sully george blackwell .......................................................................................................
NOM(S):Blackwell. PRÉNOM(S):Sully George.AGE: Vingt-six ansORIGINE:Américaine.STATUT CIVIL:CélibataireMÉTIER OU ÉTUDES: Avocat.GROUPE:Adult's world.
WALKING IN THE DARK.
Alors moi c'est Romane, connue sous le pseudo de Bloodstream (Softy pour les intimes. ) Comme vous l'autre remarqué, je suis à fond sur Ian Somerhalder, ce mec est un Dieu vivant (avec Barney Stinson. ). En général, le cast de TVD m'inspire grandement. (a) J'étais le premier membre à m'inscrire sur THUB (enfin, le deuxième, Iseult m'a devancée. ), et c'est ici que j'ai connu ma petite femme olive, qui m'a gentiment réservé le scénario, car ce forum, c'est notre histoire, et Nina/Ian, c'est notre couple. Sans ça, je ne l'aurais pas dans ma vie aujourd'hui, et ce serait bien triste. JE T'AIME, OLIVIA.
Dernière édition par Sully Blackwell le Mer 12 Jan - 20:46, édité 4 fois
Sujet: Re: SULLY ✯ IT IS WHAT IT IS (ENDED) Mer 12 Jan - 18:09
Je marchais dans les couloirs de l'université, les mains dans les poches. Je saluais quelques personnes sur mon passage. Dans une petite ville comme Arrowsic, tout le monde se connaissait, et lorsque vous étiez en plus le quaterback de l'équipe de foot de l'université, tout le monde vous connaissait. J'étais un mec sympa, j'étais populaire... Je vivais bien ma vie d'étudiant, en général. Oui, car en ce moment, ce n'était pas vraiment la joie pour moi. Problèmes de filles, on connaît tous ça à un moment ou à un autre. La cloche sonna, et tout le monde se précipita en cours. Tout le monde, sauf moi. J'avais un rendez-vous, et le cours de maths, il faudrait y repasser. Lorsque j'arrivais en salle informatique, je la vis. Mon coeur se mit à battre anormalement vite. Elle me faisait toujours cet effet, même deux ans après notre rupture. « Salut. » Je m'arrêtais près de la porte, alors qu'elle était debout au fond de la salle. Je n'osais pas m'approcher. Ca faisait deux ans qu'elle avait disparu, sans laisser de traces. Deux ans qu'elle m'avait laissé. Elle avait repris contact avec moi il y a quelques semaines. Depuis plusieurs jours, c'était elle qui décidait l'endroit et l'heure auxquelles on devait se voir. Je ne savais pas pourquoi je faisais tout ce qu'elle me disait de faire. Sûrement parce que j'avais toujours souhaité qu'elle revienne. Mais je ne pouvais m'empêcher de la trouver changée. Avant, c'était quelqu'un de doux, attentif, généreux. Aujourd'hui, c'était une sale garce égocentrique. Elle s'approcha de moi d'une démarche assurée et séduisante, et enlaça ses bras autour de mon cou avant de déposer un léger baiser sur mes lèvres. Je me reculais. « Sully ? » Je soupirais. J'aimais ces moments que nous passions tous les deux. Elle m'avait tellement manqué. Mais ce n'était que du sexe, et je voulais plus. De plus, je me sentais mal d'infligée cela à ma nouvelle petite amie. « J'en ai marre. Je suis pas ton jouet sexuel. Presley, je... Tu as tellement changé. Je ne te reconnais plus. Qu'est-ce... Qu'est-ce qui t'es arrivé ? Qu'est-ce qui s'est passé en deux pour que tu deviennes comme ça ? » Elle recula, sûrement blessée et surprise par mon attitude. Mais je ne pouvais plus continuer ainsi. « Je t'aime encore, et je pense que ça ne changera jamais, mais... Tu dois comprendre que je suis en couple, et la tromper pour... Pour ça, c'est moche. Je veux quelque chose de sérieux entre nous, comme avant... » Elle secoua la tête. « C'est du passé, Sully. » Je haussais les épaules et me dirigeais vers la sortie. « Alors c'est fini. » Je ne regardais même pas derrière moi alors que je quittais la salle. Je souffrais de m'éloigner d'elle, mais je ne voulais pas d'une relation pareille avec elle. J'étais conscient que je signais là la fin de notre histoire.
Déambulant dans les rues de New York, j'étais un peu perdu. Un peu beaucoup, même. Venant d'une petite ville comme Arrowsic, la "grosse pomme" était très effrayante. Mais je n'étais pas du genre à m'enfuir à la première difficulté. J'étais sur le point de concrétiser mon rêve. Ce stage allait m'apprendre le métier, les portes s'ouvraient enfin à moi. J'avais eu de la chance d'avoir des parents qui m'ont toujours soutenu dans mes choix. Si je ne les avais pas eu, je n'aurais jamais réussi à faire mes études. Aujourd'hui, j'allais vers mon avenir, un bel avenir. J'entrais dans l'immense bâtiment et me présentait à l'accueil. « Mr. Fordham vous recevra dans un instant. » Je m'assied sur une chaise de la salle d'attente. On me proposa un café ou un verre d'eau, mais je refusais. J'étais trop anxieux pour avaler quoi que ce soit. Quelques instants plus tard, une assistante vint me chercher. Je m'avancer dans les couloirs, et j'entrais dans le bureau de Mr. Fordham. « Installez-vous, Sully, je vous en prie. » Je lui obéis après lui avoir serré la main. Pendant les quelques minutes passées dans son bureau, nous discutions de mon avenir dans son cabinet. Un cabinet d'avocats réputé ici, à New York. J'allais passé un stage de trois mois ici. Je n'avais pas l'intention de faire carrière à New York, non. Je ne me sentais pas à ma place ici. Mais c'était l'endroit parfait pour mon stage. Me levant à la fin de l'entretien, je serrais la main de Mr. Fordham. « Merci beaucoup de m'avoir accordé de votre temps. » Avant de me retourner, une photo attira mon attention. Vu sa place, je me doutais qu'il s'agissait de sa fille. Très jolie, mais je n'y fis pas très attention. Traversant la porte, j'ignorais que quelques mois plus tard, cette fille serait indispensable à ma vie.
En me réveillant ce matin, je savais que je passerais une bonne journée, car je savais que j'allais la revoir. Je n'avais plus le temps de penser à elle en me lamentant sur mon sort, en me rappelant ses larmes coulant sur son visage magnifique. Le dernier souvenir que j'avais d'elle n'était pas celui d'une fille triste et brisée par mon départ, mais d'un sourire illuminant son visage. Cela ne faisait que quelques jours qu'elle était revenue, et elle avait déjà complètement bouleversé mon quotidien. J'avais trouvé une nouvelle raison pour me lever le matin. Souriant, je me redressais et posais les pieds à terre. Je m'étirais, d'excellente humeur, et je me dirigeais vers la salle de bain, pour prendre une douche, histoire de bien commencer la journée. Par la suite, je m'habillais, et descendis à la cuisine pour prendre une tasse de café. Je me dépêchais, alors que je n'étais attendu nul part. C'était dimanche, je n'avais aucun dossier sur lequel bosser. Je devais juste passer la journée avec elle. C'est pour ça que j'allais si vite. Quelques secondes sans elle suffisaient pour qu'elle me manque. Plus vite je la verrais, mieux j'irais. Bizarrement, ce n'était qu'une amie. Peut-être y avait-il quelque chose de plus qui nous liait, car ce qu'il y avait entre nous, ce n'était pas rien, ce n'était pas anodin. Mais je refusais de penser à autre chose que de l'amitié. Pourquoi se prendre la tête ? Pour l'instant, j'étais heureux avec elle, et j'en profitais, peu importe le mot que l'on pourrait mettre sur cette relation. Je laçais mes chaussures et me dirigeais vers la porte, prenant ma veste au moment où ma main se posa sur la poignet. J'ouvris la porte violemment, et je la vis, debout devant moi. Iseult. Un immense sourire se plaqua sur mon visage. « Il semblerait que nous soyons connectés. » Je m'approchais d'un pas afin de la serrer contre moi. J'avais pris l'habitude de la prendre dans mes bras, essayant de rattraper chaque jour que j'avais manqué pendant les deux ans de séparation. Je respirais son parfum, alors que le vent secouait ses cheveux devant moi. Que c'était bon. J'aurais pu rester comme ça pendant des heures, à la serrer dans mes bras. « Désolé, je ne pouvais plus attendre. Tu comprends, je suis tellement impatiente d'aller voir ce musée ! » Je rigolais alors que je reculais légèrement pour pouvoir la voir. Iseult avait clairement exprimé son exaspération d'aller visiter le musée. Non pas qu'elle n'aimait pas ou quoi, mais elle pensait sûrement qu'on pourrait mieux faire ici. Mais le musée était précieux pour les petites villes comme Arrowsic, et c'était un passage obligatoire pour elle, étant donné qu'elle voulait découvrir la ville. Je fermais la porte derrière moi après avoir mis ma veste, et passais mon bras autour de ses épaules, l'emportant avec moi sur le chemin. « Ah, qu'est-ce que tu ferais pas pour mes beaux yeux, hein ? » Je savais que c'était vrai, et ce n'était pas de l'arrogance. Mais quelque chose nous unissait, c'était inévitable. Nous étions indispensables l'un à l'autre, et on le savait tous les deux. Rien ne pourrait nous séparer, plus maintenant...
Dernière édition par Sully Blackwell le Mer 12 Jan - 20:46, édité 4 fois
Sujet: Re: SULLY ✯ IT IS WHAT IT IS (ENDED) Mer 12 Jan - 19:33
Oh, ton petit message. Moi aussi je t'aime ma patate. Tu es la femme de ma vie et on aura pleins de beaux enfants tous les deux Bienvenue parmi nous et j'espère que le scénario te plait, bien qu'il soit différent de la dernière fois.
Sujet: Re: SULLY ✯ IT IS WHAT IT IS (ENDED) Mer 12 Jan - 19:35
Je t'avais dis que j'étais poète. Oh oui, pleins de beaux enfants, des tonnes. Oui, il me plaît, puis la chanson. Je savais qu'il serait différent, et je ne suis pas déçue.