It's good to see me, isn't it? No need to answer, that was rhetorical.
no one can be two different people.
nom : Nom plutôt banale et vieux. Nombre de moquerie idiote que j'ai entendu à son sujet en comparant la santé mentale de ma famille à celle du célèbre personnage de Bram Stocker...Ҩ prénom :Rhapsody. Quel genre de parents donneraient un nom comme ça à leur enfant? Les miens, visiblement. Je ne l'ai jamais vraiment aimé, ni détesté. Tout ce que je peux dire, c'est qu'il y en avait pas une foule à l'école, des Rhapsody...à part en classe de musique, mais c'est une autre histoire... Ephalba Ma mère...elle aimait le Magicien d'Oz et elle a trouvé brillant de me donner le nom de la Wicked Witch of west... heureusement, je ne suis pas verte, moi!. Ҩ âge : 28 ans. Ҩ origines[/b Américaine. Ҩ [b]statut civil : Célibataire Ҩ occupation : Avocate Ҩ avatar : Cobie Smulders. Ҩ crédits : Chocobo M. | tumblr.
leave your story behind and be the present.
«well we can't all come and go by bubble! » Wicked
Te souviens-tu de la neige recouvrant les prés, les rendant étincelants sous la lumière faible du soleil? C’était un hiver comme milles autre dans ces contrées froides. Les arbres étaient dénudés de leurs manteaux émeraude, les eaux calmes des rivières étaient figées dans le temps sous l’épaisse couche de glace. Le monde s’était figé dans la froideur hivernale, mais tu en avais l’habitude, toi, petite sauvageonne des plaines blanches. Tu te souviens combien tu aimais la saison froide? Tu enfilais ton bonnet et des moufles, sautait dans des bottes pour courir dans les déserts de neige et de glace, comme si ce monde t’appartenait. Tu étais la reine des glaces sur tes patins aux lames effilées, tu étais la princesse des neiges sur ta luge de bois, tu étais l’amie des bonshommes d’eau gelée aux nez en carottes. Pour toi, l’hiver rimait avec l’odeur du pain d’épices flottant dans les pièces de la maison et des lueurs des lumières du sapin de Noël trônant en roi dans le salon. Pourtant, jamais nos Noëls ne furent heureux. D’aussi loin je me souviens, ton père et moi ne passions jamais cette fête familiale en paix. Nous nous disputions devant les invités pendant le repas, nous nous engueulions comme des enfants lors que l’ouverture des cadeaux, parce que nous nous avions mis d’accord pour t’acheter une nouvelle bicyclette et qu’il t’avait offert un bâton de hockey. Parce qu’il avait troqué la robe que je t’avais achetée par des vêtements de garçon, parce qu’il t’offrait les présents que nous aurions offerts à ton frère, s’il avait été là. Mais pour toi, ça n’importait peu. Tu croyais à ces Noëls fantaisistes où le Père-Noël se faufilerait dans la cheminée avec tes présents pour venir manger les biscuits que tu lui avais laissés sur la table près du sapin imposant décoré par tes soins. Nous n’avons pas été des parents parfaits, nous n’avons pas été des modèles, nous avons été les crocs-mitaines de ton monde d’enfant. Peut-être aurait-ce été différent si Wendell n’était pas mort. Tu ne te souviens sans doute pas de lui. Tu étais si petite quand il est mort. C’était le cher fils de ton père, notre petit trésor et peut-être aurait-ce été plus douce s’il était resté avec nous. Ton père adorait son fils, il était l’enfant de ses rêves, si parfait qu’il était impossible de lui arriver à la cheville. Il a fallu que ton frère se fasse heurté par une voiture. Ce n’était pas de ta faute, pourtant, c’est comme si ta naissance signait l’arrêt de mort de ton frère. C’est comme ça que ton père la vécut, je crois. Et je sais qu’au fond de ton cœur d’enfant, dans ton insouciance de gamine émerveillée par la neige tombante en gros flocons complexes tu en étais blessée. Je sais que comme toute enfant, tu aurais aimé être aimée, adorée et adulée par ton père. Ça n’a jamais été le cas et quelque part, je me sens coupable de t’avoir imposé la tristesse et le malheur. J’aurais aimé t’offrir une vie avec une vraie famille, autre que ta mère hurlant sur ton père, saoule les soirs devant les vieilles photographies de son défunt fils, une vie loin de ton père qui n’était jamais là, trop occupé à se perdre dans les bras de sa secrétaire sans que ça ne me blesse vraiment. Je le savais. Je n’ai jamais rien dit. Et toi, petite princesse des plaines enneigées, aurais-tu aimé une autre vie sans ces malheurs que tu connaissais sans les voir? As-tu vu l’orage qui menaçait ton hiver éternel, cette tempête infernale qui allait te tomber dessus pour balayer ton innocence enfantine d’un revers de main? As-tu sentit le courant d’air glacial qui allait et venait dans la maison de ton enfance si amère? Les souvenirs ne sont pas que miel et sucre.Tu n’as pas vu la tempête arriver et comme Dorothée, tu es resté coincé dans le cyclone qui t’emmène à Emerald City. Mais toi, tu n’as pas tes petites chaussures rouges, toi tu n’as pas Glinda pour te protéger pour t’aider. Parce que toi, tu es Ephalba, tu te souviens? Cette vilaine sorcière dont l’histoire t’a longtemps suivit le soir avant de t’endormir tranquillement dans ton lit chaud. Cette sorcière qui t’a donné ton nom. Quelque part, je me sentais mal d’être cette qui créait le cyclone autour de toi, toi ma petite princesse des neiges. J’aurais aimé t’offrir une meilleure enfance, ma petite Rhapsody, mais j’en étais incapable, trop noyé par la souffrance de ce monde si injuste et par l’alcool qui coulait à flot. Mais sache que malgré la mère indigne que je fus, je t’aimais. Tu étais ma petite fée, mon petit rayon de soleil, ton rire était ma mélodie délicieuse et sucrée, ta peau était la douceur de la soie lorsque ta main attrapait la mienne. Je ne te méritais pas, nous ne te méritait pas, ton père et moi. Nous étions trop aveuglés par la perte d’un enfant pour voir la beauté de celui qui grandissait devant nous. Nous n’avions pas compris à l’époque que les enfants ne sont rien d’autre que le miroir de ce que nous sommes, nous adultes anéantis par la cruauté de l’homme sauvage et brute. Et toi, petites fées des glaces, tu n’étais qu’une charmante enfant happée par les conflits de grands… Et plus jamais, ton Noël eu le goût du pain d'épices...
«Je suis avalée par le fleuve trop grand, par le ciel trop haut, par les fleurs trop fragiles, par les papillons trop craintifs...» R. Ducharme
La mélodie de la pluie est d’un réconfort étrange, comme les vieilles chansons d’amour que l’on passe encore et encore à la radio, inlassablement, comme si ces vieilles chansons nous rappelaient les moments magiques avec l’être aimer tout en éveillant les souvenirs douloureux de jours meilleurs. La pluie tambourinait sur la carrosserie de la voiture, comme pour nous rappeler sa présence, elle, déesse de la nostalgie. Et comme une suite de larmes dont le barrage de paupières ne parvient pas à contenir, elle s’écrasait sur le sol déjà trempé de cette route sans artifice. L’habitacle de la voiture était comme un bouclier contre le monde extérieur où l’eau tombant du ciel n’était que mélodie cassant sur la peinture lustrée. Ces voyages, elle les connaissait par cœur, elle saurait dire où la voiture arrêterait pour la première fois, où il déjeunerait demain matin, à quel hôtel ils passeraient la nuit. Ces voyages, elles les font deux fois par année, quand sa mère en a marre de l’avoir dans ses pattes, quand l’hiver se termine au Canada. Puis quand son père en a assez de lui hurlé dessus, quand le froid reprend ses droits. Sa vie, c’est un éternel hiver enneigé sur les plaines canadiennes et le soleil de cette petite ville. C’est l’accord de ses parents, un accord qui lui plaît à demi, un accord sur lequel elle n’a rien à dire, parce qu’elle l’enfant et eux les adultes. Et ils ne semblent pas voir la difficulté de la situation pour une enfant de dix ans. À l’école, dans son pays natal, elle est la fille qui ne passera pas l’été avec ses copines, elle est celle qui ne verra pas les plaines refleurirent. Chez son père, à Arrowsic, elle était la petite Canadienne qui ne resterait que quelques mois, dont les habitants avaient du mal à ce souvenir de son nom si particulier. Quand elle se plaignait qu’on l’avait appelé Raphaëlle ou Rachel, plutôt dans la journée, son père lui disait de laisser le temps aux citoyens de se faire à sa présence ou alors, il pestait contre le nom trop étrange que sa femme avait donné à sa fille. Parfois, sans qu’il ne le dise, Rhapsody savait que son père n’aimait pas la savoir ici, dans le Maine avec lui. Parce que la présence de l’adorable petite fille l’obligeait à faire ressortir les démons d’un passé qu’il s’efforçait d’oublier. Parce que lorsqu’il se mettait à hurler sur sa fille pour aucune raison, les gens le regardaient comme s’il était le démon. Ne comprenaient-ils pas que la petite était le mal incarné? Et alors, au fil de ces visites ici, l’enfant se repliait sur elle-même, parlant très peu aux gens, se taisant lorsqu’on l’approchait et ne faisait que répondre aux questions avec de courtes réponses très peu développées. Quand on posait des questions, son père répondait que sa chère petite fille n’était pas très bavarde. C’était d’un ridicule risible. Quand on lui demandait si elle voulait revenir ici l’an prochain, elle répondait par l’affirmative, bien qu’elle éclatait en sanglots chaque soir dans son petit lit aux motifs d’avions et de voitures. Une chambre de garçon dans laquelle ses rares copains n’entraient jamais. Elle avait honte. Elle n’aimait pas cette chambre, elle n’aimait pas la manie de son père de l’appeler « mon garçon. ». Et de retour chez cette mère ivrogne, dans ses passages chez sa tendre grand-mère vieillissante, elle ne cessait de ce plaindre de cette vie qu’était la sienne. Elle lui disait qu’il fallait écouter son cœur, elle petite fille des déserts blancs. ]Et si son cœur lui disait de partir? Si son cœur n’était pas en accord avec cette vie choisie pour elle? Si elle voulait de ces vies banales qu’ont les autres enfants, que devait-elle faire? Que devait-elle dire? Il n’y avait rien à faire, rien à dire. Elle n’avait qu’à laisser les saisons passées au rythme lent des années qui la mènerait à l’âge de la raison. Et quand ses lèvres auront le goût amer de larmes versées sur cette vie d’enfant détruite par les grands, elle n’aura que des « si seulement » pour consoler ses pleurs. Il sera trop tard pour rêver du prince charmant et trop tôt pour se morfondre sur la vie qu’elle a vécue jusque-là. Les adultes sont trop aveugles pour voir ce qu’ils font aux enfants. On les croit quand ils nous disent à mi-mot qu’ils comprennent la situation des grands simplement pour avoir l’air plus grands qu’ils ne le sont. Rhapsody fait partie de ces enfants qui veulent grandir trop vite, qui poussent la vie pour comprendre les choses qu’elle a le temps de comprendre. Elle ne veut pas rester une enfant, parce qu’être enfant c’est être avalé par le flot de la vie, celui des adultes qui nous dictent mots et conduites. Mais cette vie-là, la petite n’en a jamais voulu. Ce monde-là, elle rejette de toutes ses forces, se débattant contre les mains d’acier de cet univers qui la garde coincé dans sa ronde infernal vers le néant. Et si elle hurle, elle sait que personne ne l’entendra, trop assourdit par leurs propres hurlements.
«You know, they say when you talk to God it's prayer, but when God talks to you, it's schizophrenia. » F. Mulder.
Le destin à ces drôles de chemins qui nous entraîne partout, sauf là où on voulait aller. Ce monde-là, elle ne l’aimait pas. Sa vie à elle, elle ne l’appréciait pas. Ce monde qui s’ouvrait devant elle, comme des étaux d’aciers qui n’attendaient que de se refermer sur elle, lui faisait peur. Par moment, elle avait l’impression que si elle hurlait, personne ne l’entendrait. Que si elle pleurait, personne ne serait là pour la consolée, si elle tombait, personne ne pourrait la rattraper. Elle était seule au monde et le monde l’avait abandonné. Devant elle s’étendait le monde, étendu d’immeubles immenses et imposants, lumières aveuglantes et clignotantes, voitures jaunes et noirs dans un tourbillon infernal. New York. La Grosse Pomme. La jungle de béton et d’acier. Devant elle s’étend des chances multiples de recommencées sur un nouveau pied. Mille et une possibilités. Elle avait quitté son pays natal, elle avait dit adieu à la neige caressant les plaines du Canada, elle avait quitté Arrowsic, elle avait tout plaqué pour la grande ville et son monde bruyant. Elle n’aimait pas particulièrement ce monde, celui qui semblait lui tendre les bras avec un sourire d’une hypocrisie la plus totale. Elle était, au même titre quand cent mille autres personnes qui cherchent leur voient dans le noir le plus total. Elle entra à l’université en droit, élève brillante qui ne se démarquait pas vraiment du lot, trop occupé à regarder sa vie défilée sans vraiment la vivre. Elle avait très peu d’amis, partagés entre les études et les petits boulots qu’elle collectionnait çà et là. Elle n’était pas de ces personnes qui font la fête, qui voit le monde à travers un kaléidoscope, trop occupée à essayer de maintenir la tête hors de l’eau. Le monde tournait, inlassablement, faisait en sorte que tous ces jours se ressemblaient et se suivaient. Jusqu’à ce que Damien entra dans sa vie. Damien était de ces hommes particulièrement aisés en public, d’un humour doucement teinté d’ironie, un peu enfantin, mais aux allures professionnelles. Rhapsody en tomba éperdument amoureuse, comme une adolescente découvrant l’amour pour la première fois sans comprendre que ce n’était qu’une idylle. Pourtant, ces moments avec lui, d’une douceur de soie et d’une luminosité céleste n’avait aucune égalité en ce bas monde. Et ces moments avec lui étaient un morceau de paradis dans cet enfer sans oxygène. Mais parfois, le paradis éclate ou bien s’effiloche, sans qu’on ne puisse y retenir les fragments entre ce doigts coupé par l’éclat de la souffrance. Pour elle, le paradis n’a pas éclaté, il ne s’est pas effiloché, il s’est simplement embouti dans une voiture qui roulait trop vite, fauché par un chauffard ivre avant qu’ils ne puissent y comprendre quoi que ce soit. Et quand ces yeux s’ouvrirent sur ce monde trop blanc dans cette chambre d’hôpital trop lumineuse, six mois plus tard, elle n’eut pas besoin de mots pour comprendre que son paradis lui avait été arraché. Parfois, la mort nous arrache à la vie sans qu’on ne comprenne ce qu’il s’y passe. Parfois, la grande déesse noire s’abat sur nous avec la puissance d’un ouragan sans qu’on ne puisse rien y faire, sans adieux à prononcés. C’était ce qui s’était passé pour Damien et maintenant, la voilà là, seule au monde, avec pour toute consolation la certitude de revoir ce type au tribunal, sachant qu’elle ne pourra abattre sa vengeance sur lui que par les lois. Et elle plaqua tout. Comme un plaque sa vie pour une broutille, comme un regarde le monde avec ce sourire réservé aux gens ayant vu trop d’atrocité. Elle remit les pieds au Canada, pendant trois mois, mais le monde de neige avait perdue son éclat brillant, la neige lui semblait terne, le monde lui semblait las. Sans un mot, sans au revoir, elle retourna à Arrowsic, dans ce monde qu’elle avait tant détesté enfant. Mais les choses étaient différentes. Désormais, elle était ce fantôme qui rôdait parmi les maisons, cet esprit sans vie qui hante les gens avec l’âme torturé des grands blessés. Maintenant, elle est cette femme, professionnelle au plus haut point, droite et dure comme la justice, qui a un mal fou avec les sentiments humains parce que cet accident n’était pas sans conséquence, parce que pour y survivre, elle a dû se construire un mur en elle, inébranlable et dure comme la pierre.
reveal yourself.
Me présenter? Beurk! Mais bon puisqu'il le faut...Je suis de ceux qui ne parlent pas d'eux, qui n'aime pas lorsque les regards sont tourner vers elle, mais on ne peut pas toujours ce cacher. Donc commençons. Mon nom à moi, c'est Karianne. Qui je suis? Je suis celle qui se complait dans les régions froides de son Canada natal, celle qui est présente lorsque tout le monde dort (merci décalage horaire!). Je suis la poète fantaisiste, l'auteur sadique, la marionnettiste cruelle de ces pauvres personnages sous mes doigts agiles (Demander à Jem, je suis une grande sadique!). Je suis ici parce que Sab' chérie m'a menacé de m'envoyer un tueur à gage si je ne le faisais pas! Du haut de mes 20 ans, j'ai eu la frousse et j'ai obéis! Mais bon, je ne regrette pas vraiment, puisque c'est beau, ici.
Dernière édition par Rhapsody E. Renfield le Mar 25 Oct - 23:09, édité 15 fois
MA DIVINITE. Oh, c'est trop mignon t'as toujours le pseudo qu'on t'a trouvé y a un bail. J'ai hâte de lire ta fiche ! Et comme d'hab, je suis sous le charme de ton pseudo. <3 (je vois pas en quoi les tiens sont moins bizarres que les miens, ceci dit. XD)
Oui ma Divinité, j'ai garder le même pseudo, j'aime les les gros oiseaux jaunes! Puis, les noms de mes personnages sont plus...heu....moins bizarre que les tiens! c'est tout, bon!
Ella : Chat *-*
Dernière édition par Rhapsody E. Renfield le Mer 19 Oct - 16:49, édité 1 fois
Putain, je pense à quelqu'un, mais j'ai peur... Non, pas de faux espoirs. Qui es-tu ?
Edit : KARIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII(...)IIIIIIIIIIII Mon amoureuse. Ma petite femme. Toi, sur THUB ? Je ne pensais pas que ce serait possible. Je suis tellement content de te voir ici.
Je ne voulais pas croire que c'était toi. ps - pour être sûr, j'ai regardé ton adresse msn. (a)
Et tu disais quoi à mon sujet, hein? Que tu mal bien j'espère! Je suis une célébrité alors? Tu leur à dis que j'étais la meilleure RPgiste du monde? * out*
Et tu disais quoi à mon sujet, hein? Que tu mal bien j'espère! Je suis une célébrité alors? Tu leur à dis que j'étais la meilleure RPgiste du monde? * out*
Il a presque dit ça, en effet. Je te souhaite la bienvenue parmi nous, si tu as des questions, n'hésite pas. (:
N'est-il pas adorable mon p'tit homme? Merci pour votre accueil les gens, vous êtes adorables et Merci de ton aide Lonie. J'ai débloquée grâce à toi, je t'en dois une!
N'est-il pas adorable mon p'tit homme? Merci pour votre accueil les gens, vous êtes adorables et Merci de ton aide Lonie. J'ai débloquée grâce à toi, je t'en dois une!
Ma Quinnie à moi. Qui elle va tuer, ce personnage ?
D'ailleurs, je tiens à m'excuser du temps que je met à finir ma fiche. Elle sera terminé Mardi, au plus tard. Dès que l'examen de philo est du passer! Promis x_x