Sujet: Quand je suis avec toi je suis plus calme, je respire plus lentement, même si mon cœur bat plus vite. Ҩ Ven 10 Mai - 23:57
Vivre chez mon père. C’était mille fois mieux que de vivre chez ma tante. Cette vieille folle était casse-couille. Imran, tant que je respectais le peu de règles qu’il y avait ça allait. Elle, elle avait genre trois volume de règlements tellement elle était stricte. Une vraie barge ! Et puis en plus, Imran, il me laissait ramener des filles. Enfin surtout une mais là n’était pas le sujet Pas encore du moins. En tout cas c’était une chose qu’elle n’aurait jamais toléré. Elle m’avait prévenu quand j’étais arrivé. Déjà pour ramener Mattia, elle n’aimait pas trop. Alors bon voyez la chieuse.
Du coup, j’avais la plus jolie fille du monde à mon bras. J’avais ma sublime petite-amie. Astrée. Et elle dormait à la maison ce soir. Oui, j’avais de quoi sauter de joie. Enfin bon, je m’arrêtais en bas des escaliers. Pour lui voler un baiser. Enfin, long et langoureux baiser serait plus exact mais bon. Ne chipotons pas. « Tu es sûre que tu veux monter ? Et…rentrer dans mon antre ? ». Ouais, mon antre. Ma chambre quoi. L’endroit où je mettais mes fringues sales. L’’endroit ou je mettais ma console. L’endroit où je dormais. Parfois l’endroit où je mangeais. Enfin tout ça quoi. Mon endroit à moi. « Non parce que bon… c’est pas super entretenu, je voudrais pas que tu prennes peur… ». En fait, je m’amusais clairement de ma petite amie. La réalité c’est que j’avais tout ranger parfaitement pour elle. Et que je n’aimais pas trop non plus vivre dans dépotoir. Même si ma chambre me servait pour tout Ou presque. Je ne faisais pas mes besoins dans ma chambre. Mais bon, voilà. On a compris le principe. Je lui offrais un sourire amusé avant de lui prendre la main. De l’entraîner avec moi. Parce que qu’importe sa réponse, je l’aurais traîné avec moi. De toute façon c’est là qu’elle dormait alors bon. Je n’allais pas la laisser dans le lit de mon père. Ni de ma tante. De toute façon, ce n’était pas le genre de truc qu’Eesha aurait accepté. Je ne crois pas du moins. Et moi je voulais ma chérie tout contre moi. Je voulais la serrer dans mes bras. Je voulais qu’elle soit à mes côtés. Ouais, j’étais un peu mielleux dans mon genre quand même ; Mais en vrai… j’étais vraiment amoureux.
Enfin bref, j’ouvrais la porte de ma chambre. Lui laissant le temps de découvrir. Enfin bon, il n’y avait pas grand-chose à voir. C’était plus drôle quand Imran m’avait présenté la pièce hein. Il y avait entassé tellement de chose. Là, tant qu’on n’allait pas dans les placards, c’était clair, rangé. Niquel quoi. Bon ambiance de mec avec les jeux de console et les consoles. Mais fallait s’y attendre non ? « Et voilà mon univers princesse… ». Je fermais la porte avant de l’attraper par la teille Et de la couvrir de baiser. En fait je crois que mon univers, on en avait rien à foutre. Je voulais plutôt qu’on soit dans notre univers. Sur ce lit. Ça c’était un programme qui m’inspirait.
Sujet: Re: Quand je suis avec toi je suis plus calme, je respire plus lentement, même si mon cœur bat plus vite. Ҩ Mer 22 Mai - 18:43
« « L’amour et le sexe sont deux choses qui plantent les gens.»
Astrée était là, avec Kavi, chez lui et elle devait dormir chez lui cette nuit. En théorie c’était juste normal et mignon pour un couple d’adolescent mais, pour Astrée c’était à la foi excitant et flippant, surtout quand Kavi l’embrasser avec autant de fougue. Elle était excitée parce qu’être avec Kavi lui plaisait, leur relation lui plaisait et elle se sentait simplement remplie de joie à ces côtés, c’était tout ça qui l’excitait. Mais, elle avait peur quand elle le sentait s’enflammer dans ses baisers, quand elle sentait ses mains sur ses hanches, elle avait peur de devoir lui dire non, peur de ne pas savoir comment faire, peur de lui tout simplement qu’elle n’avait jamais fait l’amour. « Tu es sûre que tu veux monter ? Et…rentrer dans mon antre ? ». La demoiselle se contenta d’un hochement de la tête et d’un rire pour répondre, oui elle voulait voir son antre comme il disait si bien, de toute façon il fallait bien non ? Elle n’allait pas dormir sur le canapé, ça le faisait moyen. « Non parce que bon… c’est pas super entretenu, je voudrais pas que tu prennes peur… ». Oh le cliché de l’adolescent, à vrai dire ça amusait bien la miss Astrée, il en fallait plus pour la faire fuir et d’ailleurs, elle n’hésita pas à lui dire. « Il en faut plus pour me faire… la preuve, je sors avec toi ! ». Elle ria à son tour, dans le jeu de la taquinerie elle savait y aller aussi.
Malgré les bêtises d’Astrée, Kavi n’hésita pas à lui prendre la main et à l’entraîner avec lui. Il ouvrit la porte de sa chambre laissant Astrée découvrir les lieux et surtout la propreté ! Il avait cherché à la taquiner, vraiment, parce que c’était bien rangé, elle n’avait rien à redire. « Et voilà mon univers princesse… ». Ouais, son petit univers, bien différent de celui d’Astrée mais pas déplaisant pour autant. Enfin, elle n’eut pas le temps de lui dire parce qu’à peine eut-il fermé la porte que Kavi la pris par la taille, l’entraînant sur le lit pour la couvrir de baiser.
Elle sentait sa peau frissonner sous ses doigts, sous ses baisers, la réalité c’était qu’il le rendait fou, elle avait envie de continuer, continuer toujours, ne jamais s’arrêter. Malgré ça, l’angoisse était là, l’angoisse la bloquait, l’étouffait, même si elle se laissait aller à ses baisers, même si elle était bien avec lui, elle n’avait pas du tout l’esprit tranquille. Il fallait qu’elle stoppe tout, il fallait qu’elle lui dise, qu’elle lui explique. « Kavi… attend… ». Elle n’avait même pas encore commencé à lui dire pourquoi elle l’interrompait qu’elle avait déjà les joues rougies, comme quand elle en avait parlé avec Mattia. Le sexe c’était vraiment un sujet qui la mettait mal à l’aise. « Je n’ai jamais… enfin tu vois ? ». Non, il en pouvait pas voir, après tout elle n’était pas très claire là. « Je n’ai jamais eu de petit-ami avant toi donc… ».Donc, elle était complètement novice et perdue pour tout ce qui touchait au sexe et en disant oui pour venir dormir, elle avait oublié cette aspect.
Sujet: Re: Quand je suis avec toi je suis plus calme, je respire plus lentement, même si mon cœur bat plus vite. Ҩ Ven 31 Mai - 15:34
Elle était belle Astrée. Elle avait la pêche. J’aimais cette joie de vivre. Son dynamisme. Cette façon d’être. « Il en faut plus pour me faire peur… la preuve, je sors avec toi ! »[/color]. Je fronçais alors les sourcils. Prenant un air super vexé. « Eh ! Je te permets pas ! ». Non, je ne lui permettais pas… ouais c’est ça. Je me mettais à rire aussi. Niveau crédibilité, j’étais à zéro. De toute façon, c’était trop dur de refuser quelque chose à Astrée. Il lui suffisait d’un sourire.
Enfin bref ! Malgré sa petite taquinerie, je l’emmenais dans ma chambre. Pour lui faire découvrir. Enfin, surtout mon lit. Parce qu’à peine la porte fermée, je l’entraînais avec moi. Sur ce matelas qui m’inspirait bien. Je parcourais son corps de baisers. De caresses. J’avais envie de faire glisser ses vêtements. Mais, je prenais mon temps. Parce qu’avant cela j’avais envie de faire monter l’excitation. Elle semblait se laisser à mes baisers. A mes mains sur ses hanches. Tout semblait bien se passer, jusqu’à ce qu’elle m’arrête. Provoquant chez moi une certaine surprise que j’avais bien du mal à dissimuler. Ce n’était pas être coupé en pleine action. Mais bon quand même. « Kavi… attend… ». Je le questionnais du regard alors que ses joues étaient déjà rougies. Quel était le problème ? Je me redressais, pour la regarder plus sérieuse. Je ne savais pas ce qu’elle avait mais, elle n’avait pas l’air très à l’aise. Je caressais doucement son visage. Pour lui laisser le temps de trouver les mots. « Je n’ai jamais… enfin tu vois ? ». Je n’ai jamais quoi ? Elle n’avait jamais fait l’amour ? J’avoue que je n’osais pas compléter sa phrase. De peur de me tromper. De la brusquer. De la vexer. D’avoir mal compris tout simplement. « Je n’ai jamais eu de petit-ami avant toi donc… ». Donc, elle était vierge. Et, elle semblait presque en avoir honte d’en parler.
Je prenais son visage entre mes mains. Pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Elle n’avait pas de soucis à se faire. Elle pouvait me parler de ces choses-là. Je n’allais pas la larguer pour autant. « Et alors ? C’est loin d’être un drame tu sais… ». Je lui offrais un sourire rassurant. Je ne lissais pas ma surprise transparaitre. Parce que c’est vrai j’avais imaginé qu’Astrée avait déjà eu bien des petits amis. Vu comme elle était mignonne, c’était surprenant. Mais ça la rendait encore plus belle, plus magique. « On ne fera rien que tu n’as pas envie de faire… ou pour quoi tu ne te sens pas prête… ». Je l’embrassais à nouveau. Avec un beau sourire. Il fallait vraiment qu’elle comprenne que ce n’était rien. Même si pour le coup j’allais être un peu frustré. Même si c’est vrai je m’étais fait quelques idées. Elle n’avait pas à s’en faire. Je n’étais pas un sauvage qui allait la violer. J’allais attendre le temps qu’il faudrait. Dire que je m’étais foutu de la gueule de Mattia quand il m’avait dit qu’il avait attendu pour Ella… il allait pouvoir se foutre de moi là. « Tu n’as pas à avoir peur de me dire quoique ce soit, crois-moi. ». Elle pouvait avoir confiance. Je l’accepterai telle qu’elle est. Vierge ou non. Ça ne faisait aucune différence à mes yeux. Faut dire que j’étais un petit peu, mais vraiment un tout petit peu, amoureux d’elle.
Sujet: Re: Quand je suis avec toi je suis plus calme, je respire plus lentement, même si mon cœur bat plus vite. Ҩ Jeu 6 Juin - 19:29
« « L’amour et le sexe sont deux choses qui plantent les gens.»
Astrée perdait complètement Kavi, il n’avait pas l’air de comprendre pourquoi elle l’arrêtait soudainement et elle avait tellement de mal à dire ce qu’elle avait à lui dire. Ce n’était pourtant pas une honte, ce n’était inavouable, c’était même normal qu’il le sache, qu’il lui en parler mais, elle ne savait pas pourquoi, ça bloquait. Peut-être parce qu’au fond si elle était toujours vierge c’était sans douté énormément liée à sa maladie et que par conséquent, l’avoue c’était comme prendre le risque de devoir se confier sur son passé si particulier. Cependant, Astrée finit par laisser les mots lui échapper –plus ou moins, elle le faisait comprendre quoi-. L’adolescent attrapa alors le visage de la demoiselle et tendrement il déposa un baiser sur ses lèvres comme pour la rassurée –et ça fonctionnait plutôt pas mal-. « Et alors ? C’est loin d’être un drame tu sais… ». Elle se mit à rougir malgré son sourire, ne ce n’était pas un drame mais tout de même, ce n’était pas si facile d’en parler surtout qu’elle savait que Kavi lui, eh bah, il y avait déjà goûté, quelque part, elle avait peur de le priver. « On ne fera rien que tu n’as pas envie de faire… ou pour quoi tu ne te sens pas prête… ». Le jeune homme l’embrassa à nouveau alors qu’elle commençait enfin à se sentir soulager. « Je… merci. ». Merci, c’est tout ce qu’elle parvenait à lui dire, merci de lui laisser le temps, merci de comprendre, merci de ne pas la et merci de en pas la juger. Elle déposa un tendre baiser sur les lèvres du jeune homme en disant qu’elle était tombée sur quelqu’un de bien. Une idée qui la permettait d’envisager de lui parler, peut-être un peu plus tard, de son passé.
« Tu n’as pas à avoir peur de me dire quoique ce soit, crois-moi. ». Elle l’embrassa alors pour ne surtout pas lui montrer sa gêne. Ne pas avoir peur de lui dire quoique ce soit, mouais… elle n’en était pas certaine, parce que ce qu’elle devait lui dire était tout de même loin d’être commun, banal. « Mais toi aussi, tu peux ! ». Elle lui fit un sourire, retrouvant sa joie de vivre et laissant ses pensées gênantes derrière elle. « Bon au moins maintenant que tu le sais, tu ne te feras pas de faux espoir ce soir, hein ! ». Ça y est, elle le taquinait à nouveau, il fallait bien ça pour que les choses redeviennent vraiment en ordre.
Assise sur le lit, les bras de Kavi l’entourant, elle remarqua alors un élément très vieux, très rétro, un élément qu’elle adorait et qui faisait déjà briller ses petits yeux. « J’y crois pas ! T’as la Nintendo 64 ?! T’as deux manettes ? On peut y jouer ? ». Elle était comme une gosse devant cette console qui avait bercé les journées de pluie de son enfance –et aussi ses journées à l’hôpital-. En tout cas, elle c’était déjà levée du lit, détaché des bras de son chéri, prête à jouer.
Sujet: Re: Quand je suis avec toi je suis plus calme, je respire plus lentement, même si mon cœur bat plus vite. Ҩ Lun 10 Juin - 22:17
Ah ma petite Astrée. Elle m’en réservait bien des surprises. Mais pour le moment ça m’allait très bien comme ça. « Je… merci. ». Je lui offrais un beau sourire. Elle n’avait pas besoin de me dire merci. C’était tout à fait normal. J’allais déposer un baiser sur ses lèvres. Mais elle le fit avant moi. Avec tendresse. Je savourais la douceur de ses lèvres. Astrée, elle était vraiment délicieuse. Je lui disais alors qu’elle ne devait pas avoir peur. De me dire les choses. Surtout pas ces choses-là. Elle pouvait me faire confiance. Je saurai l’écouter. Pour toute réponse, elle m’embrassa alors. Encore un baiser. Mais, je les appréciais tous moi ses baisers. Je pouvais l’embrasser toute une journée sans me lasser. Quoique… le désir au bout d’un moment serait sans doute trop fort. Mais sur le principe, cette idée me plaisait quand même. « Mais toi aussi, tu peux ! ». Elle me refit alors l’un de ses plus beaux sourires. Un de ses sourires qui m’avaient fait craquer. Elle était rayonnante. A croquer, vraiment. « Moi ? J’ai rien à déclarer ! ». Je lui faisais alors un petit sourire. Je n’avais rien déclaré parce que pas de secrets à cacher. Et puis bon, rien à déclarer sur ma vie sexuelle. Elle était comme elle était. Rien d‘honteux à mon actif.
Je la regardais avec son beau sourire. J’étais sous le charme. Alors qu’elle recommençait à me taquiner. Comme d’habitude. « Bon au moins maintenant que tu le sais, tu ne te feras pas de faux espoir ce soir, hein ! ». Elle voulait me frustrer là ? Elle n’était pas croyable cette fille. C’était pour ça que j’en étais dingue. Complètement dingue. « Si tu as pris un pyjama de grand-mère immonde qui gratte, tu dors sur le canapé. ». Étrangement, je ne la voyais pas trop faire ça. C’était vraiment plus pour l’embêter.
Astrée observa alors un peu ma chambre. C’est vrai qu’elle n’avait pas vraiment eu le temps de la voir. Et là, elle remarqua un objet. On objet qui la rendait toute folle. Toute excitée. « J’y crois pas ! T’as la Nintendo 64 ?! T’as deux manettes ? On peut y jouer ? ». Elle avait quitté mes bras. Elle s’était levée du lit. Elle ressemblait à une vraie petite fille. Toute excitée avec son nouveau jouet. En tout cas, elle était prête à jouer. « Ah ouais ? Ma chérie est une geek ? ». Avec un sourire amusé je m’approchais d’elle. Déposant alors un baiser dans son cou. « Mario, ça te va ? ». Si elle me disait oui, j’étais aux anges. En vrai, je la taquinais en disant qu’elle était geek. Mais ça me plaisait vraiment cette idée. Astrée était naturelle. Elle ne jouait pas les princesses. Elle était magnifique. Et elle jouait au jeu vidéo.
J’allumais alors la console, lui tendant la manette. « T’en fais, je te laisserai une chance de me battre. ». Je lui lançai un sourire taquin. Je savais qu’elle n’allait pas se laissait faire. Qu’elle soit forte ou non. Surtout que je ne savais pas ce qu’elle valait à la console. « Prête miss Lloyd ? Si tu veux je me mets un handicap ! ». Oh oui j’en rajoutais. En vrai, même si j’avais détesté la voir réaliser le défi avec Mattia. J’avais adoré son excitation.
Sujet: Re: Quand je suis avec toi je suis plus calme, je respire plus lentement, même si mon cœur bat plus vite. Ҩ Lun 1 Juil - 0:24
« « L’amour et le sexe sont deux choses qui plantent les gens.»
« Moi ? J’ai rien à déclarer ! ». Astrée se mit à rire, amusée par la façon dont il avait répondu, un vrai clown celui-là. Bon, en fait, elle aurait aussi préféré qu’il lui avoua quelque chose, qu’il ait des secrets, qu’elle se sente un peu moins seule dans ce cas-là. Mais soit, d’un autre côté ce n’était quand même pas plus mal.
Enfin soit, Astrée reprit les taquineries, disant à Kavi qu’au moins ce soir, il ne se ferait pas de faux espoirs ! « Si tu as pris un pyjama de grand-mère immonde qui gratte, tu dors sur le canapé. ». La jeune fille se mit à rire, elle n’avait rien prévu de telle et finalement c’était peut-être pire pour lui ! « Ce n’est pas le cas, mais, peut-être que ça aurait été mieux pour toi. ». Elle lui offrit un petit sourire taquin avant de l’embrasser. Ah pauvre Kavi ! Il avait dégotté là une sacrée nana.
Les yeux d’Astrée croisèrent alors la Nintendo 64. Elle ne répondait plus de rien là, elle avait quitté les bras de Kavi, toute excitée à l’idée de jouer à sa console préférée. Ce qui avait l’air à la fois de surprendre et d’amuser son petit ami. « Ah ouais ? Ma chérie est une geek ? ». Elle fit alors un grand sourire ne guise de répondre, ce qui semblait amusé un peu plus Kavi vu son sourire, il s’approcha d’elle, déposant un baiser dans son cou avant de parler de sujets sérieux –ou presque-. « Mario, ça te va ? ». Un immense sourire se dessina sur le visage de l’adolescente.« Oh que oui ça me va ! ». Mario, qui ne pouvait pas aimer ce jeu sérieusement ? Elle en était carrément dingue ! Ce n’était pas son préféré mais quand même ! Oui, oui, les filles aussi aiment les jeux vidéo.
Kavi alluma alors la console, tendant la manette à Astrée, « T’en fais, je te laisserai une chance de me battre. ». Elle se mit alors à rire, il l’a prenait pour une débutante là ? Elle y avait joué pendant des heures et des heures et elle n’avait rien perdu de son habilité d’enfance elle en était certaine. « Si tu crois que j’ai besoin de ça ! ». Non mais puis quoi encore ? Il la prenait pour qui ? Elle n’était pas une nana avec les ongles made in china ! « Prête miss Lloyd ? Si tu veux je me mets un handicap ! ». Oh, il la cherchait là ? Elle lui lança un regard de défi, lui montrant bien qu’elle n’allait pas se laisser démonter. « Je vais te battre et sans handicap Monsieur Khan et crois-moi, tu vas regretter de m’avoir provoqué ! ». Ils lancèrent alors le jeu sur ce défi. Astrée ne pouvait s’empêcher de se dire qu’elle avait de la chance d’avoir Kavi, parce qu’ils étaient là comme des gosses à jouer à la console sans qu’il ne la juge alors qu’ils auraient pu faire l’amour. Il acceptait qu’elle soit vierge et qu’elle ne soit pas prête à le faire. Il acceptait réellement tel qu’elle était alors… elle ne pouvait s’empêcher de penser qu’elle lui dirait, bientôt elle lui dirait tout, elle tenait à lui.