if you hate me, I really don't care

TIYA ARIZONA DILAURENTIS

NOM dilaurentis ۱ PRÉNOM(S) tiya ۱ ÂGE 24 ans. ۱ ORIGINE d'origine italienne, mais a toujours vécu aux états-unis ۱ STATUT CIVIL célibataire ۱ OCCUPATION ancienne danseuse professionnelle & coach des cheerleaders (si possible ? *-*) ۱ GROUPE filthy youth ۱ AVATAR kristin kreuk ۱ CREDITS sophie-d | tumblr.

« Je peux savoir ce que c'est que ce torchon Tiya ? » un homme se tenait devant la brunette qui devait être âgée d'à peine 7 ans à cette époque. Il tenait dans ses mains quelque chose qui ressemblait vaguement à un bulletin de notes catastrophique. Se tortillant les mains visiblement triste et inquiète, ses petits yeux se relevèrent vers ses parents, non sans peine, mais avec courage. Les regardant l'un après l'autre, elle ne savait pas quoi leur répondre. Elle se sentait impuissante et terriblement idiote. Imaginez ce que cela fait à un enfant de ressentir ça si jeune. « J'ai travaillé de toute mes forces je vous le jure ! Mais je n'y arrive pas, peu importe mes efforts j'ai l'impression que rien ne rentre... », exaspéré, son père jeta la feuille au sol avant de se lever pour sortir de la pièce. La tête baissée, sa mère ramassa le bulletin avant de tenter de réconforter sa fille. Elle s'était toujours très bien entendue avec sa mère, c'était un peu comme si elles se comprenaient très bien et qu'il n'y avait pas besoin de mots. Quand elle allait mal, souvent sa mère lui apportait un pot de glace au chocolat et elles se mettaient le roi lion 1, 2 & 3, c'était leur rituel, et la petite fille retrouvait alors le sourire. Mais aujourd'hui tout était différent. Depuis que sa mère s'était remariée, elle ne prenait plus sa défense devant l'homme de la maison, et elle ne le contre disait jamais. Si bien que la petite finissait par se sentir abandonnée. Cet homme n'avait rien à voir avec son défunt père qui lui, l'avait toujours soutenue et aimée. Elle avait reçu une éducation qui l'empêchait de se plaindre et qui faisait qu'elle préférait garder les bons côtés de sa vie plutôt que les mauvais, mais là, s'en était trop. Observant sa mère quelques instants, voyant que celle-ci se contentait d'un soupire, elle sentit des larmes chaudes monter à ses yeux, avant que finalement elle ne parte en courant vers sa chambre, claquant violemment la porte. C'était la première fois qu'elle pleurait autant et qu'elle se sentait si seule. Même Flèche, sa peluche cheval ne parvenait à la réconforter. C'était peu dire. Assise sur son immense lit à baldaquin, la petite regardait sa chambre et avec fureur, elle se mit à tout détruire sur son passage, passant des rideaux, aux murs. Elle était malheureuse et personne ne la croyait quand elle disait faire son maximum. Avez-vous la moindre idée de ce que c'est que de se sentir si nulle en tout ? Ce jour là, elle se retrouva envoyer en pensionnat, son beau-père n'ayant pas apprécié son comportement sauvage. Comportement que l'on aurait pu voir comme désespéré, mais sa mère, comme à son habitude, continua de se taire. La famille DiLaurentis, avait toujours été une famille très demandée et conviée aux fêtes. Son beau-père étant millionnaire de part les nombreuses entreprises qu'il dirigeait à travers le monde, et sa mère, une danseuse ayant arrêtée sa carrière à la mort de son père, il était inconcevable que l'enfant de la famille ne fasse pas d'efforts et ruine ainsi la réputation des DiLaurentis. Chaque enfant de cette famille avait une destinée : reprendre les affaires familiales, et aller dans la même école que ses parents. Et bien évidemment il s'agissait de là, une école prestigieuse dont le nom n'était plus à faire connaitre. « Arrêtez-vous, nous y voilà », une limousine noire entra dans l'immense parc du pensionnat, tandis qu'une dame qui semblait d'une gentillesse à toute épreuve sortait pour les accueillir. Chargée de ses six valises, Tiya termina par mettre ses pieds hors de la voiture, suivant son père avec calme. Elle prit finalement la main de la vieille dame devant elle, regardant ensuite son beau-père partir comme si elle n'avait jamais existé. On la mena alors à sa chambre et elle commença à s'y installer. Au final, ce fut les plus belles années de sa vie. Et ce fut également ici qu'elle prit connaissance de ce qui allait faire de sa vie un paradis : la danse. Mais ne croyez pas que les choses sont toujours aussi simple, car lorsque son père eut vent de cette idée, je vous laisse imaginer sa réaction. Seulement pour une fois, ce n'était pas lui qui avait le pouvoir sur elle, et c'est en mêlant plaisir et étude qu'elle commença à se reprendre et que ses notes arrivèrent à s'améliorer. Elle tenait sans doute ce talent de sa mère...

« Hey Tiya ! Tu viens avec nous ? », un groupe d'une dizaine de personne passait devant la salle ou la petite, désormais devenue grande, se trouvait. Elle semblait occupée par ses exercices et mit quelque temps avant de réaliser que c'était à elle qu'on parlait. « Oh, euh.. partez devant je vous retrouve ok ? », d'un signe de tête, les jeunes partirent, laissant la jeune femme seule devant un immense miroir. Aujourd'hui, les choses avaient changé, sa mère était divorcée de son tyran de beau-père, et celle-ci avait repris la danse au grand plaisir de Tiya qui pouvait partager sa passion avec sa mère. Après avoir eu son diplôme, sa mère l'avait inscrite dans cette école des arts ou se mêlaient bon nombre d'activités. Danse classique, street jazz, théâtre, chant, histoire de l'art... bref, le monde dans lequel elle se sentait à sa place. Elle avait dix-sept ans la première fois qu'elle avait mis les pieds ici. Les gens étaient tellement agréable. Malgré le fait que certains passaient leur vie à être en compétition les uns avec les autres, elle avait tout de même réussi à trouver des personnes qui ne se prenaient pas la tête. Fêtarde, joyeuse et équilibrée, elle n'avait plus rien à voir avec la gamine qui des années plus tôt pleurait sa vie. A présent, elle voyait un avenir se tracer devant elle, et il était évident qu'elle voyait sa vie se baser dans la danse. Et c'est avec les compliments de ses professeurs qu'elle enchainait ballets sur ballets. Un de ses amis, qui lui était plutôt un fan de hip hop, lui donna quelques bases sur son style et à eux deux, ils arrivèrent à faire un parfait mélange avec leur danse respective, ce qui leur valut la première place dans un casting qu'ils avaient passé ensemble. A 19 ans, ils décrochèrent alors les deux premiers rôles d'un film dans lequel ils jouaient deux jeunes passionnés de danse, pas très dur à faire jusque là, et ce fut un véritable succès et ce qui lança leur carrière. Alors que son ami préférait rester dans ce style, elle, pour sa part, préféra se contenter de ce qu'elle savait le mieux faire et elle décrocha alors une place dans une reprise du lac des cygnes. Elle resta alors avec la même compagnie durant 4 ans, ou ils enchainèrent représentations sur représentations. Sa vie ne se résumait plus qu'à ça, et à un petit copain qui partageait chacun de ces moments de sa vie. La célébrité était une chose qui lui passait complètement au-dessus de la tête, et elle était loin de faire partie de ces personnes prétentieuses et pédantes. En fait, elle était plutôt le genre de fille à vouloir donner des conseils et booster les petites filles qui pensaient qu'elle n'avaient pas le niveau pour se lancer dans ce milieu. En fait à ce niveau, ça marche beaucoup par chance, et pour une fois elle en avait eu.

« Oh mon dieu ! Que s'est-il passé ?! », une mère paniquée arriva dans l’hôpital après avoir reçu un appel d'un pompier qui la prévenait que Tiya DiLaurentis venait d'être percutée par une voiture. Elle avait été tout de suite emmenée dans une ambulance et son état était considéré comme inquiétant. Elle avait les deux jambes cassées et les cervicale dans un piteux état. Allongée inconsciente sur un lit, sa mère resta à son chevet durant plusieurs jours avant que finalement elle ne se réveille. Elle était alors officiellement sortit d'affaire. Seulement maintenant, le plus dur restait à accepter. On lui avait appris qu'elle ne pourrait plus jamais danser, et à ce moment, elle eut l'impression que sa vie s'effondrait. Durant deux mois, elle supporta ses plâtres avant d'avoir enfin le plaisir de les voir enlever. Sa ré-éducation dura tout autant de temps ou elle eut beaucoup de mal à retrouver la souplesse de ses jambes et à marcher durant de longues heures. Elle allait devoir se faire à l'idée que plus jamais sa vie ne serait la même. Ayant quitté son petit ami et la plupart de ses amis, elle préférait rester seule à cogiter et à plonger. Chaque photos, chaque gestes, chaque endroit de ce lieu lui rappelait sa vie perdue, et c'était terriblement dur. Elle décida alors de partir vivre chez sa tante à Arrowsic, afin de s'isoler et de pouvoir reprendre sa vie à zéro. Une petite ville pareil ne pourrait lui faire que du bien, et avec un peu de chance, personne ne la connaitrait, personne ne connaitrait son passé, et personne ne pourrait lui faire se remémorer ces douloureux souvenirs. Néanmoins, c'est là-bas qu'elle commença à se battre avec son corps pour pouvoir retrouver un peu sa passion, même si elle savait que ce ne serait plus jamais pareil. Le fils d'un ami de sa tante qui avait connu un peu le même style de problème lui fut présentée, et ils sympathisèrent énormément. Il lui redonna de l'espoir et la force de vouloir se battre. Depuis ce jour, il l'aide à reprendre confiance en elle, et à reprendre confiance en ses capacités surtout. C'est pour cette raison qu'il lui a proposé de postuler en tant que coach de la petite équipe des cheerleaders de l'université de la ville. Moyen comme un autre pour reprendre contact avec le monde extérieur. Elle n'est arrivée en ville que depuis quelques mois, mais jusque là, elle s'était faite assez discrète, et même si on savait qu'une arrivante s'était installée chez madame DiLaurentis, personne n'avait encore mis un visage sur le nom qu'ils avaient entendu.

PSEUDO OU PRÉNOM lolize ۱ ÂGE 20 ans ۱ COMMENT AS-TU OUVERT LA PORTE DE THUB ? en fouillant (a) ۱ TU LA TROUVES COMMENT LA DÉCORATION CHEZ NOUS ? j'aime beaucoup *-* ۱ PARLE MAINTENANT OU TAIS-TOI À JAMAIS je vais me taire votre horreur, euuuh, honneur *-*, je pense que je vais bien me plaire parmi vous (a) ۱