Sujet: GUILLERMO - Common people Ven 23 Sep - 20:31
D'aucuns sont américains. D'autres français. Moi je suis rien. Je viens d'une terre qui ne signifie rien pour mes parents. Je suis un bâtard, dans le sens le plus littéral et sublime du terme.
GUILLERMO TOM ASHWORTH
ft. Gaspard Ulliel
NOM Ashworth. Il s'agit du nom de sa mère, et il est difficile de faire plus anglais. ۱ PRÉNOM(S) Guillermo, en hommage au padre, Tom, pour faire court et simple comme l'histoire d'amour qui vit naître le jeune homme. ۱ ÂGE Dix huit ans. Mais on l'appelle déjà "monsieur", ôtant son chapeau d'un air respectueux, quand on le croise dans la rue. ۱ ORIGINE Tom est né et a vécu toute sa vie en Floride, dans cette bonne vieille Amérique. Mais il est enfant de l'alliance insolite entre Angleterre et Argentine. ۱ STATUT CIVIL Célibataire. ۱ OCCUPATION Lycéen. Mais étant donné le peu d'efforts fournis pour se réinscrire dans un établissement depuis qu'il est à Arrowsic, pas aidé du fait que le métier qu'il convoite ne nécessite pas vraiment d'études à proprement parler, il est surtout pas grand chose en ce moment. ۱ GROUPE fluorescent adolescent. ۱ AVATAR Gaspard Ulliel. ۱ CREDITS Avatar: Death's Angel, signature: coeur de citron, bannière de fiche: tumblr.
feel the shine and cast the line
J'ai envie de vous dire avec un tact splendide que je vous emmerde. Mais ça, c'est sans doute parce que j'ai dix huit ans et que je m'invente des événements étranges dans ma tête qui ne facilitent pas ma vie sociale. C'est peut être aussi que je n'ai pas l'habitude de prendre la parole à voix haute devant autant de monde, que les choses s'emmèlent dans ma tête et que les clichés se présentent comme perches auxquelles se rattraper. Je m'appelle Guillermo Tom Ashworth. J'ai vécu toute ma vie en Floride. Inutile de vous dire qu'on m'appelle Tom, parce que Guillermo avec l'accent américain, c'est franchement laid. Il n'y a guère que moi, ma mère, les lettres de mon père et quelques élus qui usent de mon patronyme espagnol. C'est aussi bien comme ça. Je peux changer de caractère en disant que c'est pour justifier qu'on me change sans cesse de nom. Je n'aime pas l'Amérique. Je n'aime pas l'image qui s'en dégage. Et ce que je n'aime pas surtout, c'est la sensation d'être un snob que je ressens à chaque fois que j'essaye d'expliquer pourquoi. D'aucuns sont américains. D'autres français. Moi je suis rien. Je viens d'une terre qui ne signifie rien pour mes parents. Je suis un bâtard, dans le sens le plus littéral et sublime du terme. Je me sens vraiment complètement con maintenant. Et puis, je relis le brouillon de ce foutu discours, et je me rend compte de sa grandiloquence. J'ai l'air pédant. Ne vous méprenez pas: je ne suis rien de tout ça. J'ai grandi dans une caravane, et j'en suis bien content. J'aime le bonheur, les choses simples, le cirque, un piano, la hanche d'une femme qui se dessine dans le clair obscur. Voilà. Je ne comprends même pas pourquoi je me justifie envers une feuille que je vais cramer dans cinq secondes avec la dernière allumette qui me reste. Ô, vieux bout d'papier, dans trente secondes, je vais sacrifier mon dernier moyen de fumer pour toi! Soit honoré. Ta vie aura compris un micro-événement plutôt chouette.
PIOUF! Guillermo se montre magicien absurde. "Vous voyez bien messieurs-dames: j'ai fait disparaître ce papier sous vos yeux!"
Buenos Aires, 1993.
Deux pieds enserrés dans des chaussures de marches absolument dégueulasses surgissent dans le champ de vision de Jaime Artes. Ca ne révolutionne pas trop sa perception dans la mesure où des touristes à panoplies d'Indiana Jones, il en voit à longueur de journée par ici. Quand il lève les yeux en revanche, la donne est changée: ce n'est pas un vieux barbu, appareil photo ridicule en collier qui prolonge les godasses, mais une petite blonde - quoi que je ne vois pas pourquoi il pense "petite" étant donné la longueur de ses jambes - avec une peau si pâle qu'il a peur qu'elle soit gravement malade, tant il n'a jamais vu ça.
Mary Ashworth est une jeune anglaise typique, peut être un peu niaise. C'est la première fois qu'elle sort de son Kent natal et ma fois, malgré ces cinq jours de marche dans des paysages hallucinants de beauté et d'exotisme, le premier élément qui la dépayse, c'est Jaime, assis en face d'elle sur le trottoir, roulant sa cigarette, gueule de loubard bien trop belle, basané. Il la regarde le sourcil levé, comme si elle avait quelque chose d'intriguant. D'un autre côté, la petite anglaise se dit qu'elle doit avoir l'air bien champêtre elle même, perdue sous le soleil cramant d'Argentine qui va pas tarder à lui refiler des coups de soleil violents, tout comme lui est superbe, inclus dans le décor comme s'il était né d'entre les cuisses de ces montagnes plutôt que de celles d'une femme.
Elle ne sait pas trop ce qui lui prend au moment même où elle s'asseoie à côté de lui, alourdie par son gigantesque sac de randonnée. Elle doit avoir l'air d'une gourde, grande gigue blanche comme linge et déséquilibrée comme ça. Mais bon, la question ne se pose plus, elle l'a fait et puis voilà. Jaime prend la parole, réflexe généré par sa fierté imbécile d'argentin.
Que quieres, fea?* Je ne parle pas espagnol. Et donnez moi une cigarette. répond-t-elle à tout hasard, en anglais. Jaime s'exécute - il ne comprend pas grand chose à l'anglais, mais "cigaret", c'est un concept qu'il a intégré depuis longtemps. Ils restent là en chiens de faïences, ne s'observent même pas, subissent juste les assauts du soleil de midi côte à côte.
Et puis, voilà. Ce n'est pas compliqué les débuts d'histoires d'amour. Ce qui se passe ensuite ressemble à une aventure sortie d'un rêve agréablement brumeux. Jaime et Mary se comprennent mal mais s'entendent si bien. Ils s'envolent pour l'Angleterre. Il n'a pas un rond, elle est issue de l'aristocratie, poids qui lui pèse de plus en plus - elle se met à haïr tout ce qui ressemble de près ou de loin à la bourgeoisie. Les choses se compliquent ou s'arrangent, selon les points de vue, quand ce n'est plus ni de son sac de randonnée ni de ses origines onéreuses que la petite anglaise est alourdie, mais d'un enfant. Guillermo nait comme après le coche. Jaime s'est enfui dans la nature trois jours avant la naissance de son fils. Mary, qui est d'heureuse nature, se dit que tant pis, ce n'est pas elle qu'il fuit, mais les responsabilités. Et puis elle déménage en Floride, comme ça, pour voir.
*Qu'est ce que tu veux, la moche?
Floride, 2003.
Volent, volent et virevoltent les demoiselles dans les airs. Leurs jambes musclées ne tremblent pas quand elles retombent debout dans les mains tendues des hommes. Derrière virevolte un trapèze, que titille un jeune homme blonds comme les blés, suédois comme les vikings. Le vieux bonhomme à la casquette fait marcher un paon effarouché, une petite fille étouffe son rire dans un violon qui fait deux fois sa taille. Tout au fond du chapiteau, Mary balaye la poussière laissée là par le temps et les visiteurs. Le chapiteau vient de revenir dans sa ville attitrée, où elle a son chez-elle. En fait, ils ne vont jamais bien loin. La famille Frenetti est assez connue pour se permettre de faire de petites tournées qui vont rarement plus loin que le Tenessee. Ce n'est pas un cirque classique, avec éléphants et tout le toutim. Non, ce sont des circassiens contemporains, qui créent des images avec toute la poésie du monde. Mais je n'ai pas fini ma description! Au fond à gauche, il y a une barre de fer accrochée tout au plafond du chapiteau, fixé à terre. On appelle ça un mat chinois, c'est un des agrès du cirque. Tout en haut, il y a un petit garçon à la moue insolente.
Guillermo, descends sans faire n'importe quoi, s'il te plaît. Le type costaud, bourru, tout en muscles, qui vient de prendre la parole s'appelle Jules. C'est un acrobate. Il fut l'amant de Mary, un temps. Il n'exhorte pas du tout le petit de son Anglaise et de Jaime à descendre parce qu'il n'a rien à faire là, mais à descendre selon les règles de l'art. Faire une pirouette, se laisser couler joliment du mat en se mettant en position foetale, que sais-je, n'importe quoi qui fasse joli plutôt que son horripilante habitude de se laisser tomber parce que "après tout, les filles se laissent tomber sur vous de plus loin!". Il n'a pas tort. Jules sert souvent de réceptionniste pour les acrobates. Mais s'il doit apprendre une discipline, qu'il ne le fasse pas à moitié, on verra pour les autres après. Il y a des légendes au cirque contemporain (même si ça ressemble plus à un mélange de changement d'époque, de cinéma, de théâtre et de danse qu'à du cirque) comme au cirque classique. Un de celles de la troupe Frenetti est que le petit Ashworth, le jour où il s'est fait mordre la joue par Tobé, le chien de la famille, a vu sa naïveté et sa pure gentillesse dans les mâchoires du canidé. Du venin des crocs a découlé une clairvoyance sans borne, et une franchise qui en fait rougir et gueuler plus d'un. Il n'a peur de rien, le brave petit. Il tient tête au monde - même si a l'école, il se sent comme un poisson dans une boîte d'allumettes particulièrement petite. D'accord, la comparaison n'est pas très heureuse. Mais vous avez saisi le concept: enfant de la balle au cirque, parmi les Frenetti comme dans un cocon de bonheur terriblement violent, l'école lui semble être une porte ouverte au monde réel qui ne lui plaît guère. Il se laisse une fois de plus tomber l'oeil distrait dans les bras de Jules qui râle, pendant que le jeune homme blond comme les blés et suédois comme un viking descend de son trapèze pour aller titiller Mary, plutôt. C'est comme ça, ici. Et même s'ils ont atterri là parce qu'il fallait bien de l'argent, quand Guillermo n'avait pas trois mois et que Jaime les avait laissés en rade, ils sont biens.
Floride, 2009.
Dix sept ans! Que ça peut lui paraître étriqué comme âge, à lui dont le corps a été grandi et modelé par le cirque, dont les muscles obtenus par le mat chinois, par le trapèze et les acrobaties lui donnent déjà l'air adulte. La première surgit comme une blague gigantesque de l'univers. Il continue pour les beaux yeux de Mary, qui s'est battue toute sa vie pour qu'il obtienne un parcours à peu près normal, même s'il habite dans une caravane. Soit. En attendant, il a appris le tango, pour la faire rire, et à la place, ça l'a fait pleurer. Guillermo est beau être réputé dans le cirque (sa famille, en somme) pour avoir perdu ça naïveté dans les dents d'un chien maintenant emporté par le cancer, il lui reste toujours un côté gamin irrémédiable, et s'est fait tout petit devant cette maman ensanglotée. Maman, maman, maman, calme. Qu'est-ce qui se passe? demande-t-il, ses yeux prenant l'allure de ceux du Chat Botté de Shrek sans même le faire exprès. Ce qui se passe, c'est qu'il a l'élégance et l'orgueil de son père quand il danse. Quand il fait n'importe quel agrès au cirque, d'ailleurs. Que d'habitude, elle ferme les yeux, mais que voilà, Guillermo est le digne fils d'un type qui fut son grand amour, et ressemble maintenant à une anecdote. Guillermo a autant d'orthographe qu'un bébé singe, hait l'école, se tient comme un saltimbanque ou au mieux un tsigane (ce qu'il trouve très bien et chouette), se fout des convenances exigées par la politesse, mais il est agile, excellent circassien et orateur (il a la "tchatche", vous dirait Jules pour mimer les "djeunes"), dessine avec plaisir et talent et vénère Samuel Beckett. Que voulez vous! C'est comme ça.
Arrowsic, 2011.
Mais quelle idée de merde de suivre Zéphyr! Non, plus exactement: quelle idée de merde de faire croire à la troupe que ce serait une super idée d'aller monter un nouveau spectacle dans une nouvelle ville au nom charmant et pittoresque d'Arrowsic. En vérité, suivre Zéphyr n'était que la demie raison de cette fameuse idée. Il avait aussi envie de changer d'air. Le même public, à force, ça lasse. Non, la jeune femme elle même ne l'avait jamais vu pratiquer son art. Pourquoi? Parce que ça aurait impliqué que toute la famille la voit, ce qui aurait foutu un bordel pas possible. En fait il avait même attendu longtemps pour lui dire. En revanche il l'avait dessinée mainte fois, dans toutes les postures, sans jamais oser la dénuder. Oh, oui, il le ferait, un jour, bientôt... Mais bref, là n'était pas la question. Il la sentait l'échapper. Et lui, qui n'avait jamais eu d'autre histoire que des simples badinages et bagatelles avec d'autres demoiselles voir femmes circassiennes avait du mal à savoir comment on se comportait dans la vraie vie pour les relations amoureuses. Bah, qui vivra verra! Amoureux? Oh, mais foutez lui la paix avec vos conneries. Et si par la même occasion les papillons pouvaient se casser de son ventre, ça l'arrangerait, parce que ce n'est pas aisé pour faire du trapèze ou être stable pour réceptionner les acrobates.
PSEUDO OU PRÉNOM Appo. ۱ ÂGE 21 ans. ۱ COMMENT AS-TU OUVERT LA PORTE DE THUB ? J'en avais entendu parler, puis Babine m'a chatouillé les doigts de pieds, j'ai dit non, et là j'ai envie, elle est même pas au courant.. ۱ TU LA TROUVES COMMENT LA DÉCORATION CHEZ NOUS ? écrire ici. ۱ PARLE MAINTENANT OU TAIS-TOI À JAMAIS Je voudrais pas dire, mais Abby et Rowan, je me propose pour le poste d'esclave sexuel (je sais pas ce qui m'arrive, je fais jamais d'entrées en matière pareilles). ۱
Dernière édition par Guillermo T. Ashworth le Lun 26 Sep - 22:32, édité 15 fois
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Ven 23 Sep - 21:06
GENRE. T'es qui ? D'où tu viens ? Qu'est-ce que tu veux ? Ma mie veut aussi faire un gang, alors. *out* Plus sérieusement, bienvenue parmi nous. J'aime le pseudo et... Je sais pas quand on reverra Justine, ici. T.T
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Ven 23 Sep - 21:11
Loneleï > Alors, déjà merci beaucoup et ensuite j'ai l'esprit profondément embrumé. Rappelle moi de quoi STD sont les initiales? Mais a priori c'est moi, je crois être le seul Appo présent sur les forums...
Ella > Merci biengue! Pour l'avatar, il faut remercier Zéphyr :)
Colton > Euh. Je suis Appo, je viens de nulle part et je veux un thé s'il te plaît, et une cigarette roulée si c'est possible Tu es la mie de Babine? Elle est un peu en désertion de manière générale, mais elle va revenir, yes she can.
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Ven 23 Sep - 22:52
Guillermo T. Ashworth a écrit:
Je voudrais pas dire, mais Abby et Rowan, je me propose pour le poste d'esclave sexuel (je sais pas ce qui m'arrive, je fais jamais d'entrées en matière pareilles).
Abby c'est moi ? Haha, deux pour le prix d'une, ça va tu te gênes pas trop ? Bon je vais essayer de faire la fille bien: tu as beau l'air être très attirant, je suis censée être mariée. RAPHOU SI TU PASSES PAR LA REGARDE A QUEL POINT JE TE SUIS FIDÈLE. M'enfin, ça me fait très plaisir quand même. Peut-être un jour, dans tes plus beaux rêves.
Ah mais tu es le scénario de Zephyr ? ON VA PAS S'ENTENDRE. Ici Jay, le cousin de Zephyr, dont elle est follement amoureuse. Il faudra qu'on se trouve un bête de lien. En tout cas bienvenue, et bonne chance pour ta fiche.
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Ven 23 Sep - 22:55
Reed > Merci!
Abby > Raaah, merde...J'aurais essayé! (et c'est vil: ton statut indique célibataire ) Pour Jay, j'avais vu, oui. Mais tu sais, dans l'histoire, Guillermo n'a aucune chance donc c'pas grave et oui, on va trouver un pur lien, j'y compte bien.
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Ven 23 Sep - 23:06
Oui c'est que dans le flood que je suis mariée. Sinon dans le rp j'attends mon scénario. Enfin, elle est cool ma vie hein ? Quelles avances ? Pour lui il parle à sa cousine hein. Af, je sais que t'es douée pour ça Zephyr. Petite cochonne, tu dévoiles ta vraie face.
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Ven 23 Sep - 23:12
Tu verras dans le sujet commun avec Sharly, j'vais te faire une déclaration et ce sera à toi de te démerder avec ça. Chut, je suis pas une cochonne (j'aime avoir une image de fille sage surtout. ) Ah ouais, ben c'est rassurant ça Guillermo.
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Ven 23 Sep - 23:26
Guillermo ça me fait penser à Guillermo Del Torro. Peut-être parce que c'est le seul Guillermo que je connaisse. Pas personnellement, s'entend. Mais bref. Gaspard Ulliel quoiiiii! Bordel de Dieuuuu ! (oui je suis vulgaire, mais quand on en vient à parler de Gaspard Ulliel, j'en perds toute dignité et tout self control). Je te veuuuuuuuuuuuuuuuuux ! Et si tu veux rendre Zephyr jalouse, je suis toute à toi. On ne refuse rien à Gaspard Ulliel. Ce serait du blasphème. Je vais ptêtre arrêter de baver, maintenant et essayer de reprendre une contenance...
Mouaaaaaaaaaaaaaaah bon, pour la contenance on repassera
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Sam 24 Sep - 0:38
Wow c'est génial on est super bien accueilli ici! Tonia, je ne dis pas non surtout que je ne sais pas qui est cette demoiselle sur ton avatar mais....... Pas taper, Zéphyr! Il faut bien que Guillermo se venge de temps en temps
Sujet: Re: GUILLERMO - Common people Sam 24 Sep - 1:58
BICHOOON ! Si je m'attendais à te voir ici, moi. Je devrais vraiment regarder les nouveaux membres plus souvent, je passe à côté de surprises. En attendant il faut qu'on parle là, la situation est grave et complexe ; tu as fait la gravissime erreur de prendre Gaspard, mon maître, ma muse, enfin passons, je m'enfonce là. Mais pourquoi, POURQUOI, POUR-QUOI en lycéen ? Mon coeur est brisé, sache-le. Haha. En plus il est méga vieux Gasp. Anyway, j'étais pas là pour ça mais pour te souhaiter quelque chose comme la bienvenue, alors BIENVENUE parmi cette joyeuse bande de mariols qu'est THUB, tu ne vas pas le regretter, fais moi confiance.