Sujet: la fille aux loups. (+) Louella Lun 2 Déc - 10:05
Louella "Lou" Jamie-Jones
Identity, please.
Nom : Jamie-Jones. Nom de famille composé qui n'indique pas un mariage quelconque mais un choix de la jeune femme d'adopter ces deux noms de familles pour des raisons que vous comprendrez plus tard. + Prénom(s) : Louella, dites Lou. Pourquoi Lou ? Parce que premièrement, c'est plus court et plus mignon mais aussi par rapport à son histoire, son passé. Il y a bien un deuxième prénom, Norah, mais elle n'aime pas trop en parler car c'est prénom natal. Là encore, vous comprendrez plus tard. + Âge : vingt-deux ans, peut-être plus, peut-être moins, on ne sait pas, on n'a jamais su. C'est une estimation parmi tant d'autres. + Origines : selon les archives, elle serait irlandaise, mais à ses yeux, son sang est américain. + Statut Civil : célibataire, bien qu'elle attende un enfant, son cœur, lui, n'attends plus personne. + Occupation : elle n'a pas d'occupation particulière, elle va et vient sur le marché du travail et parfois, sur les bancs de l'école, cherchant sa voie. + Avatar : Phoebe Tonkin, la perfection incarnée, le talent à l'état pur, la sexiness en puissance. + Crédits : tumblr.
Be yourself.
Vous me connaissez déjà Surtout avec Phoebe quoi. Vous me manquiez trop, alors je suis revenue parce que je vous aime quoi. Je vous ai pas trop manqué ? .
Sujet: Re: la fille aux loups. (+) Louella Lun 2 Déc - 10:05
« she has been left behind »
Elle avait été abandonnée. Délaissée par la société, mise à l’écart, oubliée dans les fin fond de la forêt environnante. Dans un panier en osier, entourée d'une simple couverture rosée, elle était là, posée contre un arbre, là où personne ne la trouverait, là où elle aurait pu mourir alors qu'elle n'avait pas commencé à vivre. Ses yeux n'étaient pas encore ouverts, elle était bien trop jeune pour ça, âgée de quelques heures seulement, elle mourrait d'ici deux ou trois heures. Nous étions en hiver, un hiver rude auquel elle ne pourrait survivre pourtant, la fillette avait survécu d'une bien étrange façon.
Soudain, elle entendit un bruit. Reculant, elle partit se cacher derrière l'arbre, assise sur ses pieds, les mains au sol. Il y eut un grognement. Gaïa était là. La fillette sortit discrètement sa tête de derrière l'arbre, observant ce qu'il se passait. La louve vint se mettre devant la fillette, la protégeant comme elle protégeait ses louveteaux. La fillette se recula d'avantage, se cachant derrière l'animal, apeurée. Lorsqu'elle grognait, c'est qu'elles étaient en danger. Gaïa avait du montrer les crocs de nombreuses fois, surtout face aux mâles qui venaient l'importuner et qui grognait contre la fillette. Sûrement qu'ils voulaient la dévorer, mais la louve ne l'aurait jamais autoriser. Cela faisait huit ans que l'enfant vivait dans les bois, protégée par la louve. Gaïa. Pourquoi Gaïa ? N'ayant jamais été entourée d'êtres humains, elle n'avait pas appris à parler, ou marcher sur ses deux jambes, elle agissait comme un animal, elle était sauvage mais lorsqu'elle fut plus jeune, elle réussit à prononcer un mot, Gaïa, un mot que tout les nourrissons auraient pu dire. La louve s'était apparenté à ce mot. Elle avait compris que c'était un système de reconnaissance. Les grognements se firent plus insistants. « Putain mais pourquoi elle grogne comme ça ? » Les louveteaux de Gaïa se trouvaient cachés sous la fillette. En file indienne. « Elle doit protéger ses petits. Gentille louve, gentille. » Gaïa grogna, les crocs en avant, elle avait un regard menaçant. Elle aurait été capable de leur sauter au cou, mais si elle le faisait, elle laissait ses petits sans protection, y compris la fillette. « Eh Jo, regarde, y'a une gamine.. » ; « Quoi ? Qu'est-ce que tu r.. merde, c'est quoi ce bordel ? Appelle Alex et dis lui de venir avec.. d'autres gars et la police et une ambulance ou je sais pas moi. Merde ! » Les deux hommes reculèrent, comprenant que la louve ne se calmerait pas tant qu'ils seraient proches. Personne n'avait cherché la fillette, personne ne le ferait. Personne n'avait voulu d'elle, à part Gaïa. Les grognements devinrent moins insistants et la louve se tourna vers ses protégés. Un petit groupe arriva alors rapidement – une demie heure après environ – et encercla la louve. La fillette gardait sous elle, les louveteaux, émettant un grognement intérieur. Elle copiait le rôle défensif de l'animal. La louve se remit à grogner et donna des coups de pattes pour faire reculer ses assaillants, tandis que la fillette faisait pareil. « Putain de merde.. elle fait flipper cette gamine. Faut qu'on les ramène et vite. » Un homme intervint. « Je vous déconseille de séparer l'enfant et la louve. Et laisser les louveteaux avec la fillette. » ; « Qu'est-ce que tu viens foutre là toi ? » L'homme soupira. « Je viens vous sauver les miches. Si vous essayez de les séparer, la louve va vous sauter à la gorge et la gamine ferait pareil. Elle fait tout comme un animal, vous comprenez pas ou quoi ? C'est une sauvage, elle ne sait pas qui elle est, ce qu'elle est, elle est animale. Alors, piquer la louve avec un sédatif et faites pareil avec la gamine. Les louveteaux sont inoffensifs pour le moment. » Et sans se poser de questions, ils s’exécutèrent. Pour la fillette, se fut le trou noir complet.
« she needs them to live »
« Aujourd'hui, nous somme mardi dix-sept avril. Cela fait maintenant un an et demi que la fillette est placée en observation. Nous l'avons surnommée Lou, diminutif de son prénom et adjectif qualifiant son passé. Selon les archives, la fillette serait âgée de bientôt dix-ans, peut-être moins, nous ne sommes pas sûrs de la véridicité de son acte de naissance. Selon ce dernier, elle répondrait au nom de Louella. Le nom de la mère n'y figure pas et nous ne pouvons pas nous fier à ce papier aux vue des circonstances. En effet, selon les archives de l'hôpital, la jeune mère aurait emmené son bébé en pleine nuit, en hiver et plus personne ne les as vu. La mère est probablement morte suite aux nombreuses hémorragies qu'elle a du subir étant donné qu'elle a quitté l'hôpital quelques heures après l'accouchement. Nous pensons qu'elle a abandonné l'enfant dans la forêt, pensant que personne ne la trouverait. La noyer aurait été plus simple, c'est pourquoi nous pensons que la mère n'avait pas la force physique ou mentale de tuer son nouveau-né. La mère serait d'origine irlandaise, bien que là encore, rien n'est sûr. La fillette ne semble avoir aucune famille proche ou éloignée, c'est pour cela qu'elle demeure en observation ici. Ses capacités mentales et physiques sont en nette progression, elle apprend incroyablement vite même si elle refuse toujours la séparation avec la louve, apparemment appelée Gaïa par l'enfant. Je me trouve, encore une fois, derrière la vitre sur-teintée, observant l'enfant. Elle semble montrer des aptitudes de défenses et d'attaques plus élevées que la normale, calquant probablement son comportement sur celui de sa mère substitut. Elle est actuellement en train de dormir, bien qu'il soit trois heure de l'après-midi et elle dors encore sur ses jambes arrières, comme la louve. Il lui arrive de marcher sur ses deux jambes. La cohabitation entre la louve et la fillette, vient bouleverser un nombre incalculable de théories selon quoi, le loup serait dangereux pour l'homme, spécialement pour les enfants en bas-âge, en incapacité de se défendre. Il semblerait donc que la louve Gaïa ait compris que le nourrisson qu'elle a auparavant découvert était inoffensif et en danger. Son instinct maternel à pu fausser son jugement – si tenté qu'elle en ait un – et ainsi, apparenté la fillette à un de ses louveteaux. Louveteaux qui sont d'ailleurs constamment derrière la fillette. Bien que cette « famille » soit nombreuse, ils réussissent à cohabiter dans une pièce de 20m2, sans problèmes. La louve accepte désormais la présence humaine, tant que l'humain semble pacifique et fait preuve de soumission face à la louve. En effet, pour pouvoir approcher la fillette, il faut se retrouver en position quatre pattes, la tête baissée puis on peut alors entrer en communication avec elle, en restant néanmoins, assis au sol, au même rang que la « famille ». » La vidéo prit fin, tandis qu'un brouhaha s'empara de la salle, des mains se levèrent et les questions défilèrent. Le visage de la fillette avait été flouté pour qu'elle ne puisse être importuner dans le futur, une idée du médecin. « Comment expliquez-vous que les louveteaux acceptent la présence de la fillette et qu'il n'y ait aucune tension au sein de cette f.. du groupe ? » Le docteur fit mine de réfléchir, en se pinçant les lèvres. « Et bien.. les louveteaux sont arrivés après la fillette, ils l'ont apparenté à la figure supérieure, comme une mère substitut, bien qu'il sache que la louve est leur mère. Il n'y aucune tension car la louve ne fait pas de différences, pour elle, les louveteaux et la fillette sont les mêmes, il n'y aucune préférence et ainsi, ils bénéficient tous du même temps d'attention. » ; « D'accord mais concernant la fillette, Lou.. pensez-vous qu'un jour, elle pourra être libre ? Et les loups qui l'accompagnent ? » Le docteur laissa échapper un rictus. « Voyons, cette fillette est humaine, bien-sûr qu'elle est libre et qu'elle rejoindra les siens un jour ! Pour l'instant, elle est gardée en observation pour qu'elle apprenne à se comporter comme nous. Quant aux loups, nous pensons qu'il serait préférable de les laisser à ses côtés où elle pourrait devenir dangereuse. » ; « Vous voulez dire qu'elle pourrait nous attaquer ? » S'offusqua une journaliste, provoquant un mouvement de panique dans la salle. « Allons, allons. Cette fillette a grandi sans famille, la louve et les louveteaux sont ce qu'elle considère comme sa famille. C'est comme si je prenais votre famille, que je l'enfermais et que vous, je vous laissais libre. Vous comprenez ? Il est important pour le bien-être de Lou, que personne, ne fasse de mal à ses compagnons. Regardez le film Tarzan et vous comprendrez de quoi je parle. » ; « Vous apparentez sa vie à un film Disney pour enfant ? » Une fois de plus, le docteur laissa échapper un rire. « Ne soyez pas stupides. Tarzan est fictif, Lou, est réelle. Lorsque les humains s'en prennent aux singes, Tarzan attaquent les humains. Lou fera exactement pareil si vous tentez de faire du mal aux louveteaux ou à Gaïa. Ils sont tout ce qu'elle a. »
« she has been adopted »
Assise dans un coin de sa chambre, son regard se perdait sur la vaste étendue qui s'offrait à elle. Blanche, douce, moelleuse. La neige. Elle adorait la neige. Si elle le pouvait, elle vivrait chaque jour sous la neige, mais elle ne pouvait pas. Abritée dans cette grande maison qu'elle ne connaissait toujours pas, elle se sentait prisonnière. Prisonnière de gens qu'elle ne connaissait pas non plus. La jeune fille venait de souffler sa seizième bougie dans la maison qu'elle occupait depuis trois ans. Recueillie par une soit disant tante Lola, jeune frenchy âgée de trente-trois ans, seule et sans enfants et pourtant riche comme Crésus, vivant dans un trou perdu répondant au nom d'Arrowsic. Selon le Dr. Phac – drôle de nom – Lola Jones serait la sœur du père de la jeune fille. Père qui était inconnu et dont tante Lola refusait de parler, ce n'était pas « intéressant » disait-elle. C'est vrai que la vie de ses parents biologiques ne devaient pas être si bonnes que ça pour que l'un, l'ai abandonné avant même la naissance et l'autre, après la naissance, la laissant dépérir comme une pauvre chose dans la forêt glaciale. Pourtant, tante Lola avait quelque chose qui amusait Lou, elle était très excentrique et assez amusante, d'ailleurs, en adoptant sa nièce, elle avait adopté les loups. Après tout, elle était riche, elle avait tout les droits, comme elle aimait si bien le répéter. Gaïa avait finit par accepter tante Lola, même si au début, elles ne s'aimaient pas, sûrement à cause de l'instinct maternel et possessif. « Lou, tu viens manger s'il te plaît. Je t'ai fais des frites et du tofu. » De régime alimentaire végétarien, l'adolescente n'avait jamais supporté manger de la viande, allez savoir pourquoi. Les loups eux, en mangeait plein, mais elle, elle ne pouvait pas. Elle s'imaginait manger les jeunes loups. La jeune fille descendit dans la cuisine et eut un petit sourire lorsqu'elle vit les six queues remuées, devant tante Lola. Ils étaient de vrais ogres. Si tante Lola n'avait pas autant d'argent, elle aurait été ruiné. Surtout que la viande du boucher était vraiment très chère, mais au moins, ils mangeaient comme s'ils étaient dans la nature. « Aujourd'hui, on va allez faire les magasins. Bien-sûr, on ne va pas faire ça ici, il n'y a rien dans ce trou perdu. Il faudra 1 heure de route, tu penses qu'ils supporteront le voyage ou je devrais les laisser dans le jardin ? » Elle haussa les épaules et regarda Gaïa. La louve regardait à la fenêtre. « Jardin. » Malgré qu'elle disposait désormais de toutes ses facultés humaines, elle avait encore du mal à se plier à certaines conventions, surtout langagières et comportementales. Tante Lola sourit et hocha la tête. « Louella Jamie-Jones accepte de sortir. Sans ses loups. Dans un magasin. Qu'on sonne la cloche, il va y avoir une tempête de neige. » Lou la regarda, dubitative, ne comprenant pas l'intérêt de sa phrase. C'était de l'humour ? Ou la vérité ? Une tempête de neige ? Elle regarda dehors et rien ne présageait qu'une tempête allait s'abattre. « Je ne vois pas de tempête de neige, ou même de cloche, tante Lola. » La trentenaire se mit à rire. « C'était de l'humour ma belle. Et arrête de m'appeler tante Lola, ça fait trois ans que je te le répète, appelle moi Lola ou Lo, Lolo, Lolotte, comme tu veux. » ; « Tante Lola. » Elle secoua la tête, rigolant face au comportement de sa nièce.
« she won't do the same mistake »
« Vous êtes enceinte de 2 semaines, mademoiselle. Félicitations. » Le médecin lui adressa un sourire sincère, lui tendant la main. Cette annonce eut l'effet d'une bombe sur Lou. Elle ne s'y attendait pas. Surtout maintenant. Aujourd'hui. Elle. Comment était-ce possible ? Avec Caleb ils se protégeaient. Ils étaient même doublement protégés, grâce à tante Lola. « Comment est-ce possible ? Ma nièce se protège, son petit-ami aussi. Ce n'est pas possible. » S'étonna la tutrice de la jeune femme. Bien que Lou est désormais vingt-et-un ans, elle restait jeune pour devenir mère. Elle avait encore du mal à s'occuper d'elle-même parfois. Elle ne savait même pas comment elle pouvait avoir une relation amoureuse – et sexuelle – avec un garçon. C'est sûrement ce qui était le plus étonnant vu son âge. Toujours suivie par le Dr Phac, il lui avait prodigué la meilleure éducation qui soit. Elle n'avait pas été à l'école, il était son instituteur, bien qu'il fasse appel quelque fois à des professeurs particuliers. C'était même lui qui lui avait présenté Caleb, son petit-ami actuel – plus pour longtemps – qu'elle affectionnait beaucoup. Oui, elle ne parlait pas d'amour. C'est un sentiment qu'elle ne connaissait pas car elle ne l'avait jamais ressenti, du moins, pour quelqu'un d'autre que ses loups. « Eh bien, il se peut que le préservatif ai craqué. » ; « Oui d'accord mais ma nièce prend la pilule ! » Le docteur broncha. « Oui.. mais, peut-être qu'elle était dans la phase d'arrêt. Et même si ce n'est pas le cas, la pilule à un pourcentage d'efficacité de 99,9%. Pour vous, les 0,01% ne représentent rien, mais croyez-moi que ça peut causer une grossesse. Dites-moi, Louella, quand avez-vous eu votre dernier rapport ? » La jeune fille se mit à réfléchir, bien qu'elle n'apprécie guère parler de choses si intimes, de toute évidence, elle n'avait pas le choix. « Je ne sais plus trop. Hier. » Le médecin se mit à rire. « Je reformule. Cela fait deux semaines que vous êtes enceinte, alors est-ce que vous étiez en pause contraceptive il y a deux semaines ? » Sa tante lui chuchota de prendre le calendrier sur lequel elle marquait absolument tout. Oui, sa tante avait tendance à être très rigoureuse, minutieuse. Paranoïaque. La jeune fille regarda le petit calendrier qu'elle avait elle-même fait. Il y a deux semaines, elle ne prenait effectivement pas la pilule. Zut. Elle se pinça la lèvre. « Oui. » ; « Et bien voilà. Je vous conseille de changer de préservatifs si vous voulez mon avis. Une deuxième grossesse pourrait être évité dans le futur. » Le rendez-vous terminé, il fallait désormais l'annoncer au père. « Si tu veux, je peux appeler la clinique et prendre rendez-vous pour avorter ma puce. » Elle secoua négativement la tête. « Non. Je ne veux pas être une meurtrière, puis, il n'a pas demandé à être ici. Caleb sera du même avis. »
« she has her own family »
Elle aurait aimé avoir raison. Malheureusement, ce n'était pas le cas. Lorsqu'elle lui avait annoncé sa grossesse, Louella pensait qu'il serait heureux de le savoir, qu'il aurait hâte d'être père. Foutaises. Il s'était offusqué, se demandant comment elle avait pu lui faire ça. Comme si c'était de sa faute. Comme si elle avait pensé à devenir mère du jour au lendemain, alors qu'elle-même n'en n'avait pas vraiment eu. Six mois après, la jeune femme ne s'en remet toujours pas. Elle aurait préféré rester dans les bois à tout jamais, car l'humanité était pire que le disait les livres. Les hommes ne semblaient pas en phase avec leur responsabilités. Ils aimaient leur confort, la simplicité. Ils faisaient les durs, mais devenaient lâches lorsqu'on leur demandait de prendre des responsabilités. Peut-être que ce n'était pas commun à tous, la jeune fille n'en savait rien. Le Dr Phac restait très gentil avec elle, mais peut-être seulement car elle était un sujet d'étude intéressant pour elle. Assise dans l'herbe, Lovely vint poser son museau sur une de ses jambes. Gaïa n'était plus de ce monde la vieillesse l'avait emmené au paradis des Loups, laissant derrière elle cinq jeunes loups. Lovely, Jingle, Snow, Wolfy et Alpha. Lovely restait la plus tendre et la plus joueuse, tandis qu'Alpha et Jingle restait assez caractériel, c'étaient des mâles. Quant à Snow et Wolfy, et bien, c'était des pestes. De vraies pestes. Mais Lou ne faisait aucune différence entre eux, elle les aimaient tous de la même manière et elle comptait bien les garder. A six mois et demi de grossesse, elle essayait de gagner son indépendance mais cela restait dur malgré tout et vivre chez tante Lola était plus simple. Elle avait tout, elle avait de l'argent et il en fallait pour nourrir les loups et bientôt le bébé, elle avait une grande maison avec un grand jardin qui s'éloignait à perte de vue. Elle vivait à la sortie d'Arrowsic, pas très loin d'une luxuriante forêt. Soudain, sa tante surgit de nulle part. Même Lovely ne l'avait pas vu à en croire son petit sursaut. « Bon, ce n'est pas tout, mais dans deux mois je serais tata ! Ou mamie, je sais pas. Je suis si jeune pourtant. On fera en sorte qu'elle m'appelle Lola, ça doit pas être dur pour un enfant, si ? Mamie Lola. Et donc, on doit allez faire des achats ma belle, on va lui acheter un beau lit, avec des barreaux, le truc le plus sûr du monde, on ira à New-York le cherché s'il faut. Elle aura la plus belle des chambres cette petite. » Louella sourit face à l'entrain de sa tante mais le perdit rapidement, se rendant compte qu'elle n'était pas si enthousiaste qu'elle. Peut-être qu'elle n'en voulait pas au final. Peut-être qu'elle se voilait la face. Peut-être qu'elle ferait comme sa mère. Non. Cela n'arrivera pas, car elle n'était pas comme sa mère. Non, elle ressemblait à Gaïa. Attentionnée, protectrice, attentive, attachante, parfaite. « Et je pensais à peut-être mettre une grande fresque ou faire appel à un artiste pour peindre un mur de la chambre. Y mettre les cinq teignes dessus. Après tout, c'est sa famille aussi ! » ; « Oh ce serait merveilleux ! Tu seras la meilleure mamie du monde, j'en suis sûre tante Lola. » Lovely se redressa et se mit à hurler, très vite rejoint par ses frères et sœurs. « On dirait qu'ils sont d'accord ! Pas de problèmes avec les droits d'image alors ! » Tante Lola fit un clin d’œil a sa nièce, en souriant. L'accouchement allait très vite arriver, plus vite que pouvait le penser la future mère.
Dernière édition par Louella "Lou" Jamie-Jones le Sam 4 Jan - 19:20, édité 7 fois
DOUBLE-COMPTE : La schizophrénie ne nécessite pas plusieurs corps, mais une seule tête. MESSAGES : 424 ARRIVÉE : 10/11/2013 LOCALISATION : Au sommet du Squirrel Point Light, affrontant l'horizon.
Sujet: Re: la fille aux loups. (+) Louella Lun 2 Déc - 16:30
NON. TEDDY BEAR. *pleure* (de joie, hein. Rebienvenue )
Sujet: Re: la fille aux loups. (+) Louella Mar 3 Déc - 11:14
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan tedddyyyyyy tout le monde revient c'est TROP coooool (ici Sutton-la-cochonne ) love sur toi babe.
DOUBLE-COMPTE : La schizophrénie ne nécessite pas plusieurs corps, mais une seule tête. MESSAGES : 424 ARRIVÉE : 10/11/2013 LOCALISATION : Au sommet du Squirrel Point Light, affrontant l'horizon.
Sujet: Re: la fille aux loups. (+) Louella Mar 3 Déc - 17:16
Vous me tuez Oui, j'ai changé. J'étais partie, mais je suis revenu aussi :-)
Hey si vous vous mariez j'peux être la gamine qui balance des pétales de rose ?
Sujet: Re: la fille aux loups. (+) Louella Mar 3 Déc - 18:15
ooooh baaah vouiii. j'te rappelle qu'à l'époque, avec Imran, t'étais Roi non mais avec la petite robe blanche et tout, ahah tu ferais un malheur! ou alooooors tu fais le trooll et tu ramasses les pétales jetées, comme cette gamine : http://www.zap-actu.fr/2011/10/06/petite-fille-ramasse-des-petales-au-lieu-de-les-jeter-dans-un-mariage/
DOUBLE-COMPTE : La schizophrénie ne nécessite pas plusieurs corps, mais une seule tête. MESSAGES : 424 ARRIVÉE : 10/11/2013 LOCALISATION : Au sommet du Squirrel Point Light, affrontant l'horizon.
Sujet: Re: la fille aux loups. (+) Louella Mar 3 Déc - 20:43
J'suis un mini-King maintenant
J'veux bien faire le glandu qui ramasse :-D J'suis cute, ça marcheras du tonnerre. J'peux même les bouffer
DOUBLE-COMPTE : La schizophrénie ne nécessite pas plusieurs corps, mais une seule tête. MESSAGES : 424 ARRIVÉE : 10/11/2013 LOCALISATION : Au sommet du Squirrel Point Light, affrontant l'horizon.
Sujet: Re: la fille aux loups. (+) Louella Mer 4 Déc - 22:03
Sujet: Re: la fille aux loups. (+) Louella Mer 11 Déc - 13:49
pardon j'ai pris du retard j'ai mon oral cette semaine, plus un autre examen et mes deux dossiers à finir donc j'ai pris du retard et je suis désolée je vais finir maximum, en fin de semaine.