NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours.
Sujet: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Jeu 5 Mai - 21:23
lucas nathan rousseau .......................................................................................................
NOM(S):Rousseau. PRÉNOM(S):Lucas Nathan.AGE: Vingt-sept.ORIGINE:Français.STATUT CIVIL:En couple.MÉTIER OU ÉTUDES: Professeur de psychologie.GROUPE:Adult's World.AVATAR: Matthew Bomer.
JUST GONNA STAY HERE.
→ start to feel the emptiness and everything I’m gonna miss I know that I can’t hide.
La vie est une machination complète. Une injustice. Un complot contre les plus misérables d’entre nous. Dans notre petite maison sombre, sale et sans fenêtres, ma petite sœur, âgée de six ans, gisait sur le sol. Elle se tordait de douleur. Ses frêles mains appuyaient tellement fort sur son ventre que j’avais peur qu’elle le transperce. Ses membres étaient maigres et comparables aux brins d’herbe de l’école primaire de notre ville. Sa pâleur était extrême, au point qu’on pouvait la confondre avec un vampire. Ma sœur Charlotte était dans un état critique. Ma mère l’avait prénommée ainsi car elle rêvait de manger une charlotte aux fraises un jour. Mais cette adorable charlotte, que tout le monde appréciait, était en train d'étouffer sur un sol en bois infesté de fourmis. Son visage se tordait de douleur et de grosses larmes s’étouffèrent sur ses joues. Elle était dans un état critique. La voir ainsi me fendait le cœur, j’étais incapable de bouger ou de prononcer un mot. J’étais comme une statue aveuglée par la réalité. Je ne pouvais rien faire : elle mourrait de faim depuis des semaines. Je n’étais pas bien gros non plus, mais sa fragilité l’avait exposée aux maladies. Personne ne voulait nous aider. On n’avait pas d’argent. Quand on n’a pas d’argent, personne ne vient pour vous. Je haïssais ce monde qui ne vivait et qui ne mangeait que pour l’argent. Je trouvais ça d’une puérilité ! Et j’étais tellement indigné par cette société exécrable et sans pitié, cette société qui avait fini par anéantir notre famille. Ma mère était une femme respectable, elle faisait tout pour nous rendre heureux et nous donner une bonne éducation, mais on pouvait lire sur son visage un désespoir encré pour toujours. Sa joie de vivre avait disparu depuis longtemps, et son corps était abîmé par des années d’acharnement. A présent, elle se montrait fragile et détruite. Quant à mon père, il avait été mort suite à un éboulement dans la mine où il travaillait. Je crois que c’est cet accident qui a le plus touché ma mère, parmi tous les malheurs qui lui étaient arrivés. Plus personne ne touchait à son fauteuil qui était posé au coin du salon, c’était d’ailleurs l’unique meuble de valeur qui nous restait. Pour ma mère, ce fauteuil signifiait beaucoup, et elle préférait mourir plutôt que de le vendre. Alors que j’étais plongé dans mes réflexions, un cri d’agonie retentit lourdement dans la pièce. Voilà, c’était la fin, et nous étions incapables de faire quoi que ce soit. On savait très bien qu’il n’y avait rien à faire. C’était une fatalité. On ne pouvait pas y échapper. De plus, l’envie de nous battre s’était évaporée depuis longtemps déjà. Il ne restait plus que le pauvre petit corps de Charlotte sur le sol. Son âme était partie, elle allait sans doute avoir le bonheur qu’elle méritait à présent. Et, dans cette pièce d’un silence mortuaire, nos larmes s’échappèrent devant le corps de cette petite fille au triste destin, une petite fille qui pesait beaucoup dans nos cœurs, et qui était partie pour toujours.
→ I can take care of myself I mustn't let them down now mustn't let them see me cry.
Après cet accident qui avait anéanti ma mère, je continuais ma misérable vie de garçon de dix ans. J’essayais de rester fort et de montrer que tout allait bien, mais ce n’était pas le cas, loin de là. Seulement, je ne voulais pas crier mon désespoir au monde entier. Non, il fallait que je me batte, car c’était la seule chose à faire. Je n’allais pas rester là, à m’apitoyer sur mon sort et attendre ma triste fin. Moi, je voulais vivre. Trouver le bonheur. Être heureux. Et une petite flamme s’était allumée en moi, une petite flamme qui me poussait à me battre. Et je savais que cette flamme était éternelle. Je continuais donc à vendre des petites babioles que je trouvais dans les rues ou dans les poubelles. Ici, à Paris, les gens jetaient tout et n’importe quoi. C’était un vrai paradis pour un petit marchand comme moi. Je ne gagnais pas bien ma vie, d’ailleurs, tout le monde se demandait pourquoi un garçon de dix ans travaillait, mais je le faisais pour ma mère. Car je voyais très bien qu’elle n’avait plus la force de vivre. Elle savait qu’elle pouvait compter sur moi, et je voulais la rendre fière. A présent, la maison était vide. Il ne restait plus que le fauteuil de mon père. Le sol était notre seul moyen de confort. Je souffrais tous les jours de douleurs dans le dos dos, mais je finis par m’y habituer. J’étais envahi par la saleté et la puanteur. Je souffrais de rhumatisme qui me faisait passer des nuits horribles. Je ne sais pas ce qui était le pire : avoir mal ou finalement me dire que j’y étais habitué. Au bout d’un moment, je n’y pensais même plus, car cette vie misérable était devenue mon quotidien. J’allais tout de même à l’école, car c’était le seul moyen pour moi de m’établir et d’apprendre des choses. Je ne mangeais jamais à la cantine et je ne participais jamais aux sorties, faute de moyens. Il s’avérait que j’étais un élève brillant. Les professeurs fondaient beaucoup d’espoirs sur moi, et j’y avais fini par y croire. J’avais fini par croire que je deviendrais quelqu’un de puissant et d’influençable. Ma nouvelle source d’inspiration était Jean-Jacques Rousseau, grand philosophe, et qui n’était autre qu’un de mes ancêtres. Alors j’aspirais à devenir un grand philosophe, comme lui. Tout le monde me trouvait ridicule, mais cela m’importait peu. On ne pensait que du mal de moi, car j’étais pauvre, alors je ne cherchais même plus à m’intégrer dans cette société sans pitié. Je n’avais pas d’amis. Personne ne voulait de moi, et je n’avais besoin de personne. Je passais mon temps à lire des livres, principalement ceux de Jean-Jacques Rousseau. Il était devenu mon idole. Alors, au milieu de cette pauvreté et de cette misère, cette petite flamme qui était en moi s’agrandissait de jour en jour, me donnant envie de me battre et de survivre.
→ I'm broken abandoned, you are an angel making all my dreams come true tonight.
« Excusez-moi ? » J’étais assis sur un trottoir, les cheveux ébouriffés, le visage dur et la tête ailleurs. Je n’avais aucune idée de l’heure qu’il était, mais le noir avait envahi tout Paris. J’avais grandi. J’avais fêté mes quinze ans récemment. Quinze ans de vie. Et j’étais déjà essoufflé. Je me demandais bien ce que l’avenir allait réserver pour un misérable comme moi. Je m’étais lassé. J’avais cessé de me battre. Je ne lisais plus Jean-Jacques Rousseau. J’avais arrêté d’aller à l’école. Je passais mon temps à m’assoir sur un trottoir et attendre. Finalement, cette société m’avait eu, moi aussi. Une magnifique blonde était apparue dans le néant. Elle était comme un miracle. Je ne le savais pas encore, mais elle allait littéralement changer ma vie. « Oui ? » répondis-je silencieusement. Sa petite voix douce retentit agréablement dans mes oreilles. Elle respirait la fraîcheur de vivre et l’ambition. « Non, rien. Je me demandais bien ce que vous faisiez ici tout seul sur un trottoir. » « Et bien, rien. » Après cela, nous plongions dans un silence, comme abasourdi par la force des ténèbres, conscients que cette rencontre allait être un tourment dans nos vies. « Anne-Sophie, viens ici ! » « Oui mère. » « Qui est-ce donc ce jeune homme avec qui tu passes tes journées ? » « Il s’appelle Nathan, et il est très gentil. » « Moi je trouve qu’il ressemble à un chien abattu. » « Mère, je trouve que vous avez une très plâtre opinion de lui. Laissez-moi… » « Assez ! Je ne veux plus que tu le revoies, ma chérie, je trouve qu’il a une mauvaise influence sur toi. » « Mais… » « Il n’y a pas de mais ! Va réviser ton piano. Et tout de suite ! » J’avais tout entendu, caché derrière la fenêtre ouverte d’une immense demeure blanche. Sans que je ne sache trop pourquoi, mon cœur était dépité. Cela faisait quelques mois que je fréquentais Anne-Sophie. Il s’avérait qu’elle était fille d’une très grande famille, et par conséquent, sa richesse la rendait propre et parfaitement toilettée. Elle était complètement différente de moi. Au début, je croyais que je n’allais pas l’apprécier, à cause de ses manières, mais c’était une fille souriante, gentille et attentionnée. Son charme m’avait rendu fou d’elle. Elle m’avait inspiré un nouveau souffle et une nouvelle vie, que je croyais éteinte. C’est grâce à elle que je suis encore là aujourd’hui. Je n’aurais jamais cru survivre grâce à l’amour. Et pourtant. Et là, on venait de m’annoncer que tout était terminé. Cependant, on continua à se voir, pendant quelques temps, en cachette. On passait nos après-midis dans notre cabane, cachée dans un coin de Paris. C’était notre maison. Notre vie. J’étais heureux avec elle. Mais cela ne dura pas longtemps, pas autant que je ne l’aurais souhaité. Elle allait partir. Elle allait vivre à Arrowsic, aux États-Unis, pour faire ses études. Avant qu’elle ne me l’annonce, je ne savais même pas ce qu’était les États-Unis. Elle décida alors pour moi qu’il était tant que je quitte Paris et ma vie de misère. Elle avait décidé de m’emmener avec elle. Seulement, je ne pouvais pas quitter ma mère. Je ne pouvais pas la laisser seule. C’était hors de mes capacités. « Tu peux y aller, Nathan. » « Mais maman, et toi ? » « Je me débrouillerais toute seule, ne t’en fais pas mon chéri. » « Non, je refuse de te laisser toute seule ! Comment tu vas faire sans moi ? » « Ne t’inquiètes pas. Tu mérites d’être heureux, et c’est peut-être ton unique chance. Fonce ! » « Merci maman. Je t’aime très fort. » « Moi aussi mon chéri. Prends-bien soin de toi surtout. » Je pouvais entendre dans ses mots une certaine tristesse. On se prenait dans les bras. Ce dernier geste d’affection était rempli d’amour. Et je ne pus m’empêcher de verser une larme. Cela me faisait tellement mal de la laisser toute seule, mais je savais aussi qu’elle avait raison. Il était tant que je grandisse et fasse ma propre ma vie. Finalement, mon rêve allait se réaliser. J’allais enfin finir par être heureux.
→ something I've done that I can't outrun maybe you should wait maybe you should run.
Elle est partie. Elle s’est évaporée. Comme ça. Sans même me prévenir. Comme un coup de vent. Quand elle est partie, elle a oublié de me rendre mon cœur. Pourtant, nous étions heureux. Nous avions vécu un an de bonheur. Visiblement, cela n’avait pas suffi à la satisfaire. Je comptais même la demander en mariage. Mais à présent, c’était trop tard. Je ne savais pas si j’allais la revoir un jour. Dépité, sous le choc, je lus la lettre qu’elle m’avait écrite. « Cher Nathan, au moment où tu liras cette lettre, je serais déjà partie. Je sais que tu vas m’en vouloir, et peut-être pour toujours, mais je n’avais pas le choix. Ma mère a découvert que je vivais avec toi. Elle m’a appelé hier soir, et je ne l’ai jamais entendu crier aussi fort. Elle m’a ordonné de rentrer à la maison. Elle avait déjà acheté le billet d’avion. Tu sais bien que je ne pouvais pas lui désobéir. Je ne sais pas ce qui m’attend là-bas, mais j’ai très peur. J’aurais aimé resté avec toi. J’étais heureuse. La vie nous appartenait. Mais le destin en a voulu autrement. Nous étions le noir et le blanc. L’eau et le feu. L’or et le cuivre. On savait très bien dès le début que ça ne pouvait pas marcher entre nous. Je te dis ça, parce que je ne sais pas si je reviendrais. Je vais sans doute aller dans un pensionnat privé. J’ai peur. J’aurais aimé te prendre dans mes bras et t’embrasser une dernière fois… Tu vas me manquer. Je ne sais pas ce que je vais faire sans toi. S’il te plait, ne m’en veux pas trop, je m’en rongerai les doigts. Je t’aime, ne l'oublie pas, et ce, pour toujours. Adieu. » Que pouvais-je faire ? C’était trop tard. Elle était partie. Et peut-être bien pour toujours. Elle m’avait laissé une enveloppe avec de l’argent dedans. Elle voulait que je continue à vivre. Mais sans elle, je ne savais pas si j’allais encore en être capable. « Bonsoir beau brun. » Je noyais ma peine dans l’alcool depuis quelques temps. Je n’aimais pas ma vie. J’étais devenu professeur de psychologie, et c’était assez intense. Les élèves m’en faisaient voir de toutes les couleurs. Je n’en pouvais plus. Je n’arrivais plus à être heureux. Mon bonheur était parti avec Anne-Sophie. « Bonsoir. » Elle s’appelait Kayleigh. Elle était belle, elle était épanouie, et je crois que j’étais désespéré. Je voulais vraiment vivre une vie paisible et tranquille. Kayleigh ne s’en doutait pas, mais elle était en quelque sorte la remplaçante d’Anne-Sophie au début. Personne ne pouvait prendre sa place dans mon cœur, de toute façon. Alors on est sortis ensemble, et ça a duré quelques temps, et puis longtemps, beaucoup plus que prévu. Elle a fini par emménager dans l’appartement qu’Anne-Sophie m’avait laissé. Notre relation se basait surtout sur le sexe. Au bout d’un moment, elle comprit que mon esprit était ailleurs. Elle comprit qu’elle n’était pas la bonne. Mais elle restait. Nous étions tous les deux avides d’amour, et en retrouver juste un petit peu nous satisfaisait amplement. Je crois qu’elle tenait beaucoup à moi, et j’ai fini par m’attacher à elle. Pas autant qu’avec Anne-Sophie, mais bien assez pour rester avec elle. « Dis, tu m’aimes Nathan ? » « … » « Oui, je le savais. Je voulais juste en être certaine. C’est Anne-Sophie, c’est ça, hein ? » « … » « Ton silence me dit tout. C’est elle que tu aimes, n’est-ce-pas ? » « Oui. » Elle baissa les yeux. Elle le savait, mais m’entendre le dire l’avait sûrement touchée. « Mais tu sais qu’elle ne reviendra pas. Alors pourquoi tu persistes à penser à elle ? Je ne comprends vraiment pas Nathan, pourquoi n’arrives-tu pas à tourner la page ? Je suis là, moi. » « Oui, mais tu n’es pas Anne-Sophie. » « Et alors, tu ne veux pas m’aimer, moi ? Je t’aime beaucoup pourtant. » « Oui je sais. » Tout était tellement compliqué dans ma vie. Je n’arrivais pas à gérer ma relation avec Kayleigh, c’était dingue. Mais ces deux mots, je ne pouvais pas lui dire, non, car ils étaient destinés à une autre personne. « De toute façon elle arrive demain ta Anne-Sophie. » Et elle tourna les talons pour sortir dehors. Anne-Sophie. Ici ? A Arrowsic ? Je ne pouvais pas en croire mes oreilles. L’idée de la revoir remplissait mon cœur de joie. Cela faisait cinq ans. Cinq ans qu’elle m’avait quittée. Et j’allais la retrouver. Ma Anne-Sophie. Mon amour. Ma vie. Allais-je être heureux, pour toujours ? Personne ne pouvait me le dire. Tout ce que je savais, c’est que j’étais fou amoureux de cette fille, et que, cette fois-ci, je n’allais pas la laisser partir.
WALKING IN THE DARK.
Vous me connaissez, et j'aime les devinettes, alors je vous laisse deviner.
Dernière édition par L. Nathan Rousseau le Ven 6 Mai - 20:28, édité 3 fois
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Jeu 5 Mai - 21:54
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Jeu 5 Mai - 22:03
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Jeu 5 Mai - 22:15
Bienvenue. Je trouve ça drôle de voir un professeur de philosophie qui s'appelle Rousseau.
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Jeu 5 Mai - 22:25
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Jeu 5 Mai - 22:27
Moi moi je veux deviner ! Bon mais d'abord BIENVENUE. Et je plussoie à mort pour Matthew, mon dieu quel homme.
Bon, alors qui c'est. Au hasard : Loni, Felix, Lucy ? En fait j'en sais rien.
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Jeu 5 Mai - 23:01
merci tout le monde. :chazi&abbey:
olympe ✎ à vrai dire, je n'avais même pas remarqué je suis trop fort ! ouais je sais, je suis beau, et je ne refuse pas emma watson dans mon lit :65:
jay ✎ :nate: je ne suis pas un gentil prof en plus
graziella ✎ aaaah. j'avais peur que personne ne veuille deviner, heureusement que tu es là
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 0:43
L. Nathan Rousseau a écrit:
et ouais merci !
Moi je sens que je vais bien l'aimer le professeur de philo :65: Bon, c'est décidé, je ne sécherais jamais les cours de philo (aaa)
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 8:28
MDR Leona. Et non ! Ce n'est pas moi.
Déjà, ce serait un manque d'originalité d'appeler mon DC Nathan alors que mon compte principal s'appelle Nathanael. (aa)
Et puis, je vous donne un indice parce que j'aime casser le trip des autres... SMILEYS !
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 10:50
Graziella Dos Santos a écrit:
Bon, alors qui c'est. Au hasard : Loni, Felix, Lucy ? En fait j'en sais rien.
Ah non, j'avais bien dans l'idée de faire un prof mais, c'est pas moi Grazi
Nate quand t dis Smiley, pour moi c'est Chaz sauf que je doute sérieusement que ce soit lui x) Moi je sais pas pourquoi mais, je pense à Loni :loni2:
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 12:54
Smileys ça me fait penser à Chaz aussi mais je pense pas non plus que se soit lui.
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 13:28
Il n'y a pas que Chaz qui met des smileys partout. Et non, c'est toujours pas moi.
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 13:31
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 13:32
Célestine ? Duncan ? Joy ? Une fois qu'on aura fait toute la liste, on trouvera (;
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 18:03
vous n'y êtes toujours pas votre enquête me fait sourire, j'ai envie de voir qui va me trouver :celestine:
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 18:10
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 18:37
Je pensais vraiment que c'était Loni Allez, je mise sur Cassi maintenant :loni2: EDIT - Ou Celest, j'y avais pas pensé
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 19:55
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 20:17
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 20:27
Hope, Meadows, Jay, Muse, Enzo, Sharly ?
Dernière édition par Leona N. Poeiti le Ven 6 Mai - 20:49, édité 4 fois
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 20:29
duncan, merci. leona, c'est dans ta dernière liste. :65:
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 20:33
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 20:35
L. Nathan Rousseau a écrit:
merci tout le monde. :chazi&abbey:
olympe ✎ à vrai dire, je n'avais même pas remarqué je suis trop fort ! ouais je sais, je suis beau, et je ne refuse pas emma watson dans mon lit :65:
C'est le subconscient ça, j'en suis certaine. Ah mais c'est parfait, parce que je ne refuse pas Matt non plus
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 20:49
leoni ✎ tu es une très mauvaise détective
olympe ✎ ah bah du coup grâce à toi j'ai placé jean-jacques rousseau dans ma fiche
sinon j'ai terminé, si vous n'avez toujours pas trouvé qui je suis avant ma validation, vous me devrez des donuts
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours. Ven 6 Mai - 20:52
Hope ? Ah bah d'habitude je reconnais directement les gens, c'est toi qui est dur à reconnaitre. Donne moi un indice au mooins. (a)
Sujet: Re: NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours.
NATHAN ✎ On rencontre des milliers de gens, et aucuns d'eux ne vous touchent. Et tout à coup, on rencontre une personne et votre vie est changée. Pour toujours.