nom : Adams Ҩ prénom : Michelle Diana Ҩ âge : 16 piges Ҩ origines américaines Ҩ statut civil : catin Ҩ occupation : un peu de ça : :jem: et puis parfois :chazi: Ҩ avatar : Willa Holland Ҩ crédits : wereallalright | tumblr.

Je le regarde, c’est fou comme il m’attire. Un peu ma personnalité dans un corps tout à fait canon. Il fait semblant de discuter avec cette pétasse mais, au fond je suis sur qu’il me regarde. Je le sens et j’ai ce sixième sens, celui que tout le monde peut avoir lorsqu’il est attiré par quelqu’un et qu’il voudrait que ça soit réciproque. C’est fou, c’est pas de mon âge les histoires d’amour. De toute manière, ce n’est pas précisément mon intérêt à ce moment là. J’ai du boire trois verres de vodka orange et fumé trois joints à moi toute seule alors là ce que j’ai envie c’est d’être sur son corps, nu. Je suis jeune je sais mais, voilà je suis un peu précoce. Je fais plus vieille c’est pas ma faute. Dieu ne m’a pas donné de seins et pas trop de fesse mais il m’a fait un joli minois qui a le mérité d’être apprécié de la gente masculine. Je suis sûre que même un gars marié voudrait m’approcher. Oui, excusez moi de ne pas être modeste, je m’apprécie voilà tout. Si vous êtes moche, que vous êtes mal dans votre peau j’y peux rien moi. Je suis jolie, j’ai des atouts et je suis jeune alors autant en profiter. Quoi qu’il en soit, j’étais là avec mon quatrième verre à la main à le regarder. Je ne voulais pas me cacher, autant qu’il sache que j’ai bien envie de le prendre dans mon lit, enfin dans un autre endroit plutôt. Car oui je suis encore chez ma mère et chez mon père. Et disons que leur jeune fille n’est pas censé couché avec des garçons. C’est encore une petite fille. Une petite fille tu parles ! Je suis surement plus débauché que n’importe qui de mon âge. Je suis un mec au féminin. Pas d’envie de me caser, juste envie de baiser. On pourrait dire que c’est ma devise mais malheureusement j’ai un cœur et il arrive parfois que je m’attache. Comme un garçon au fond. Je garde tout simplement au mieux ces sentiments bien enfoui au fond de moi, tellement bien caché que j’arrive à les oublier. Je suis surement la plus grosse menteuse que vous avez jamais connu. Je tiens à garder cette image modèle de jeune demoiselle auprès de ma famille alors que j’ai un frère qui dépasse un niveau de connerie assez élevé. Disons que comme ça, j’ai une protection. Une sorte de carapace dans laquelle je peux faire tout ce bon me semble. Seulement, à trop jouer avec le feu on fini par s’y brûler. C’Est-ce qui m’est arrivé il y a quelques mois. J’avais rencontré ce type, on se voyait souvent chez lui. Il avait trois ans de plus que moi et on s’entendait parfaitement. Surtout au niveau du sexe, si bien que j’en suis tombé enceinte. Heureusement pour moi, je me suis pas posé plus de question que ça, il fallait que j’avorte. C’était obligé, je n’allais pas être en cloque à mon âge surtout avec un gars que je ne reverrais plus les trois prochains mois qui suivront. Alors j’ai rien dis à personne, je me suis pointé à un hôpital disant que je ne ressortirais pas comme je suis revenue. Je voulais maintenant cette avortement. On me la accorder. Le personnel a du voir une imminente destruction qui allait survenir si j’allais avoir ce bébé. Il devait voir mes yeux plus pétillant que d’habitude, bien qu’il ne me connaissait pas. Car oui, quand je ne suis plus à l’aise sur mes talons j’ai les yeux qui pétille. Comme si la larme restait bloqué dans mes yeux, qu’elle ne voulait pas se montrer au grand jour mais elle se fait distinguer un peu au fond de mes yeux. Après cette épisode assez lourd de ma vie je dois dire que je m’en sors plutôt bien. Pour moi c’était un passage un peu plus marquant que les autres mais pas plus que ça. Etonnant n’est-ce pas ? Je suis comme ça, presque insensible à ce qui peut se passer autour de moi. À la limite du supportable quand rien ne va. Le genre à avoir un sang froid étonnant. Ce soir, en tout cas, je suis là toute seule au milieu d’inconnu dans une sorte de parking souterrain abandonné avec de la musique complètement badante à regarder ce jeune homme. Je décide de m’avancer et là une main m’attrape par le bras droit, j’en fais tomber mon verre sur mes chaussures. « Putin mais tu peux pas faire plus attention ! » Et là je reconnue cette imbécile de Joe. Toujours entre mes pattes quand j’en ai le moins envie. Cette nana je l’adore malgré tout ses défauts. Elle est trop intelligente, le truc super agaçant quand t’as du mal à faire tes exercices de mathématique et qu’elle te répond en deux secondes ce qu’il faut faire. Cependant, ça a du bon une amie super intelligente. Surtout quand tu l’as à côté de toi en évaluation. J’ai jamais été très bonne en cours et j’ai assez l’idée de la solution facile. De toute manière on m’a toujours dit de saisir les opportunités qui s’offre à moi. Oui je sais, on prend les leçons de nos parents quand ça nous arrange mais moi, dans ce cas là je le suis au pied de la lettre. Regardez par exemple, quand je vois un garçon plutôt mignon qui me regarde depuis plus d’une minute je ne perds pas de temps pour l’attraper et passer la soirée avec lui. Quand le professeur s’absente pendant un moment alors que j’ai une folle envie de cigarette depuis trois quarts d’heures, je m’installe à la fenêtre. Et puis lorsque mes parents invitent des amis à un repas et qu’une soirée se passe pas très loin, je fais le mur. J’excelle dans l’art de détourner les règles comme bon me semble. Et le pire dans tout ça c’est que si vous demandez à mes parents quel est mon comportement, il vous répondrons que je suis sage, sérieuse et soucieuse. Les fameux trois « s » qui font bien rire mes amis et mon frère aussi. Oui ce jeune homme qui me fait halluciner par le nombre de thons qu’il chope en une seule nuit. Toutes des pétasses, il a aucun goût ce mec. Ou alors c’est parce que je n’aime pas lui faire des compliments, dire des propos gentils à son égard. C’est fou mais j’ai beau l’aimer car il m’a toujours protégé je ne cesse de dire qu’il est stupide. Une vraie calamité qui ne cesse de s’éloigner de jour en jour. Seulement moi, je suis le genre de fille qui aime que l’intention se porte sur elle. Pas du genre bimbo à avoir ses deux acolytes qui la suive en permanence non, beaucoup plus subtil que ça. C’est pour ça que faire des conneries afin d’atteindre mon frère me plait. Il croit pouvoir faire sa vie tranquille loin de moi, c’Est-ce qu’il va voir. Je ne suis pas comme notre mère, le genre de femme a se laisser avoir par la vie car elle a eut des enfants et qui abandonne sa vie vagabonde. C’est pourri de laisser faire les choses, il faut les provoquer afin d’arriver à ses fins. C’est pour ça que à l’heure qu’il est je vais écourter le délire que provoque la chevelure remplit de chantilly de ma chère amie Joe pour aller voir cet bel créature humaine dont j’envie son corps depuis plusieurs minutes. Je me dirige alors vers lui, lui proposant une taffe de mon joint qui attendait depuis tout à l’heure que je tire dessus. Ce charmant inconnu souri et s’apprête à frôler ma main pour prendre l’objet en question. Je le regarde, plonger dans ce regard intense qui me donne envie de l’embrasser. Il décide de m’emmener dehors, à l’écart et c’est là qu’il commence à me serrer par la taille. Je décide de poser mes lèvres contre les siennes tout en prenant le joint dans ses mains. Une fois après l’avoir mordiller ses jolies lèvres, je tire une latte et rapproche ma bouche près de la sienne. Je souffle alors la fumée dans sa bouche, les yeux fermés. Je ré-ouvre les yeux et me mets à sourire. Il me regarde d’un air complètement défoncé. « Toi chéri, tes yeux sont morts » lui dis-je. « Assez pour apprécier les tiens » me répond t-il. Je souris alors par ce compliment plutôt bien détourné. Je lui prend alors la main et lui demande où Est-ce que c’est chez lui. Il me tire alors dans une direction et on se retrouve dans un parc de jeu. Je pensais à ce que pourrais penser mon frère de mon état et de mes actes, il apprécierait être à ma place avec une nana mais il n’apprécierait pas de me voir ainsi. Tempi, je ne vis pas pour lui mais plutôt pour moi.
Ca y est, c’est le matin. Il parait que la nuit dernière fut dure si on en croit mes yeux. C’est fou, mon lit à l’air plus dur que d’habitude. Et là, la vision devient un peu plus clair. Il est à peine cinq heure du matin et je me suis endormis dans un parc. À côté de moi ? Personne, mis à part un jeune homme, oui ça y est je me souviens. Ce bel homme, on avait tourné pendant des heures sur ce tourniquet hier soir. Première fois que je passe une soirée sans coucher avec le garçon. Temps mieux, ça sera pour ce matin