LIZZIE JOANNE SOMERSET

❝ Le passé ne meurt jamais. Ce n'est même pas le passé. ❞

✗ nom : SOMERSET ✗ prénom : Lizzie, Joanne ✗ date de naissance : le 02/03/1989 ✗ âge : 26 ans ✗ lieu de naissance : Bangor, Maine, Etats Unis ✗ nationalité : Américaine ✗ orientation sexuelle : Hétérosexuelle ✗ statut marital : Sentimentalement perturbée et instable ✗ métier/études : Détective privé ✗ groupe : IT DOESN'T MATTER ✗ avatar : Lauren Cohan✗ crédit : écrire ici.

Compliquée, elle se pose beaucoup trop de questions ✗ Sentimentalement perturbée, seule sa relation avec Spencer à fonctionnait car ils n'attendaient rien l'un de l'autre ✗ Secrète, sa carapace est difficilement cassable ✗ Instinctive, elle agit à l'instinct. C'est tout de suite ou jamais. ✗ Parfois irrationnelle, elle essaie de contrôler ces excès de parano ✗ Le mot espoir est tatoué à l'intérieur de son poignet droit ✗ Méfiante, elle met du temps avant d'avoir confiance ✗ Solitaire ✗ En apparence froide, mais peut-être adorable quand on la connaît ✗ Loyale ✗ Sa vocation est lié à l'abandon de sa mère ✗ Elle n'en a jamais parlé, mais elle n'a jamais abandonné l'espoir de la retrouver ✗ Elle a abandonné son enfant c'est la raison de son arrivée ici ✗ Elle se pense incapable d'être une mère ✗ Spencer son ex-petit-ami ne sait pas ou elle est partie ✗ Elle n'a pas prévenu ses sœurs, ni son père de son départ ✗ Discrète, elle est douée pour les filatures, c'est sa spécialité. ✗

TENDER KANGAROO

✗ âge : 22 ans dans 5 petites jours✗ pays : France ✗ fréquence de connexion : Je ferais au maximum ✗ où as-tu connu thub ? Grace à Lina    ✗ inventé/scénario : Inventé ✗ avis sur le forum : J'ai craqué, ça veut tout dire non ? ✗ c'est ton dernier mot, jean pierre ? Nan, j'ai pas finis ! hihi

❝ citation de ton choix ❞

Lizzie est née dans une famille nombreuse, la vie lui offrit trois grandes sœurs merveilleuses, un père dévoué à ses filles et une mère qui ne sera pas celle espérée. Bien que tout semblait pouvoir être parfait pour cette jolie petite tribu, il fallu que la mère de Lizzie plaque tout. Qu'elle abandonne part un beau matin d'hiver, mari, enfant, maison et chien. Sans raisons. La petite brune avait un an tout juste et pourtant madame Somerset n'avait jamais su l'accepter, ni l'aimer. Elle avait tout bonnement rejeté sa fille à sa naissance. Un dépression qui guérirait disait le médecin et puis, il c'est simplement avéré que cette femme qui l'avait mise au monde n'aimait pas cette vie et qu'elle avait soif d'aventure, dans tout les sens du termes.

Vivre sans maman n'aura pas été simple les premiers temps, mais petit à petit leur père à sut combler l'absence, les plus grandes ont prit soin des plus petites. Ses sœurs devinrent très vite des modèles pour la petite Liz qui n'avait pas eut ce repère si important à tout enfant. Malgré tout, malgré l'absence et cette sensation d'abandon qu'elle ressenti lorsqu'elle eut l'âge de comprendre, Lizzie eut une enfance calme et agréable dans une famille plus unie que n'importe laquelle. C'était un pour tous, tous pour un. Une devise que les filles Somerset mirent en pratiquent à l'école, impossible de s'attaquer à l'une d'elle sans que la tribu ne vienne prendre sa défense.

Le plus dur dans cette histoire ce fut, le regard des autres sur sa famille. Les « Pauvres petites elles doivent être malheureuse sans leur maman. » ou bien « Abandonnée de la sorte, comment va t-elle s'en sortir ?? » La pitié des gens et le jugement qu'ils pouvaient porté sur leur histoire, c'était ça le plus dur. « Ma jolie, ta maman était quelqu'un de très gentille, de très jolie, tu lui ressembles beaucoup tu sais ? » Non, non elle n'en sait rien. Elle n'en a aucun souvenir. Et comment qualifier cette femme de gentille ? Alors qu'elle à mit les voiles sans un mots les abandonnant sans regret ?? Ça c'était le plus dur. Le plus dur, c'est toujours et encore les autres. Et cette société de pacotille ou chacun se sent obligé de donner son avis et juger les situations de ses voisins. A les écouter, sa mère était morte, mais ce n'était pas le cas. Non, elle était bien vivante, quelque part dans le Maine ou à l'autre bout du monde, peu importe, vivante, consciente, pire heureuse peut-être.

Ce n'est que bien plus tard, que Lizzie ne fit les frais de cet abandon. Parce que jusque-là, elle avait eut une belle vie, avec des sœurs extraordinaires, un père unique. La jeune femme n'a jamais manqué d'amour. Elle à simplement manqué d'une mère, de cette présence rassurante, ce petit quelque chose que ces sœurs n'avaient pas à l'époque, elles n'étaient pas mères. Si elle n'en a jamais réellement parlé à qui que ce soit, des questions hantaient et hantent son esprit depuis toujours. Pourquoi les avoirs abandonné ? Pourquoi ne l'avait-elle pas aimé comme ses sœurs ? Avait-elle fait quelque chose de mal ? Était-elle responsable ? Lizzie au contraire de ses sœurs à toujours eut une carapace, une coquille dur à percer dans laquelle elle renfermait toute la douleur de cet abandon. Elle était la plus solitaire de toute, la plus forte aussi, c'est elle qui pleurait le moins des quatre. Mais ça c'était seulement en apparence, car intérieurement son cœur n'a jamais cessé de saigner.

Sentimentalement instable, aucune de ses relations n'a duré et elle était à chaque fois à l'origine de la fin de l'histoire. Chacune sauf lui. Sauf Spencer. Avec lui ce fut différent. Il n'avait pas les mêmes attentes que ses prédécesseurs. Bien au contraire. Il était leur opposé. Pas de stabilité, pas d'engagement et surtout pas de bébé. Un blocage psychologique, conséquence directe du fait de n'avoir pas connu sa maman, c'est certain. Comment pourrait-elle élever et aimer un enfant, elle qui n'a jamais connu cet amour maternel ? Il était volage, oui, elle le savait. Et ce n'était pas si grave au fond. Bien sur, elle avait mal quand elle le savait avec une autre, parce qu'elle l'aimait, mais elle savait qu'il ne lui demanderait pas ce qu'elle ne pouvait pas lui donner. C'était comme si ils avaient tout les deux signé un arrangement.

Oui mais voilà, ce contrat vola en éclat comme un verre se brise suite à un choc. Lorsqu'un médecin annonce à Lizzie qu'elle est enceinte de 7 mois, son monde vole en éclat. Diagnostique, un déni de grossesse. Ses oreilles bourdonnent, sa vue se trouble. Elle n'est pas prête et ne le sera jamais et pourtant ce bébé et là. Il existe. A ce moment là, l'enfer s'ouvre sous ses pieds, elle est au bord du précipice. Elle ne sait plus quoi faire. Elle ne sera pas une bonne mère, elle en est persuadée depuis toujours. Persuadée d'être comme sa propre mère. Un monstre. L'avortement n'est plus envisageable. Désemparée, Lizzie se tourne bien évidement vers Spencer, parce qu'il est le père et qu'elle à besoin qu'il la rassure. Mais il fera tout le contraire. L'encourageant dans son résonnement que le gêne de mère indigne se transmet de mère en fille. Fragile psychologiquement à propos de ce sujet, la jeune femme perdra totalement pied. Et lorsque ce petit être vint au monde, Spencer affirma à Liz que le meilleure pour lui était d'avoir de vrais parents. Il ne voulait pas de ce bébé, la jeune femme était tellement perdue qu'elle ne savait plus. Elle ne savait même plus qui elle était. Aveuglée part la peur, par toute la peine qu'elle gardait en elle depuis petite, elle décida d'offrir une chance à ce petit bout de chou. Si cette décision pouvait sembler généreuse, elle n'en fut pas pour autant facile à accepter. La dépression les premieres semaines et puis, tout plaquer. Tout laisser. Comme l'avait fait sa mère. Ce départ elle l'envisageait à cause de Spencer, à cause d'elle. Elle n'était plus elle même. Elle était devenu une chose, sa chose. Mais elle n'était pas ce genre de femme. Non, elle avait toujours été forte et indépendante. Liz avait ce besoin de se retrouver, se reconstruire. Sa valise à la main, elle quitta sa ville natale, direction Arrowsic, ou un poste de détective privé dans une boite spécialisée dans le domaine l'attendait. Un moyen comme un autre d'oublier d'avoir laissé ce bébé, son bébé à des inconnus. Un moyen que personne n'en sache rien. Eviter que les jugements ne pleuvent comme dans sa jeunesse. Ici personne ne saura, personne ne la jugera, personne ne la regardera avec les yeux triste. Il sera plus simple d'oublier et d'accepter.

Bienvenue à Arrowsic !

Toutes nos félicitations ! Ta fiche vient d'être validée et te voilà officiellement un habitant d'Arrowsic. Installe-toi sans plus attendre et prépare toi à vivre une toute nouvelle aventure.

Avant de sauter directement à la partie rp, voici un petit guide de notre petite ville afin que tu t'y retrouves :

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✗ Tu as également la possibilité d'aller voir les scénarios actifs et réfléchir à des liens avec les personnages proposés. Ou alors, tu peux aussi créer tes propres scénarios, ici !

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