« — Tu veux dire que maman, toi et … et …moi nous ne serons plus en vie demain … ? » demanda le petit garçon aux yeux tout rond à son père, qui venait de lui annoncer qu’un jour, que demain, qu’après demain, peu importe des hommes allaient venir pour eux parce que papa n’avait pas été très sage. Le petit balança ses jambes hors de son lit et attrapa la main de sa mère en levant son visage vers ses parents. « — On peut toujours s’enfuir … n’est-ce pas maman ? » La femme éclata en sanglots en quittant la pièce. S’enfuir ? ; C’est bien ça ? Trois personnes contre une dizaine d’hommes armés, quelle bonne idée ! « — Non, mon fils … on ne peut pas s’enfuir, … ils nous retrouveront, ils viendront nous chercher tôt ou tard, fuir n’est pas une bonne idée tu sais… ». Ce jour là même étant petit Adam avait répondu à son père, lui disant qu’il n’avait qu’à se battre pour sa famille, qu’il aurait pu éviter tout ce drame, et que tout était de sa faute … la sienne … c’était lui seul qui avait provoqué ça. Sa femme et son fils n’avaient jamais rien demandés, ils vivaient paisiblement dans leur petite maison, lui allait à l’école comme chaque enfant de son âge et sa mère, comme toute femme indienne de son niveau social elle s’occupait du foyer, attendant que son mari et son fils entre pour pouvoir partager leurs journées, savoir ce qu’ils avaient fait.

Après ce jour, la tension entre ses parents était devenu très tendue, le seul moment de répit d’Adam, c’était lorsqu’il allait à l’école, où il pouvait se fondre dans la masse et oublier les problèmes qui le retrouvaient dès son retour à la maison. Son retour signifiait aussi le retour de son père qui gueulait sur sa mère en lui disant qu’elle n’était que fragilité nommée femme, et qu’elle ne valait rien comme toutes les femmes d’Inde. . .
Il entendait parfois la nuit ses parents discuter d’argent à vrai dire c’était tous les soirs la même discutions et les mêmes réponses que sa mère donnait à son père. « — Tu dois arrêter tous ça Michael . . . ». De quoi parlaient-t-ils au juste ? Bien sur qu’il savait de quoi ils parlaient. Son père était un petit trafiquant qui travaillait pour la mafia … Du grand n’importe quoi.

C’était un jour d’hiver comme chaque hiver en Inde il ne faisait pas très froid, la mère du jeune adolescent lui avait fait à manger. C’était un plat indien que sa mère avait essayé de faire tant de fois qu’elle en était devenue une pro. Il le mangeait devant la télévision après l’accord de sa mère qui lui disait qu’il ne devrait pas aller le dire à son père lorsqu’il reviendra car il le grondera par la suite. Les voix des personnages de dessins animés raisonnaient dans toute la pièce. Mais un autre bruit se fit entendre la porte d’entrée avait été défoncée par un groupe de trois hommes tenant son père par les bras et la tête. Le sang avait émergé sur le sol de l’entrée, il ne restait plus que quelques instants à l’homme avant qu’il ne s’en aille et laisse un fils derrière lui. Le petit éteignit la télévision, il avait comprit que les hommes dont son père lui avait parlé l’autre fois, étaient venus pour lui. Sa mère accourût vers lui pour l’attraper et le cacher avant que quelqu’un ne le voit.

Personne d’autre ne devait mourir, pourquoi devait-il rester vivant alors que ses parents eux devaient partir sans lui ? Sa mère fut assassinée de sang froid. Suivant les coups de feu et les cris plus rien ne se faisait entendre depuis la chambre à coucher de ses parents au fond d’un immense placard. Adam y était resté quelques heures à pleurer, à attendre qu’on vienne le chercher à son tour, il réfléchissait aux peu de choses qu’il avait faites durant ces huit petites années, bien qu’il ne se souvienne à peine de ce qu’il avait fait l’an dernier. Pensant que sa vie avait été courte il s’assoupit les joues légèrement humides.

Suivant cet horrible événement Adam avait fait le tour de plusieurs foyers, la plupart le traitaient de mal élevé, de perturbant ou encore de sauvage … Durant deux longues années, les gens avec lesquels il passait ses journées et qu’il devait considérer comme étant sa nouvelle famille lui rappelait sans cesse ce qui s’était passé. Il avait finit par fuir les orphelinats, les foyers et tout et tout … pour habiter dans la rue, vivre qu’avec quelques bouts de pains qu’il avait volé. Puis un jour comme tous les autres un homme s’avança vers lui et lui lança avec un piètre accent indien « — you want me to teach you how to be a killer ? » à vrai dire ça n’avait pas vraiment l’air d’une invitation mais d’une obligation, c’était son oncle, qui lui aussi avait travaillé pour le mauvais côté, mais qui avec le temps s’était imposé en tant que parrain d’un certain gang de Mumbai. Au départ devenir un tueur ne l’intéressait pas vraiment, mais en y réfléchissant, la vengeance de ses parents était toujours présente.

Ces hommes lui avaient enlevés son enfance. Il a grandit comme tous les jeunes, à l’école, il avait étudié comme chaque jeunes de son âge, mais à la différence d’eux, Adam se préparait à passer inaperçu, à tuer sans que personne ne le sache, à apprendre à masquer ses crimes avec intelligence. Le parfait crime quoi ! Son oncle est mort en pleine guéguerre entre gangs, Adam lui a apprit tout ce qu’il fallait savoir. Il a réussi à se venger, les hommes sont morts, seulement ça n’a pas suffit pour arranger ce qu’il était devenu. Maintenant il travail pour lui …. Il tue pour vivre … parce qu’au fond il aime ça … peut être que parce qu’il est ainsi … avide de méchanceté, froid comme de la roche. Après tout un tueur à gage est engagé pour tuer … ceux qui devaient être éliminés, un point c’est tout ! Il y a pas très longtemps quelqu’un l’a balancé et quelques types lui cours derrière pour avoir sa peau, il a donc décidé de se réfugier dans un coin paumé qu’est Arrowsic pour pas qu’on le retrouve.

hum hum ... so so , on m'appelle souvent doudou .... j'ai 16 ans bientôt 17 ans oui la plus jeune de la bande HIHI! troup coul * sors * je vis en France à Montpellier et hum j'adore tout ce qui touche à l'Inde, les films, le pays, enfin surtout les films et non c'est pas que des aaja aaja et des je t'aime mais on peut pas se marier, sinon, je pense que vous l'avez tous remarqués on a débarqué en bande, c'est toujours plus facile l'intégration après. mais bon vous pouvez pas vous plaindre hin! trois membres en quelques minutes c'est que du bonheur ! :O surtout nous quoi * faut vraiment que j'arrête *, sinon des secrets j'en ai ... mais des clairs pas des sombres * se casse *

MERCI TOUT LE MONDE :jem: