ANTONIA HAYDN

❝ Dix heures et demie du soir en été. ❞

✗ nom : Haydn. ✗ prénom : Antonia. ✗ date de naissance : trois février. ✗ âge : écrire ici ✗ lieu de naissance : écrire ici ✗ nationalité : écrire ici ✗ orientation sexuelle : écrire ici ✗ statut marital : écrire ici ✗ métier/études : écrire ici ✗ groupe : écrire ici ✗ avatar : écrire ici ✗ crédit : Marguerite Duras, Noir Désir, Rocio Montoya.

Parle nous des habitudes, des manies, du caractère de ton personnage. Ici, tu ne dois pas faire un résumé de ton histoire, mais plutôt donner des détails, des anecdotes qui permettent de mieux comprendre qui est ton personnage. Nous te demandons un minimum de dix lignes. Parle nous des habitudes, des manies, du caractère de ton personnage. Ici, tu ne dois pas faire un résumé de ton histoire, mais plutôt donner des détails, des anecdotes qui permettent de mieux comprendre qui est ton personnage. Nous te demandons un minimum de dix lignes. Parle nous des habitudes, des manies, du caractère de ton personnage. Ici, tu ne dois pas faire un résumé de ton histoire, mais plutôt donner des détails, des anecdotes qui permettent de mieux comprendre qui est ton personnage. Nous te demandons un minimum de dix lignes. Parle nous des habitudes, des manies, du caractère de ton personnage. Ici, tu ne dois pas faire un résumé de ton histoire, mais plutôt donner des détails, des anecdotes qui permettent de mieux comprendre qui est ton personnage. Nous te demandons un minimum de dix lignes.

AUBERGINE

✗ âge : vingt-et-un. ✗ pays : la France. ✗ fréquence de connexion : souvent. ✗ où as-tu connu thub ? je sais pluuus. ✗ inventé/scénario : inventé. ✗ avis sur le forum : le retour est beau! ✗ c'est ton dernier mot, jean pierre ? oué.

❝ citation de ton choix ❞

Dehors le ciel est amer, à chaque seconde, de grosses larmes diaphanes semblent sur le point de dégringoler de ses yeux vitreux en forme de nuages. On attend silencieusement quelque chose qui jamais ne viendra - on veut embrasser la ronde des poussières dans l'air, cueillir une place dans l'humanité et ne plus jamais s'envoler - on a envie de suspendre les errances imaginaires - on crève devant les nuées d'émotions qui peignent nos visages meurtris -  on attend que la tristesse du ciel nous gicle sur les joues. Le goudron sous nos cuisses, on attend la fin du jour.