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 Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »

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MessageSujet: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 0:00




AIMÉE (AMY) EESHA JOHAR
« J'ai toujours vécu dans un monde qui n'appartenait qu'à moi.
J'ai toujours haït ce qui entrée pour disparaître après. »
NOM: Johar. Comme le réalisateur, comme l'écrivain, comme la styliste. En fin de compte, ce n'est rien de plus qu'un nom. Celui de mon père qui désormais me colle aux fesses comme la peste. Ce nom me rappelle que j'ai du sang indien dans les veines et par la même occasion me rappelle à quel point je suis seule. Parce que c'est beau être un nom très courant, je n'ai jamais vu un autre Johar de ma famille. PRÉNOM: Amy ce n'est pas un prénom. Ça ressemble à un surnom pour caniche. Enfin c'est ce que je pense. J'aurais aimé un vrai prénom, quelque chose de beau et de mélodieux. En réalité c'est le diminutif d'Aimée. Tu parles d'un prénom. Mon second prénom est Eesha. Comme le nom de ma grand-mère paternel. Quelqu'un m'explique pourquoi mon père m'a donné comme second prénom celui d'une arriérée qui l'a jeté à la porte à la minute où il a avoué être amoureux d'une anglaise ? ÂGE: Si je me souviens bien, dernièrement j'ai fait 25 ans. Oui, le 7 décembre c'était bien mon anniversaire. Je l'ai passé en Australie alors que je suivais les traces de mon cousin et ce fut un jour comme un autre. Je n'ai pas ressenti un changement quelque compte et personne n'est venu me voir pour me crier haut et fort : « - Alors ? Ça fait quoi d'avoir 25 ans ? » Mais je commence à me prendre pour une grande, sauf que dans ma tête je crois que j'ai encore 16 ans. Enfin, ça reste à prouver. ORIGINES: Je suis née à Jaipur, dans le Rajasthan en Inde. Mon père vient d'une grande ligné de commerçant indien. Du textile de luxe que je n'ai jamais pu toucher. Ma mère est anglaise. Avant, je me limitais à ça. Maintenant, je sais que la grande famille de ma mère c'était aussi un truc de fou. Dans le genre anglais pure souche, avec aucune origine. Non, des vrais de vrais. Leurs seuls problèmes étaient que les hommes de la famille avaient été réputé pour leurs sadismes lors de la colonisation en Inde et que même après, c'était toujours des hommes avides de pouvoirs qui avaient su jouer de leurs influences pour ne pas se faire massacrer pendant l'indépendance du pays. Cool, je viens d'une famille de meurtrier sans coeur et d'hypocrite indien. MÉTIER/ÉTUDES: Je suis censé être diplômé de journalisme à l’heure où je débarque dans cette petite ville. Mais non, j’ai dû arrêter mes études il y a presque deux ans. Maintenant, j’ai décidé de les reprendre ici. J’ai encore l’air d’une jeune, donc ça passe, non ? Sinon je suis détective privée à mes heures perdues, depuis l’âge de mes 16 ans. J’espère qu’on aura besoin de mes services à Arrowsic, sinon je crois que je vais avoir du mal à payer mes factures. STATUT CIVIL: Mariée. Et je compte le rester. Voilà deux ans que je fais durer la procédure de Divorce. Je sais, c'est dingue, mais je n'ai pas remis les pieds à Londres depuis longtemps. Peut-être a t'on accordé le divorce à Ric' sous prétexte que j'étais absente et donc que je n'avais pas mon mot à dire. Une chose est sûre, je ne peux pas y retourner si je n'ai pas les réponses à mes questions et je suis sûr qu'il m'attend. CRÉDITS: moi. AVATAR: Keira Knighley.




welcome to our world.
nice to meet you.

Le nom me trahit.
Lui aussi, il me trahit : Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 242446!




Dernière édition par A. Eesha Johar le Lun 18 Juin - 16:43, édité 8 fois
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Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » Empty
MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 0:00


please, tell me your story.
i’m listening.


I. Une poignée de sang sur le visage.

Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 2yvs5s7 Le 7 décembre 1987 est née une magnifique petite fille. La mère était tombée enceinte par accident, cela ne faisait que sept mois qu'elle et son mari venaient de fuirent leurs familles pour vivre ensemble. Elle ne pouvait pas avorter il fallait donc l'élever. Pour une anglaise dont la fortune ne sourit plus, c'est bien difficile de trouver un travail et avec un mari qui ne savait travailler que dans le textile, c'était dur. Alors, Amy n'a pas été éduquée dans la richesse comme ses ancêtres, mais plutôt dans la pauvreté indienne. Son père passait son temps à la réprimander, elle ne lui ressemblait tellement pas avec cette peau blanche et ses yeux. Il se contentait de la saluer le matin avant de partir au boulot et le soir avant de se coucher, il la fixait longuement, avant de baisser les yeux, déçu. « - Nous aurions dû avoir un fils, c'est mauvais signe d'avoir une fille comme premier né. » Quand elle eue 10 ans, les disputes commencèrent. Son père n'en pouvait plus de cette vie et reprocher tout à sa mère. Avec les disputes arrivèrent les coups. Amy en payait le prix autant que sa mère. Il ne se passait pas un jour sans qu'Amy ne reçoit pas une blessure quelconque. Que ce soit celle infligée par son père, qui ne supportait pas que sa fille n'est rien de lui, où ceux par les autres enfants du cartier, qui se faisait un plaisir de la torturait un peu plus. Après tout, c'était une petite fille blanche, anglaise, parmi un peuple d'indien pauvre qui ne voyait en elle que de la vermine à éliminer. Elle comprenait également à quel point sa situation était une horreur, un père indigne qui battait sa femme et qui ne cessait de rappeler à Amy qu'elle était responsable de tous leurs malheurs, comme sa mère. A 11 ans, son père rentra encore plus tard qu'à l'habitude, la mère d'Amy avait préparé un dîner en l'attendant. Mais ce soir-là, il ne voulait pas manger. Il voulait en finir avec tout ça. Il voulait partir. Il poussa sa femme violemment, près à chercher ses affaires et à abandonner celle qu'il prétendait tant aimé. Elle pleurait, gémissait et supplié qu'il ne la laisse pas. Il la frappa dans l'espoir de la faire taire. Encore et encore et Amy arriva. Elle le haïssait tellement. Elle aurait donné n'importe quoi pour que quelqu'un l'emmène loin d'eux. C'était devenu un homme abject, il était jaloux de son frère ainé qui devenait de plus en plus riche et de plus en plus puissant en Inde. Celui-ci s'était carrément installé à New Delhi. Lui, n'avait même pas de quoi envoyé Amy à l'école. Elle était obligée de mendier dans les rues, suivant sa mère dans le marché. Mais c'était dur, qui donnerait un roupie à une petite anglaise ? Ce jour-là, elle n'avait pas hésité. Elle attrapa le vieux couteau qui se trouvait dans la cuisine et elle le planta en plein coeur. Son père s'effondra devant elle. Inerte et souriant. Comme acceptant de mourir. Le cri de sa mère parvenue aussitôt aux oreilles d'Amy. Elle hurla, pleura de plus belle et lança des regards de colère contre sa fille. « - Tu n'aurais jamais dû voir le jour ! Regarde ce que tu as fait ! Pourquoi existes-tu ?! » Amy regarda sa mère. Elle ne savait plus ce qu'elle devait ressentir à son égard. Elle était perdue. Pourquoi ? Les larmes montèrent toute seule et les seuls mots que la jeune fille pu dire furent : « - C'était pour toi. » Elle fixa sa mère, qui désormais n'était plus seine d'esprit. Amy fixa sa mère jusqu'à ce qu'elle se pende devant elle, continuant à hurler que c'était sa faute, qu'elle n'était qu'une abominable malédiction. Elle fixa encore quand le corps de cette femme oscillait de droite à gauche. Elle fixait. Le couteau toujours à la main. Elle ne détourna pas le regard jusqu'à ce que le temps prenne le dessus et qu'elle tomba dans le sang et dans ses larmes.

« - Pourquoi existes-tu ?! » cette phrase n'avait jamais cessé de se répéter dans sa tête depuis le moment où sa mère les avait prononcées.


II. La Cage est l'enfant.

Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 2djnhqr C'est la voisine qui découvrit la scène. Lorsque la police arriva, ils crurent que c'était la mère qui avait tué le père avant de se donnait la mort. Mais lorsqu'Amy se réveilla à l'hôpital, elle ne nia pas le fait d'avoir planté ce couteau. Elle ne nia pas d'y avoir pris plaisir, parce qu'elle voulait que cet homme disparaissent de sa vie. Elle voulait que sa mère et elle soit libérées de lui. Trop jeune pour être enfermé comme assassin et vu les circonstances la seule solution était de l'envoyer quelque part, d'enfermer ce qui semblait être un futur serial killer. Découvrant qu'elle avait un oncle à New Delhi, ils demandèrent à celui-ci de payer l'enfermement de la petite dans un asile. Elle y resterait jusqu'à amélioration de son comportement. Ce fut les plus longues années de sa vie. Après un long voyage, on l'enferma dans une chambre lugubre. Sans fenêtre, couverte de mur blanc. La seule personne qui venait le voir était une bonne soeur qui lui ramenait un nouveau livre à chaque visite. Quatre ans, enfermé, sans pouvoir parler à qui que ce soit. Quatre ans, enfouis dans les livres à imaginer un monde plus beau, meilleur. Quatre ans à imaginer comment changer le cours de son destin en laissant le passé de côté. Elle se contentait des images qu'il y avait dans les livres pour imaginer et devait tenir un journal par écrit pour essayer d'améliorer ses capacités d'écriture. Sauf que lorsqu'on est enfermée, seule, avec aucun regard vers l'extérieur, tenir un journal est un lourd fardeau. Elle ne savait donc jamais quoi écrire, puis se mit alors à décrire ses rêves, ses envies. Sans le savoir, elle se mit à développer un très joli style d'écriture. Mais pas seulement, n'ayant jamais étudié, c'est lorsqu'on lui permettait d'aller à la salle commune qu'on lui apprenait les bases fondamentales. On découvrit alors qu'Amy était intelligente et incroyablement douée. Elle apprenait très vite et avait une excellente capacité à retenir les choses. Des détails les plus insignifiants au plus important. A son arrivé à l'hôpital psychiatrique de Londres, certains scientifiques croyaient qu'elle était en proie à une maladie, qu'on pouvait la guérir. D'autres racontait qu'elle était possédée et que seul le fruit de l'enfer pouvait forcer une fillette de 11 ans à tuer son propre père. Les premiers mois furent les plus durs, elle se souvient encore qu'on la droguait tellement qu'elle se retrouvait dans des états secondaires. Parfois, elle pouvait guère bouger où parler, ni même entendre autour d'elle comme si tout s'arrêter d'un seul coup.Les plus durs moments étaient sans doute les séances avec le docteur qui en avait la charge et qui parfois, prenait un malin plaisir à utiliser Amy comme un jouet. Si après ça, on l'avait placé sous la surveillant d'un psychiatre et d'une bonne soeur, c'était sans doute parce qu'on avait découvert que le docteur n'était pas quelqu'un de très saint. La pauvre Amy en gardera de drôle de séquelle, comme le fait que désormais, elle panique complètement lorsqu'elle est enfermée quelque part comme une petite salle, ou qu'elle se braque à la vue du sang. De plus elle ne parlait pas. Depuis qu'elle était toute petite elle avait toujours eu ce problème. Elle ne pouvait pas parler, s'exprimer et à l'hôpital ça s'était accentué davantage. Elle restait loin des autres quand on lui permettait de sortir. Elle répondait rarement à la question qu'on lui posait et elle mettait toujours un temps fou avant de faire ce qu'on lui demandait de faire.Mais il y a un souvenir, un seul qui lui était positif. Il y avait quelqu'un à l'hôpital, un grand garçon qui lui avait rendu visite une fois alors qu'elle venait de débarquer. Elle s'en souvient parce qu'il parlait hindi. Elle était assise au fond de sa chambre, emmitouflé dans sa couverture. Elle avait froid et lui, lui il lui souriait. Il s'était assis à côté d'elle et il lui avait raconté une histoire. Et puis il lui avait dit qu'il reviendrait, mais c'était faux. Il n'était jamais revenu.

III. Le papillon noir.

Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » Qyem29 Imaginer qu'un jour, après quatre ans dans une certaine obscurité, la lumière du soleil vous réchauffe de nouveau les joues. Comment vous sentiriez-vous ? Libéré ? Heureux ? Amy elle, se contenta de fixait le soleil comme pour le défié. A 15 ans, Elle se sentait différente et capable d'affronter ce monde inconnu qu'était Londres. Elle croyait que le monde était peut-être plus beau, après tout ce qu'elle avait lu. Elle fut déçue. Encore. Habituée à un Hindi, son amie la bonne soeur l'avait aidé à acquérir un anglais presque parfait. Elle lui avait dit qu'elle devait finir le lycée comme tout le monde et qu'ensuite elle devrait travailler si elle voulait vivre tranquillement et avoir une vie paisible. C'est elle qui l'inscrivit dans une école privée en plein centre de la ville. Les premiers jours furent étrangement calme, Amy se faisait discrète même si son intelligence surprenait. Elle découvrit qu'elle était timide devant de nouvelles personnes et qu'elle n'arrivait pas à s'exprimer en public. C'est en passant un oral pour la première fois, devant toute sa classe, qu'Amy bégaya. C'est aussi se jours-là qu'elle rencontra celle qui sera sa meilleure amie, sa soeur et sa confidente. On la taquinait beaucoup pour ça et Amy était très mal à l'aise. Elle ne voulait pas bégayer, mais c'était plus fort qu'elle. C'est-ce mal être qui la changea. Sa vie de lycéenne n'était pas exceptionnelle. Elle faisait partie du groupe des Losers parce qu'elle avait trop le nez dans les bouquins, qu'elle ne suivait pas les dernières tendances où encore qu'elle ne sortait pas avec le garçon le plus branché du lycée. Pourtant, sa meilleure amie était très populaire, mais Amy donnait l'impression de n'aimer personne et malgré les notes extraordinaires, elle passait souvent ses après-midi en heures de colle ou seule. Elle était toujours très calme, mais était toujours franche et directe dans ce qu'elle disait quand rarement elle parlait. Elle semblait fragile, presque inoffensif. Les choses n'avaient pas changé. Elle était toujours aussi peu bavarde. Elle avait beau suivre sa meilleure amie en soirée elle se mettait toujours à part. Dans un coin, loin des autres. Elle n'aimait pas comment les jeunes agissaient, se laissaient aller. Elle se disait qu'elle ne voulait pas être comme ça. Qu'elle ne voulait pas jouer avec la vie comme on jouer avec le feu. Elle fumait et buvait, mais jamais trop. Juste pour faire comme les autres. Elle découvrit une facette de la vie toute autre, un moyen d'échapper à tout ce qui nous entoure juste en fumant un joint et en allant danser. C'était une jeune fille en mal être, mais qui était trop timide pour s'avouer tel quel au grand jour et qui bégayait toujours devant les professeurs. Le lycée n'avait pas arrangé sa vision du monde, au contraire. Un soir, alors que c'était sa dernière année, elle surpris un professeur presque violé une élève. Instinctivement elle entra dans la pièce et cogna le professeur qu'elle balança par la fenêtre du quatrième étage. Elle prenait des cours de self-défense et faisait de la boxe parce qu'elle avait besoin de se défouler. Ce qui était drôle, c'était qu'elle était l'unique fille au cours de boxe. Cette fois c'était un accident. La jeune fille avait beau dire qu'Amy était son «Sauveur.», que le professeur était le méchant, ça ne servait à rien. Le passé d'Amy n'arrangea rien et étant arrivé avant que le professeur en question ne pénètre la jeune fille, elle n'y avait aucune réel preuve de violence sexuel... Le méchant gagna, il a été certes en mauvais état et avait survécu, mais il avait gagné. Amy du passé la fin de son année de terminal à bosser enfermé. Encore. Elle eue cependant les meilleurs notes des examens, mais le professeur enseignait toujours. Ce qu'elle ne supportait pas.

IV. . L'horloge de la vie, un tictac répétitif.

Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 14x13k5 Oxford s'offrit à Amy. Elle avait un job à mi-temps depuis le lycée en tant que détective privée. Avec assez d'économie elle pouvait se payer Oxford. Elle avait de la chance d'avoir une bourse. Ça l'aidait beaucoup en plus de son nom, puisqu'on croyait qu'elle était liée à un certain Johar doublement diplômé et même major d'une promotion en psychiatrie. En gros un parfait inconnu, parce qu'elle n'était pas l'unique Johar en Angleterre, c'était un nom très répondu. Les gens peuvent être cons parfois. Elle se concentra énormément sur ses études de journalisme, elle voulait découvrir le monde, faire des reportages et rencontrer des gens qui ont changé la vision des choses. Comme si elle gardait un espoir. Un espoir de découvrir que tout n'est pas si mauvais dans ce monde. Lors de sa première journée elle fit la rencontre d'un garçon. Il était d'un an son ainé, était beaux à tomber par terre et en plus, il était passionné de dessin et d'architecture. Amy avait pris confiance en elle depuis le lycée, elle essayait d'être ses femmes aux pouvoirs, comme les personnages de films qu'elle idolâtrait, mais elle échouait toujours. Ce qui l'a rendé encore plus mignonne, d'après ce qu'on lui disait. Et devant un beau garçon, elle était tout gênée et son bégaiement refaisait surface. Il avait trouvé ça mignon. C'était fou parce que c'était la première fois qu'elle ressentait quelque chose pour quelqu'un. Après quelques sorties, ils sortirent ensemble pour finir par se marier après quatres ans de relations. Elle appréciait la présence du jeune homme, elle se sentait tellement vivante à ses côtés, c'était irréel. Quand elle le regardait, elle avait l'impression de trouver la réponse à ses questions. Trois mois plus tard, c'est le mariage. Ils sont étudiants, amoureux et l'avenir est devant eux. Que demandez de plus ? Au début ils étaient pris par leurs études et le fait de se retrouver le soir était un moment de bonheur inespéré. Jusqu'au jour ou l'idée d'une famille s'imposa. Il voulait carrément renoncer à son rêve pour fonder une famille et créer leurs mondes. Il allait peut-être devenir diplômé en architecture pour suivre son père, mais il voulait faire du design. Et il voulait carrément renoncer à fonder sa propre marque pour rentrer dans une entreprise bientôt. Les disputes enchaînèrent, il avait changé depuis le mariage. La preuve, lui qui avait toujours su éviter de parler de passé et de famille, tenter désormais d'en discuter. Elle n'avait aucune idée du nom de la ville où il avait grandi ou encore du grand nombre de sa famille. Ils ne parlaient que d'avenir, du présent. Le passé était rayé d'une belle croix, parce qu'Amy ne pouvait pas lui parler de ce qu'elle avait vécu. Amy ne supportait plus la situation, exaspéré et effrayait par l'idée de tout gâcher, elle s'éloigna. Elle devenait distante, évitant tous les sujets difficiles. C'est lui qui, après un mois sans nouvelle, lança la procédure de divorce.

Amy rentrait chez eux ce jour-là. Ils avaient acheté un grand appartement dans le centre de Londres parce que la vue était sublime sur la ville. Amy avait passé beaucoup de temps à décorer l'endroit, elle avait même décoré le bureau d'Alaric. Ce soir-là, elle savait que cela faisait presque plus d'un mois qu'elle n'avait pas donné de nouvelle. Elle avait laissé un mot qui disait : « - Je regrette. » et elle était partie. Elle n'avait pas répondu à ses appels, s'était caché dans son ancien appartement et se balader dans toute l'Angleterre, enquêtant à droite et à gauche. Et puis un jour, elle était tombée sur cette enveloppe. Il savait pour son métier de détective alors il savait que c'était inutile d'essayer de la chercher. Il savait aussi qu'elle se cachait dans son ancien appartement, parce qu'elle y vivait depuis ses seize ans et qu'elle n'avait toujours pas complètement emménagés dans leurs appartements, faisant souvent des allers et retours pour son boulot et ses études. Elle était restée devant la porte de son appart, ramassant l'enveloppe et quand elle compris son contenu elle avait repris son sac de voyage et avait foncé chez eux. Enveloppe en main, elle rentra nerveusement la clef dans la serrure avant d'ouvrir la porte.

« - Ric'. » Elle posa son sac, retira son long manteau et se dirigea rapidement vers l'intérieur de l'appartement. « - Ric' ?! » Il n'était pas dans le salon, alors logiquement elle se dirigea vers le bureau de son mari, espérant le trouvait là, travaillant sur un plan de bâtiment ou autre chose. Et elle vit juste.

« - C'est une blague c'est ça. » dit-elle restant près de la porte, Balançant l'enveloppe devant Alaric qui était au téléphone. Il raccrocha alors : « - Je te rappelle franc. » il parlait visiblement à un ami ou qui que ce soit d'autre. Il posa le téléphone se tournant vers elle.

« - Alors ? C'est... » Il l'interrompit alors, reprenant l'enveloppe et se planta devant elle pour lui faire face. « - Non. Ce n'est pas une blague et pitié, fait moi plaisir et signe ça. » Il tendit l'enveloppe et un stylo par la même occasion. Amy n'en revenait pas. Alors, ce n'était pas une blague, il voulait vraiment divorcer. En même temps, elle l'avait cherché. Elle évitait toujours les vraies conversations et s'enfermer quand la dispute devenait trop importante. Elle devait arranger les choses, parce qu'elle l'aimait. Même s'il avait changé, elle avait dans l'espoir qu'elle pouvait le ramener à la raison. Retrouvé celui qu'elle avait connu.

« - Tu... pourquoi ? » c'était tout ce qu'elle avait réussi à dire, pourtant elle voulait en dire des choses. Dire qu'elle ne voulait pas d'enfant, qu'elle ne voulait pas qu'il renonce à ses rêves, elle ne voulait pas qu'il se mette à faire des listes de ce qu'ils doivent faire dans la semaine comme si c'était primordiale d'aller voir tel ou tel ami ou tel film ou... ! Elle aimait les imprévus, elle aimait la manière dont il était passionné par le design, sa spontanéité et sa façon de cuisiner quand il était nerveux, ce problème qu'il avait pour trouver ses mots quand il était trop excité par quelque chose. Elle aimait sa naïveté et sa douceur, mais depuis le mariage il était devenu tellement différent. Il parlait trop d'avenir, de projet, il était devenu tellement coincé, prévisible. Il ne s'amusait presque plus.

« - Pourquoi ? Tu te fou de moi ? Ça fait un moment que j'en peux plus. De toi, de tes problèmes, de ta façon d'être. J'ai fait tout ce que je pouvais pour que tout soit parfait et toi, tu te casses dès que je te pose une question ! »

C'était dur à entendre, mais c'était vrai. Amy avait une façon de vivre et d'être assez original. Elle s'enfermait dans la salle de bain quand elle l'avait l'impression que tout autour d'elle s'écrouler où elle partait tout simplement, appareil photo en main, quand elle ne voulait plus rester au même endroit. Elle n'hurlait jamais, elle était trop calme. Elle criait quand elle perdait le contrôle des choses. Un bon gros crit et puis elle reprenait comme si c'était normal. C'était Amy, elle était aussi imprévisible qu'incompréhensible.

« - Pardon ? » dit-elle choquée. « - Justement, tu sais quoi. Je... Moi non plus je ne veux plus de ce mariage parce que... » Elle avait dû mal à trouver ses mots, ce n'était pas facile pour elle. Elle était incapable de s'énerver contre lui. « - Quand j'ai dit oui... je pensais que c'était toi et moi, contre le reste du monde et qu'un mariage ne changerait rien à ce qu'on est. Et puis... Et puis toi. » Les larmes montèrent toute seule. Amy était fragile dans le genre, c'était facile de la faire pleurer. « - Tu as changé, Ric'. Je n'arrive plus à te reconnaitre. » Alaric l'attrapa alors par les épaules, forçant Amy à le regardait droit dans les yeux. Il n'avait rien fait qu'espérer le meilleur pour eux parce qu'Amy était sa femme. « - Tu te voiles la face, Amy. Tout ce que je faisais c'était pour nous. C'est toi qui es incapable d'avancer dans notre relation et ça, j'en peux plus. » Il avait ce regard qui en disait long, qui prouvait qu'il était vraiment triste de devoir en finir avec elle, avec ce mariage. Le regard qui disait « je suis désolé » et qui était impossible à contredire, mais Amy réussit à dire dans un murmure. « - Tu mens. » mais Alaric poursuivit : « - Je t'aimerais toujours, mais là. Je n'ai pas envie de continuer dans une relation qui n'amènera nulle part. Toi et moi, ça fait presque plus de deux ans maintenant et si on n'arrive pas à discuter normalement c'est qu'il y a un problème. On n'était peut-être pas fait l'un pour l'autre, alors c'est fini. » Et voilà, les larmes coulèrent sur les joues blanches d'Amy. Elle se détacha de lui. Non, ce n'était pas possible. Pas lui. Pas maintenant. Elle avait besoin de temps. « - Tu mens. Tu mens... Tu mens ! » Et frapper contre sa poitrine en espérant que cela le ferait réagir, mais il resta de marbre. « - Tu as promis ! Tu as promis que toi et moi c'était pour la vie, peu importe ce qu'il se passe. »

« - C'était une erreur, Amy. » et la main d'Amy filât se planter sur la joue d'Alaric. Elle était violente cette claque. Comment osé-t-il dire que c'était une erreur, après tout ce temps. Comment osé t'il l'abandonné comme les autres. Amy recula alors, elle ne voulait pas lui faire de mal, elle ne voulait pas le gifler.

« - Je te promets, je changerais. J'te le promets, parce que je ne peux pas vivre sans toi, moi. » Elle s'écartait au fur et à mesure, continuant d'évacuer des larmes qui n'attendaient sans doute que de sortir. Elle partie ensuite en courant, laissant de côté son sac et sa veste. C'était la dernière fois qu'elle l'avait vu. Elle avait couru jusqu'à ce qu'elle ne sente plus ses jambes. Sous la pluie de Londres, elle s'était retrouvée à genoux au milieu d'une rue, à pleurer comme jamais.

Aujourd'hui, le divorce est toujours en cours, Amy le retarde. Elle veut être quelqu'un de normal, qui n'a pas peur de vouloir fonder une famille avec quelqu'un qu'elle aime. Pour cela, elle décida de faire des recherches. Sur sa famille. Elle faisait durer le divorce, en espérant qu'Alaric attendrait. Elle priait pour qu'il l'attente.


Le pire était qu'elle était de nouveau seule. Elle n'avait pas sa meilleure amie à ses côtés, puisque depuis le lycée elle ne sait pas ce qu'elle est devenue. Elle dû coupée tout lien depuis la mort du fameux professeur qui s'était mystérieusement suicider dans sa classe quelques mois après son retour dans l'enseignement. Sa meilleure amie, celle qu'elle considérait comme sa soeur avait compris qu'Amy était derrière tout ça. Cette "soeur" était au courant de toute sa vie et voilà qu'aujourd'hui, elle est ailleur. Loin. Ne pouvant plus rester à Oxford, Amy quitta Londres pour retourner en Inde. Elle se sentait étouffer dans ce pays, avec Alaric qui lui rappelait le divorce et elle qui avait besoin de trouver quelqu'un. Quelqu'un qui lui montrerait que la famille, c'était quelque chose de bien. Laissant ainsi le divorce en suspens, elle prit ses affaires et s'en alla. Elle a alors 23 ans quand elle se décide à aller chercher des membres de sa famille. Pendant plus d'un an, Amy resta en Inde, travaillant toujours comme détective privée pour gagner de l'argent et c'était dingue ce qu'en Inde, ils en avaient besoin de bons détectives. Elle trouva ainsi le nom de sa mère. Johar étant un nom très rependu en Inde, cela aurait été difficile de trouver les bonnes personnes, mais avec le nom de sa mère, elle allait sans doute avoir une meilleure piste. Elle voyagea dans toute l'Inde pour découvrir que la famille anglaise de sa mère était tous repartie en Angleterre, mais qu'ils avaient laissé une importante somme d'argent au nom d'Helena, sa mère dans un compte à New Delhi. Elle remonta ainsi à une famille Johar. Une famille dont on parlait beaucoup dans les journaux, enfin, on parlait beaucoup d'Imran Johar, l'écrivain. Celui qui avait eu une vie complètement dingue. Amy se souvient avoir lu son livre quand elle avait 18 ans. Une vraie histoire de fou, mais elle n'avait jamais pensé que cet Imran serait son cousin. Surtout qu'à Oxford, c'était lui le Imran dont on croyait qu'elle était parentée et qui lui avait permis d'avoir une bourse. Visiblement, C'était le cas, c'était son cousin. Puisque l'homme qui étaient en prison était bien son oncle. Elle alla d'ailleurs le questionné. Elle appris par la suite que le père d'Amy était revenu une fois, alors qu'elle n'était que bébé. Que son père l'avait supplié pour qu'il puisse l'aider et qu'il était content de voir qu'il avait bien fait de le mettre à la porte. Qu'il savait qu'Amy avait tué son père et qu'ainsi, Il avait était le seul héritier de la fortune des Johar, il l'a remercia même d'avoir fait ce qu'elle avait fait. Ce qui l'énerva, plus qu'autre chose. L'argent à la banque qui était au nom de sa mère et qui revenait de droit à Amy n'était pas si importante que ça, mais la jeune fille l'utilisa pour pouvoir prendre l'avion et trouver son cher cousin. Laissant son futur ex-mari de côté, Amy décida de débarquer à son tour à Arrowsic. Elle s'inscrivit pour reprendre ses études, il ne manquait plus qu'un toit sur la tête et elle savait déjà à quelle poire frapper. Elle s'était forgée un caractère calme d'apparence. Elle paraissait pour la fille qui ne pouvait faire du mal à une mouche, alors qu'en vérité elle était celle qui lui arracherait les ailes par curiosité, malgrè sa fragilité. Sa relation amoureuse et son mariage détruisit toute forme d'amour envers quiconque. Elle avait déjà de drôle habitude. Elle n'aimait que lui, mais en même temps elle le détestait d'avoir demandé le divorce et d'avoir trahit sa promesse. Tout ce qu'elle faisait là, c'était pour lui. Elle était incapable de fonder une famille et d'avoir une vie si elle n'arrivait pas à trouver la réponse à cette question qui persiste dans sa tête : « Pourquoi existes-tu ? ». Ce n'était pas quelqu'un de méchant. Elle n'avait pas tué son père par égoïsme. Elle l'avait fait en croyant sauver sa mère, personne qu'elle aimait plus que n'importe qui au monde. Elle ne supportait plus ce que son père était devenu : Un alcoolique qui battait sa femme et qui n'acceptait pas le choix qu'il avait fait. Elle n'avait pas tué le professeur par plaisir. Il ne supportait pas que des hommes ainsi existent. Amy n'était pas une mauvaise personne. La mort ne l'effrayait pas et tué n'était pas son passe-temps favoris. Au contraire, elle était bien plus fragile que ce qu'on pouvait croire en découvrant tout ça. C'est tout cela, toute sa vie qui a déterminé ce qu'elle est aujourd'hui.

C'était à croire que cette famille était maudite. Sérieusement. Deux frères et aujourd'hui, que restait-il ? Un écrivain qui avait foutu sa maison en feu et qui faisait la une de la presse à scandale et elle. Il était cependant à la tête d'une des plus grandes industries du textile de l'Inde et exportait dans l'international. Des tissus luxueux qui rendaient Imran encore plus riche qu'il ne l'était déjà. Mais l'argent, elle en était persuadée, ça ne l'avait surement pas aidé à se remettre sur pied après sa grosse dépression. Alors qu'elle trouva enfin son adresse à Mumbai, elle se rendit compte qu'il n'était plus en Inde. Monsieur faisait la fête ailleurs et pour retrouver sa trace, ce ne fut pas facile. Il bougeait constamment, allant de ville en ville, ne restant jamais au même endroit jusqu'aux jours où elle le retrouva. Il n'y a pas trente-six mille Imran Johar qui exercent en tant que psychiatre en Amérique. Elle se rendit compte qu'elle avait presque deux ans en Inde et que depuis 2012, elle essaiyait de reetrouver la trace de son cousin. Amy Eesha Johar est et restera une petite fille perdue, bercée par les cauchemars de son passé. Elle attend, dans l'obscurité, que quelqu’un l’a sauve. Et si son futur ex-mari est l’homme qui possède actuellement son cœur, il est loin d’être celui qui pourra l’aider.




Dernière édition par A. Eesha Johar le Lun 18 Juin - 14:20, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 0:01

Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 2dubev9
Sa cigarette se consumer petit à petit. La cendre devenait plus imposante jusqu'à ce que le temps lui permette de tomber lourdement contre le sol pâteux. Ses bottes encrées dans la terre mouillée, Amy s'était plantée là, devant cette petite villa dans une ville inconnue. L'Amérique, elle n'y avait jamais mis les pieds. En dehors de New York et d'autre grande ville, elle ne connaissait pas Arrowsic. Elle ne connaissait que Londres et ses rues pluvieuses, elle ne connaissait que Jaipur, sa ville natale ou la capitale du Rajasthan en Inde. Elle fixait la maison comme si à l'intérieur ce trouver un trésor, un horrible trésor. Une chose qui l'avait forcé à quitter l'Angleterre et qui maintenant, l'empêcher d'aller de l'avant. Elle attrapa enfin sa cigarette entre ses doigts fins, avant de souffler et de lever les yeux au ciel. C'était toujours la même chose quand elle était nerveuse. Elle fixait le ciel, comme à la recherche d'un regard, d'un réconfort. Mais rien, elle se prend juste une baffe de plus et se dit qu'elle n'a besoin de personne d'autre. Qu'elle a des couilles contrairement à la plupart des abrutis d'américain qui vivaient ici. Elle tira une derrière fois sur sa cigarette avant de le jeter dans la boue. Inutile d'écraser quoi que ce soit. Elle agrippa la bandoulière de son sac, on aurait dit une aventurière débarquant tout droit d'un film d'Indiana Jones. Sauf qu'elle avait une petite robe de couleurs pastel, avec une veste en cuir et des bottes. Ses cheveux mi- long, légèrement ondulé s'envolèrent un instant enveloppé par une brise, forçant la jeune fille à replacer ses cheveux derrières son oreille.Il était temps, pour Amy Eesha Johar de dire bonjour à son cousin. Elle tendit la main pour sonner, sa main tremblait légèrement. La famille, jusqu'ici la famille se résumait par : « Seule tu as été, seule tu resteras. » Chanceux sont ceux qui ont des parents normaux, banal, aimant. Ce n'était pas le cas de la petite Amy. La mère d'Amy était anglaise, sa famille ce résumé à un riche héritage venu d'un militaire anglais qui s'est installé en Inde après la colonisation. Quand l'indépendance arriva, la famille de sa mère était encore là. De génération en génération elle prospéra dans les traditions anglaises jusqu'au jour ou Elena, deuxième fille de Peter Smith tomba amoureuse d'un Indien. Karan, c'était son nom. Ils étaient deux frères Johar à l'époque, l'un était déjà marié, l'autre était fiancé, mais la famille n'avait pas accepté qu'une anglaise vient rompre l'engagement qu'ils avaient pris. Ils décidèrent alors de fuirent pour vivre leurs amours et casèrent ainsi tous liens. Et puis la naissance d'Amy n'était pas dans leurs projets et si le bonheur régné en maitre au début, c'est l'enfer qui enflamma leur monde par la suite. Le père fut tué, la mère se donna la mort et elle resta seule. La famille est un mot qu'elle ne connaissait pas et pourtant elle était face à cette porte. Parce qu'elle avait appris qu'elle avait un cousin et qu'ils étaient les derniers Johar.

Mais ce n'était pas la seule raison de sa venue.

Non, Amy savait qui était son sauveur. Aucune réponse. Pas de bruit de pas où quelqu’un qui ouvre la porte. Elle décide de frapper alors, puis une seconde fois. Il devait apparaitre. Il devait ouvrir cette porte et ensuite, faire une place à Amy dans sa vie.

« - Bon sang... Qu'il ouvre cette porte...» Et alors qu'elle s'acharnait contre la porte, elle entendit un bruit. C'était derrière la villa. Elle fit le tour en courant, Il était loin de faire beau aujourd'hui et vu l'état du sol, la pluie n'allait pas tard à revenir pointer le bout de son nez. Tout en parlant hindi, la jeune fille lança - espérant que ce crétin aller l'entendre : « - Imran Johar, je viens en ami. » Elle avait de drôle de manière de saluer les gens et de s'incruster dans leurs vies. Elle arriva alors enfin derrière et elle compris d'où venait le bruit.

Imran faisait le ménage ou vider le garage, peu importe. Il balançait un tas de choses dehors. Il s'arrêta net en voyons la demoiselle face à lui.

« - Tu en as mis du temps. » lança-t-il à Amy qui se demandait comment un inconnu osait la tutoyer. « - Pour une détective privée, tu n'es pas discrète. Cousine. » La jeune femme voulue dire quelque chose, mais désormais elle n'arrivait même pas à sortir quoi que ce soit. Pas même un mot. Elle était paralysée. Elle avait vu des photos de lui, mais en vrai, il était encore plus grand. Et encore plus mal rasé. « - Tu savais que j'étais ton tuteur légal, p'tite ? » Et il balança un carton de journaux.

Amy s'avança d'un pas, pour lui faire face.

« - Tu mens. » laissa t'elle échappé de sa petite voix. Imran balança un vieux coffre en bois qui était caché sous le piano depuis qu'il s'était installé ici. « - J'étais à Londres quand Mademoiselle était enfermée. » Il s'essuya les mains pour s'avancer vers Amy. A quelque centimètre d'elle. « - Je suis venu te rendre visite une fois. A l'époque, j'étais gentil. » Amy le fixait droit dans les yeux. Comment c'était possible ? Elle n'arrivait pas à s'en souvenir, peut-être qu'elle ne s'en était pas rendu compte. Qu'il avait été là et qu'elle ne l'avait pas remarquée ? Et si c'était lui l'inconnu à l'histoire dont elle ne se souvenait que vaguement ? « - Mon père était ton tuteur légal, malgré le conflit familial, mais ce salaud a vite remplacé son nom par le mien. Il est gentil hein ? Mais que veux-tu, j'avais d'autre chose à faire que de m'occuper d'une gamine cinglée. » C'était faux, il ne la prendrait pas pour une cinglée. Il se souvient parfaitement de cette fois où il était allé la voir à l'hôpital, la manière dont ses gros petits yeux l'avaient touché et troublé. Sauf que son père lui avait fait croire qu'il s'occupait d'elle, qu'ensuite Imran avait perdu la mémoire et que lorsqu'il se rendit compte qu'il avait oublié ce petit bout, il avait 29 ans et il venait de se réveiller d'une chirurgie cardiaque. Et puis sa vie avait pris le dessus et il l'oublia complètement. Au fond, quand il appris qu'une détective le rechercher et que c'était elle, il s'était dit qu'avant de mourir, il lui devait bien ça.

« - Je ne suis pas cinglée ! » cria-t-elle alors. Imran laissa échapper un rire nerveux. La pauvre, elle devait se sentir encore plus abandonnée maintenant ? Non ? Sachant qu'Imran avait toujours eu connaissance de sa chère et tendre cousine, mais qu'il n'avait jamais rien fait pour prendre contact avec elle.

« - Oh, Cousine, chez les Johar, on est tous cinglés. » Elle avait envie de faire marche arrière, mais c'était trop tard maintenant. « - Pourquoi tu es là ? »

Et voilà enfin la question fatidique. La raison de sa venue, le pourquoi du comment. Elle devait maintenant trouver une bonne excuse, un bon truc pour expliquer sa venue et aussi expliquer pourquoi elle veut vivre ici.

« - Je... je devais quitter Londres et comme tu vis ici, je me suis dit que c'était parfait pour commencer une nouvelle vie ? » Imran laissa échapper un autre fou rire. Elle ne voyait pas ce qu'il y avait de drôle dans ce qu'elle avait dit. En même temps, elle n'était pas douée pour mentir elle qui disait toujours la vérité. Il lui fit signe alors de le suivre.

« - T'as de la chance, L'ancien moi se sentait assez coupable de ne pas aider la p'tite Amy. » Il se prenait pour une star ou c'était maladif chez lui de parler comme ça ? « - L'ancien toi ? » et puis illumination dans la tête de la jeune femme qui parfois se comportait comme une petite fille. « - Oh oui ! Tu as perdu la mémoire à 27 ans, j'ai lu ton livre. » Imran haussa les épaules. Amy affichait un sourire enfantin, comme contente de s'être souvenu de quelque chose. C'est vrai qu'Imran n'avait pas une bonne réputation, mais pour le moment, il avait l'air gentil. Pour le moment.

« - Y'a une chambre vide à l'étage, avec salle de bain. C'pour toi. Tu y fais ce que tu veux. Tu payeras un loyer, l'eau que tu utilises, la bouffe que tu mangeras et tu n'entreras jamais dans mon bureau, ni dans ma chambre. » Il se tourna vers elle, alors qu'elle lança un très joyeux : « Quel radin ! » Et lui offrit un jolie sourire avant de dire :

« - Welcome à Arrowic, Cousine. »



Dernière édition par A. Eesha Johar le Lun 18 Juin - 14:15, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 0:02

HAHA ! xD
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 0:05

J'ai pu poster à 00h00 ! :) Voilé vive ma petite soeur et ses copines encore là ce soir et mon pc portable ♥
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 0:48

Cette fiche promet d'être d'une foutue beauté sans nom. Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 621506
Rebienvenue mon grand, et puis avoir choisi Keira, c'est beau. Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 63951


Dernière édition par Thabyta P. Aberdeen le Lun 18 Juin - 10:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 1:09

Keiraaaaaaaa. Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 58332 J'aime trop cette actrice. Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 3242198613
Re-bienvenuuuue. Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 2965971428 Amuse toi bien avec ce nouveau perso. Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 890765 Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336
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Fernando Gautier-Perez
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 6:47

Tes pas sérieuse la ? T'as déjà fait toute l'histoire ??? Shocked
Rassures moi, tu l'avais pré-écrite ? Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 890765 en tout cas j'ai lu que le début, mais j'aime déjà beaucoup ton DC Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 556141 Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336 rebienvenuuuue donc et j'espère que tu vas tamuser avec elle Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 890765 I love you
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 11:55

Re bienvenue!
Ça c'est de la lecture Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336
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Mattia Jarvis
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 12:04

C'est moi où il n'y a que moi qui ne sait pas qui tu es? Je dirai Imran Arrow. Mais tu jouerais ta propre cousine?? Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 27094

En tout cas, jolieeee ficheeee <33
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 12:08

THAB ♦️ Oh Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336 Merchi Merchi !!

ETHAN ♦️ Moi aussi je l'adore Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 242446 et j'ai trouvé qu'elle collé super bien au perso alors j'était trop contente qu'elle ne soit pas encore prise ici héhé

FERNY ♦️ Ouais, en 20 mins j'ai tout écrit (non, j'avais déjà tout écrit ailleurs :D) Maintenant faut que je corrige Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 768993

CALLEN ♦️ Merciiii Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336

MATTIA ♦️ Yep :D J'aime joué la family (je suis taré dans ma tête)
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 12:48

A. Eesha Johar a écrit:
J'aime joué la family (je suis taré dans ma tête)

Après tant que tu pousse pas le vice jusqu'à RP avec toi-même, ça va. Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 27094
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 12:50

elle l'a déjà fait... plusieurs fois Arrow
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 12:55

Bienvenue! Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 45760
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 13:01

Rebienvenue Mamie Amy Eesha Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 890765 Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336 I love you
Finalement tu l'as ton DC. Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 918094149
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 13:20

ETHAN Comme Priya l'a dit, je suis une pro pour le RP entre moi et moi-même (mais c'est que je doit vraiment m'ennuyait alors !) Mais y'a pas de risque que ça arrive pour le moment x)

TYLER Merci Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 242446

QUINN J'peut pas dire bébé Quinn avec Amy, ça fait bizarre x) Ouais ils sont trop gentils t'as vu Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 13:57

Le voilà enfin, le petit DC :roll2:
Et sinon ça va, c'est pas trop long. Laughing
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 14:21

Oui, enfin Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336
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Mattia Jarvis
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 17:32

Priya Meyers a écrit:
elle l'a déjà fait... plusieurs fois Arrow

Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 27094 Alors, celle-là, on me l'avais jamais sorti Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 27094
T'es schizo en vrai Papy :P
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 17:53

non :D Pas du tout Arrow mais c'était à l'époque des 5 lignes de RP :)
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 19:31

Ta fiche est formidable ! Il me faut un lien avec toi Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 63951
Et puis Keira pas assez présente sur les forums à mon plus grand malheur, je suis sous le charme Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 19:38

Oh merchi Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 86663
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 20:31

whoa. le personnage promets Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 759523 rebienvenue chez toi I love you
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyLun 18 Juin - 20:47

Mais qui est-ce ? Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 562126
(et bordel ça va je crois qu'elle t'inspire un peu là quand même o_o faudra clairement que je la lise quand j'aurai la foi héhé Arrow )
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » EmptyMar 19 Juin - 0:00

SUTTON : Merci Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 918094149

HELENA : Mystère et bouboule de gomme Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336 haha et j'aurais pu écrire davantage, mais je me suis dit que c'était bon Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 890765 J'ai été plus gentille avec Imran Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » 432336
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MessageSujet: Re: Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. »   Aimée (Amy) Eesha Johar - « - Je croyais qu'une promesse était aussi éternelle qu'un sourire. » Empty

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