Sujet: (irene) + I'm back bitches. Jeu 28 Nov - 16:23
Irene (Lemon) Dorsett
Identity, please.
Nom : Dorsett. + Prénom(s) : Irene Lemon Ivy. + Âge : Vingt-quatre ans. + Origines : Canadiennes. + Statut Civil : Célibataire. + Occupation : En recherche d'emploi. + Avatar : Hilary Duff (parce que, je sais pas, j'avais envie. On la voit jamais et puis elle a bercé mon enfance quoi. ()) + Crédits : hilarygifs | tumblr.
Be yourself.
Heyheyheeeeey. en fait, vous me connaissez (ou pas ) Ici Sutton-Susu-lacochonne-lethon... BREF, j'en passe des pas mûres eukéé? Non mais genre voilà, je vous avais dit qu'un de ces quatre je reviendrais... BAH me voilà. Parce que THUB m'a bien trop manqué. bisous sur vos fesses droites. (ou gauches, si vous êtes amputés d'la fesse droite bien sûr )
Sujet: Re: (irene) + I'm back bitches. Jeu 28 Nov - 16:24
one: nine yo.
Rencontrer Irene, à l'époque, c'était rencontrer un petit diable. Du haut de ses neuf ans, rien ne lui résistait. Incorrigible, elle passait plus de temps à se faire gronder par son père ou sa nounou qu'assise sur les bancs de l'école. Elle ne manquait jamais une bêtise, une flaque, une sonnette, un caillou. Rien ne lui résistait, au grand dam de son père. Sa mère, elle, était partie sans mot-dire un matin de janvier. Trois ans déjà. Elle était dépressive à l'époque, et après plusieurs séjours en cliniques, elle avait plié bagages. Ce qui est malheureux à dire, c'est qu'elle n'a jamais manqué à la petite. La vérité, c'est qu'elle s'occupait peu de sa fille. Jamais ou presque elles n'avaient passé un moment à deux. Et Irene était heureuse d'avoir son papounet pour elle, et à elle seule. Mais cette année là, une grande nouvelle allait bouleverser la vie de notre duo Dorsett. Liam allait se remarier. Deux ans qu'il était amoureux d'une femme, une certaine Kelly, pour qui il quittait le Canada et sa vie. Seattle était leur nouvelle destination. Et cela ne plaisait pas à la petite. Non non non. Elle ne voulait ni quitter ses copains d'école et de bêtises, ni partager son père avec une nana et son fils de sept ans. Elle avait d'autres chats à fouetter que de faire copain-copain avec un morveux. « Ren ! Tu es prête ? » Une voix résonna dans l'escalier, mais la jeune fille, assise en tailleur dans sa chambre, ne bougea pas d'un poil. Son père poussa la porte de la pièce, ses sourcils se fronçant à la vue du bordel et des taches qui ornaient la salopette de la gamine. « Tu te moques de moi ? Comment t'as encore réussi à te foutre dans un état pareil ? » Son expression hésitait entre l'incompréhension et la résignation. « Je veux pas y aller ! J'irai pas ! Tu peux pas me forcer ! » Irene était debout, à présent, bras croisés et mine boudeuse. Cela faisait trois jours que son père lui avait demandé de terminer ses valises. Lorsqu'il l'avait quittée la veille au soir, il ne manquait que quelques vêtements et deux-trois peluches à ajouter à son sac. Mais dans la nuit, visiblement, la gosse avait eu raison de son idée et avait dispersé ses affaires partout. « Tu pourrais y mettre du tien tu sais. Je ne t'ai jamais dit que ce serait facile, de quitter la ville, tes amis et tes habitudes, mais on sera ensemble, et une vie meilleure nous attends là bas, j'en suis persuadé. Mais pour ça, il faut que tu m'aides un petit peu. » Les sourcils de la gamine se froncèrent un peu plus, et son père, ébahi, assista à son coup de pied renversant violemment la table de nuit. Il ne savait plus quoi faire, pour lui faire accepter ce nouveau départ. Attristée, Irene quitta la pièce en grognant. « Tu comprends rien à rien. T'es nul ! J'te déteste ! » C'était faux. Elle aimait son père. Plus que tout au monde. Elle était juste jalouse, et avait une peur bleue que cette nouvelle femme lui pique son papa chéri, tout simplement.
two: fourteen yo.
Finalement, Irene s'était bien habituée à Seattle, à sa belle-mère et à son demi-frère. Elle avait appris à partager son père, appris que tout ces changements, dans le fond, ne changeaient rien à leur relation. Ce qui modifia tout, ce fut l'entrée dans l'adolescence de la jeune fille. Elle se mit, comme tout le monde, à ne plus vouloir être vue en compagnie de ses parents : "la te-hon". Elle éludait les sorties en famille et faisait le mur dès treize ans. Son père en était blessé, mais la vérité, c'était qu'il n'avait, lui non plus, pas le temps de lui consacrer des après midi comme avant. Il avait eu une mutation qui lui demandait de faire des allers-retours dans tous les pays du monde chaque semaine. Si bien qu'Irene se retrouvait seule avec sa belle-mère et son demi-frère la plupart du temps. Et sa belle-mère, autant le dire, était une vraie peau-de-vache avec elle. Elle avait toujours un reproche à lui faire. Si bien que la jeune fille préférait sortir avec ses amis et traîner dans les rues de Seattle jusque tard dans la nuit. Une sortie en entraînant une autre, il lui arrivait même parfois de ne pas rentrer plusieurs jours de suite. Elle découchait de plus en plus régulièrement,finissant ses nuits chez des amies, ou chez l'un de ses copains de l'époque. Elle voyait de moins en moins son père, toujours à Tombouctou ou au fin fond de l'Australie pour le travail. Et même si l'adolescence lui demandait d'éviter ses parents, elle souffrait cruellement de cette absence. Intérieurement, tout du moins. Elle se gardait bien de partager ce mal-être à quiconque. Si bien que, les peu de fois où elle se retrouvait en face de son père, elle était d'une insolence rare et, peu à peu, ils perdirent leur lien émotionnel, finissant par être quasi deux inconnus l'un pour l'autre. Elle le haïssait de n'être jamais là. Elle lui en voulait terriblement mais était incapable de le lui dire. Elle se réfugiait derrière des insultes, des portes claquées, des nuits dans la rue et elle fugua même plusieurs fois, alors que son père était loin de Seattle. C'était un appel à l'aide qu'il ne sut saisir, qu'il ne comprit jamais.
three: seventeen yo.
« Ren ! Levez-vous, le juge va rendre son verdict. » Déballant ses affaires dans ce qui s'avérait être sa nouvelle chambre, Irene se repassait la scène en boucle. Bien que cela faisait maintenant une semaine que le verdict avait été prononcé, la jeune fille revoyait encore la salle, la barbe mal taillée du juge, le regard accusateur de l'avocat de sa mère, les yeux vides de son père, l'odeur étrange des bancs... « Aux vues du présent dossier, Madame Lola Hastings obtient la garde exclusive de sa fille, Irene Dorsett. » Elle avait avalé de travers sa salive lorsque le juge, solennel, avait prononcé ces quelques mots. Ça paraissait anodin pour lui. Ça changeait toute la vie d'Irene. Encore un déménagement dans une ville qu'elle ne connaissait pas. Arrowsic, un vieux trou perdu où sa mère avait refait sa vie et sa santé mentale. Elle avait les boules (les glandes, les crottes de nez qui pendent o/). Non pas vraiment de quitter son père, qui était, à ses dix-sept ans, un étranger rarement présent physiquement dans sa vie, mais qu'une nouvelle fois, tout recommence à zéro. Et encore, ce n'était pas le pire. Sa mère -si elle pouvait encore l'appeler comme ça-, réapparaissait dans sa vie après onze ans sans nouvelles. Du jour au lendemain, son père avait reçu par courrier une assignation en justice. Elle voulait récupérer sa fille. Elle s'était remise de ses différentes dépressions, elle regrettait amèrement avoir abandonné sa petite fille, mais elle avait fait le bon choix: elle n'était pas en état, à l'époque, de prendre soin d'elle. Mais aujourd'hui, elle allait mieux, elle avait refait sa vie. Elle avait même pris soin d'engager un détective privé pour les retrouver et constater à quel point Irene était livrée à elle-même, qu'elle était mal, qu'elle fuguait pour de bonnes raisons etc etc. Elle avait un dossier accablant pour le père de l'adolescente: père absent, qui ne prend pas soin de son enfant, et tout un tas d'autres conclusions. Finalement, le verdict du juge n'avait pas été une si grande surprise. Tous s'y attendaient. Ce qu'Irene vivait mal, c'était que sa mère allait mieux depuis sept ans mais qu'elle n'avait jamais fait un seul pas vers elle pendant toutes ses années. Qu'elle se pointait comme une fleur pour la récupérer. Qu'elle ne lui avait que peu parlé, les différents échanges s'étant résumés chez les avocats. Jamais... Jamais, elle ne lui proposa un moment pour elles deux, rien. Elle trouvait ça injuste. Terriblement égoïste. Elle avait l'impression d'être un objet pour sa mère. Qu'elle représentait une revanche sur son ex. Elle détestait ça. Et au delà, Irene appréhendait terriblement de se retrouver dans ce petit coin perdu du Maine. Ses amis lui avaient même dit, en rigolant, que dans le village il n'y aurait sûrement ni le câble ni grand centre commercial. Elle avait rigolé, mais doucement. Elle craignait vraiment que ça soit vrai. Passer de Seattle à Arrowsic était déjà une épreuve en soi, la tâche s'annonçait compliquée. Elle se sentait perdue au milieu de ces petites maisons de campagne et ces rues vides, même seulement trois heures après son débarquement...
four: twenty-one yo.
A vingt-et-un ans, Irene était bien loin de la petite fille modèle qu'elle avait pu être à six-sept ans. Elle n'avait toujours pas créé de lien profond avec sa mère, et si son adresse officielle était la maison de cette dernière, elle n'y était physiquement jamais. Elle passait d'appartement en appartement d'amis, ne les laissant respirer que lorsqu'elle avait un nouveau copain, où elle établissait domicile le temps de la relation. Elle avait quasi rompu tout contact avec sa mère, celle-ci désapprouvant ce que sa fille était devenue. Irene buvait, Irene enchaînait les cachets multicolores, mais, pire encore aux yeux de sa mère: Irene était strip-teaseuse. Chose qu'elle cachait bien à ses relations, honteuse du "métier" de sa fille. Ce sujet était tabou et, même sans l'avoir dit bien en face, Irene savait qu'elle était bannie de la maison tant qu'elle exercerait ce job. Un job qui lui plaisait, en fait. Son nom de "scène" était ivy, son troisième prénom. Et contrairement à ce que les gens pouvaient penser, elle adorait son boulot. Non pas qu'elle soit une obsédée ou une nymphomane, mais elle aimait "jouer un rôle", comme elle disait. Le strip-tease, c'était avant tout un spectacle. Dans le fond, elle était toujours cette petite qui adorait monter sur scène pour jouer tout une palette de personnages. Cette petite maquillée aux quatre coins de la maison hurlant des choses sans queue ni tête à qui voulait l'entendre. Cette petite qui montait sur les planches à chaque occasion. Cette petite qui avait brillé aux yeux de son père en jouant le rôle d'un arbre muet au spectacle de l'école primaire. Cette petite qui dansait et chantait en yaourt à chaque chanson que tonnait la radio. Cette petite qui s'amusait, qui profitait, qui aimait la vie, dans le fond. Mais sa mère désapprouvait fortement. Quant à son père... Elle n'avait de nouvelles de lui que deux mails dans l'année: un à son anniversaire et à Noël. Il était bien loin le temps de la relation fusionnelle. Elle profitait de la vie, donc. Elle n'avait eu de relation sérieuse, si ce n'était avec son amoureux de lycée. Un garçon qu'elle avait rencontré à son arrivée en ville, de nombreuses années à se séparer puis se remettre ensemble. Ils passaient leur temps à s'engueuler mais dès qu'ils rompaient, décision pourtant la plus sage à leurs yeux, ils ne pouvaient s'empêcher de retomber dans les bras l'un de l'autre. Tous deux essayaient tant bien que mal d'avancer, de se trouver quelqu'un d'autre, mais ils enchaînaient les relations en vain. Et à trop jouer avec le feu, Irene s'était brûlée les doigts. Elle était tombée enceinte. La date limite d'intervention passée, elle n'avait d'autre choix que de mener la grossesse à terme. Et elle avait besoin de sa famille pour cela. Elle envisageait l'adoption, tout comme le garder, cet enfant. Elle avait besoin de la figure maternelle. Sauf que celle-ci eut une idée qui surprit Irene. Trop fragile à l'époque pour protester, droguée, alcoolique, instable, elle ne broncha pas. Lola Hastings décida de garder le bébé dans la famille, hors de question de l'abandonner. Pire que ça, elles mentiraient à tout un chacun. Irene promit donc de l'accompagner à Phoenix, dans l'Arizona, pour mener cette grossesse à terme et de n'en toucher mot à personne. Elles résideraient chez sa grand mère et, à la naissance du petit, on dirait à tout le monde que ce serait le fils de Lola, et donc le frère -ou la soeur- d'Irene, et non son propre enfant. Irene s'était laissée convaincre par sa mère qu'elle était trop irresponsable, jeune et portée sur les pilules et l'alcool pour élever correctement un enfant. D'autant plus que son métier était inadmissible pour une mère d'un nourrisson. Et Lola de réaliser son rêve depuis quelques années: avoir un deuxième enfant.
five: twenty-four yo (today).
From: irene.dorsett@gmail.com To: joedorsett@gmail.com Subject: Merry Xmas, ou presque.
Salut papa. Je prends un peu d'avance sur le traditionnel mail de "Noël". Enfin, à trois semaines de la date, on va faire tout comme. Et plutôt que de m'en tenir à nos (encore traditionnelles) deux lignes phatiques: joyeux noel, je t'embrasse, irene. J'ai décidé de te faire un petit résumé de ma petite vie actuelle, histoire de. Parce que bon, sait-on jamais, t'as peut être pas assez à faire avec ta femme et ton beau-fils niveau "NOUVELLES SALUT". Maman est morte. Le mois dernier. D'un cancer. Mais bon ça, on s'en fout, non ? Je me doute bien que ça te fait une belle jambe, j'ai pas raison ? Pourquoi je te dis ça ? Ah ouais, parce que du coup j'ai récupéré la garde de mon fils. OUAIS T'ES PAPYYY. Youhouhou non ? o/ Il s'appelle Théo et il a deux ans (au cas où t'en aurait quelque chose à carrer, sait-on jamais, hein). Pourquoi je te l'ai pas dit avant ? Ouais ouais, t'étais un peu en droit de savoir que t'étais papy, je suis d'accord. LE PETIT TRUC, à vrai dire, c'est que ben même Théo il est pas au courant tu vois. Que je suis sa mère, pas que t'es son pépé (enfin si, mais bon) BREF, on est d'accord. Ouais parce que cette pétasse de mère à qui tu m'as laissé sans vraiment te battre à l'époque (SOYONS D'ACCORD encore une fois), ben elle m'a carrément prise pour une conne. Okay j'étais pas en état d'élever un gosse à l'époque (ouaaais je t'ai pas dit, j'étais strip teaseuse et j'ai fait une cure de désintox il y a peu : AH AH, AH AH ouais ?) mais bref, elle lui a fait croire et a fait croire A TOUT LE MONDE que c'était son gosse. Donc que j'étais sa demi soeur, et non sa mère. Ça va tu suis ? Sauf que là, maintenant qu'elle est morte, ben j'en ai récupéré la garde, tu vois ? Parce que même si elle est mariée (enfin, elle était, vu qu'elle est dead) ben l'Etat il connait rien de ses conneries et je suis bel et bien la môman de ce petit Théo. Et bon, il est à moi ce gosse, pas à mon beau père qui est un alcoolique invétéré. D'autant plus qu'il l'embarrasse plus qu'autre chose le petit, et qu'il est bien content de s'en débarrasser soit dit en passant. Je parle trop peut être ? Okay je me dépêche de finir ce mail, que tu puisses retourner dans les bras de ta pupute à Hong Kong (j'espère que ta femme ne lira pas ce mail: ohlalala.) Donc voilà, après trois ans d'absence, je suis de retour dans ce petit trou d'Arrowsic pour m'occuper de mon fils de trois ans qui croit que je suis sa soeur. Et j'ai genre TOUT à apprendre, de la façon d'apprendre à aller au pot jusqu'à le repassage en passant par la cuisson des légumes vapeur. TU VOIS LE TRUC ? Alors bon, j'aurais bien aimé avoir un peu de soutien de ta part genre, mais je sais très bien où t'en es vis à vis de moi, donc je me fais NO illusion, PAS DE SOUCIS.
BREF, en tous cas, ce qu'il faut que tu retiennes c'est: JOYEUX NOEL PAPYYY! o/ Puis t'embrasses bien ta petite famille parfaite pour moi ? Okay ?
Irene.
Dernière édition par Irene Dorsett le Mer 4 Déc - 20:34, édité 5 fois
Sujet: Re: (irene) + I'm back bitches. Jeu 28 Nov - 16:32
Oh bah tiens une revenante ! contente de te revoir parmi nous J'adore ton choix d'avatar qui sort de l'ordinaire, et le premier gif de ta présentation me fait trop rire re-bienvenue chez toi, bonne chance pour ta fichette
Sujet: Re: (irene) + I'm back bitches. Ven 29 Nov - 9:29
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan mais ça fait trop trop trop plaisir d'être accueillie comme ça je vous juuuuuuure THUB m'a tellement manqué vous vous imaginez pas à quel point Lyyssss, woooow ça fait bizarre de ne plus te voir en Katie !! mais bon dieu ce que natalie est belle Ella, j'espère quand même que tes voisins ne t'en veulent pas de les avoir réveillés aimee est trooop belle en brune BORDEEEL
merci les loulous, vous êtes trop au top et juste, j'ai un petit empêchement de dernière minute ce week end (je dois aller à Genève avec mon copain pour qu'il récupère sa prochaine Basse ) du coup je ne pourrais pas me connecter. BREF, tout ça pour vous avertir que je ne vous lâche pas et que je reviens en force dimanche soir pour finir cette fiche
Sujet: Re: (irene) + I'm back bitches. Ven 29 Nov - 10:20
Oui, Natalie est trop canon, je l'adore <3 (même si j'aimais bien Katie !) Et elle va trop bien avec mon perso :) On est tous tellement heureux de te revoir, c'est normal qu'on t'accueille comme il se doit ! Bon week-end en tout cas !
DOUBLE-COMPTE : La schizophrénie ne nécessite pas plusieurs corps, mais une seule tête. MESSAGES : 424 ARRIVÉE : 10/11/2013 LOCALISATION : Au sommet du Squirrel Point Light, affrontant l'horizon.
Sujet: Re: (irene) + I'm back bitches. Sam 30 Nov - 17:37
Suthon, je savais que tu craquerais toi aussi WELCOME BACK BABYYYYYYYYYYYYYYYYY !!!
(ici Le king Imran, mais j'pense que tu avais deviné ) Dès que je reviens, j'lirais ta fiche et on fera même des bébés si tu veux *sort*
Sujet: Re: (irene) + I'm back bitches. Mar 3 Déc - 11:15
ooooh comment j'vous fais à tous plein de poutous poutous sur vos fesses non mais attends, c'est trop normaaal de finir par revenir, THUB c'est TROPDLABOMBEATOMIIIIQUE
DOUBLE-COMPTE : La schizophrénie ne nécessite pas plusieurs corps, mais une seule tête. MESSAGES : 424 ARRIVÉE : 10/11/2013 LOCALISATION : Au sommet du Squirrel Point Light, affrontant l'horizon.
Sujet: Re: (irene) + I'm back bitches. Mar 3 Déc - 17:18