mais vous, non. Vous avez tout prévu… Ça me dépasse ! Comment cette histoire est venue sur le tapis, d’ailleurs ? On ne décide de faire un enfant comme ça, quand même ! » Il est vrai que l’histoire d’Elvira et Richard était peu conventionnelle mais la jeune femme s’en moquait bien. Anticonformiste jusqu’au bout des ongles, elle n’aimait pas l’idée que chacun doive entrer dans des "cases" et suivre une vie toute tracée sous prétexte qu’il fallait être normal. Elle voulait vivre son existence comme elle l’entendait et se foutait éperdument de l’opinion des autres. « Je voulais un enfant, il en voulait un aussi et on a décidé d’en faire un ensemble, c’est tout. En toute amitié. » C’était la vérité : elle n’était pas amoureuse de Richard et il n’était pas amoureux d’elle. Ils n’avaient jamais envisagé de sortir ensemble. Ils souhaitaient tous les deux un enfant et, faute d’autres candidats satisfaisants, ils s’étaient dit qu’ils allaient procréer tous les deux. En quoi cela était-il si exceptionnel ? « Bah voyons ! », répliqua Candace, la voix pleine de sarcasme. « Et tu ne crois pas que votre gamine va être un peu perturbée par ce mode de vie ? » Elvira secoua la tête sans hésiter une seule seconde. « Pourquoi le serait-elle ? Des gosses qui ont des parents séparés, y en a des tas. Nous, c’est un peu le même principe. Sauf que c’est encore mieux, puisqu’on n’a jamais été ensemble. Au moins, elle n'aura pas peur qu'on divorce dès qu'on s'engueule. » Quoi qu'on en dise, ces arguments tenaient la route. Elle était persuadée que Cristina serait parfaitement épanouie et équilibrée, même si le schéma de leur famille n'était pas vraiment commun. L'important, c'était qu'elle avait deux parents qui l'avait réellement désirée et qu'ils l'aimaient plus que tout, non ?
LOS ANGELES, 2012. « Tu es d’un égoïsme sans nom, Cristina Esperanza Pennington-Consuelos ! » Voilà plus d’une quart d’heure que la mère de Cristina, plus communément appelée Tina, vociférait. Son accent Mexicain ressortait davantage lorsqu’elle était énervée, et elle était parfois difficile à comprendre. « Un monstre. J’ai engendré un monstre ! », s’exclama-t-elle en agitant les bras dans tous les sens. « Tu te rends compte du mal que tu fais autour de toi, Cristina ? Cette fille, cette pauvre fille… ¡ Dios mío ! Mais qu’est-ce qu’on va faire de toi ? » Cristina restait impassible, assise en tailleur sur son lit, un magazine à la main. Elle avait cessé d’écouter les réprimandes de sa mère depuis de longues minutes déjà. De toute façon, c’était toujours la même histoire. « Quand est-ce que tu vas grandir un peu, Tina ? » La jeune fille daigna enfin lever les yeux. « Ce n’est pas si grave, il n’y a pas de quoi en faire toute une histoire », lança-t-elle d’un ton grinçant. Sa mère manqua de tomber à la renverse, profondément choquée par ses propos. « Pas si grave ? Pas si grave ! Tu as humilié une jeune fille et tu as été renvoyée pour la troisième fois d'affilée, Tina ! C’est plus que grave ! Tu as compromis ton avenir et tu ne t’en rends même pas compte ! » La belle affaire !, pensa Tina. Ce n’était qu’une mauvaise blague, rien de plus. Elle s’était simplement amusée à se moquer un peu d’une de ses collègues, c’est tout. Pas de quoi fouetter un chat. Si elle n’avait pas pleurer comme une gamine dans le bureau du patron, elle aurait encore son boulot. Dans le fond, elle se moquait bien d’avoir été renvoyée. Cela la réjouissait même ; au moins, elle n’aurait plus à se lever tôt tous les matins ni à supporter les attardés qui lui servaient de collègues. Le monde était décidément rempli de crétins. « Il faut que ça change, Tina. Je n'en peux plus », déclara soudainement Elvira, d’un ton qui se voulait autoritaire. Loin d’être effrayée par cette menace, Cristina lui offrit un sourire narquois. « Laisse-moi deviner, tu t’entraînes à jouer les mères autoritaires pour ton prochain rôle ? » Son ton était ironique mais elle n’avait pas pu s’en empêcher. Sa mère était une actrice de seconde zone qui, à quarante ans passés, attendait encore qu’un réalisateur la remarque. Elle enchaînait les auditions, collectionnait les "on vous rappellera", amassait les déceptions. Cristina savait pertinemment que sa mère n’arriverait jamais à rien ; elle n’avait pas sa place dans le monde très fermé du cinéma. Pas parce qu’elle n’avait aucun talent, mais parce qu’elle manquait cruellement de confiance en elle et de persévérance. Elles avaient emménagé à Los Angeles depuis près de dix ans et pourtant, la filmographie d’Elvira Consuelos se limitait à de banales apparitions dans des séries has-been ou à de la figuration. Rien de très glorieux, en somme. « J’aimerais que tu me parles sur un autre ton, Cristina. » Mettre "Cristina" à la fin de ses phrases était sa façon à elle d’établir des limites, de lui dire qu’elle ne plaisantait pas et que cette fois, elle ne baisserait pas les bras. Mais aussi convaincante soit-elle, Tina savait qu’elle ne camperait pas sur ses positions plus de deux minutes. Elle ne répondit rien, se contentant de regarder sa mère d'un air moqueur, presque provocant. Elvira était incapable de faire preuve d’autorité. Elle n’avait jamais le dernier mot et quoi qu’il arrive, elle finissait toujours par céder à sa fille. « Il est temps que ça change. Vraiment. On ne peut pas continuer comme cela, Tina. Je ne sais plus quoi faire avec toi ! Tu es insolente, irrespectueuse et arrogante... J'ai parfois honte de dire que tu es ma fille », admit-elle avec peine. La jeune fille haussa les épaules. « Ça, je crois que c’est à toi que tu le dois, Maman. C’est toi qui m’as élevée, non ? Tu es responsable de ce que je suis devenue. » Elle savait qu’elle blessait sa mère et pourtant, elle n’avait pas envie de s’arrêter. Elle ne ressentait jamais ni regrets ni remords. En fait, elle ne ressentait jamais rien. Elle ne savait pas ce qu’était le bonheur et ignorait tout de la tristesse. Elle souriait rarement et ne pleurait jamais. Insensible, imperméable à toute émotion… Sans cœur. Tina était un mystère, une énigme tellement complexe que bon nombre avaient renoncé à résoudre. Personne ne pouvait prétendre la connaître. Elle avait plusieurs facettes, plusieurs personnalités qu’elle se plaisait à explorer au gré de ses humeurs. Elle était tout et son contraire. Elle n’avait aucune passion mais adorait de nombreux domaines. Elle aimait la musique pendant une semaine puis s’en désintéressait au profit du dessin, qui laissait quelques jours plus tard sa place à la danse… Elle était continuellement en phase d’apprentissage et ne finissait jamais ce qu’elle commençait. Elle se lassait très vite. Elle redoutait la routine plus que tout et elle ne voulait pas s’enfermer dans quelque chose en particulier. Elle voulait tout découvrir, tout goûter, tout faire, tout connaître. Parce qu’au fond, la vie n’était qu’un jeu. On venait au monde pour mourir et vivre une existence parfaitement rangée ne valait pas le coup. Quitte à finir en poussière, autant brûler la vie par les deux bouts et ne rien regretter. Elle refusait de penser aux conséquences de ses actes et ne se projetait jamais plus de quelques heures en avant. L’avenir lui faisait peur mais ça, elle ne l’avouerait jamais. En réalité, elle n’avait aucune idée de ce qu’elle allait devenir. Parfois, elle se disait que son comportement finirait par l’enfermer dans une solitude qui aurait raison d’elle... Elle prenait un malin plaisir à jouer avec les autres. Elle les manipulait à sa guise, se servait d’eux quand elle en avait besoin puis les laissait tomber sans se soucier du mal qu’elle pouvait faire. Elle ne s’était jamais attachée à qui que ce soit. Ni d’amour, ni d’amitié. Elle se suffisait à elle-même et n’avait guère besoin de la compagnie des autres. Elle n’avait jamais rencontré quelqu’un digne d’intérêt. Quand elle était encore étudiante, elle avait été effrayée de voir que ses camarades de classe se ressemblaient tous. Ils n’étaient que de vulgaires clones, qui portaient les mêmes accoutrements, écoutaient le même genre de musique, regardaient les mêmes films, admiraient ou détestaient les mêmes personnes, avaient les mêmes opinions sur tout… C’était comme si ces individus n’avaient pas d’identité propre. Ils formaient un seul être à eux tous. La seule façon de les distinguer, c’était leur différence physique. Elle s’était juré de ne jamais devenir comme cela. Elle voulait suivre son propre chemin, vivre sa propre vie et ne jamais se laisser influencer. Elle n’avait ni lois, ni principes et le monde était à sa merci. Ce qui faisait qu’elle avait souvent le dessus sur les autres ? Son visage d’ange. La nature lui avait donné cet air enfantin, presque innocent, et personne ne se méfiait d’elle. Elle savait parfaitement en jouer et endosser le rôle de l’ingénue naïve et cupide quand cela était nécessaire, pour mieux tromper son monde. L’être humain était idiot : il ne réfléchissait pas et se fiait aux apparences. Il imaginait que les anges avaient des traits doux comme ceux de Tina et que les démons faisaient forcément peur alors qu’en réalité, c’était souvent le contraire. Ne jamais se fier aux apparences, ne jamais juger quelqu’un trop vite. Tout le monde trompait tout le monde. Chacun avait, ne serait-ce qu’une fois, dissimuler sa vraie personnalité, porté un masque pour devenir quelqu’un d’autre aux yeux de tous. L’existence n’était que mensonge et à la différence de bien des gens, Tina l’avait compris très vite. Elle savait s’en servir, en jouer pour parvenir à ses fins. Elle était bien plus intelligente que la moyenne. Bien sûr, il lui arrivait parfois de baisser sa garde et de se montrer amicale ou généreuse. Mais c’était rarement gratuit ; elle faisait partie de ces filles qui ont toujours quelque chose en tête et qui cherchent à tirer profit de tout et de tout le monde. Nul ne savait quand elle était sincère ou non, nul ne la comprenait, mais cela n’avait rien d’étonnant. Comment quelqu’un pouvait-il la comprendre alors qu’elle ne se comprenait pas elle-même ?
« Tu vas aller vivre chez ton père quelques temps. » Cristina posa son magazine à côté d’elle et regarda sa mère sans rien dire, attendant le moment où elle lui annoncerait que ce n’était qu’une mauvaise blague. Mais rien. Elle la fixait sans ciller et son visage habituellement si doux reflétait une dureté qu’elle ne lui connaissait pas. Se pouvait-il qu’elle soit sérieuse ? « Quoi ? » Elvira baissa les yeux, comme si elle cherchait à se donner du courage. « Tu vas retourner vivre à Arrowsic. » Cette phrase était une sentence bien pire que la mort. Retourner à Arrowsic ? Elle n’était pas sûre de pouvoir le supporter. Là-bas, la vie s’écoulait au ralenti et le temps semblait détraqué. Chaque seconde paraissait durer une éternité et l’ennui n’arrangeait rien. « Tu plaisantes, là ? » Son ton plaintif n'avait qu'un seul but : amadouer sa mère. « Non, Cristina, je ne plaisante pas. On s’est dit qu’un retour aux sources ne pourrait pas te faire de mal. » Non, cela ne lui ferait pas de mal. Ça la tuerait carrément. Retourner à Arrowsic était pire qu’une punition, c’était une sentence, une condamnation à mort. « Plutôt crever que de retourner là-bas ! », répliqua-t-elle du tac au tac. Mais cette fois-ci, sa mère ne céda pas. Malgré tous ses efforts, ses pleurs, ses menaces, Cristina ne parvint pas à la faire changer d’avis. « Ce sera bénéfique pour nous tous », avait-elle dit. « Cela te permettra de te rapprocher de ton père et de renouer le contact avec tes anciens amis. Ça ne peut que te faire du bien. » La vérité, c’était que Tina n’avait aucun ami. Ni à Arrowsic, ni à Los Angeles, ni autre part dans le monde. Elle détestait copiner avec les gens. Elle se servait d’eux quand elle avait besoin et ça s’arrêtait là.
Mais puisqu’il était hors de question qu’elle retourne à Los Angeles tant qu’elle ne serait pas plus sympathique et respectueuse, elle se plierait aux règles de courtoisie. Et elle ferait semblant. Semblant de s’acclimater à ce village paumé, semblant d’apprécier ses habitants, semblant de renouer les liens avec ses anciens camarades de classe, semblant d'aimer… Semblant de changer et de devenir une fille bien, docile et polie. Elle allait apprendre à sourire. Çne devait pas être si compliqué ! Et contrairement à sa mère, elle savait parfaitement bien jouer la comédie et être crédible. Après tout, les gens pouvaient changer, non ? Un loup pouvait devenir aussi doux qu'un agneau, un malfrat pouvait entrer dans le droit chemin, une fille facile pouvait se ranger... Pourquoi Cristina Pennington ne pourrait-elle devenir une gentille fille ? Elle était persuadée qu'elle parviendrait à tromper tout le monde, à les convaincre qu'elle avait changé. Elle considérait ce séjour dans sa ville natale comme une nouvelle scène du film de sa vie. Une scène cruciale où elle n'avait pas le droit à l'erreur.
welcome to our world.
nice to meet you.
C’est le moment toù je dois parler de moi, c’est ça ? Bon, je vais essayer de faire court et de ne pas trop vous ennuyer… Je m’appelle Laurie, j’ai 22 ans et je viens de France. J'ai la fâcheuse tendance à mettre des smileys partout (sauf dans mes RPs), je pense que vous allez vite vous en rendre compte. Cela fait un petit moment que j’hésite à m’inscrire sur le forum et hop, j’ai sauté le pas ! Je l’ai connu par partenariat, me semble-t-il, et j’ai tout de suite accroché J’espère que vous n’avez rien contre Selena Gomez… C'est la première fois que je la joue et j'étais un peu réticente mais elle correspond parfaitement à l'idée que je me faisais de Tina, alors... Je dois avouer que j'ai un peu peur de ne pas réussir à m'intégrer en la prenant mais qui ne tente rien n'a rien, comme on dit J’ai hâââââte d’être validée pour pouvoir RP avec vous !
Dernière édition par Cristina E. Pennington le Ven 12 Oct - 19:42, édité 10 fois
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 14:45
Bienvenue parmi nous je t'avoue que je suis pas très très très fan de gomez mais je préfère me tabler sur le personnage plus que sur l'avatar donc si Tina & Sutton peuvent avoir un lien bien cowl et intéressant, j'viendrais t'en quémander un et puis ici les gens mettent bien à l'aise, donc j'pense pas que t'auras grand mal à te faire une place parmi nous
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 15:08
WESH PENDANT LES VACANCES J'AI FAIS DES MOTS CROISES (oui je fais des mots croisés ) SUR SELENA & JUSTIN ->>>>> Je t'avoue que j'pouvais pas trop me voir Selena mais ça c'était avant Elle est juste trop magnifique je trouve Puis j'regardé les sorciers de waverly place l'année dernière Bref pour moi en tout cas bon choix d'ava Bienvenue parmi nous ma belle et si tu as le moindre problème, mpotte moi
DOUBLE-COMPTE : jona & louis. MESSAGES : 8067 ARRIVÉE : 07/03/2012 LOCALISATION : à l'hôpital.
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 15:20
BIENVENUE à toi moi non plus Selena c'est pas ma tasse de thé et c'est vrai que y'a souvent des préjugés sur les gens qui la prennent genre comme quoi c'est que pour les fans de Bieber etc je trouve ça un peu débile évidemment moi, tout comme Sutton, je regarde surtout si le personnage m'intéresse et si je suis inspirée par un lien avec un de mes deux persos donc voilà j'ai déjà eu des liens avec des gens dont j'aimais pas la célébrité. Pour moi l'important c'est la qualité du rp je pense que c'est pareil pour beaucoup de gens ici Donc voilà, j'espère que tu te plairas ici et puis j'ai hâte de voie ton perso
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 15:22
Bienvenudo sur le forum, ma p'tite dame, et je suis la preuve vivante que l'avatar compte pas vraiment pour s'intégrer sur ce forum ( oui même si j'ai changé de gueule entre deux ) en tous les cas, bon courage pour la fiche o/
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 16:56
Vous êtes officiellement les gens les plus cool de la Terre (et vous avez tous des avatars de folie en plus de ça !) MERCI BEAUCOUP tout le monde, je me sens rassurée Je ne suis pas du tout fan de Selena (ni même de Justin Bieber d'ailleurs), mais je cherchais désespérément quelqu'un pour coller le plus possible à Tina et elle correspondait bien... Je vais me dépêcher de terminer ma fiche ! J'espère que le personnage vous plaira et qu'on pourra avoir de super liens
DOUBLE-COMPTE : Carlie. MESSAGES : 8680 ARRIVÉE : 07/09/2011 LOCALISATION : Dans le pays où on ne grandit jamais.
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 17:40
Je t'avoue que Selena je peux pas la saquer. Mais clairement, c'est le personnage qui compte et pas l'avatar Et je crois que tu devrais pas trop avoir de problèmes par ici (Même avec moi, proooomis ) Bienvenue à toi en tout cas
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 19:29
bienvenue parmi nous et bon, comme tout le monde a dit, tu n'auras pas de problème pour l'intégration, de toute façon c'est toujours le personnage qui l'emporte sur l'avatar ici
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 20:17
P.-Leonie Arkansas a écrit:
I LOVE YOU LIKE A LOVE SONG, BABY
Leonie m'a ôtée les mots de la bouche J'aime cette chanson en plus elle me donne la pêche enfin bref Moi je l'aime bien Gomez , elle me fait délirer dans les sorciers de Waverly place T'inquiètes tu t'intègreras bien ici
Sujet: Re: Tina ❧ Les apparences sont parfois trompeuses. Mer 10 Oct - 22:02
moi aussi j'l'aime bien, j'la trouve trop choou très bon choix d'avatar et j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire en tant que personnage et toi aussi tu kiffe les smileys et t'en mets partout ?! Oh yeah, on va être coupine alors ! les smileys c'est la vie bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche