Sujet: You're my barbie girl, in my barbie world... ✖ Ken. Ven 16 Nov - 23:11
BAKER-BROWNING,KENAEL-JAYAN.
« Feels like snow in September »
NOM: Baker est le nom de ses parents biologiques et Browning, celui de ses parents adoptifs. ⊰PRÉNOM: Kenael, c'est juste Kenael mais ses amis aiment l'appeler Ken, Kanouche, Kennychou et toutes les deux débilités qui peuvent exister. ⊰ÂGE: 19 ans ! 12 novembre 1993 ⊰ORIGINES: Australiennes. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: Serveur au starbucks parceque cilacriz. ⊰STATUT CIVIL: Célibataire. ⊰CRÉDITS: Tumblr, mon coupain. ⊰AVATAR: CHOUCROUTE BANANE.
des trucs en vrac.
I'm listening
☍ Kenael est quelqu'un d'hyper-actif, et ça, ça ne passe pas inaperçu. Il aime sa vie, - ce qu'il est, par ailleurs - distribuer sa bonne humeur et s'informer sur ce qu'il se passe autour de lui. Quand son entourage va mal, il use sans modérations des blagues complètements débiles et autres gamineries. Il aime sauter sur son lit, discuter avec ses peluches, se pendre des gamelles phénoménales et hurler sans qu'il y est de raisons apparentes. Le jeune brun aime envoyer des sms complètement inutiles du genre 'JOTEM.' ou encore 'J'AI FAIM'☍ Ses parents sont morts dans un crash d'avion il y a deux ans, dont Kenael et sa sœur sont les seuls survivants. Il accorde dont beaucoup d'importance la seule famille qui lui reste, Kieran son petit frère, Kahina, sa petite sœur et Nolhàn, son fils. Tellement d’importance qu'il avait emménagé quelques mois chez sa petite sœur. Après cette perte, le jeune homme a tout simplement fermé son cercle d'amis et se contenta de ses amis les plus proches.☍ Sa principale passion est la musique. Chez lui, en compagnie de Stanley, Marlon, Adriel et Maxéis, ses potes de toujours, ou de Penny, sa princesse aux cheveux rouges; ils chantent jusqu'à s'en époumoner. Malheureusement pour lui, il ne sait pas lire une partition, mais arrive, certaines fois, à jouer certaines chanson simplement à l'oreille. Aujourd'hui, Kenael est sûr que le chant est ce qu'il veut faire et fait des études d'art de la scène.☍ Sa pire manie serait de s'humidifier les lèvres à l'aide sa langue pas parce qu’elles sont sèches, non. Le jeune brun sait que cela plait aux filles et à force de le faire quotidiennement, il ne s'en rend même plus compte.☍ Kenael s'est déjà laissé prêter au jeu de la séduction homosexuelle, et cela lui a fait plutôt rire. Cela ne lui a pas déplut, mais cette expérience ne lui fera pas changer d'avis; les femmes règnent sur le monde.☍ Il porte des lunettes, est accro à son téléphone et se bousille tous les jours un peu plus la vue. Il ne les porte que pour sortir et en oublie certaines fois la vraie utilité de cet accessoire.
welcome to our world.
nice to meet you.
Mes secrets les plus sombres, AHAH LOLOLOL. Mon prénom se traduit par "Etoile" en italien, ouais me gusta. A part ça, dans 15 ans j'aurai trente ans (ohoh j'aime les devinettes) et je suis une fille assez émotive. Je ris, je pleure, je ressens les émotions dans l’extrême, ce qui peut me faire passer pour un fille assez incompréhensible à certains moments. Après, je suis une grande fan des smileys, des films d'horreur même si je finis toujours par le regretter, des 1D d'Ed Sheeran. En ce moment j'ai un groos crush sur Cher Lloyd et Ariana Grande. Et là j'me tais parce que sinon, j'aurai jamais fini.
Dernière édition par Kenael-J. Baker-Browning le Dim 9 Déc - 21:52, édité 5 fois
Sujet: Re: You're my barbie girl, in my barbie world... ✖ Ken. Ven 16 Nov - 23:12
please, tell me your story.
i’m listening.
" If we could only have this life for one more day "Quoi qu'on en dise, déménager est toujours une étape compliqué et difficile dans la vie. Vous me direz, quand on est petit, ça change presque rien. Mais dans tous les cas, on laisse toujours quelque chose derrière soi. Ouais je dis ça, j'me la raconte un peu, mais moi ; j'en sais rien. 'Fin j'm'en souviens pas, quoi. « Alors Ken, t'es content ? Tu pars à Arrowsic, tu t'en souviens ? », ouais pas de problèmes, je partais loin de tout mes repères; mes amis que je considérais presque comme mes frères et les gens qui s'occupaient de nous comme nos parents, je partais loin de mon orphelinat et, même pour un gamin de six ans, ça s'oublie pas. « Ta nouvelle maman, et ton nouveau papa, ils vont venir te chercher, tu nous oublieras pas, hein ? » mais quelle question de merde, hein ? Vous l'aurez, je n'avais aucune envie de partir. Clairement aucune. Je me souviens que les gens autour de moi essayaient de me rassurer, avec leurs sourires complètement faux. Ils étaient tristes, eux aussi. La semaine d'après, on venait déjà me chercher. Quelle est la sensation d'un gamin quand deux inconnu s'approche le sourire aux lèvres, qu'ils vous enlace comme ils enlacerait un proches qu'ils n'auraient pas vu depuis des mois et vous appelle " mon chéri" ? Par pitié, ne me demandez pas, je-n'en-sais-rien. « FFFF..ffuh...fuuuh » « Stop Marly, tu sais pas siffler, ça sert à rien. » Hum, ouais. Des cinq, j'étais sans aucuns doutes le plus sauvage. Cinq garçons contre un mur sifflant -essayant de siffler du moins- les jolies filles qui passent. Normal vous m'direz. Ok. Maintenant j'vous dit cinq garçons de six ans, dans une cour de récré, appuyés - allongé pour Marlon, hein- contre un mur postillonnant sur les filles qui passent, vous me dites quoi, là ? La fille rit, elle se moque de nous. « Eh mais Kenny, j'avais réussis, la dernière fois ! » Hurlait-il, des flammes dans les yeux.« On s'en fout, elle se barre, là ! J'pensais que j'allais me la faire, quoi ! » Renchérit Max', shootant dans un caillou. « Te la faire ? » répéta Stan. « Bah ouais, c'est mon père qui dit ça. » Qu'elle rigole, elle peut dire ce qu'elle veut, la blondasse, la primaire, c'était quand même les plus belles années de ma vie. « Ouais bah alors j'veux m'la faire, moi aussi. » lâcha Adriel. J'étais loin de mon Australie natale et l'accent britannique était à mourir de rire -heureusement pour moi, j'ai réussit à grandir sans l’attraper thanksgod- et mes amis en ont un à couper au couteau. Et pourtant, j'étais heureux. Heureux et épanoui. Et, merde c'que je les aime, mes potes. Et parmi ces quatre garçon, Stanley, mon frère adoptif. « Eh mais ça veux dire quoi ?! »
" There's no shame in being afraid, we all are afraid of something "
Cela faisait déjà plusieurs années que j'étais devenu complètement dépendent de ces quatre garçons. Et pourtant, quelque chose me pourrissait la vie, intérieurement. Les garçons, je les adorait, mais aucun ne pouvait réellement me comprendre. Aucun sauf Stanley. Enfin, Kieran, de son vrai prénom. J'avais juste envie de retourner en Australie, pas définitivement, non, juste le temps d'apprendre à connaître les gens qui m'avaient abandonné à la naissance. Ambitieux, con, oui, mais j'en avais réellement besoin, j'étais décidée. J'avais donc 16 ans et notre petite sœur...Oh, j'vous ait pas dit. Quelques temps après notre arrivée à moi et Stanley chez les Browning, était née Kahina. Ma petite sœur, ma petite princesse, la seule fille biologique de notre fratrie. Bizarrement, elle me comprenait, elle aussi. Moi Stanley et elle étions toujours très proche, pour le plus grand bonheur de nos parents. « Ken tu te fous de notre gueule, hein ? » demanda Adri', une nouvelle fois. Ne n'osais plus décrocher un mot, ni les regarder en face. Pour le coup, j'avais la sensation d'être égoïste, de laisser les meilleurs amis que je n'avais jamais eut à la merci du monde. Enfin, surtout Adriel. Adri, c'est pas le genre sauvage vous m'suivez, tout le tout le contraire de moi et c'est sans doute pour ça que je l'adore. Les mois passaient et sa situation ne s’améliorait pas; Kyle -un con de c'tte école- s'amusait à torturer notre Adri sans raisons à part-entière. « Stan tu vas te casser, toi aussi ? »Lâcha-il après plusieurs secondes de silence qui duraient comme des heures. Je considérais mes chaussures avec insistance, j'avais tout simplement honte. « Non, moi j'bouge pas. » Chuchota-il. « Les gars j'veux pas que je vous ayez après Ken, il se sent pas bien en ce moment. » C'est bon, Stan ça va. » Lâchais-je d'une voix chevrotante. Ma gorge, mon estomac se nouèrent. Je sentis les larmes monter et, avant que je put blâmer un sanglot, les quatre choucroutes s'entassèrent contre moi, les uns après les autres.
" I'm so sorry, I'm so confused just tell me; am I out the time ? "
Ça y était. J'avais 17 ans et j’allais enfin retrouver ma ville natale. Mes amis de l'orphelinat et peut-être, mes parents biologiques. Toute mon enfance, toute cette enfance que j'avais laissées derrière moi, à Adélaïde. Confortablement installé dans mon siège, je me voyais déjà là-bas. Je me voyais reconnaître les rues, les habitants, les senteurs. Mon esprit y était déjà, mon corps pas encore. « Eh, Ken, tu me passe mon écharpe ? Mon sac est juste à côté de toi. » Fit la douce voix de ma petite sœur. Incompréhensiblement, elle avait tenu à nous accompagner, moi papa et maman. Pour mieux me comprendre, où est-que j'étais né et où j'avais grandi, d'après ce qu'elle m'avait dit. Car oui, malgré que nous soyons très proches, il y avait quand même des sujet difficiles à aborder. Je lui donna donc son sac et la regardait enfiler son écharpe. Instinctivement elle déposa sa tête contre mon épaule et s'endormit. Du moins c'était ce que je croyais. Cela faisait à peine trois heures que nous étions dans ce cercueil volant. Ma mère s'adonnait à son activité favorite; la naissance de Kahina. « Et donc quand on l'a sortie... » « Les médecins pensaient que c'était un garçon, on sait ! » Gémissait-on en cœur. «Oui,oui c'est ça, c'est ça ! » Hurlait ma mère en riant comme si c'était la première fois. D'un seul coup, sans rire s'évanouit, son sourire mourut. Kahina se redressa, et me fixait d'un air terrorisé. On venait de ressentir une secousse. Après pas une légère. Les hôtesses qui n'était pas assises furent propulsées au sol. Mon père essayait d'entrer en communication avec le pilote et ma mère essayait de nous calmer. Enfin surtout Kahina. Aucun son ne sortait de ma bouche. J'étais aussi pétrifié que ma sœur et pourtant, mon regard était complètement vide. Je repensait à Adélaïde, l'orphelinat, à Londres et la clique. Si j'avais écouter Stanley, je serais resté et je n'aurais pas embarqué ma sœur là-dedans. « Kenael je veux que tu prennes soin de ta sœur, d'accord ? » « Maman... » « Non chut, fais ce que je te dis. Dis à ton frère que je l'aime. » J'étais comme figé, je ne savais pas quoi faire, ni quoi dire à ma sœur en total état de panique. Mon seul réflexe fut de la prendre dans mes bras, et jusqu’à la fin. La fin, le cataclysme, catastrophe, la prophétie, 2012. Ouais c'est terrible, mais je préfère comme si ce n'était rien. Comme si, un jour j’arriverai à effacer de ma tête ces visions d'horreur. Que je reprendrai ma vie, comme avant, quand je n'avais qu'un seul soucis; ma coiffure. J'étais dans l'eau, comme dans un état second. Je ne pouvais plus bouger et je me sentais lourd. Allongé sur ce qui devait être une des ailes de l'appareil, je regardais le ciel, à la rechercher d'une réponse à ma question. Pourquoi ? Mais qu'avais-je fait au Ciel ? Plusieurs images défilèrent dans ma tête, l'Australie en premier. Je ne savais même où nous avions crashé. « Kenael je veux que tu prennes soin de ta sœur, d'accord ? » Eh merde, Kahina. Sans réfléchir je me jeta à nouveau dans cette eau glacée. Sur le coup, j'avais juste envie de revenir en arrière. De remonter sur la merde qui me servait de 'lit'. Mais il fallait que je retrouve ma sœur, elle devait être totalement gelée. La nuit tombait, les corps s'entassaient. Je n'avais jamais vu quelque chose de terrifiant, de si répugnant. J'avais froid et j'étais fatigué. Sur l'eau, à côté d'une vingtaine de débris flottait une écharpe. Pas n’importe qu’elle écharpe, c'était celle de ma sœur. Mon cœur cognait très fort dans ma poitrine, je pris l'écharpe et puisa dans mes dernières forces pour dégager tout ce que je pouvais. J'hurlais son nom comme jamais; je ne voulais pas la perdre. Je me souviens que j'aperçu enfin son visage ensanglanté, elle était inanimée. J'étais complètement pris de panique, je ne savais pas quoi faire. Je l'aimais, oui je l'aimais. On se disputait, s’insultait souvent mais cette fois, j'en était sûr, je l'aimais. « Eh Kahina je t'en supplie, ouvre les yeux. Je t'aime j'veux pas que tu partes, s'il-te-plaît. » Fit-je, sanglotant. Je serrais sa main puis l'embrassais sur le front, je la serrais fort avec l'espoir qu'elle puisse serrer la mienne à son tour. « Eh, Ken chéri, tu me passe mon écharpe ? Elle juste à côté, sur le machin, là. » Lâcha-elle naturellement. ( BOUOUHUO. JOLEM. )
" My bofy feels I'm on my knees. "
Un an plus tard, les mêmes amis, les mêmes cauchemars, les mêmes insomnies. Mais même avec ça, j'étais toujours le même Kenael, sauvage et hyperactif, le Kenael qui saute sur son lit puis qui se casse la gueule, celui qui dors avec ses peluches rangées dans un ordres précis, celui qui hurle et qui rit. Mais une fois seul, je n'étais plus le même. « Eh Kenny pose moi cette peluche. ;) ♥ » Me texta Maxy. Mais qu'est-ce qu'il raconte j'ai pas de euh...Ouais ok, il avait raison. Maxy, c'est un peu comme mon confident, dans la bande. Le jour où il nous 'compris' qu'il était gay, ou bi ou tout ce que voulez, cela ne m'avais pas plus choqué que ça, nous passions des heures au téléphone et j'avais l'impression que mon subconscient le savait depuis toujours. Et même malgré tout le soutient et l'amour que m'offrait mes meilleurs amis, une partie de moi était comme morte. Ou inanimée, du moins. La personne qui réussit à réanimer cette partie de moi, c'est Nolhàn, mon fils, la chair de ma chair. Ce petit bonhomme n'était pas vraiment prévu, mais aujourd'hui je ne regrette pas d'avoir tabassé le copain de sa mère pour qu'elle le garde. Cette fille que je fréquentait en toute amitié depuis quelques mois était très vite devenue la mère de mon fils. Tout ce dont je rêvais pour ma progéniture, c'était de ne pas retracer le parcours de mon père. De m'avoir lâchement abandonné, pour une raison que je ne veux pas connaitre. Car ouais, cette salope avait eut comme idée de me cacher sa grossesse. Je me souviens encore du jours où j'ai compris que cet enfant était le mien. Ses mots avaient fait l'effet d'un balle entre mes deux yeux. Je l'ai regardée fixement, à la recherche du moindre signe m'informant que ce n'était qu'une plaisanterie, qu'elle n'était pas enceinte et, bizarrement, son visage restait immobile. Je me suis levé, rapidement, j’allais lui faire ravaler ses mensonges à cette pouffiasse. Mes jambes devenaient coton, je suis retombé. J'était incapable de parler, de penser, de comprendre, de savoir à quoi elle devait penser, ni ce que je devais penser moi-même. Le temps est passé et comme je n'ai sa garde que le week-end, je profite à fond du temps que je peux passer avec lui, avec mon fils. On va jeter manger de la glace dans les parcs, jouer avec mes ses peluches, sauter sur mon lit, et rendre visite à ses "oncles de keur" et sa tante. Aujourd'hui, si vous me demander comment je vais, bien, j'vous dirai bien, j'vous dirai que j'vais bien.
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LA BOITE A GIIIFS
Thanks Lola, ahah.
Dernière édition par Kenael-J. Baker-Browning le Mer 21 Nov - 19:47, édité 7 fois
Sujet: Re: You're my barbie girl, in my barbie world... ✖ Ken. Sam 17 Nov - 0:00
Bienvenue parmi nous. Good luck to your fiche (ouais t'as vu, j'fais du franglish, trop swaggie swag ), si t'as des questions, hésite pas, le staff is here for you, my dear Ken.
Sujet: Re: You're my barbie girl, in my barbie world... ✖ Ken. Sam 17 Nov - 0:29
ahah les jumeaux de l'extrême qui savent pas leur age Bienvenuuue dites moi, les zayn ont tous les deux des supers pseudos ! J'suis fan et puis, bon courage pour ta fiche !
Sujet: Re: You're my barbie girl, in my barbie world... ✖ Ken. Sam 17 Nov - 0:33
Adéan, Je te jure, mon jumeau change de 5 jours notre date de naissance et pense qu'on a pris un an en plus. Il est fou celui-là, il est fou. Je mets ça sur le compte de la fatigue car je suis exténué aussi. Et merci pour le compliment.
Citation :
ÂGE 19 ans. (12 novembre 1993)
Sur ta fiche sur BA. On est le 17, on a pris 5 jours, pas un an. REPOSE TOI. J'ai mis le 17/11 dans ma fiche.
Sujet: Re: You're my barbie girl, in my barbie world... ✖ Ken. Sam 17 Nov - 0:44
On est jumeaux, on est pas nés l'même jour, swaggie nan ?
MON BFFFFF ! TU M'AVAIS MANQUE AUSSI P'TIT CANAAAAARD. NAN MAIS T'SAIS QUOI JOTEM MAIS PAS ASSEZ, QUOI. TU VEUX PAS QU'ON TOUCHE A TES CHEVEUX ALORS TU TOUCHES PAS A MES P'LUCHES, UNDERSTOOD ?
A part ça, je t'aime aussi.
Dernière édition par Kenael-J. Baker-Browning le Mer 21 Nov - 19:49, édité 1 fois