Sujet: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Jeu 23 Aoû - 23:03
AYAMI (YUYA) NAKAJIMA
«Ptit con! non seulement tu te permets de pourrir ma vie, de me hanter, mais t'arrives aussi a t'infiltrer dans mes rêves. »
NOM: Nakajima ⊰PRÉNOM: Ayami Yuya. ⊰ÂGE: 22 yo. ⊰ORIGINES: japonaises. ⊰MÉTIER/ÉTUDES: sans travail, Fille et héritière d'un Yakuza ⊰STATUT CIVIL: Célibataire mais promise à Ryu ⊰CRÉDITS: tumblr. ⊰AVATAR: yui aragaki .
please, tell me your story. i’m listening.
J'étais une fille de bonne famille, celle facile à critiquer car elle est timide et fragile. J'avais de bonnes notes, j'étais sportives, et savait faire de nombreuses activités...Mon histoire est faite de rêve et de désir, lorsque je ne disais rien et approuvais tout ce que mon père pouvait me dire ou me demander je rêvais de m'envoler loin d'ici et avoir ma propre vie. Je pourrais parler de cette enfance étouffante pendant des heures, mais il suffit de dire que je n'avais que le choix d’obéir. Sans un mot, je devais faire ce que l'on me dit, protester ne servait à rien, hormis à me blesser plus d'avantages me sentant mal aimer de mon père qui ne s'exprimait à mon égard qu'en criant. Ma mère m'a un jour dit que les femmes comme nous, ne servait qu'a apaiser les tensions des hommes et nous sommes là pour être d'accord avec eux et créer un foyer soyeux et merveilleux où ils sont heureux de vivre. Je n'y ai jamais cru, à cette époque j'aurais voulu lui dire que rien nous obligeait d'être soumise. Mais comme j'ai toujours fait pendant de longues années j'ai acquiescer ses propos..
« AYAMI !!! » je détestais sa voix, ce regard rempli de reproche et de haine qu'il posait sur moi alors que je n'étais que son unique fille, je n'étais rien qu'une enfant et allait être sanctionnée car je ne voulais pas aller à mon cours de piano. Comme d'habitude je baissais la tête et fermais les yeux en crispant mes doigts sur ma jupe attendant ma peine, ma punition. « Obéi à ta mère sans un mot. » il me tendait mon blouson, effrayée je ne pouvais que le saisir et l'enfiler. Je ravalais ma salive et me tournait vers ma mère qui me regardait avec peine, j'étais trop jeune pour me demander pourquoi elle ne me défendait pas. Elle fermait mon blouson et couvrait ma tête d'un bonnet, je retenais mes larmes et lorsque l'une d'elle roulait sur ma joue elle s'était précipitée pour l'essuyer. Sans doute qu'elle craignait que mon père en rajoute, s'énerve. « Non, non. » un coup sur mes doigts, je grimaçais et regardait cet homme qui était mon professeur, cet homme au regard sévère n'admettait pas que je fasse une erreur. Je détestais cet endroit, je ne voulais pas savoir jouer du piano, parler anglais, être plus intelligente que les autres, savoir faire si et ça. Non ce que je voulais c'était simplement avoir une vie normale. Même si j'avais de jolies vêtements et toujours de belle coiffures, je préférais sacrifier mes belles poupées contre une vulgaire peluche pour pouvoir profiter de tous ses jouets. Tout aurait été si simple si mon père ne me conditionnait, et si ma mère arretait de chercher que je sois une femme parfait à marier, si j'avais su me faire des amis de mon propre grès et non ceux que mon père me disaient « voilà tes amis. » je n'avais pas le droit de choisir, le simple droit d'accepter ce que mon père me disait de faire et d’agir à leur égard. J'étais alors devenu la fille inconnu au fond de la classe. Quand mon regard se posait sur ses enfants, riant et jouant entre eux, courant et riant. C'était un peu un rêve d'être comme eux.
Seize ans. Ni grande, ni petite. Je me projetais dans des rêves que je savais inaccessible. Mon père qui continuait de me bassiner jour et nuit ce que je devais faire et au moindre faux pas j'étais de suite redressée. Ma mère essayait toujours que je sois parfaite sans doute pour montrer à mon père à quel point il peut être fière d'avoir une fille. Car un homme veut toujours un fils, pas une fille qui à ses yeux n'est bonne qu'à marier. J'allais bientôt comprendre pourquoi mon père tenait à tel point que je sois si disciplinée et aux allures parfaites. Je venais finir mon cours de calligraphie que j'avais l'ordre de rejoindre mon père dans son bureau. « Ayami. » rien qu'a la façon d'évoquer mon prénom de cette manière m'annonçait que ce qu'il comptait me dire n'allait pas me plaire. Mais je ne pouvais rien dire alors je m'étais assise m'excusant de l'avoir fait attendre. Ma liberté me fut à nouveau ôté des mains, par les mots qu'il était en train de prononcer sur mon futur, sur mon mariage. J'avais envie de lui dire d'aller se faire voir, qu'il pouvait se mettre à genoux que je n'accepterais jamais une telle chose et pourtant. « Très bien père. » je n'avais trouvé que cela à prononcer, avec cette envie de crier, de hurler toute cette colère qui m'envahit depuis que je suis gamine. Je sentais son regard posé sur moi, cherchant à déceler un quelconque signe de mécontentement mais il m'avait bien discipliner je ne montrais aucun signes de rébellions. Pourtant, j'avais eu envie de lui foutre dans les dents que je l'emmerdais profondément. J'avais envie de claquer la porter, claquer leurs espérances, de m'en aller en leur faisant un doigt d'honneur et criant qu'ils ont été con de croire que j'étais soumise. En apparence je l'étais mais mes pensées fusaient de rébellion et de liberté. Mais j'allais me marier et j'avais une boule au ventre sachant que l'homme auquel j'étais promise n'allait pas être un prince charmant, qu'il me traiterait comme un simple objet. Mes mains tremblaient tendis que j'essayais de me dire que je pouvais toujours partir. Mais à cet âge j'en avais pas les tripes, je n'étais pas encore assez forte. Et lorsque je l'ai rencontré je crois n'avoir jamais été si remontée intérieurement, je n'avais qu'une envie lui foutre ma main dans sa bouille de petit con. Même s'il était bien plus beau que la moyenne ses propos le rendaient inintéressant et dire que ce gars allait être mon mari. Ça me désespérait encore plus et j'ai dû étouffer mes cries dans mon oreiller. Je ne savais faire que ça: me voiler la face et faire semblant. Rien qu'a notre première rencontre, je le détestais déjà même à la première minute, lorsqu'il a ouvert la bouche c'était fini. Il n'aura jamais ma véritable sympathie, juste cette femme idéal sans caractère, cette image que tout le monde a toujours voulu que je dégage. Je n'avais qu'une chose à leurs dires : allez tous vous ailleurs si j'y suis et laisser-moi vivre en paix. Je détestais ce petit con et pourtant je venais de réaliser qu'il était peut-être ma seule échappatoire, celui qui m'éloignerait de mon père. Quand je m'étais rendu compte de ce fait, je le détestais encore plus car j'étais dépendante de lui et de ses actes. Que je devais devoir le supporter car il était mon billet de sortit. Je devais simplement jouer les femmes parfaites et comme je pensais qu'il ne serait jamais là pour moi je pourrais faire ce qu'il me chante. Pourtant, je n'arrivais pas à me réjouir totalement de ce plan sur la comète, car cela m'obligerait alors à tuer ma liberté.
« C'est quoi ça ? » mon père venait de balancer des photos devant mes yeux, j'affichais une petite mimique en fermant doucement les yeux. Je venais de lui désobéir en sortant avec un garçon, j'avais envie de lui dire que j'avais le droit de faire ce que je veux je n'étais pas encore marier. « réponds moi. » je ne l'avais jamais vu si énerver, je devais lui répondre pour apaiser ses mots, et ne surtout pas dire ce qu'il est vraiment pour moi. « Yusuke » c'était un simple murmure, je n'arrivais pas à trouver la force de répondre à haute voix, elle était bloquée au fond de ma gorge. Je m'enfonçais dans mon siège par crainte, je ne pouvais pas lui faire face, je ne pouvais qu'avoir peur de l'homme qu'étais mon père même si j'étais sa seule fille car il avait eu un foutu cancer aux mauvais endroit le rendant stérile, j'aurais aimer avoir un frère ma peine aurait été moins lourde. Je fermais les yeux quand sa main s'était approchée de mon visage je ne pensais pas qu'elle allait heurter ma joue, et pourtant une douleur affreuse me meurtrit la joue, un gout de sang dans ma bouche. Il n'avait jamais osé me frapper, il me menaçait mais jamais ne me frappait et pourtant il venait de le faire. J'étais totalement pétrifié, mes larmes étaient bloquées comme si la peur les empêchaient de couler. « Plus jamais je veux voir ça ! Tu entends plus jamais. » et je ne cherchais plus à voir d'autre garçon, j'étais bien trop effrayé parce qu'il puisse arriver que je ne cherchais à ne plus rien faire. Je continuais à jouer la comédie en faisant la fille prodige et disciplinée. Je n'avais pas d'autre choix que d'attendre qu'il finisse ses études et qu'enfin je puisse m'en aller. Si seulement cela s'était produit comme dit, je ne serais pas là à hurler et le maudire de m'avoir abandonnée . Même si je n'étais rien pour lui, pour moi il était mon billet de sortis auquel je devais dire à bientôt. J'avais tellement rêver de partir loin de là, j'avais réussi à rêver de cet imbécile qui aurait pu me rendre heureus indirectement... J'étais terriblement blessée qu'il prenne la fuite, qu'il se cache me laissant seule... Le salaud. J'étais obligée de l'attendre qu'il revienne pour que je puisse m'en aller. Tout le monde espérait qu'il ne revienne et bizarrement moi aussi j'espérais qu'il montre le bout de son nez pour enfin partir. Je n'allais pas passer ma vie à l'attendre, j'en avais assez ne pouvant rien faire et me cachant, je me demandais pourquoi mon père était si soumis à cette famille. J'avais fini par comprendre que mon mariage avec cet imbécile était simplement une alliance entre ma famille et la sienne. Et surtout j'étais une chose promise car sans doute mon père avait eu des problèmes dans le passé et était redevable à la famille Yokozawa. Je n'en avais rien à faire, je voulais simplement me barrer et j'en étais incapable car Ryu ne se montrait pas. Je ne pouvais rien faire juste l'attendre, je ne pouvait pas connaitre la sensation d'être en couple car il m'était interdit de braver les promesses que mon père avait tenues à la famille Yokozawa. Je devais me cacher et encore je n'osais pas franchir ce pas juste pour un baiser.
« Je suis là ! » je le regardais cet imbécile malheureux, je plantais mon regard dans le sien je n'avais qu'une envie c'était de le gifler, j'avais tous mes droits d'agir de cette façon. Ce n'est pas moi qui m'avançait vers lui mais l'inverse, il avait cette mine détestable. « Imbécile. » je croisais mes bras sur ma poitrine et détournait mon regard du sien, il me déstabilisait trop, mon coeur battait la chamade, je me demandais depuis quand mon coeur s'emballait de cette manière pour lui. Ses doigts frôlaient ma joue, de main je le lui tapais. « Qu'est-ce que tu crois faire ? » Je trouvais de plus en plus cette situation étrange, je ne me souvenais pas comme j'étais arrivé dans ce parc sans personne. « Tu m'aimes non ? » ses mots venaient de sortir de sa bouche, non je te hais j'étais incapable d'articuler cette réponse alors, je m'étais mise à ricaner alors que je commençais à avoir chaud, je rougissais comme une idiote, mon coeur me faisait tellement mal. « N'est-ce pas ? » il venait de me prendre le menton, je plantais mon regard dans le sien jamais je ne l'avais défier du regard je faisais toujours ma petite sainte ni touche, ma femme soumise. « Tu m'as laissé vas te... » je n'avais pas eu le temps de finir ma phrase que ses lèvres étaient rentrées au contact des miennes, boum boum mon coeur venait d'exploser dans ma poitrine. J'étais incapable de bouger, de le repousser, je le détestais après tout ? Je ne pouvais pas embrasser une personne comme lui. Et pourquoi diable je prenais ce plaisir malsain de l'embrasser? Chabadadadada Mes yeux s'étaient ouverts d'un coup d'un seul, ma respiration était complètement saccadée. « le salaud « je plaquais ma main contre mon front me rendant alors compte que je venais de rêver de lui encore une fois. J'enfonçais mon visage dans mon oreiller« JE LE HAIS !! » tellement que j'étais remontée je jetais mon oreiller à travers la pièce et me laissait tombé en arrière. Il me hantait jusqu'à mes rêves, et le pire c'est que je ne faisais qu'à lui. Je n'avais qu'une envie c'était de le cogner le plus fort possible, que sa mine d'enfant mal élevé en prenne un coup .
Je n'en pouvais plus, je voulais sortir de là. Même si j'avais fini par avoir droit à une petite dose de liberté sur le campus universitaire. Je ne pouvais plus attendre. « Je ne vais pas attendre éternellement qu'il ne revienne père. » je le défiais du regard, je me pensais incapable de faire une telle chose. « C'est pourquoi je pars à sa recherche. » je m'installais dans le siège attendant ma sentence. J'avais pourtant menti en disant que j'étais complètement amoureuse de Ryu que je n'avais qu'une envie : qu'il soit mon mari. Mon père semblait ravi que je m'investisse tant dans ma relation avec lui, j'avais réussi à faire céder mon père si cela était si simple je l'aurais fait bien avant. Au bout de quelques semaines qu'il m'offrait une belle voiture pour arpenter une bonne partie du Japon, peine perdue mon voyage devait s'étendre jusqu'au territoire américain. Une autre belle voiture m'attendait alors qu'on la chargeait j'étais heureuse d'être enfin partit et en profitait pour faire tout ce que je n'avais jamais pu faire au Japon. J’espérais tellement le retrouver, je ne savais pas ce que je pourrais lui faire, lui donner une gifle, lui crier dessus lui qui me croit si soumise il tombera sans doute de haut. Je n'en pouvais plus d'attendre, d'être là comme une imbécile. Je voulais tellement le revoir, j'étais prise entre deux sentiments, pourtant je ne l'avais jamais aimé mais peut-être à force de l'attendre et d'espère j'avais peut-être finit par m'attacher à lui d'une manière inexplicable.... Je restais sur mes gardes, mon père pouvait très bien étendre ses connaissance et me faire suivre mais si c'était le cas il ne m'aurait pas laissé en panne en plein milieu d'une vole paumé. Alors que je jurais haut et fort en japonais. Puis une personne est venue me voir en me faisant des signes en croyant que je ne comprenais pas la langue. J'ouvrais alors la bouche pour lui expliquer que je parlais parfaitement la langue, et sans trop un accent a tué au couteau comme la plupart de mes confrères. Un simple et léger accent qui dissuade le faite que je sois une américaine asiatique. J'étais donc bloquée à Arrowsic, j'avais comme un mauvais pressentiment que ce séjour ici n'allait pas être reposant.
welcome to our world. nice to meet you.
bon étant une très grande pipelette je vais essayer de faire court, car sinon je suis capable de faire aussi long que ma fiche quoique... Bref je suis un peu déjantée, oui oui c'est vrai vous savez que parfois je suis un peu folle puis hum je sais pas quoi dire j'ai envie de vous dire que vous verrez comme je suis. Info basique: fille, 19 ans, fan de beaucoup de choses, aime beaucoup de chose, aime pas grand chose hahaha le jeu de mots pourris... bref voilà
Dernière édition par Ayami Nakajima le Dim 26 Aoû - 1:19, édité 24 fois
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Jeu 23 Aoû - 23:45
ELLE EST TROP MAGNIFIQUE Je connais pas non plus, mais ça donne envie de les connaitre ces bg d'asiatiques Excellent choix de scénario, j'en connais un qui va être heureux Bienvenue parmi nous et si tu as la moindre question, n'hésite pas (aaa)
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Jeu 23 Aoû - 23:48
et bien et bien quel accueil merveilleux que vous venez de faire à vous deux! tu sais Ferny'(petit surnom si tu permets) comment t'y prendre pour que je te"renvois" ton amour c'est donc parfait, moi aussi je ne vais pas tarder à t'aimer si ça continue comme ça! Et oui elle est belle ma petite yui et oui il y a beaucoup de belles personnes chez les asiat', mouahahaha j'en aime beaucoup trop merci beaucoup Matys Allons donc à nous trois manger des cookies observer ces beaux asiatiques avec des étoiles dans les yeux si vous le voulez bien évidemment!
DOUBLE-COMPTE : jona & louis. MESSAGES : 8067 ARRIVÉE : 07/03/2012 LOCALISATION : à l'hôpital.
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Jeu 23 Aoû - 23:53
Le Ferny, c'est fou, c'est automatique (c'est comm ça que tout le monde m'appelle ici ) ben évidement que tu vas m'aimer je toblige ! haha ouiiiiiiiiii je veux la petite rencontre cookies
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Ven 24 Aoû - 15:04
Ayami Nakajima a écrit:
et bien et bien quel accueil merveilleux que vous venez de faire à vous deux! tu sais Ferny'(petit surnom si tu permets) comment t'y prendre pour que je te"renvois" ton amour c'est donc parfait, moi aussi je ne vais pas tarder à t'aimer si ça continue comme ça! Et oui elle est belle ma petite yui et oui il y a beaucoup de belles personnes chez les asiat', mouahahaha j'en aime beaucoup trop merci beaucoup Matys Allons donc à nous trois manger des cookies observer ces beaux asiatiques avec des étoiles dans les yeux si vous le voulez bien évidemment!
SOYONS FOU J'dis pas non pour aller regarder les beaux asiatiques en me gavant de cookies, au contraire
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Ven 24 Aoû - 16:30
oh god, j'connais pas non plus la miss, mais elle est trooop belle et cute, je ne me lasse pas de regarder le gif et l'avatar ! en plus le scénario de RYU ! Ca gère tout ça ! bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Sam 25 Aoû - 1:35
Alors alors, par où commencer après de tels messages de bienvu? il me suffit de m'absenter une journée et voilà que je manque le plus beau message: ce lui de ryu. donc je me rattrape, voià que je suis remplie d'une certaine motivation après un tel accueil, qui t'a fais passer le message en disant que j'adore les messages avec de nombreux smileys ne t'inquiète pas je viendrai te harceler dès demain car là il se fait tard et mon lit m'appelle! Bref tout ça pour dire que je t'aime déjà mais ne te défile pas j'attends toujours ma fournée de cookies et l'autel que tu me dois oui je n'oublies jamais ce que l'on me doit et m'offre!! si tu ne tiens pas tes promesses, gare à toi je mords et avale les personnes qui ne m'offrent pas ce qu'elles me doivent!! Ensuite je note dans mon agenda pour vous deux: Ferdy et Matys, pour ce petit visionnage de bels asiat' avec de nombreuses assiettes de cookies!! Et si tu veux Everleigh tu peux te joindre à la partie si tu ne te lasse pas de regarde ma petite yui tu es la bienvenue pour regarde ce jolie monde avec des cookies pleins les mains Et puis merci à vous tous de m'accueillir, je sens que je vais me plaire parmis vous dès demain je m"attaque à ma fiche!!!
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Sam 25 Aoû - 9:34
Ayami Nakajima a écrit:
Ensuite je note dans mon agenda pour vous deux: Ferdy et Matys, pour ce petit visionnage de bels asiat' avec de nombreuses assiettes de cookies!! Et si tu veux Everleigh tu peux te joindre à la partie si tu ne te lasse pas de regarde ma petite yui tu es la bienvenue pour regarde ce jolie monde avec des cookies pleins les mains Et puis merci à vous tous de m'accueillir, je sens que je vais me plaire parmis vous dès demain je m"attaque à ma fiche!!!
On va se faire une sortie à quatre, vive les coooookies Ouais zizi, viens regarder les bgosss asiatiques avec nous je sais que tu va bien aimer toi J'espère bien que tu vas te plaire ici, on fera tout pour en tout cas Et puis c'est un peu grâce à moi que tu es là tahuu *maggle*
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Sam 25 Aoû - 11:48
Ayami Nakajima a écrit:
Alors alors, par où commencer après de tels messages de bienvu? il me suffit de m'absenter une journée et voilà que je manque le plus beau message: ce lui de ryu. donc je me rattrape, voià que je suis remplie d'une certaine motivation après un tel accueil, qui t'a fais passer le message en disant que j'adore les messages avec de nombreux smileys ne t'inquiète pas je viendrai te harceler dès demain car là il se fait tard et mon lit m'appelle! Bref tout ça pour dire que je t'aime déjà mais ne te défile pas j'attends toujours ma fournée de cookies et l'autel que tu me dois oui je n'oublies jamais ce que l'on me doit et m'offre!! si tu ne tiens pas tes promesses, gare à toi je mords et avale les personnes qui ne m'offrent pas ce qu'elles me doivent!!
Oui, mon Ryu te dirait le manquer, c'est vraiment une honte, une disgrâce mais bon comme je le bâillonnes pour qu'il apprenne à mieux se tenir, tu l'entendras pas .... jusqu'à qu'il est fini de ronger les baillons en tous les cas Et pour les smileys, je plaides coupable, je suis une fan aussi Ca met de la vie et de la couleur dans ces posts Et comme promis, quoi que entre cannibales, on pourrait finir par s'entrebouffer mais que j'ai une parole en or
Spoiler:
Matys Di Conti a écrit:
Et puis c'est un peu grâce à moi que tu es là tahuu *maggle*
*MIAOUUUUUU * tu veux vraiment garder ton titre de déesse du forum
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Sam 25 Aoû - 14:07
Oui vive les sorties à quatre Matys! Rien de tels pour se régaler la pense et les yeux! Merci à vous deux les filles J'espère bien mais tu sais au pire j'arrive très vite à me faire pardonner et bien entre fans on va s'entendre à merveille, nous allons embellir nos messages de nombreux smiley, quoique là je me retiens car une fois je me suis fais jeter car j'en utilisais trop... mais en privé prépare toi à en voir de toutes les couleurs :cam: MOOUUAAAHHHHH tu sais déjà calmer mon cannibalisme, ahahaha maintenant ça m'a donné faim.... :loni2: bref faut que j'arrête de flooder et aller faire ma fiche!! Pourquoi c'est grâce à Matys que je suis là? je veux tout savoir
Sujet: Re: Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leurs différences. Sam 25 Aoû - 14:26
Ha ha pas de souci même si je trouve ca injuste de se faire jeter pour utilisation de smiley, c'est un scandale C'est que je tiens à garder encore un peu mon corps intact, alors je te jette des gâteaux Bref et moi j'arrête de polluer ta fichounette, ça le fait pas ....
Pour Tytys, je pense qu'elle disait ça parce que c'est elle qui m'a convaincu de m'inscrire avec Quinn donc du coup de créer le scénario