Sujet: La vie c’est comme ça tout le temps ? Ou c’est seulement quand on est petit ? Sam 24 Nov - 23:04
Lucien Glascoe
« Autant rigoler, la vie va te sembler vachement longue si tu prend trop au sérieux les choses qui t’arrive... »
NOM:Fils d'Angela Glascoe et Georges Pope. Il porte le nom de famille de sa mère, étant donné que son père les a abandonné lâchement alors qu'angela était encore enceinte. ⊰PRÉNOM: Lucien, surnommé la plupart du temps 'LULU'. Il n'aime pas qu'on l'appelle par son prénom, sauf par sa mère peut-être. ⊰ÂGE: Lulu est âgé de 18 ans. Né le 1 avril 1994 (ce n'est pas une blague) à Chelsea, massachusetts (USA). ⊰ORIGINES: Il est américain d'origine canadienne par sa mère. (Pays qu'elle quitte pour le père de Lucien). Parle anglais, et français (canadien) couramment. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: Officiellement étudiant. ⊰STATUT CIVIL: Célibataire aux dernières news. ⊰CRÉDITS: Bann→tumblr; elenamoritz. Gif→tumblr; fr0nt-junk⊰AVATAR: Tijn Elbers.
please, tell me your story.
i’m listening.
chapter one • Vilain petit lapin, qui voulait faire le... malin ! Avril 1993. « Suis-moi ! Fais-moi confiance ! » « Où ? » « Fais-moi confiance! » Répéta l’homme une ultime fois. La jeune femme à la chevelure de lionne s’installa dernière cet homme ténébreux, et s’harponne à lui à la taille. Le motard démarre, et part à toute allure sur la route qui se présentait devant eux. Angela pense qu’elle vit un rêve, son rêve : le cheval blanc remplacé par la grosse Harley où elle se tenait. Son prince charmant la transportant vers l’inconnu, délaissant derrière elle sa famille qui ne comprenait pas sa décision, essayant vainement de lui faire comprendre que cet homme n’était pas bien pour elle. Qu’il n’était qu’un pauvre type qui souhaitait simplement lui faire sauter sa petite culotte. Quand elle entendait son nom, elle ressentait ce frisson. Ni celui de la crainte, ou encore de la peur. Elle ressentait ce frisson de l’excitation, de l’envie, celui qui vous rend sûr que cet homme est le bon. Tout cela cacher sous une poignée de naïveté. Attiré par le pique qui lui brisera le cœur quelques années plus tard. Angela a rencontré Georges à Ottawa, au Québec (Canada) il y a seulement quelques mois. Or elle fut conquise par ce beau brun qui l'agonisait du regard. Un simple regard et elle était enjouée, envoyé au pays d’Alice sans aucune drogue. Ce mec était son profil idéal, beau, rebelle, intelligent, tatoué, pour dire le type de gars qui plait dans les années ’80/'90. Le défaut d’Angela est sa timidité, parmi tant d’autres. Elle n’osa jamais l’aborder pensant qu’elle n’était pas assez belle pour sortir avec un mec comme lui. Ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’elle était une belle femme qui plaisait à beaucoup d’hommes. Étant même certaines fois objets de désirs pour les accros de la main droite, ou encore la gauche, peu t’importe ! Elle fut élevée par un père strict qui désirait que sa fille reste sur la ligne sans jamais en déborder. Alors quand l’objet de son désir vient l’aborder pour lui proposer une danse, elle fondu littéralement, et dans un bruit rauque gêné; accepta. La conduisant sur les notes de la musique de Sinatra (Fly me to the moon), l’adolescente rouquine se laissa porter par cet homme aux fortes épaules, à cette assurance qu’il dégageait, elle buvait ses paroles comme son lait chaud du soir. Et ce soir même, elle laissa tomber sa culotte au sol pour lui offrir le plaisir de son corps encore innocent. Elle se souviendra toujours de cette nuit, ensorcelée par ce sorcier obscure qui la faisait glisser dans le péché de la chair et du plaisir. La distrayant par son pouvoir, hanté par ses charmes elle vogua à ses côtés, roucoulant comme un jeune moineau qui vient d’apprendre à voler. Il avait ce beau plumage qui la mettait en confiance, et où elle se trouvait importante. Où elle goutait au plaisir d’être une femme, d’être vu comme une grande provoquant du désir, plutôt qu’une gamine soumise. Et plus les mois passaient, plus elle s’éloignait de sa famille qui la mettait en garde, et qui l’éloignait sans le vouloir d’eux. Elle quitta son lycée qu’elle détestait. Sa vie à Ottawa ne tournait qu’autour de Georges, de ce gars qui la comblait ! Cela sans surprise qu’elle accepta de partir avec lui à l’aveugle, traçant un trait à l’indélébile sur son passé et sa famille. Cet acte irrémédiable qu’elle maudit aujourd’hui. Six mois plus tard. Angela rentre dans le corner shop, bouteille d’eau d’un litre à la main pour lui faire passer c'te foutue envie de gerber. Elle ne va pas bien, à peine une heure qu’elle s’est réveillée dans son appartement miteux de boston, qu’elle vide ses tripes. Pendant une semaine elle a pensé à la gastro comme Georges. Mais maintenant elle a des doutes. Les portes du magasin franchies, elle se rend dans le rayon pour les tests de grossesse. Elle prend le moins cher, puis va le payer au caissier qui l’a regarde avec un haussement de sourcils, comme si le fait d’acheter un de ces tests était comique. Pour Angela, cela n’avait rien de comique, elle a peur. Et si elle était enceinte, comment réagirait l’homme qui se réveille chaque matin à ses côtés ? La rouquine se rend dans les chiottes à l’arrière-boutique, et pisse sur la languette. Les deux minutes d’attente lui paraissent interminable, comme si les secondes se transforment en minutes, et les minutes en heures. Elle essaie de faire le vide, mais l’angoisse l’envahie. Quand la languette devient bleu, signe que le test était positif. Angela ne veut pas croire que ce soit possible. Une nouvelle envie de gerber lui prend, elle se maintient les cheveux pendant que le contenu de son petit dej’ se déverse dans la cuvette louche de ce corner. Elle passe au lavabo, s'asperge le visage d'eau fraîche, et englouti le reste de sa bouteille. Une nouvelle fois, elle se rend dans le rayon des tests, et prend cette fois ci le plus onéreux. A cette période, ils étaient beaucoup moins fiables qu’aujourd’hui. Au passage, elle prend aussi une bouteille d’eau qu’elle se dépêche de payer au caissier. Celui-ci daigne enfin lui parler. « N’essaie pas de nier ce que tu vis gamine » « Va t’faire ! » lâche-t-elle avec rage. Après les fameuses deux minutes d’attente, la languette devint bleue une nouvelle fois. La pauvre Canadienne ne pouvait plus nier la réalité, sa réalité. Celle qu’elle est enceinte de Georges. En sortant, elle jette le test dans la poubelle puis rentre chez elle pour l’annoncer à cet homme qu’elle aimait. Au fond d’elle, elle espère qu’il l’accepte elle, et leur futur enfant à venir. Un pas après l’autre, un malaise prend place en elle. Ce malaise au bout d’un kilomètre la fait tomber dans les pommes en plein milieu d'une rue de Chelsea. Cinq heures plus tard, 3 :52p.m. . « Où… » Angela avait la gorge sèche, les mots avaient de la difficulté à sortir de sa bouche. Pareil qu’un lendemain de gueule de bois à la vodka. « Tu es à l’hôpital, sweety ! Tu as fait un malaise dans la rue. » Georges était à ses côtés, ignorant encore la situation de sa petite-amie. Il glisse la paille dans sa bouche, pour qu’elle puisse s’hydrater. Sa bouche retrouvant sa mobilité, elle réussit enfin à articuler quelques mots. « Je…. Enceinte ! » « Comment ? » Demande le garçon interloqué. « Je suis enceinte, Georges ! » Réussit-elle enfin à dire. Une larme coule sur sa joue, mélange de bonheur pour leur fils à venir, mais aussi de tristesse face à son petit-ami dont le visage devenait livide. « Magnifique ! …. Je reviens, je vais chercher un café. Je reviens vite. » Puis il quitta la pièce (pour toujours). Dès qu’il avait franchi la porte de sa chambre immaculée, Angela moins naïve à présent comprit qu’il venait de la quitter, plutôt l’abandonner elle et son fils qui grandissait en elle. Et elle pleure, pleure pendant de longues heures, de longues nuits dans cet infime espoir qu’il reviendrait pour eux. C’est lors de son accouchement qu’elle réalise qu’elle ne devait plus espérer, et se concentrer sur la chose la plus importante à ses yeux. Son fils qui ressemblait à son père, excepté pour la crinière rousse qu’il arborait, et ce petit regard noisette singularité de sa mère, Angela. « Lucien, il s’appellera Lucien comme mon père. » Lâcha-t-elle après avoir donné au monde son fils. La seule chose qu'elle ignore, c'est que son petit-ami est mort sur la route en revenant à l’hôpital avec une peluche et une bouquet de roses.
Chapter two • Ne revivez le passé que s’il vous sert à construire le futur. Javier 2001. « Ma’an, il est où mon père ? » Le petit garçon vient juste de rentrer de l’école, encore avec son anorak jaune sur le dos il file directement dans la cuisine pour trouver sa mère et lui poser la fameuse question qui lui brule les lèvres depuis ce midi. Depuis que la maitresse à demander au jeune garçon ce que faisait ses parents dans la vie. Il était déjà dur de parler de la profession de sa mère, car le rouquin n’avait qu’une toute petite idée qui n’était pas avouable. Mais comprendre que son foyer n’est pas considéré comme ‘normal’ lui faisait mal. Surtout quand la maitresse insiste pour savoir où est son père. Le gamin ne savait même pas qu’il en avait un. En même temps, il a sept ans alors savoir ce qu’est un père, et comment on fait les enfants. Il n’en sait rien. Et devant toute sa classe, bah il se met à pleurer dans l’incapacité à comprendre pourquoi plusieurs de ses camarades se moquent de lui. Déjà que sa vie n’est pas toute rose à cause de sa couleur de cheveux. Les enfants sont cruels ceci n’est pas un scoop. Mais le vivre fait d’autant plus mal. Donc à la fin de la classe, Lulu était bien décidé à savoir pourquoi il n’avait pas de papa et la seule personne capable de répondre à sa question n’était bien entendu sa chère maman qui lui donne tout l’amour possible. Donc ce jour-là, il décide de demander pourquoi ? Le regard insistant, les larmes aux bords des yeux il fixe sa mère pour qu’elle lui donne une réponse qui peut apaiser cette souffrance de l’absence d’un père qui lui était inconnu il y a quelques heures. « Dis-moi, tous les autres enfants ont un papa et pas moi ? Pourquoi je n’ai pas de papa ? Un garçon à l’école il dit que je n’ai pas parce que je suis bête, et aussi que je suis roux. » La fameuse histoire des roux qui sont les abandonnés de dieu, qu’ils iront en enfer. C’te foutu loi des petits villages cul-cul catholiques qui ne pensent à rien d’autre qu’à leur foutu dieu. «Il dit que les roux sont des monstres, que dieu bah il nous aime pas. » Le petit garçon qu’il est, est toujours planté devant sa mère les bras ballants haussant les épaules devant l’incapacité de sa mère de parler. Angela était sans voix, et regardait son fils avec stupéfaction comme si elle le découvrait sous un nouveau jour. Il avait c’t’allure de son père, ce qui l’avait fait craquer des années auparavant. A chaque fois qu’elle le voyait, elle pensait à Georges, cet homme qui l’a quitté mais qui est aussi le père de son fils. Et elle ne pouvait pas le nier. Angela pensait qu’elle avait encore le temps avant que le garçon lui pose la fameuse question de qui est son père. Tous les soirs, elle se couchait en réfléchissant à la façon qu’elle devrait lui annoncer le jour où il demanderait. Et tous les soirs, elle se couchait dans l’incapacité à trouver les mots pour combler le manque de ce jeune homme. Donc elle priait, elle priait pour qu’il ne le demande que bien plus tard quand elle aurait enfin une réponse. Mais dieu doit avoir un humour étrange pour que ça lui arrive. Il avait dû lu tourner le dos depuis belle lurette. Gardant ce gout amer dans sa bouche depuis des années, mais elle avait ce souffle de vie grâce à son garçon, son si petit, mignon, gentil garçon. Mais qui aujourd’hui, la regardait avec ce regard d’homme qui veut une réponse. Angela tenta de l’embrasser mais le garçon se dégagea de son emprise, et resta à la regarder. « Ma’an, pourquoi ? Dis-moi ! Je suis assez grand maintenant. Je peux allumer la télé tout seul tu sais ! » Dit-il avec fierté. Mais il a toujours 6 ans. Et elle sourit à ses paroles. Elle s’installe à la table de la cuisine, allume une cigarette. Elle a déjà placé le gouter sur la table, et se décide enfin à lui expliquer son histoire. Lui dire la vérité le concernant, et pourquoi son père se trouvait sur le banc des absents.
chapter one • - Oh nom de Dieu ! - Pas de blasphèmes ! - Nom de dieu de merde ! « Tu sais ce que tu fais ici gamin ? » « Ouais probablement pour une histoire de pénis. Enfin je corrige, pour une histoire de mon pénis. » « Joue pas au con ! » « Je ne joue pas au con. Je veux juste que le mec qui tape à la machine là comprenne bien. La police, parait qu’elle est un peu lente niveau ciboulot. C’est pas moi qui le dis, c’est la rumeur. » Lance-t-il d’un air moqueur, mains en l’air comme pour clamer son innocence. Le flic, un pauvre type âge d’une quarantaine d’année accoutré d’une moustache vulgaire et sale commençait à perdre patience devant ce petit effronté de rouquin. Lulu venait d’être chopé dans la rue pour exhibition, maints verres de vodka l’avaient désinhibé pour qu’il laisse paraitre son anatomie au grand jour des lampadaires. Ce gamin n’avait pas honte de son corps, et l’assumait pleinement. Régulièrement, il se rendait dans des bars poussiéreux et pervers pour donner quelques strip-teases lui faisait empocher des billets verts qui aboulait sa beuh, et soulageait le corps abusé et meurtri de sa pauvre mère. Une soirée à se déshabiller pouvait lui ramener jusqu’à deux cents dollars, ce qui n’est pas négligeable. Personne ne crache sur l’argent, surtout d’où Lulu venait. Tout métier à un risque, et celui-ci failli emmener l’adolescent au viol. Mais fort heureusement, le patron du bar s’était interposé. Lulu lui en ait reconnaissant, et accepte chaque proposition de la part de ce mec. N’allez pas penser à des faveurs sexuels, ce mec, ce patron est hétéro et jamais de sa vie il ne touchera un autre homme. Mais tenir un bar à strip-tease ramène du fric, il connait le filon. Il n’est pas le macro de Lulu, il est juste ce type qui lui permet de se faire deux cent boules dans la semaine. « Ton père vient d’arriver, pour cette fois tu n’as rien. Mais si on te revoit ainsi, je te fous en dégrisement. Tu me comprends brindacier ? » Dit-il un cure-dent entre les dents. « Ne t’en fais pas Papy, la prochaine je serais plus discret. » répond-t-il avec un clin d’œil, lui lançant un baiser en sortant du bureau. Son beau-père avait observé son petit con de beau-fils faire le beau face aux flics. Il s’approche de Lulu, et lui claque la tête du bout des mains. Surpris, le gamin ne comprend pas ce qu’il vient de se passer. Il se retourne et voit ce mec qui baise sa mère, et qui n’a aucuns pouvoirs sur lui. Pour qui il se prenait merde, pensait-il. « Retourne baiser ma mère, et viens pas me casser les couilles, ok ? » Sur ces mots, il tourne les talons et se barre de ce bâtiment infecté à la grippe aviaire. Il allume une clope, et se rend à la cabine téléphonique la plus proche. Lulu insert des pièces de monnaies qui trainaient au fond de sa poche, et compose le numéro qu’il connait par cœur. « Je peux te rejoindre. » L’interlocuteur lui répond, et Lulu raccroche. Il écrase sa clope du bout de sa nike, et marche deux pâtés de maison pour se retrouver chez son pote. L’interphone est mort depuis des années, le mécanisme de fermeture ne marche plus, et vu de l’extérieur le bâtiment semble désinfecté. Il pousse la porte en bois massif à la peinture écaillé, et monte les quatre étages qui le séparent de son ami. Ce dernier l’attend à sa porte, en mode torse nu percé au téton droit, une manche tatoué, le genre de mec qu’appréciait Lulu. Et sans le savoir, le genre de mec qui avait fait craquer sa mère dix-neuf ans plus tôt. « Toujours puceau Pollux ! » « J’t’emmerde ! Et ce n’est pas toi qui me baisera en premier, j’n’ai pas envie de choper le sida. » Lulu dépose un baiser sur les lèvres de son pote, c’est sa façon de saluer ses rares amis, puis part s’installer dans le canapé pourpre et putride. Son pote revient de la cuisine deux bières à la main, dont il tend l'une d’elle à Lulu. « Merci trou duc’ ! » « Encore ton connard de beau-père? » Il acquiesce de la tête, buvant une gorgée de la bière fraîche. Lulu rallume une clope, pose sa tête sur l’épaule de son pote. Et lui dit « Ton père est quand même un véritable enculé. » « Je sais. » Se contente-t-il de répondre. Tous deux restèrent le reste de la nuit assis sur ce vil canapé à contempler un vieil épisode de Star trek.
Sujet: Re: La vie c’est comme ça tout le temps ? Ou c’est seulement quand on est petit ? Sam 24 Nov - 23:18
J. Siméon-Ivy Everson a écrit:
TIJN, SA MAMAN EN STRING LEOPARD. Tu gères.
Uesh, uesh, blondinet.
Je sais que je gères, ce p'ti bout est tellement bandant que personne peut lui résister, je dis bien personne. :lonie: merci beau mâle
Mattia Jarvis a écrit:
Putain, je bave, je bave, je bave J'adoreeeeeeee <3 Et le titre est trop beau, ça rend déjà l'ensemble triste
Moi aussi je bave sur mon clavier je te rassure. Et merci beaucoup. Le titre n'était pas pour rendre triste, mais Léon est mon film préféré en fait. Mais maintenant que tu le dis, c'est vrai que c'est triste. en plus avec le début de la fiche ça aide pas
Sujet: Re: La vie c’est comme ça tout le temps ? Ou c’est seulement quand on est petit ? Dim 25 Nov - 11:43
OMFG mais je connais ce personnage, comment ça fait bizaaaaarre de le voir ici j'ai cru que j'avais buggé en arrivant Oo si Ludwig ça te dit quelque chose...
Bwef, bienvienduuuue et j'suis sûre que Lulu va se plaire ici ce mignon choubidou o/
Sujet: Re: La vie c’est comme ça tout le temps ? Ou c’est seulement quand on est petit ? Dim 25 Nov - 23:05
Oh il est mignon. Je le connais. Hé ouais, j'ai ouvert son sujet. Ok ma gueule, je suis génial. BIENVENUE SUR LE FORUM. Excellent choix d'avatar, tu gères comme pas permis. Et bonne chance pour ta fiche.
J'ai mis tous les smileys en spoil' car bon sinon ça faisait un peu en citation. x) Merci à toi. Par contre pour les bébés, ça va être dur non?
Fernando G-P a écrit:
Tu te comportes pas comme un vrai nouveau tu me laisses sceptique
J'étais Addison avec Mitch hewer. C'est pour ça. Et puis y'a ma KOUPINE SUPPO ici aussi
I. Teddy-Rose Forzwood a écrit:
LE TITRE ; LÉON. avec Portman et Reno. (que j'ai vu en tournage à Paris, d'ailleurs, au mois de juillet. )
Bienvenue parmi nous, Lucette. Et bonne continuation avec ta fiche.
Et Lina, c'est un ancien.
Tu l'as vu en vrai Chanceuse. Merci à toi en tout cas.
Ella B. Clarke a écrit:
OMG, les gens me font peur avec leur réaction :O même si on a le droit à un très sexy blondinet Bienvenue à toi
Merci
Alaric Lockhart a écrit:
OMFG mais je connais ce personnage, comment ça fait bizaaaaarre de le voir ici j'ai cru que j'avais buggé en arrivant Oo si Ludwig ça te dit quelque chose...
Bwef, bienvienduuuue et j'suis sûre que Lulu va se plaire ici ce mignon choubidou o/
Ouais je te connais, tu étais le mec avec Jared. J'avais lu ta fiche d'ailleurs. Et oui, le petit Lulu. j'avais envie de le faire vivre ce petit bout quand même. Mais je pense qu'il y a quelques petites choses que je vais changer dans son histoire. Mais merci à toi.
Marley J. A. Galloway a écrit:
bienvenue parmi nous.
Aédan Nightingal a écrit:
bienvenue ici bon courage pour ta fiche !
Merci à vous deux! :chazi:
Danael J. Baker-Roseberry a écrit:
Oh il est mignon. Je le connais. Hé ouais, j'ai ouvert son sujet. Ok ma gueule, je suis génial. BIENVENUE SUR LE FORUM. Excellent choix d'avatar, tu gères comme pas permis. Et bonne chance pour ta fiche.
Tu as fait découvrir ma merveilles. MDR. J'ai galérer pour avoir des avatars quand je l'ai trouvé. Et je voulais pas qu'on le voit partout (a) Merci
Sujet: Re: La vie c’est comme ça tout le temps ? Ou c’est seulement quand on est petit ? Lun 26 Nov - 17:15
Je me baladais devant Notre-Dame de Paris et j'vois un tas de chinois (je te jure que y'avait que des chinois ) attroupé. Avec mon copain (enfin, mon ex) et deux amis, on s'est approchés et là, j'ai vu Jean Reno. Il avait un suçon dans le cou, d'ailleurs. Et, j'lui ai fais coucou genre et il m'a souris et m'a fais coucou.