Sujet: Roman Harper ♌ « C’est comme se masturber dans un avion, c’est plutôt mal vu. » Sam 26 Mai - 12:34
ROMAN CALVIN HARPER
« Don’t get so serious about life. No one get’s out alive anyway. »
NOM : Harper. ⊰PRÉNOM : Roman. ⊰ÂGE : 25 balais. ⊰ORIGINES : Américaine. ⊰MÉTIER/ÉTUDES : Policier. ⊰STATUT CIVIL : Célibataire. ⊰CRÉDITS : tumblr. ⊰AVATAR : Jensen Ackles, le plus beau, le plus chekchy.
welcome to our world. nice to meet you.
Saluuut, moi, c’est Marlène - et je suis alcoolique -. Là, c’est le moment où tout le monde répond en chœur « Bonjour Marlène ! ». Mais non, bref. En fait, j’ai 20 ans – et demi, comme disent les petits - & je suis bretonne jusqu’aux bout des doigts de pieds. Ma grande passion, hum … Le shopping, ça peut être une passion ? Sinon, disons les RPG – Bah ouais, quand même ! Sinon pour vous, c'est un peu l'arnaque. Enfin, j'dis ça, j'dis rien. -, les séries (avec des préférences pour SPN, TVD, Friends, HIMYM, GG … Enfin, la liste peut continuer comme ça sur des kilomètres de pages Word.), la chantilly et plein d’autres trucs marrants du même genre. Puis même qu’un jour, j’louerais un combi avec mes coupains et qu’on fera le tour du monde. Bref, THUB, c’était le sujet d’la question, eh ben, il gère la gougère faite par sa mémé en string panthère. Enfin, je trouve. Sinon, je dois donc souligner que mon personnage est issu de l'imagination de l'un des membres, à savoir la grande, la belle, la brave Nora C. Ramirez. Amis du soir, bonsoir !
Sujet: Re: Roman Harper ♌ « C’est comme se masturber dans un avion, c’est plutôt mal vu. » Sam 26 Mai - 12:34
please, tell me your story. i’m listening.
Dès le départ, ils auraient du savoir. Ne pas se lancer là-dedans, construire une vie de famille. Ce n’est vraiment pas fait pour tout le monde. En fait, c’était encore moins fait pour mes parents. A l’époque, ma mère n’avait même pas vingt ans. Rêveuse, un peu trop naïve, je pense qu’elle croyait encore au prince charmant. Pas de chance, elle est tombée raide dingue de mon père, autrement dit tout le contraire du prince charmant. Enfin, je dis ça … Je ne le connais même pas. En réalité, elle voulait gagner son indépendance, voler de ses propres ailes et ne plus avoir à subir les remarques de ses parents. Ca peut se comprendre. Ils se sont vus pendant des mois et à défaut d’un immense mariage de princesse, elle a eu droit à une nouvelle, bonne ou mauvaise selon le point de vue. « Mademoiselle, vous êtes enceinte. » Ses parents ne l’ont pas supporté et elle s’est rapidement retrouvée à la porte, livrée à elle-même sans un sou en poche. Alors, Lily et Gabriel ont emménagé ensemble. Les quartiers pauvres de Chicago, les nuits sans dormir car il faut travailler pour payer le loyer, les absences injustifiées et régulières de mon père … C’est seulement à ce moment là que ma mère a compris. La vie était tout sauf un conte de fée. Pour moi, c’était trop tard, j’étais déjà en route. Alors, ma mère a fait comme elle a pu. Elle rêvait d’un bon poste, de devenir médecin ou avocate. Elle n’a récolté que des postes de serveuse, aussi mal payé qu’éprouvant. Mais elle était enceinte. Lily allait devenir maman et c’était ça, l’important. Je serais donc son bébé, son petit prince. Ironie du sort, je suis né le jour de la Saint-Valentin … Ma mère voyait ça comme un signe. Utopique situation car c’était sans compter sur mon père … A l’époque, il n’avait que vingt-cinq ans et je crois qu’il portait toute la bêtise du monde sur ses épaules. J’ignore comment il a pu plaire à ma mère. Ah si, peut-être sa gueule d’ange … Car il était séduisant, il avait tout de l’homme idéal en apparence. Mécanicien dans un garage, sportif, rassurant … Tout pour plaire. Sauf qu’il était aussi incroyablement infidèle, parfois violent et surtout, très porté sur l’alcool et un nombre impressionnant de drogues en toute sorte. Autant dire que son salaire n’apportait pas souvent à manger à la maison. Bref, nous avons évolué comme ça, comme nous avons pu pendant les premières années de ma vie. Deux ans après moi, il y a eu la naissance de mon petit frère. Des grands yeux éveillés, une petite touffe de cheveux bruns sur la tête, c’était Noah. Je ne m’en souviens pas du tout mais il parait que j’ai demandé à ma mère ce que c’était que cette petite personne. Si j’avais su qu’un jour, il me dépasserait …
La première fois que mon père est allé en prison, j’avais cinq ans, Noah à peine trois. Jusque là, j’avais toujours eu l’impression d’avoir une famille forte, belle et unie. Quand je voyais certains de mes petits copains à l’école qui n’avaient pas de papa ou qui même, vivaient dans des foyers, je me répétais que j’avais de la chance. C’est vrai. Même si les cris et les coups étaient devenus quasi quotidiens, nous étions tous les quatre et il y avait, mine de rien, des moments de bonheur. C’était, par exemple, le Noël de mes cinq ans. Je m’en souviens comme si c’était hier. Le réveillon avait été catastrophique. Papa était rentré complètement saoul. Je me souviens, il avait trébuché plusieurs fois en rejoignant le réfrigérateur, d’où il avait sorti une bière. Maman s’était emportée et lui avait même mis une gifle sous nos yeux. « Roman, tu emmènes ton frère et vous allez vous coucher. Tout de suite ! » Ce que j’ai fait sans ronchonner, contrairement à d’habitude. J’ai mis Noah au lit et du haut de mes cinq ans, je me suis glissé sous sa couette. Les cris finirent par s’estomper avec le temps et moi, je finissais par m’endormir, comme Noah. Quand je me réveillais le lendemain, j’avais les yeux emplis de larmes. C’était Noël et j’imaginais déjà Maman et Papa s’ignorer ou se disputer à nouveau. De toute façon, le Père Noël n’était rien qu’un idiot. J’ai tiré Noah du lit, un peu à contrecœur et nous avons tous les deux rejoint la cuisine. Papa et Maman était assis à table, avalant respectivement une bière et un café. Le sourire de Maman m’étonna et la jolie blonde me désigna le salon de la tête. Elle semblait trépigner d’impatience. J’attrapais la main de Noah et nous précipitais dans le salon. Un grand sapin y avait été dressé et dessous, pour la première fois de ma vie, une immense pile de cadeaux était entassée. Noah se précipita pour secouer, lancer, déchirer les diverses boîtes colorées et moi, je restais bouche bée. Les paroles que Maman avait prononcé dans la semaine au centre commercial résonnaient encore dans ma tête. « Les garçons, le Père Noël, cette année … Il n’a pas beaucoup d’argent. » J’en avais pleuré. Et pourtant, ce Noël fut le plus fantastique de toute ma vie. Tous les cadeaux dont un petit garçon pouvait rêver étaient sous mon sapin. Des petites voitures en pagaille, un nécessaire pour devenir un super bricoleur, un déguisement de Batman … Il y en avait tellement que je ne voyais pas le bout. « Waaaaah ! Le Père Noël a gagné au Loto ! » J’étais bluffé et sous le charme de ce Noël magique. Deux jours plus tard, alors que Noah et moi nous livrions à un grand combat d’indiens, le visage de Maman a brusquement changé quand le téléphone a sonné. Elle est devenue blanche, n’a pas dit grand-chose à son interlocuteur. Elle a simplement raccroché et s’est assise en silence sur une des chaises de la cuisine. Noah et moi l’ignorions mais notre papa adoré, notre héros venait simplement d’être arrêté pour son troisième braquage à main armée. Avec toute la conviction du monde, Maman a pris la décision de ne jamais nous l’avouer. « Papa a trouvé du travail au pays des kangourous, les garçons. » Ainsi, de criminel notoire, mon père passait maintenant au poste de mécanicien sur une plateforme pétrolière au large de l’Australie. Nous, simples petits garçons hauts comme trois pommes, on le croyait dur comme fer. Evidemment, nous en avons voulu à Papa de nous avoir laissé sans même nous dire au revoir. C’était ça que nous ne comprenions pas surtout. Mais il a fallu faire avec cette absence. Ne lui parler que par lettre et encore, c’était Maman qui devait obligatoirement les poster.
J’avais déjà onze ans et Noah allait sur ses neuf printemps quand Papa est revenu. Tout avait changé. Maman s’était laissé aller en son absence. Elle avait du laisser tomber son travail pour s’occuper de nous. Quand il avait fallu en retrouver un, ça avait été plus que difficile et elle n’avait d’ailleurs pu bénéficier que de quelques heures de ménage par-ci, par-là. Papa a de suite recommencé son manège. Lui aussi avait bien changé. Des tatouages sur le torse, une barbe de trois jours qu’il entretenait soigneusement, des paroles bien plus sèches … En fait, il ne nous adressait même plus la parole. Étrangement, je me suis mis à détester l’Australie. Ça devait vraiment être un pays horrible … Et ces foutus kangourous, plus jamais je ne les trouverais mignons. Noah et moi, nous marchions droit. Il fallait faire nos devoirs rigoureusement, ranger notre chambre sans protester et faire avec les remarques incessantes de Papa. Ce fut une période longue et difficile mais j’avais tellement peur de voir Papa partir à nouveau que je faisais tout pour qu’il reste. Je me souviens même de détails insignifiants qu’à l’époque, je croyais important. Par exemple, je veillais à mettre la table tous les jours avant qu’il rentre de je ne sais où, je terminais mon assiette et écoutais toujours ce qu’on me disait. Je ne suis même pas sûr qu’il l’ait un jour remarqué. Il ne nous regardait plus, ne semblait plus nous voir. En fait, nous n’existions plus, à ses yeux. Alors, Papa est de nouveau retourné en « Australie ». Cette fois, c’était pour coups et blessures. Neuf ans, ferme. Maman était effondrée mais encore une fois, elle nous a caché la vérité. D’abord, je me demandais si c’était de ma faute. Je n’avais pas du en faire assez … Et puis, pendant plusieurs mois, je m’en voulu sérieusement. Parce que j’étais soulagé qu’il ne soit plus là finalement. Pour Maman, ce départ fut plus difficile que le premier. L’alcool et les médicaments qu’elle prenait ne faisaient pas bon ménage et elle perdit rapidement son travail. Brutalement, elle a changé. D’une douce et protectrice jeune mère, elle n’était devenue soudainement plus que l’ombre d’elle-même. Plus que le départ précipité de Papa, ce fut ça le plus difficile à supporter pour moi. Maman avait perdu le gout de vivre et nous passions, mon petit frère et moi, après tout un tas de substances aux noms inquiétants. Pourtant pour moi, c’était la période de l’adolescence et autant dire que celle-ci fut remplie de péripéties en toute sorte. J’avais beau sortir jusque tard dans la nuit, personne à part Noah n’était là pour le remarquer. Notre mère n’était que rarement là, dans l’appartement où nous cohabitions désormais, et c’était parfait pour moi. J’ai ainsi pu faire un nombre incroyable de conneries, sans la moindre conséquence. D’ailleurs, entre vous et moi, c’était surtout pour les soirées et les filles que c’était intéressant. Un appartement complètement libre rien que pour moi et les jeunes demoiselles que j’y amenais. Autant dire que j’étais plutôt populaire. Tout était facile. Mais Noah restait ma plus grande priorité. Lui, je ne l’aurais jamais oublié et nous n’avions pas tant que ça de différence d’âge. En réalité, nous étions presque toujours fourrés ensemble. Même si je le poussais à être sérieux à l’école. Dans l’histoire, à mon avis, il fallait bien que quelqu’un joue un minimum le rôle de parent. J’ai arrêté mes études très tôt. A dix-sept ans, l’école commençait à me barber sérieusement et je fis d’ailleurs tout ce que je pus pour m’en faire renvoyer. Pour autant, il était important que Noah continue et il ne fut finalement pas si difficile de l’en convaincre. Heureusement … Maman, quant à elle, devenait plus invivable de jour en jour. Elle forçait sur l’alcool et ne rentrait à la maison que pour dormir. Et encore … A seize ans, impossible de gérer sa situation.
Quatre ans plus tard, tout avait changé … Maman a été enterrée. Son cœur n’a pas supporté le mélange alcool-médicaments et elle a succombé à une attaque foudroyante. Je n’avais que vingt ans à cette époque là et Papa n’a pas même pas daigné revenir. Il a fallu organiser l’enterrement de Maman dans l’urgence et à cet âge là, croyez-moi, ce n’est normalement pas un sujet que vous connaissez bien. Noah et moi avons choisi tout seul le type de cercueil, les fleurs à apporter sur la tombe, le faire part de décès que nous voulions faire apparaître dans le journal … Et Papa n’était pas là. Ah si, nous avons reçu un coup de fil. Je ne crois même pas qu’il a duré trois minutes. Juste le temps de nous dire qu’il était désolé de ne pas avoir pu être présent, juste le temps de nous dire qu’il revenait dans quelques semaines. Je crois que c’est à ce moment là que je me suis réellement mis à le détester et à ne plus croire tout ce qu’on nous avait raconté. Plus rien n’avait de logique. On ne coupe pas ainsi les ponts avec sa famille, en allant simplement travailler dans un pays étranger. Il nous avait simplement abandonné, rien de plus. Intriguant cela dit de constater ses retours … S’il avait voulu nous abandonner, il n’était pas vraiment nécessaire qu’il revienne, ou tout au moins, c’était illogique. Noah et moi avons du aussi faire face à un nouveau problème. Le loyer à payer … Noah finissait à peine le lycée, il devait entrer à l’université à l’automne. Moi, je me contentais de petits boulots à droite, à gauche. Impossible donc de garder l’appartement. Nous avons finalement décidé d’attendre le retour de Papa pour nous décider. Celui-ci débarqua, comme une fleur, quelques jours plus tard. D’abord, le temps des retrouvailles … Froids, distants, nous avions du mal à nous parler malgré les années sans nous voir. Il nous a interdit de lui demander où il était. Nous sommes donc restés silencieux. Pour moi, il était devenu un inconnu, tout simplement. Il n’avait jamais été là quand nous avions besoin de lui, tout le contraire d’un vrai père. Puis vint le temps des explications … Je me souviens, c’était un soir de match, de hockey, la grande passion de Papa. Les suisses venaient tout juste de mettre un but, provoquant chez mon père une colère noire. J’attendais qu’il se calme puis d’une voix calme, je lui avais demandé « Pourquoi t’étais pas là ? » J’avais insisté, lui montrant que je ne le laisserais pas tranquille tant que je n’aurais pas eu de réponses. Il s’est levé pour se poster face à moi, j’ai fait de même et il a fini par tout lâcher, s’énervant rapidement. Je lui ai répondu qu’il me dégoutait et en un claquement de doigt, je me retrouvé par terre, un peu assommé d’un coup de poing en plein visage. « Parce que tu crois peut-être que t’es mieux que moi, petit con ? On a le même sang, Roman, et un jour, tu finiras comme moi. Ou mieux encore, comme ta mère. » Je suis resté bouche bée, quelques secondes. Jusque là, je lui en voulais. A ce moment là, je le haïssais. Je m’essuyais le visage et me relevais tant bien que mal. J’ai regardé Noah, qui s’était lui aussi levé face à la situation. « Fais tes valises, on se casse d’ici. » Il est resté sans bouger et je ne l’ai pas supporté. Quittant la pièce, j’ai rejoint ma chambre, fourrant ce que je pouvais de mes affaires dans des sacs de voyage. Noah m’a demandé de rester, pendant tout ce temps. Sur le coup, j’étais aussi en colère contre lui que contre notre père. Pour autant, je savais pertinemment qu’il ne savait pas quoi faire. Il était aussi perdu que moi, en fait. Il n’avait pas non plus cette habitude d’agir sur un coup de tête, ce que j’étais en train de faire, ne sachant pas si j’allais droit dans le mur ou non … Une heure plus tard, j’étais assis dans le train, quittant donc seul la capitale de l’Illinois.
Aujourd’hui, j’ai vingt-cinq ans et je crois que je suis bien content d’avoir laissé toute cette histoire derrière moi, à Chicago. D’ailleurs, cette histoire, personne ne la connaît dans mon nouvel entourage. Quand on me pose des questions, c’est simple, ça donne : « Ma mère est décédée, j’ai jamais connu mon père et mon petit frère fait ses études loin d’ici. » Ma vie en plus facile … D’ailleurs, déjà cinq longues années que je n’ai pas revu Noah. J’ai mis le temps mais j’ai bien essayé d’appeler à la maison. Il semblerait que plus personne n’y habite. Difficile, dans ces cas là, de retrouver la trace de mon petit frère. J’espérais simplement qu’il se trouvait loin de notre père et qu’il allait bien. Peut-être qu’il faisait toujours des études. C’était à lui que je pensais tous les jours, malgré tout. C’était mon plus grand regret. Moi, de mon côté, j’avais pris ma revanche. J’avais enfin réussi et le jour où j’avais reçu mon insigne de policier et mon arme de service en était la meilleure des preuves. Les dernières paroles que m’avaient adressées mon père, à savoir que je lui ressemblais beaucoup, m’avaient marqué et j’avais voulu tout faire pour éviter de lui donner raison. J’étais donc devenu son contraire. J’étais policier et j’adorais mon métier. D’ailleurs, plus que quelques mois avant que je devienne inspecteur, tout allait bien. Côté relation amoureuse, disons que c’était le calme plat. En réalité, j’ai toujours eu un peu de mal à m’attacher. Les trois seules personnes qui ont vraiment, un jour, comptées pour moi sont aujourd’hui très loin. Ma mère est morte, mon père nous a abandonné, je le déteste et c’est évidemment réciproque. Quant à mon frère, je l’ai laissé tombé, sans même me retourner. Autant dire que je suis incapable de me projeter dans une vie avec quelqu’un. Pour moi, les filles sont donc plutôt des copines, des demoiselles avec qui l’on s’amuse, avec qui on passe du temps, un temps agréable mais qui ne doit jamais trop duré. Pourtant, il y a cette fille, Nora … Elle a un truc qui change tout. Je n’arrive pas encore à savoir quoi. Mais je compte bien le découvrir.
Dernière édition par Roman C. Harper le Sam 2 Juin - 4:32, édité 2 fois
DOUBLE-COMPTE : jona & louis. MESSAGES : 8067 ARRIVÉE : 07/03/2012 LOCALISATION : à l'hôpital.
Sujet: Re: Roman Harper ♌ « C’est comme se masturber dans un avion, c’est plutôt mal vu. » Sam 26 Mai - 13:30
Ooooooh, Jensen, il est trop canon ce type En plus t'as pris le scéna de ma compatriote ! C'est coooool, elle va surement être ravie Breeef, bienvenue à toi parmis nous, tu verras THUB c'est un forum de fifou J'espère que tu te plairas ici, et puis ben si tu as des questions n'hésites pas, hein ?
Sujet: Re: Roman Harper ♌ « C’est comme se masturber dans un avion, c’est plutôt mal vu. » Sam 26 Mai - 14:05
ETHAN Haaaaan, merci pour tout ! Ayè, on est plus complètement anonyme maintenant. (a)
PRIYA Je saiiis, héhéhé (a) C'est du choix d'la mort qui tue. x) Merci, en tout cas ! Puis, je t'épouse quand tu veux ! *o*
IMRAN Merkiiii !
FERNY (J'peux t’appeler Ferny ? XD) Sur la bogossitude de Jensen, on est complètement d'accord, il est juste bandant ! En tout cas, merci ! J'suis sûre que j'vais me plaire ici. Quand il est question de fifous, j'me plais, de toute façon ! Encore plus quand les fifous sont originaires de Suisse, d'ailleurs ! Héhé (a)
Sujet: Re: Roman Harper ♌ « C’est comme se masturber dans un avion, c’est plutôt mal vu. » Sam 26 Mai - 15:42
BONJOUR MARLENE
Désolée, ta présentation m'a fait rire Bienvenue iciiii !! Un policiier avec Jensennnnnnnnnnnnn (L). La classe c3. Je suis fan de Jensen, alors hein, je suis obligée de faire cette réflexion XD Et ouais, se masturber dans un avion, c'est mal vu Amuse-toi bien à gratter tout ça !!!
Sujet: Re: Roman Harper ♌ « C’est comme se masturber dans un avion, c’est plutôt mal vu. » Sam 26 Mai - 17:12
Booon autant te dire que toi et moi on va tout bientôt se marier parce que c'est pas possible autrement. Bon après je sais que c'est de ma faute si tu t'inscris sur beaucoup trop de forum et que si je continue comme ça tu vas finir par crouler sous le nombre, mais bon je te promets c'est le dernier (a) (avant le suivant... ) Bref bref, de toute façon tu vas cartonner dans ce rôle, Jensen te va trooop bien au teint Encore mille fois merci de l'avoir pris on va trop se faire une histoire de fifou là-dessus tu vas voir comment. Ta présentation perso est juste superbe surtout que bon les séries que t'aimes c'est juste trop les meilleurs et pis les fleurs que tu me lances là, tu me fais presque rougir ! Breeef, ma petite demoiselle je te laisse faire ta fifiche j'ai hâte de la lire
Sujet: Re: Roman Harper ♌ « C’est comme se masturber dans un avion, c’est plutôt mal vu. » Sam 26 Mai - 21:16
MATTIA MDR ! Je suis complètement d'accord ! T'façon, la classe, on l'a ou on l'a pas ! (a) Merci, en tout cas ! HELENA J'ai envie de te dire Danke ! Et que c'est toi la guedin aussi, héhéhé !
EMMA Diannaaaaaaaa Carrément que oui, j'te réserve un lien d'la mort qui tue (a)
NORA Si j'avais su que t'étais une fille si dangereuse, j'me serais jamais approchée ! XD Du coup, maintenant, c'est quand tu veux qu'on se marie (a) Au moins, on serait sûre de vendre un rêve de fifou ! x) Merci pour le compliment aussi, que Jensen me va bien au teint. Ca m'fait trèèèèès plaisir ! Puis, de rien, tu sais bien (a) Allez sur ce, au boulot ! (: SUTTON Obligé. A peine fini d'être rédigé, j'recevais le lien ! XD Sinon, merci beaucoup !
Sujet: Re: Roman Harper ♌ « C’est comme se masturber dans un avion, c’est plutôt mal vu. » Sam 26 Mai - 23:59
Putain au début j'ai pas compris pourquoi tout le monde disait bonjour Marlène, comme je lisais le sujet à l'envers. Oui, je suis une boloss. Le titre est trop COOOL. Sinon je trouve que Sophia & Jensen sont plutôt mignons ensemble. Anyway, je te souhaite bienvenue parmi nous & bon couraaage pour faire ta fiche.
Accueil
(ça fait un peu réunion des alcooliques anonymes là oui. 
)
Courage pour la fiche. 
Haaaaan, merci pour tout ! 
il nous faudra un méga lien 
bienvenue 
on va trop se faire une histoire de fifou là-dessus tu vas voir comment.
Très bon choix en tous cas 
Puis, de rien, tu sais bien (a) Allez sur ce, au boulot ! (:
et bienvenue !!