Sujet: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 28 Oct - 10:40
honey-arizona esméralda kléophaa deschamps
« Pleure petite fille, profite de tes derniers instants de douce innocence, profite avant d'ouvrir les yeux pour découvrir le monde dans lequel tu vas vivre, dans lequel tu vas être lâchée comme un vulgaire animal ; un monde cruel où tu devras te battre pour survivre... »
no one can be two different people.
nom : nom : Mon nom de famille est Deschamps. Assez commun et passe-partout pour quelqu'un qui vient de France comme moi. Ҩ prénom : Mes géniteurs m'ont donné plusieurs prénoms lors de ma naissance. Le premier et non le moindre, est Honey-Arizona. Eux qui aiment les prénoms originaux, je dois avouer que j'ai été servie de ce côté-là. Des fois je me demande même si mes parents n'avaient pas perdu un pari avec mes frères pour m'avoir donné ce prénom. Avant je l'aimais bien, mais plus j'avance dans la vie, plus je me dis qu'il n'est pas si top que ça. C'est pourquoi je préfère utiliser mon second prénom, Esméralda. C'est après avoir vu la comédie musicale Notre-Dame de Paris qu'ils ont eu l'idée de m'appeler comme ça, et j'en suis plutôt contente. Puis, le dernier de mes prénoms est Kléophaa. Je l'aime beaucoup lui aussi. Ҩ âge : Née le douze juillet, j'ai présentement vingt-quatre ans. Ҩ origines Ma mère est Américaine et mon père Français. Je n'avais jamais vécu autre part qu'à Paris avant Arrowsic. Ҩ statut civil : Célibataire depuis quelques petite années. Je n'ai aucune envie de retombée amoureuse, ça fait trop mal. Ҩ occupation : Je suis surveillante à mi-temps au Lycée McDonell et je travaille aussi quelques week-end dans un magasin de fringue pour gagner de l'argent. Je ne sais pas trop dans quoi je voudrais m'investir plus tard. Ҩ avatar : la plus belle de toutes, phoebe jane elizabeth tonkin. Ҩ crédits : tonkin-daily | tumblr.
reveal yourself.
c'est toujours moi
Dernière édition par H-A. Esméralda Deschamps le Mer 9 Nov - 21:51, édité 7 fois
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 28 Oct - 10:46
leave your story behind and be the present.
esméralda à cinq ans.
“ happy family. ”
La petite Esméralda, du haut de ses cinq ans, était déjà une grande capricieuse dans l'âme. Petite dernière d'une famille de six frères, première fille de la famille depuis cinq générations, elle avait rapidement compris que si elle voulait se faire entendre et écouter parmi tous ces mâles dominants, elle devait avoir de la voix. Et elle avait raison, bizarrement, les gens vous écoutaient et cédaient plus facilement à vos désirs lorsque vous poussez des cris comme une hystérique à en alerter le voisinage. Ce jour-là, elle avait décidé de mettre son art à profit de quelque chose de totalement futile, mais il faut la comprendre la pauvre, elle s'ennuyait atrocement. Alors, pendant que deux de ses frères allumaient la Gamecube noire de la famille et mettaient le Mario Kart en route, elle avait décrété qu'elle voulait jouer et qu'elle ne le ferait qu'avec le champignon Toad en avatar. Non pas qu'elle adore Toad, loin de là, son personnage préféré était le petit fantôme, le Roi Boo, mais elle avait atrocement envie d'embêter son frère d'un an plus vieux qu'elle qui jouait toujours avec le champignon, et après une longue bataille acharnée, ses frères l'avaient laissé l'utiliser comme elle était la plus jeune, sous les cris de son frère qui protestait vivement. Il n'y avait pas à dire, c'était cool d'être une petite fille, on vous donnait toujours raison et le monde craquait littéralement sur votre mignonne petite bouille innocente. Esméralda était donc assise sur les genoux de Lucas, l'ainé de ses frères, et elle tenait la petite manette de Gamecube entre ses doigts, son frère l'aidant à manœuvrer pour éviter qu'ils perdent. L'ambiance était chaleureuse, tous les enfants riaient alors que l'un des frères cherchait désespérément à envoyer des bananes glissantes ou des têtes chercheuses sur les autres pour rattraper son retard, lorsqu'un cri strident retentit et les firent tous sursauter d'un coup. Esméralda et ses frères tournèrent la tête vers les escaliers, d'où provenait le bruit. « JE LE SAVAIS, T'ÉTAIS ENCORE AVEC CETTE PÉTASSE, AVOUE ! » La voix tremblante de la mère Deschamps résonnait dans la maison. Certains des frères, avec l'habitude, essayaient de se rester concentrer sur le jeu mais c'était pratiquement impossible de ne pas écouter la dispute des deux adultes. « MAIS NON, J'AI ARRÊTER DE LA VOIR JE T'AI DIT ! » Maintenant, c'était la voix grave de son père qu'elle entendait. Depuis quelques mois, la petite fille et ses frères avaient l'habitude de ces disputes à répétitions, ça n'arrêtait pas en ce moment. Sa mère avait découvert que son mari l'avait trompé avec une jeune blonde et ça lui avait fait un choc. Difficile de ne pas en être autrement en même temps. Depuis, l'aimant toujours, elle lui avait pardonné son écart de conduite, mais elle n'arrivait plus à lui faire confiance et elle le soupçonnait d'une nouvelle liaison à chaque fois qu'il rentrait quelques minutes trop tard ou qu'il sortait alors que ce n'était pas prévu. « JE NE TE CROIS PAS, TU MENTS COMME TU RESPIRES ! » Elle avait bien raison de ne pas le croire. Il avait recommencé. Ils le savaient tous. Et ils fermaient tous les yeux dessus. « C'EST TOI QUI FAIT TA PARANOÏAQUE LA ! VA PAS TE PLAINDRE QUE J'AILLE VOIR AILLEURS APRÈS SI TU M'ACCUSES TOUT LE TEMPS ! » Comme toujours, il reportait la faute sur elle, comme si c'était elle le problème. Comme si c'était à cause d'elle que la famille ne marchait plus aussi bien qu'avant. La jeune fille, elle, ne comprenait rien à tout cela Elle ne comprenait pas pourquoi ils se disputaient, qu'est-ce qui avait bien pu se passer, elle ne comprenait pas la cause de tout ces cris qui résonnaient si souvent dans cette grande maison. Elle était trop petite, trop jeune, trop insouciante. Elle savait bien que quelque chose n'allait pas, que quelque chose clochait pour qu'elle entende chaque soirs sa mère pleurer. Et il n'y avait qu'à voir la tête de ses frères pour s'en rendre compte. Elle ne savait pas si c'était de sa faute. Ou si c'était de celle de ses frères. Pourquoi leur père avait tellement envie d'aller voir ailleurs alors qu'il avait une famille ? Une porte claqua. Doucement, Esméralda tourna sa tête et posa ses yeux vert émeraude sur son frère, sur lequel elle était toujours assise. « Papa et maman s'aiment plus ? Ils vont se séparer ? » lui demanda-t-elle d'une toute petite voix, n'étant pas sûre de la réponse qu'il allait donner. Lucas la regarda pendant de longues secondes, puis, la serrant plus fort contre lui, il lui murmura « Non, ne t'inquiète pas Honey, tout va s'arranger. » Elle y croyait. Elle aurait voulu qu'il ai raison. Car au final, toutes ces disputes ont fini par une seule et même conclusion : le divorce. La famille était resté avec la mère, dans la grande maison, et voyait quelques fois leur père le week-end, quand celui-ci daignait venir les voir. Malgré ça, c'était peut-être mieux : la maison était redevenue calme.
esméralda à 21 ans.
“ des larmes coulent sur mes joues et mes poignets saignent. ”
On m'a toujours dit que j'étais trop obsessionnelle. Que je m'attachais trop vite aux gens que je rencontrais, que je donnais trop d'importance aux choses, même les plus futiles et matérielles. J'avais toujours écouté les gens dire, ne m'attardant jamais sur ce qu'ils me reprochaient. Pour moi, ce n'était qu'une critique parmi tant d'autres, que j'entendais inlassablement et que j'oubliais quelques secondes plus tard, ne voyant pas à quel point cela pouvait être vrai. La moindre petite chose pouvait instantanément me combler de joie, comme si je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi beau qui m'appartenais. Et je peux vous affirmer que vous n'aviez pas intérêt à me la piquer, cette petite chose, car j'étais très possessive et pouvais passer à tout moment à l'agressivité si vous osiez volez mon bien. Oui, je pouvais me mettre dans des états pas possible pour obtenir quelque chose, et je peux vous affirmer que dans ses moments-là, je pouvais passer pour une folle, une vraie hystérique. Le pire, c'est si je perdais cette petite chose, car j'avais l'impression que je perdais tout d'un coup, que le monde battit autour de moi s'effondrait et que la fin du monde était arrivé pour moi, littéralement. C'est surement un peu excessif, mais c'est la vérité. Non non, ce n'était pas l'un de ces petits caprices de gosses, et le pire, c'est que je ne m'en rendais même pas compte avant. Jusqu'au jour où j'ai fait quelque chose dont je ne m'étais jamais pensé capable de faire. Car c'était la solution facile, la solution pour les lâches et je n'avais jamais compris comment les gens pouvaient en arriver à un tel point qu'ils en venaient à envisager cette solution. Je n'avais jamais compris jusqu'à ce que se fut à mon tour de l'envisager. « Je me sens tellement mal et abattue. J'ai déjà eu mal au coeur des dizaines de fois auparavant, mais avoir mal comme aujourd'hui, jamais. J'ai cette boule dans le ventre qui se serre et qui se serre, encore et toujours. Elle est ici, omniprésente, dans mes entrailles. Et à chaque image de lui qui vient s'implanter dans ma mémoire, à chaque souvenir de nous deux qui défile dans mon esprit, à chaque fois que j'entends sa voix résonner inlassablement dans ma tête, cette boule se tord et se retord, elle me fait encore plus mal, toujours plus mal, comme si je ne souffrais pas assez comme ça. J'ai envie de vomir, de faire disparaître cette douleur qui se trouve au plus profond de moi, de l'exterminée pour que plus jamais elle ne se réimplante dans ma poitrine, mais je n'ai malheureusement aucun remède comme ce sentiment qui est l'amour. Je n'ai aucune idée de quoi faire pour me sentir mieux face à cette situation. Je n'avais encore jamais connu ça. Avant Lui, je n'avais rien connu de tel. Quelques histoires minables, que des déboires sentimentaux se terminant plus ou moins bien, avec des hommes plus ou moins bons. Là, tout était différent. Ce que j'ai vécu à ses côtés était différent, ce que j'ai ressentit en étant auprès de lui était différent, cette façon de m'embrasser, de me faire perdre pied était différente, mes sens se sont développés, mes sentiments sont devenus de plus en plus intense, et j'ai été heureuse comme jamais auparavant avec un homme. Seulement, à force de ressentir les choses de cette manière là, au plus profond de moi, quand tout ce termine un jour, comme ça, brutalement, tu souffres comme jamais tu n'as pu souffert dans ta vie. J'ai envie de pleurer, je pleure, inlassablement, depuis des jours, et les larmes ruisselants sur mes joues n'ont pas l'air d'avoir envie de s'arrêter. Ma gorge est nouée, essayant en vain de retenir mes sanglots, et mon coeur n'arrête pas de battre à vive allure depuis se déchirement. Je m'en veux. D'avoir été si stupide durant ses années. D'avoir cru que cela durerait toute la vie. D'avoir cru en cet amour. J'avais déjà eu beaucoup de mal à faire confiance aux hommes et à croire en l'amour après avoir vu mes parents se disputer maintes fois suites aux infidélités de mon père étant petite, ce qui à évidement fini en divorce. Et il était apparu, comme un ange, un spectre irréel et m'y avait redonné foi. J'ai laissé Cupidon me guider sur sa route, me laisser tomber sous son charme, puis me ruiner le coeur en mille morceaux. Pourquoi m'a t-il laissé ? Pourquoi à t-il fait .. ça ? Tout avait l'air d'aller tellement bien hier encore et aujourd'hui, je viens faire une petite visite à l'improviste et je le retrouve en train de baiser tranquillement une pétasse inconnue ? C'est un cauchemar … Comment je vais faire sans lui maintenant ? Comment suis-je censée faire pour arrive à avancer sans l'avoir à mes côtés, sans avoir sa main dans la mienne, sans l'avoir me soutenant coûte que coûte face aux obstacles de la vie ? Comment doit-je faire ? Je me sens si impuissante face à tout cela, j'ai la désagréable impression que je n'ai fait que rêver durant ses années, que tout ça n'était que le fruit de mon imagination, et que lui et tout ce que nous avons vécu n'existe pas, n'a jamais existé. Mais … Je … Je ne suis pas folle, j'en suis sûre, … Tout cela s'est bien passé, j'ai vécu plus d'un an en sa compagnie et là .. Je suis désemparée. J'ai mal. Tellement mal. Il m'a littéralement arraché le coeur par surprise et il y a mit une telle violence … Comment ai-je pu être aussi aveuglé ? Comment n'ai-je pu rien voir et m'être autant attaché à lui ? Je vais mourir … Je veux mourir ...A quoi ça sert de rester dans ce monde sans but ? Je n'ai plus rien … Il était mon but, le seul. Et là, soudainement, je me retrouve seule, démunie, et je n'ai plus la force de rien. « Aie … » La douleur lance mon poignet et je serre les dents. C'est la première fois que je fais ça. Je n'en avait jamais trouver l'utilité avant et je ne voulais surtout pas essayer. Avant, je prenais les gens qui faisaient cela pour des fous, qui ne comprenaient pas la chance qu'ils avaient d'être en vie. Finalement, je voit que je disait ça car je l'avais lui, et qu'il était toujours là. Maintenant, j'ai l'impression je les comprendre mieux que quiconque, et d'une manière, de faire parti d'eux. Je leur ressemble … Je suis devenue aussi paumée qu'eux dans cette vie. Je souffre aussi, sans l'avoir choisi. Et pour arrêter cette injustice insurmontable pour notre mental, il n'y a qu'une seule solution : la mort. Je fixe mes poignets, immobile, ou du sang coule abondamment, s'échappant de deux entailles faites sur chacune d'elles. Putain, ça fait encore plus mal … En plus d'une douleur mental, elle est maintenant physique. J'ai envie d'en finir, de n'être plus qu'un corps vide, allongé sur le gravier, inconsciente et morte, le sang se rependant sur le sol au fil des minutes qui passent. Et moi je serai en haut, et tout sera fini. Je serai enfin en paix avec moi-même. Je veux qu'il ai ma mort sur la conscience. Être obsédée par un mec, faut le faire. L'avoir cru. Avoir cru en tout l'amour qu'il disait me porter. Je suis si stupide. Ma tête commence à tourner, lentement. Mes poignets continuent de saigner, j'ai mal. Je pose mon regard sur le couteau taché de sang que j'ai posé par terre et je me sens venir. La fin, la fin est proche. Tout est bientôt fini Esméralda, tu n'as plus beaucoup à souffrir. Dans quelques petites secondes, tout sera fini. Je sens comme si mon âme partait, puis ma tête s'écraser contre le sol dur. Puis plus rien. Noir. »
esméralda à 21 ans.
“ bienvenue dans ta nouvelle maison, l'hôpital psychiatrique ! ”
« LAISSEZ-MOI, J'VEUX PAS Y ALLER DANS VOTRE MERDE, ME TOUCHEZ PAS ! » La belle Esméralda hurlait, se débattant sur le perron de la grande villa de son père. Après l'épisode de la tentative de suicide, ses parents ont dû se revoir tous les deux après plusieurs années et, pour la première fois de leur vie, ont réussi pendant toute la conversation à ne parler que de leur fille, sans rabâcher les erreurs de jeunesse qu'ils avaient fait ou les multiples infidélités du père Deschamps qui les avaient conduit au divorce. Bien sûr, le sujet n'étant pas facile, ils n'étaient pas toujours d'accord sur la manière de l'aborder, mais ils finirent par prendre une décision réfléchit pour elle et dont ils étaient d'accord tous les deux : ils allaient la faire interné loin de Paris. Ils pensaient que c'était la meilleure décision et que là-bas au moins, ils allaient pouvoir l'aider. Elle allait côtoyer d'autres patients ayant fait la même chose qu'elle ou d'autres encore plus pire, et elle se sentira peut-être mieux après quelques mois d'enfermement. Il ne fallait surtout pas qu'elle reste à la capitale. Elle adorait cette ville, elle vivait ici depuis toujours, mais il fallait pour elle prendre un tout nouveau départ et cela commençait tout d'abord par changer d'endroit. Elle ne pouvait pas se soigner convenablement si elle restait dans la ville du connard qui avait osé la tromper, puis la jeter comme si elle n'était rien, alors qu'elle venait lui accorder une deuxième chance comme une pauvre conne et amoureuse qu'elle était. Non, rester dans cette ville lui ferait plus de mal que de bien, c'était sur et certain. Plusieurs personnes passèrent devant la villa et regardèrent d'un oeil le spectacle qui s'offrait à eux, continuant doucement leur route pour faire comme s'ils ne s'en souciaient pas. Elle avait l'air d'une vraie folle comme ça, qui ne s'en soucierait pas ? Les gens de cette ville aimaient savoir les derniers potins et celui-ci ferait un parfait sujet pendant les mois prochains. Dès qu'un passant la regardait un peu trop longtemps, celle-ci le gratifiait d'un gros fuck pas très aimable. Les cheveux courts de la jeune fille flottaient légèrement dans les airs pendant qu'elle se débattait pour échapper à ses parents qui la tenaient fermement. Elle avait eu un coup de folie après tout cela et, muni d'une grande paire de ciseaux, c'était coupé les cheveux. Sa magnifique chevelure brune n'était plus qu'un souvenir lointain maintenant et sa mère, choquant en ayant vu ses nouveaux cheveux, avait essayé tant bien que mal de rattraper les saccages de sa fille en essayant d'égaliser un peu le tout, chose pas du tout facile. « PUTAIN, JE VEUX PAS Y ALLEZ, J'AI PAS DE PROBLEMES OKAY ?!! » Erreur. Signifier ne pas avoir de problème quand c'était un cas aussi flagrant que celui-ci, c'est déjà avoir un problème. Celui de ce voiler la face, de ne pas regarder la vérité comme elle est, d'utiliser des prétextes débiles qui pourraient justifier ses actes et surtout, nier d'avoir un problème était déjà la plus grosse part du problème. C'était la première étape à surmonter, celle de prendre conscience des faits au lieu de les ignorer. Après quoi, la phase de la guérison pourrait enfin commencer. Et voyant la jeune fille, cela allait prendre du temps pour elle, elle ne partait déjà pas du bon pied. Certains patient entraient dans l'hôpital d'eux-mêmes, ayant une réelle volonté de surmonter tous les problèmes et voulant repartir sur le droit chemin, mieux avec eux-mêmes. Elle qui ne voulait même pas entré dans la voiture de son père commençait visiblement très mal sa thérapie. Croisons fortement les doigts pour la suite.
esméralda à 23 ans.
“ in my head it's okay. ”
Ça y est. Je suis sortie. Je m'en suis sortie. Ça va faire environ un mois que j'ai quitté l'hôpital psychiatrique, étant à présent guérie, après deux ans. J'ai peur de retomber, de revivre quelque chose qui me redonne envie de perdre la vie ou tout autre chose qui me ferai renvoyer la-bas. Ce n'est pas facile de revenir après deux ans comme si de rien n'était. Ce qui est sur est certain, c'est que je vais quitter cette ville. Paris n'est vraiment pas fait pour moi. Et puis, rester ici me fait trop penser à ma vie d'avant, à mes deux dernières années et à tout les moments que j'ai vécus ici. Je vais passer sous silence tout ce qu'il s'est passé quand je me suis fait internée jusqu'à aujourd'hui. Je n'ai pas vraiment envie de ressasser tout cela, mais je ne nierai pas non plus m'en être sorti grâce à cette intervention de mes parents deux ans auparavant, me forçant à y aller. Il faut que je tourne la page et j'y arriverai. J'ai longtemps chercher, beaucoup hésiter, mais je vais reconstruire ma vie à Arrowsic. Petit village qui m'a l'air sympathique, tout ce dont j'ai besoin pour un nouveau départ loin de tout. Je m'y suis acheté une maison dans laquelle j'emménagerai dans quelques jours. Je serai seule pour le moment, mais mon plus jeune frère m'a dit qu'il viendrai surement me voir souvent, et ça me rassure. Il faut que je parte mais je ne voulais pas couper les ponts avec lui ou mes autres frangins. De toute manière tout va bien se passer. Ce ne sera jamais pire que ce que j'ai déjà vécu non ? Surement.
Dernière édition par H-A. Esméralda Deschamps le Mer 16 Nov - 18:58, édité 11 fois
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 28 Oct - 10:57
Tu nous fais une nouvelle fiche ? Bon courage alors.
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 28 Oct - 11:01
Oui, j'avais envie de recommencer à zéro et de refaire une histoire merci beaucoup
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 28 Oct - 11:39
Je te comprends totalement, c'est pour ça que j'ai laissé Nate de côté et recommencer avec Reeven. Ca fait du bien, le changement.
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 28 Oct - 13:00
Bon courage pour ce changement, alors ! Hâte de lire la suite !
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 28 Oct - 14:36
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 28 Oct - 17:37
Rebonne chance pour ta fifiche :) fait nous un petit chef d’œuvre
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Sam 29 Oct - 0:32
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Mer 2 Nov - 21:06
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Jeu 3 Nov - 21:16
MERCI BEAUCOUP VOUS TOUS Je l'ai un peu avancer, j'essaie de la finir la semaine prochaine
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Ven 4 Nov - 13:49
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Mer 16 Nov - 18:59
Fiche finie Désolé pour le retard, j'aurai du la finir ce week-end mais internet n'a pas marcher depuis dimanche jusqu'à aujourd'hui alors j'ai pas eu le choix :/
Sujet: Re: ESMERALDA ✁ à ceux qui font croire a leur ex-petite amie qu'ils vivaient une vie de rêve depuis qu'elle était partie. tous des mythos. Mer 16 Nov - 21:58